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Min-Hwan Park

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#5219 -

Lun 26 Déc - 23:01

Dernière édition par Magnus Sørensen le Lun 9 Jan - 10:37, édité 1 fois

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☽ • ☾

Son premier jour de stage était pour aujourd’hui si je ne m’étais pas trompé, cela dit ça ne serait pas impossible, les journées étaient un peu complexe ces derniers temps, beaucoup de contre coup de la nouvelle année, beaucoup d’excès, de soucis à régler et à faire oublier, ce qui impliqué un certain nombre de dossier à remplir et envoyer dans les temps… Beaucoup trop de travail que je ne pourrais pas finir dans les temps aujourd’hui et au vue de la situation… La faire attendre avec ses affaires serait peut-être mal venu… J’allais devoir reprendre quelques dossiers à la maison.

J’avais réellement envie de la retrouver, que son stage commence. Ce qui était vraiment un sentiment étrange car je n’étais pas comme ça. Je n’avais pas besoin des autres en tant normal, mais là, je devais l’avouer, je dormais moins bien sans elle et j’avais presque eu un sentiment d’ennuie en son absence. Non pas que je sois à ce point dans le besoin sociale, seulement, elle ne me piégeait, enfin jusqu’à présent. Je ne pouvais que me laisser guider, l’accepter et attendre ce moment. Me laisser faire, pour une fois. Ne pas anticiper quoi que ce soit. Ne pas attendre l’orage. Juste faire confiance. Ce qui m’était complètement impossible en temps normal. Mais elle m’avait apprit d’une certaine manière, à accepter d’être approché. Comme un animal sauvage se rendant compte que cette main tendue n’était pas là pour le blesser. Bien évidemment, je n’étais pas à l’abris d’une déception, mais, j’essayais de moins y penser.

Préparant donc quelques documents, je finis par sortir pour me rendre, jusqu’à son niveau et l’intercepter au passage. Bien que je sois très clairement fatigué par ma journée, je lui offris un sourire sincère lorsque je la vis entrer dans l’ascenseur, « Je venais monté justement te chercher. », me permettant ces mots car il n’y avait personne, j’appuyais sur le rez de chaussée avant de me reposer contre la surface métallique pour lui demander, « Ça a été la reprise ? Avec tous les accidents des derniers temps, vous devez avoir un peu de travail. », j’étais loquace, ce qui était un miracle en soit, mais pas impossible. Elle avait brisé la glace, me donnant envie de m’intéresser à elle, me donnant envie d’approfondir ces sujets de surfaces, de me plier à cette convention qui n’avait rien de dangereux avec elle. Elle ne cachait rien, ou elle le faisait très bien et dans ce cas là, je méritais de me faire avoir. Elle m’apprenait à reprendre mon souffle, elle me donnait une nouvelle définition au mot amitié.

☽ • ☾

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#5247 -

Mar 27 Déc - 17:10

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Magnus Sørensen & Athenais Wheeler

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9 Janvier 2023... Ce jour avait été attendu de ta part avec un certain trépignement d’impatience. Pour la simple et bonne raison que c’était ton retour en stage. Ta responsable t’avait fait paraître une lettre t’indiquant que les trois prochaines semaines allaient être sûrement bien rudes en travail. La nouvelle année avait eu son lot d’incidents et de désagréments. Beaucoup de services avait été impactés par cet essor... Une sorte de période de rush habituel. La sorcière avait pris part de te rassurer sur ce point mais aussi de te faire cette prévention pour ton choix de carrière. Même si celui-ci était déjà décidé pour ta part, tu avais apprécié cette mise en garde qui allait te permettre d’anticiper.

Néanmoins... Tu ne pouvais nier que cette excitation était également dû au fait que tu allais le revoir. Certes, tu t’étais entrainée avec sa sœur qui avait fait pas mal de merde ces temps-ci. Allais-tu lui faire la remarque taquine d’emblée ? Hm... Pas vraiment, c’était un peu la dernière de tes priorités. Par ailleurs, tu étais assez contente à l’idée de partager ton quotidien avec lui, tu te sentais bien en sa présence, il t’apaisait et à sa manière, il parvenait à te canaliser. Toi qui étais toujours un peu hyperactive et dynamique, il était ce calme plaisant qui te permettait de profiter un peu plus de l’instant présent.
Malgré tout, tu n’eus pas vraiment l’occasion de beaucoup te soucier de ta soirée pendant cette journée... Une reprise bien violente. La masse de travail qui devait être fini pour aujourd’hui ne le sera pas du tout. Tu allais donc également devoir travailler une fois chez lui. Alors que tu baillais aux corneilles en mettant ta main devant la bouche en attendant l’ascenseur, tu fus agréablement surprise de le voir déjà. Lui offrant un sourire toujours aussi solaire et rayonnant malgré la fatigue.

- Quel sens du timing, je ne vais pas m’en plaindre. Je vois que toi aussi... tu as du boulot à ramener à la maison.

A la maison... Un terme que tu utilisais bien rarement mais il n’y avait aucune arrière pensée dans ces mots. Juste le fait qu’il était lui aussi débordé. Faisant un petit mouvement d’épaules comme pour t’étirer, tu le dévisageais longuement. Il était bien plus bavard qu’au début de ta relation amicale avec lui, c’était très plaisant. Ton sourire s’étirant un peu plus alors qu’il te questionnait sur ta reprise. Un léger soupir s’échappant alors que tu faisais une petite moue faussement boudeuse.

- Disons que le monde n’a pas cessé de tourner même pendant mes “vacances”... Mais oui, tu vises juste. On a une masse de boulot, pas autant que votre service, je pense mais... j’ai des rapports à terminer pour demain matin, je sens la nuit blanche. Et toi ? Tu vas aussi te tuer au travail ?

Tournant ces mots à la dérision afin de dédramatiser, tu tenais tes dossiers dans les bras. La soirée allait s’annoncer bien riche en administratif. Par ailleurs... Tu ne souhaitais pas spécialement la commencer ainsi. Tu en profitais donc pour ajouter avec ce petit rictus tendre.

- Avant que l’on s’enterre dans notre paperasse, ça te dirait qu’on se commande un petit quelque chose ? On n’aura pas le repas à faire et on aura une petite pause syndicale.

Puis sincèrement, tu avais bien envie d’un petit câlin. Il t’avait manqué, sa chaleur t’avait manqué et puis, c’était toujours plus motivant de travailler après un petit moment tendre. N'est-ce pas ?

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Min-Hwan Park

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#5300 -

Mer 28 Déc - 17:51

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Oui le sens du timing était évident, mais ses pensées n’en furent pas moins agréable. Elle était vraiment contente de me voir, et ce malgré la fatigue. Elle aussi aurait à faire à la maison, d’ailleurs tout comme elle, je n’avais aucune difficulté à penser ainsi, après tout, elle allait vivre là, un appartement n’appartenait à personne. Cela dit oui, j’étais plus loquace, un des nombreux effets secondaire de l’avoir avec moi, de la fréquenter. Elle avait donc du travaille, assez pour ne sans doute pas dormir, « C’était soit je rentrais avec du travail, mais je te récupérais à un horaire décent, soit je finissais et tu allais mourir dans un coin de mon bureau. », soufflais-je avec un léger sourire à ses pensées. On avait eu le même plan, quoi que je n’avais pas spécialement pensée à des retrouvailles plus physique pour aujourd’hui, mais le plan ne me déplaisait pas, enfin cet ajout.

« J’allais justement te proposer de prendre quelque chose à manger en passant, cela dit, la deuxième partie de ton plan me plait pas mal. », sortant de l’ascenseur, je pris le chemin nous conduisant hors du Ministère dans un silence évident et volontaire. Je préférais éviter qu’on puisse me reprocher quelque chose, même si je ne faisais rien de mal, je préférais qu’on limite nos interactions à nos services, là où c’était moins étrange. Arrivant dans la rue, j’attendis qu’on se soit éloigné de pour finalement briser le silence, « Italien ça te va ? », demandais-je simplement. Je savais qu’elle aimait ça et il y en avait un bon à côté de chez moi, autant en profiter non ? Et puis j’avais ce qu’il fallait pour commander dans un monde Moldus, à force de vérifier ce qu’ils pouvaient voir, j’avais fini par m’habituer aux systèmes de communication, à leur organisation.

Si bien qu’une fois à la maison, après avoir posé mes dossiers sur la table et retiré mon manteau, je pris mon ordinateur pour l’ouvrir et afficher la carte du restaurant en question, lui indiquant quoi faire en l’invitant à choisir, « Tu me dis ce que tu veux, je commanderais après. », pour l’heure, hors de question de rester en chemise, j’étais à la maison, j’allais travailler, je n’allais pas resté enfermé dans une tenue bien trop formel et pas du tout adapté. D’ailleurs, j’avais été dans ma chambre, retirant mes vêtements pour passer un pantalon d’intérieur et revenir, un t-shirt à la main que je finis par enfiler, « D’ailleurs il faudra me dire ce que tu manges en générale, que je puisse aller faire des courses en conséquence. », car j’avais le minimum pour une personne, je n’avais pas prit le temps d’anticiper et même si je l’avais fait, je n’aurais pas pu choisir correctement. Je n’avais jamais vécu avec elle, comment je pourrais savoir ? J'allais l'apprendre ici, avec elle de toute manière, ce n'était pas plus mal. Je doutais qu'il y ai de grande surprise cela dit.

☽ • ☾

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#5332 -

Jeu 29 Déc - 19:57

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Magnus Sørensen & Athenais Wheeler

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L’idée de mourir dans un coin de son bureau n’était pas véritablement tentante. Par ailleurs, tu appréciais vraiment le geste. Même s’il avait le droit à la “déconnexion”, tout comme toi également, c’était plutôt plaisant de savoir qu’il avait fait cet effort pour t’éviter d’attendre comme une malpropre dans son bureau, priant pour qu’il parvienne à terminer son travail à temps.
Ainsi, tu lui adressais un sourire avant de faire une légère moue. De toute évidence, il avait la faculté de lire dans tes songes, il savait donc que tu étais plutôt reconnaissante pour cette attention.

Un petit gloussement s’échappant de tes lippes quand il fit cette remarque concernant ton idée. Tout de suite... Un câlin n’était pas forcément sexuel ! Même si l’éventualité ne serait pas détestable, tu avais juste envie de le serrer, de le retrouver. Assumant pleinement qu’un vide s’était installé depuis ton retour à Poudlard sans la capacité de le voir.

- Je n’avais pas forcément pensé à ce type, mais bon, je ne serais pas contre également.

Autant être pleinement honnête. Quoi que... as-tu déjà failli sur ce point ? As-tu réussi une seule fois à te montrer malhonnête envers lui ? Non. Tu avais toujours fait preuve d’une sincérité sans faille, tu te demandais même si tu étais capable de mentir pleinement... D’arrêter d’être authentique.
Par ailleurs, tu repris rapidement une distance raisonnable ainsi qu’un silence religieux. Même si ton amitié avec Magnus n’avait rien de secrète et de véritablement dégradante, il était mieux pour sa réputation ainsi que la tienne de faire taire les potentiels ragots. Une fois en dehors du ministère, tu pris un air étonné quand il proposa la nourriture.

- Oh, je suis gâtée pour mon retour en stage.

Sachant pertinemment que même l’évocation de l’Italie était semblable à une déclaration de troisième guerre de sorciers, tu étais véritablement et agréablement surprise. Toute guillerette, tu le suivais jusqu’à son appartement, puis tu déposais tes dossiers là où tu le pouvais en écoutant les instructions pour la commande. Pour ta part, tu avais choisi des raviolis à la viande et une petite salade de tomate/mozarella avec du vinaigre balsamique.
Une fois la commande passée, tu inclinais la tête avant de hausser les épaules.

- Je suis pas bien reloue. Je mange de tout. Le matin, je ne prends pas de petit-déjeuner hormis si je dois m’entraîner donc... ton régime sera mon régime. Tu as encore quelques spécialités de ton pays à me faire découvrir, non ?

Petite taquinerie assurément, alors que tu t’approchais de lui pour finalement lui offrir cette étreinte que tu attendais tant. Bon, tu avais pris la peine de retirer ta veste afin de ne pas le salir. Puis tu t’étirais.

- Je t’emprunte ta douche ! Je sens le vieux parchemin, ça me stresse.

Clairement, ta responsable de stage était une femme adorable, mais... âgée et donc... elle avait ses habitudes arriérées. De toute évidence, tu allais prochainement reprendre le flambeau, tu avais hâte.
Attrapant ta valise, tu l’ouvrais afin de prendre tes affaires d’intérieur pour te rendre jusqu’à la salle de bains où tu détachais tes cheveux mi-longs qui étaient coiffés en un beau chignon. Craquant ta nuque, tu soufflais. Un soupir de soulagement, c’était étrange d’être soulagé d’être rentrée ici non ? Pourtant, ce n’était pas chez toi... Étrange. Sûrement cette joie de revoir ton ami.

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#5395 -

Sam 31 Déc - 21:52

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Bon certes, j’avais peut-être un peu extrapolé, mais c’était dans le marché, alors je n’avais pas spécialement de problème avec l’idée. D’autant qu’elle lui allait aussi. Quittant le ministère dans un silence un peu plus précis, nous retrouvions la rue où je lui proposais de commander quelque chose en particulier, ce qui lui fit plaisir et ce qui était le principale. Ne perdant pas plus de temps, nous avions rejoints mon appartement où je l’avais laissé choisir ce qu’elle voulait avant de commander. Venait alors le fait de savoir ce qu’elle mangeait pour qu’il y ait ce qu’il faut à la maison. Passant un t-shirt plus confortable que ma chemise, je l’entendais me dire qu’elle mangeait de tout, qu’elle ne petit déjeuner pas et qu’elle se calerait à mon rythme. « On fera ça alors. », déclarais-je donc quant à si on pouvait manger Norvégien pour en découvrir d’avantage.

Refermant mes bras autour d’elle lorsqu’elle vient chercher un câlin, je ne pus retenir un sourire lorsqu’il fut question d’une douche en raison de l’odeur qu’elle avait sur elle. « Ta responsable de stage est quelqu’un de bien, crois moi il y a pire et ça sent encore moins bon. » soulignais-je vis-à-vis de ses pensées avant de la laisser filer. Un instant, l’idée de la rejoindre me tenta, mais… Mais en fait quoi ? C’était clairement une chose qu’on avait pas non plus faite et un bon moyen de faire d’une pierre deux coups non ? D’autant qu’on avait 30 minutes devant nous, ce qui laissait largement le temps de profiter…

Alors après quelques minutes et alors que l’eau s’était mise à couler, je pris le chemin de la salle de bain, en profitant pour retirer mes vêtements avant de m’y glisser en silence. « Vu la soirée qui nous attend, autant en gagner du temps justement… », soufflais-je en glissant mes mains sur son ventre pour l’attirer contre moi et embrasser son cou. « Sauf si tu as quelque chose contre ça… » ajoutais-je avant prolonger les choses, alternant la passion avec un peu plus de douceur jusqu’à ce qu’on ne sonne à la porte et que je réalise que le temps avait glissé beaucoup trop vite.

Me glissant rapidement sour le jet d’eau pour effacer le savon et le shampoing que j’avais quand même fini par me mettre, je sortis de la douche en attrapant une serviette pour l’enrouler autour de la taille et réceptionner la livraison. Déposant le tout sur la table, je retournais dans ma chambre pour finir de me sécher et enfiler des vêtements, soit presque tout ce que j’avais déjà enfilé avant. « On mange du coup. », l’informais-je avant de retourner dans la cuisine pour prendre des assiettes, des verres et des couverts. J’étais rester sur un truc simple, qui me tuait souvent à admettre, mais des lasagnes. C’était pas prise de tête, ça faisait l’affaire et ça me rappelait aussi que j’aimais l’Italie pour ça. Dommage qu’il y ait de gros connard. « Beaucoup de dossier à finir ? », demandais-je alors que bien naturellement, je tirais ma pile vers moi pour me rappeler de ce que j’avais à traiter de mon côté.

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#5432 -

Dim 1 Jan - 21:50

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Bien évidemment, tu avais conscience qu’il y avait des compagnies plus désagréables que celle de ta responsable de stage. Par ailleurs, il était bien complexe de rester sans te doucher. Surtout après une journée pareille, non pas que tu avais couru partout mais... la pression était assez intense et même si c’était pas spécialement glamour, tu avais pas mal transpiré. Néanmoins, tu avais quémandé ton petit câlin avant de fuir dans la salle de bains. Te déshabillant complètement, tu avais laissé couler l’eau afin de commencer à te rincer. Soupirant longuement de bien-être, tu entendis toutefois la porte s’ouvrir. Tournant la tête, tu pus voir le sorcier te suivre. Arquant un sourcil en le dévisageant longuement avec une légère surprise. Puis les paroles qu’il prononça te fit rire doucement.

- Comment lutter ou être contre une telle proposition ?

Un frisson te gagnant alors que tu sentais ton corps se presser contre le sien. A l’évidence, tu n’allais pas chercher à aller à l’encontre de tes propres désirs. Un moment intime, passionnel et tout de même excessivement sensuel. Il parvenait à te faire tourner la tête avec une telle facilité, c’était presque déconcertant. Autant le dire, tu ne vis guère le temps passer. Totalement omnibullée et envoutée par ces retrouvailles libidineuses.

Malgré tout, les meilleures choses doivent toujours se finir à un moment donné. Après l’appel de la chaire vint celui de la faim. Le sourire béat au visage alors que tu te rinçais à ton tour, tu te séchais rapidement avec un petit coup de baguette, puis tu enfilais une petite robe en coton ainsi qu’un dessous. Tu avais tout pris avec toi afin d’être tranquille, allant jusqu’à la cuisine en gardant ce rictus satisfait.

- J’ai une faim de loup-garou !

Pouffant de rire, tu t’installais avant de commencer à disposer le tout. Sa question te fit un peu plus sourire avant qu’un petit soupir ne franchisse la barrière de tes lippes.

- Environ trois. J’ai déjà entamé le premier mais il va me prendre sûrement deux bonnes heures. Et toi ? Il y a eu beaucoup d’incidents répertoriés pendant les fêtes ? Combien de sorciers bourrés ont fait de bourdes ? C’est pire que l’année dernière ?

Pour le coup, tu étais bien curieuse d’entendre ses réponses. A l’évidence, son travail était bien plus riche en anecdote que le tien. Même les Oubliators avaient une réputation de menteurs notoires, tu n’étais pas de cet avis. Ce métier avait quelque chose de très intéressant, après tout... tu te demandais combien de moldus il avait dû oubliéter... Enfin, tu ne voulais pas trop l’embrouiller de questions sur ce point mais peut être qu’un jour où il serait plus disponible, tu le questionnerais sur ce point...

- M'enfin, je ne vais pas me plaindre. Le service le plus débordé n'est pas celui où je suis. Tant que nous sommes en temps de paix... Même si j'ai entendu parler de certains contretemps qui m'inquiètent un peu...

Après tout, il y avait eu un certain relevé d'attentat sur personnes hybrides... Dont ta soeur qui en a été victime.

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#5527 -

Lun 2 Jan - 22:44

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Lutter, j’avais l’impression que je ne le faisais plus depuis longtemps. J’avais accepté, abandonné dans un sens. Je me laissais renaitre avec elle, à son contact, n’attendant plus vraiment la sanction et acceptant de partager. L’abandonnant lorsque je fus appeler à la porte, je revins rapidement avec le repas et elle avec sa faim. La laissant se servir, je m’intéressais à ses dossiers, non sans jeter un coup d’oeil à ce que j’aurais moi-même à faire.

Elle en avait donc trois à finir, dont un de commencé qui prendrait facile deux heures à finir. Quant à moi ? Elle visait juste en signaler que le problème venait en majorité de l’alcool, mais de là à faire un comparatif… C’était plus compliqué à entre voir. Elle s’intéressait au métier d’Oubliator, aux anecdotes qu’il pourrait y avoir et… Elle souligna mentalement la réputation du métier, le fait d’être des menteurs, avis qu’elle ne partageait pas au passage. « J’ai pas les statistique, on a pas vraiment le temps pour ça, mais généralement durant les périodes festives, c’est plus intense avec l’alcool. » soufflais-je dans un premier temps avant de souligner quelque chose à mon tour, « Et les anecdotes sont souvent déprimante, après 8 ans, on ne me fait plus intervenir sur des petites embrouilles de quartier, mais d’avantage sur des affaires de meurtre… Quand j’ai de la chance. », car parfois, c’était de la violence et ça, ça m’était plus difficile en réalité.

Et puis elle s’inquiéta de certains événement, dont l’agression de sa soeur et sur ce point je m’étonnait encore qu’il n’y ait pas eu de conclusion, « Les Neo Mangemort ont commencé à envahir Poudlard, mais il y a assez de Legilimens à l’école pour que ces derniers se fassent coincer. Des élèves et des étudiants en guise de recrue n’ont jamais été des bon choix. », mais je ne donnerais pas les noms des personnes pouvant tirer cette histoire au claire, « Je suppose que ta soeur sera surveillé par ces derniers, si il y en a réellement en activité, ils doivent sans doute roder pas loin d’elle. », je ne m’inquiétais pas vraiment pour l’école, ni pour le ministère, nous avions une Ministre qui n’avait plus vraiment à faire ses preuves.

« Les rébellions sont cycliques, comme les moments de tensions. Pour avoir la paix il est souvent nécéssaire de traverser un désert. », assurais-je alors avant de reporter mon attention sur le dossier que j’avais ouvert et qui m’avait fait oublier de manger. Je n’étais jamais vraiment inquiet, je prenais les choses comme elles venaient car bien souvent, c’était davantage une question de compréhension d’erreur humaine que de violence.

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Mar 3 Jan - 16:04

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Magnus Sørensen & Athenais Wheeler

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Il faut le dire, depuis que tu t’étais “réconcilié” avec lui, tu te sentais plus... légère. Cela t’aurait véritablement ennuyée de le perdre, même s’il n’avait pas accepté ton amitié au début, tu l’avais toujours considéré comme tel. A ses côtés, il y avait un véritable sentiment de soulagement voire même de protection. Ainsi... il était clair que tu allais savourer ces trois semaines en sa compagnie. Même si cela allait être assez... court ? Car le travail allait prendre le dessus mais c’était ainsi que le monde fonctionnait.

Commençant à attraper tes raviolis, tu l’écoutais en souriant jusqu’à ce qu’il t’annonce qu’il devait souvent intervenir pour des affaires plus sombres... Ton rictus vint à disparaître pour laisser place à un air un peu plus grave. Clignant des yeux, tu pinçais tes lippes avant de rire doucement.

- Bon visiblement, je suis une petite nature. Je te laisse ce métier qui est bien plus lourd que je ne le pensais.

Puis quand tu vins à parler de ton inquiétude... Tu vins à figer sur place. A Poudlard ? Des élèves ? Vraiment ? Un soupir s’échappant de tes lippes alors que tu pinçais nerveusement tes lèvres. Oulà... c’était véritablement catastrophique... Si même au sein de l’école, il n’y avait plus de protection. Comment s’en sortir ? Ta sœur allait être une cible mais... toi aussi tu étais une hybride. Même si tu n’avais pas hérité des dons vélanes, tu en étais une demi quoi qu’il advienne...

- Bon... Il va falloir trouver une solution...

Avais-tu peur pour toi ? Non, car tu étais capable de te défendre assurément. En un sens, si tu l’avais vraiment voulu, tu aurais pu être auror. Mais cela ne t’avait jamais vraiment intéressée. Ce qui était plus contrariant, c’était le danger que pouvait encourir ta sœur... Puis... tu te souvins qu’il avait énoncé la légilimancie.

- Attends... Il y a des professeurs legilimens ? Comme toi ?

Si c’était le cas... Tu les plaignais assurément, vu toutes les horreurs qu’ils ont du entendre dans les couloirs... Par ailleurs, tu t’attelais à manger même si c’était avec peu d’appétit. Puis tu reportais ton regard sur tes dossiers avant d’en prendre un pour commencer à travailler dessus, attrapant une plume pour commencer à griffonner. Il valait mieux que tu te concentres sur le travail plutôt que tu te mettes à t’inquiéter pour ta sœur et tes amis. Offrant aussi un silence appréciable à ton ami en essayant de te vider la tête.
Par ailleurs... ton sérieux avait ses limites et... tu te décidais à le taquiner un peu en lui faisant du pied. Un petit sourire malicieux sur le visage en faisant mine que tu ne faisais rien alors que c’était écrit sur ton visage que tu avais envie de l’embêter un peu. C'était plus fort que toi... Non pas que tu n'en avais pas eu assez mais... tu avais toujours été de nature un peu taquine, il allait sans doute te remettre à ta place mais... c'était tout de même amusant.

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Mer 4 Jan - 12:17

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Difficile de ne pas imaginer que cela pouvait être violent, marquant, pour elle, mais toutes les professions du ministère n’étaient pas bonne à prendre, n’était pas facile à vivre, « Legilimens est une particularité dans ce genre d’affaire, ça permets de savoir exactement ce qu’ils ont vu et de pouvoir l’effacer en douceur sans ronger d’autres choses importante. Si l’esprit oublie, le corps non. », jamais vraiment. Mangeant un peu ailleurs, je l’entendais s’inquiéter de la situation avant de prendre la réelle mesure de ce qui se passait, même à l’école. De là à trouver des solution aussi rapidement, ça serait trop facile, heureusement, dans un sens, il y avait des gens d’intérêt, aussi bien dans l’école, que dans le ministère lui même, « Laisses ça à la Directrice et à la Ministre, les deux se sont battues pour l’école, elle ne la laissera pas sombrer à nouveau. », c’était une évidence, comme autre chose, mais elle mit un peu de temps à s’en rentre compte, ce qui m’arracha un sourire.

« J’ai dit qu’il y en avait, j’ai volontairement pas dit qui. Moins les gens en savent à ce niveau là, plus il y aura de chance qu’une nouvelle guerre sont étouffé dans l’oeuf. », je ne lui dirais pas, en revanche, oui, je pouvais imaginer assez facilement qu’être professeur la-bas pourrait être épuisant. Je n’avais d’ailleurs pas su faire face moi-même, marcher dans les couloirs étant déjà foutrement douloureux. Alors devoir entendre tout les jours, des centaines de voix partir dans tous les sens… Je ne savais pas comment Amos faisait d’ailleurs.

Finissant rapidement de manger, je repoussais la vaisselle à plus tard pour commencer à travailler. Appréciant qu’elle cherche le calme dans son esprit pour ne pas m’épuiser, je coupais en réalité mon don, l’entendre penser malgré elle à ses dossiers ne pouvant m’aider à avancer rapidement… Tout comme cette jambe qu’elle venait de glisser entre les miennes. Relevant les yeux vers elle, je voyais son sourire, « Tu comptes faire une nuit blanche car la concentration n’est pas ton fort en fait… », murmurais-je en reportant mon attention sur ce que je faisais non sans avoir capturé sa jambe entre les miennes.

Je devais vraiment finir, mais à mesure que j’avançais et que je clôturais des affaires, la fatigue se fit sentir, alors sans vraiment réfléchir, j’avais été réchauffé le café de ce matin pour revenir dans le salon, deux tasses à la main. Déposant la sienne devant elle, je repris ma place, glissant une jambe pour attirer une des siennes à moi et l’enfermer une nouvelle fois. Je ne savais pas pourquoi je faisais ça, mais c’était agréable de sentir sa chaleur, de faire avec elle, avec cette sensation. Elle n’était pas là depuis longtemps, mais j’appréciais son contact, cette nouvelle réalité, comme quelque chose de fiable, de stable. Même lorsque son esprit pensait à des choses douloureuses, la réalité était que ce n’était pas son avis, juste un constat sur le monde, bien loin de moi. Je n’étais pas une généralité dans son esprit, c’était peut-être ce qui me poussait autant vers elle.

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Mer 4 Jan - 15:20

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Ses paroles se voulaient rassurantes sur la situation. Par ailleurs... Cela n’allait pas faire pleinement taire tes inquiétudes sur le danger encouru par tes deux sœurs... Ton frère était hors de Poudlard et capable de se défendre mais Erin et Julia... Les deux avaient leurs limites... Même s’il n’était pas bon pour toi de t’inquiéter un peu plus les concernant... Tu préférais essayer de ne plus y penser et te concentrer sur tes dossiers. Il disait qu’il valait mieux faire confiance à la directrice et à la ministre de la magie... Il n’avait pas tort mais bon... cela ne te faisait pas tant relativiser sur le sujet. L’instant présent était important mais... le futur aussi.
Ainsi pour te protéger aussi, tu décidais de ne pas continuer le sujet... te focalisant sur ce travail que tu avais été contrainte de ramener. Enfin, comme il avait pu le constater... ta concentration était assez limitée quand tu étais en sa compagnie, l’envie de le taquiner était assez irresistible. Il ne tarda pas non plus à te faire la remarque, ce qui te fit doucement rire.

- Je suis démasquée. J’avoue que je me déconcentre assez facilement.

Ou plutôt... c’était sa présence à lui qui t’empêchait d’être vraiment sérieuse. Ta jambe sera donc capturée par ses soins, sans doute dans le but de te faire cesser les caresses qu’elle effectuait. Feignant une petite moue déçue, tu décidais donc ne pas trop l’incommoder. Reprenant tes écrits, ta posture était assez étrange quand tu étudiais, tu avais tendance... à poser ta poitrine sur le bord du bureau et à t’affaler un peu, sans doute pour te créer une petite bulle. Ton menton contre la paume de ta main, tu sortis de ta torpeur en sentant l’odeur du café, le remerciant avec un sourire et... il capturait de nouveau ta jambe. Oh... donc le contact non plus ne le dérangeait pas. C’était plaisant à savoir. Ton rictus n’en était que plus grand, cela te motivait aussi à terminer un peu plus vite.
Néanmoins... tu compris assez vite qu’il ne lisait plus tes pensées, sans doute que tu pensais bien trop... Après une petite heure à travailler, tu décidais de retirer ta jambe pour prendre une autre posture. Un dossier était terminé et le deuxième était entamé de moitié... Finalement, tu étais bien plus productive que tu ne l’aurais espéré... Le regardant toujours aussi concentré... Tu eus un petit sourire, laissant ta plume tomber au sol, tu te glissais sous la table pour te faufiler et passer entre ses jambes. Oui, tu étais cruelle... évidemment, tu ne lui laissais pas le choix et il eut le droit à une petite “récompense” pour son sérieux. Bien sûr, tu n’avais rien attendu en retour, simplement sa propre satisfaction. Après avoir replacé son bas, tu lapais tes lippes en reprenant ta place initiale, un rictus bien malicieux au visage alors que ta plume venait griffonner de nouveau sur le parchemin... Il y avait encore du travail non ?
Te levant finalement pour aller jusqu’à la cuisine en t’étirant, tu le laissais à son “triste” sort tandis que tu soufflais doucement... Demandant finalement.

- Il t’en reste encore beaucoup à traiter ? Pour ma part, j’ai encore la moitié d’un dossier et un autre à traiter puis après... au lit !

Faire comme si de rien était ? Oui. Normaliser quelque chose comme ça n’avait rien de mal, n’est-ce pas ?

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Jeu 5 Jan - 15:18

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Il n’y avait rien de mal à manquer d’attention, surtout quand on était habitué à quelque chose. Capturant sa jambe, je la gardais ainsi, avançant mes dossier avec une proximité nouvelle que je rompus juste le temps d’aller chercher un café pour me redonner du courage. La retrouvant et restaurant le contact, j’étais repartie dans mon travaille quand elle se décida à faire quelque chose de différent. Ne captant pas vraiment son mouvement, je fus ramené sur terre lorsque je sentis ses mains glisser sur mes cuisses jusqu’à dégager ma virilité. « Athé, que… », qu’est-ce que tu fais de rien en fait, elle savait parfaitement ce qu’elle faisait et le fait que ma tête bascule très rapidement en arrière face à son talent n’allait clairement pas me rendre crédible.

Lui cédant, elle revient rapidement à sa place alors que je venais de passer un bras sur mon visage, brisé, pour un temps, l’esprit complètement explosé alors qu’elle faisait comme si de rien n’était. Difficile pour moi de retrouver un semblant de concentration, de cohérence. Elle allait me le payer très clairement, « Ne penses pas t’en sortir comme ça… », murmurais-je avant de reporter mon attention sur mes dossiers pour reprendre. Un peu sonné.

La soirée s’avança un peu plus et avec elle, le travaille se réduit. « J’en suis à peu près là aussi… », soufflais-je un peu trop concentré pour réellement me perdre dans autre chose. Je voulais en finir et vite. Y arrivant après plusieurs heures, il sembla que ce soit la même chose pour elle. Épuisé, je ne me laissais pas prier pour rejoindre mon lit après un rapide passage à la salle de bain. M’endormir ne fut pas bien difficile et comme la dernière fois, réussir à passer une bonne nuit malgré le peu d’heure qu’il y avait au compteur ne fut pas difficile. Elle m’apaisait bien plus que je ne voulais l’accepter, comme une solution des plus efficace à une morosité trop présente.

Me réveillant par habitude à la bonne heure, elle dormait encore, dans mes bras, visiblement nous n’avions eu aucune difficulté à nous trouver durant la nuit et c’est avec ce même naturel que j’entrepris de la réveiller. En me vengeant, très clairement. Me glissant entre ses cuisses, je l’avais libéré de son dessous avant d’embrasser son ventre et de descendre avec une certaine lenteur jusqu’à son intimité. J’avais appris à la connaitre, à la faire danser sous mes doigts, sous ma langues et j’espérais bien réussir à la réveiller de cette façon. Bien que ce ne soit pas une façon très conventionnelle d’agir avec une amie, le fait est que nous avions cet accords de plus et qu’il n’y avait aucune ambiguïté, même dans mon envie de la faire céder, de la faire bruler. J’avais simplement envie de lui donner autant qu’elle le faisait.

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Jeu 5 Jan - 22:06

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Vile petite sadique que tu pouvais être. Tu ne lui avais guère laissé le temps de te repousser ou même de s’opposer à ce traitement. Bien qu’il ne semblait pas déprécié pour autant, tu étais même plutôt fière de toi de le voir céder aussi facilement. Après tout ce temps, tu le connaissais bien malgré tout et cela te plaisait de le taquiner un peu. C’était d’autant plus divertissant de te replacer comme si ce que tu avais fait, était tout à fait normal. Il te parlait de vengeance. Arquant un sourcil en relevant les yeux, un rictus se dessinait sur tes lippes avant que tu ne hausses les épaules.

- J’attends de voir pour y croire.

L’air malicieux alors que tu reprenais ces dossiers, tu soupirais intérieurement face au degré de travail que cela impliquait. La vie d’adulte était bien moins amusante qu’elle en avait l’air en y songeant. Toutefois, l’heure n’était pas à la complainte mais au travail. Un petit bâillement franchissant la barrière de tes lippes alors que tu ne voyais pas le temps défilé mais tu pus aller au bout de cette montagne de parchemins... Les dossiers étant finis, ton devoir rempli... tu allais pouvoir enfin dormir, même si ce n’est que quelques heures.
Rejoignant Magnus un peu plus tard, tu t’allongeais à ses côtés en t’écroulant littéralement. Evidemment, pendant la nuit... tu ne te rendais pas compter des mouvements que tu fis... Sans doute que ton corps termina contre le sien sans que tu ne puisses y faire grand-chose. Néanmoins... tu étais exténuée... Dormant paisiblement, une sensation vint finalement à t’extirper du sommeil... Pinçant tes lippes, de petits soupirs s’échappaient sans que tu ne les contrôles... ton corps était des plus malléables, mais tes hanches se mirent à onduler instinctivement jusqu’à ce que tes paupières s’ouvrent, ta main glissant vers cette zone qui semblait s’enflammer d’un désir certain. T’éveillant donc en clignant des yeux, un léger rire s’échappait de tes lippes, celui-ci fut rapidement étouffé par un autre frémissement.

- Tu m’as eu...

Murmurais-tu presque plaintivement alors qu’il t’avait pris au dépourvu... Tes phalanges glissant dans ses cheveux alors que ton corps était délicieusement prise de spasmes désireux. En voilà une bien belle façon de commencer la journée après une nuit aussi courte... Il était clair que tu allais te rendre au travail avec le sourire... Par ailleurs... Tu ne savais pas si tu allais être capable de te contenter de cette délicate mise en bouche... Mais pour le moment, tes songes étaient bien ailleurs et concentrés sur ce qu’il était en train de t’offrir. Le connaissant... il n'allait pas s'arrêter avant que tu ne lui cèdes... Et... c'est ce que tu fis.

Le coeur battant la chamade, l'esprit encore vaporeux... tu hâletais doucement tandis que tu passais une main sur ton visage en secouant délicatement la tête.

- Je ne te savais pas vindicatif...

Une petite taquinerie alors que tu étais encore mieux ombrageuse de ce qu'il venait de se produire... Autant le dire... tu n'avais jamais eu un réveil aussi agréable de toute ta vie. Et... tu aimais beaucoup, il ne faudrait pas que tu y prennes trop goût...

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Ven 6 Jan - 12:25

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Oui, je l’avais eu, je ne m’étais pas laissé faire et ça m’allait parfaitement, surtout en la sentant s’abandonner, ne rien retenir, ne pas lutter. Elle avait parfaitement compris que je ne la laisserais pas s’en sortir seule, qu’elle serait obligé, dans un sens de me céder et c’est ce qu’elle fit. Se brisant sous mes lèvres, elle peinait à revenir sur terre… Quoi que rien n’était impossible pour elle car elle su retrouver ses mots, sa voix pour me taquiner ouvertement. «Tu n’as pas l’air de réellement t’en plaindre… » murmurais-je en remontant le long de son ventre, ma langue bien décidé à y marquer son territoire avant que le tissus ne soit trop dérangeant pour continuer. L’outrepassant, je retrouvais ses lèvres pour un baiser un peu moins chaste avant de me redresser pour sortir du lit. « J’avais un peu de temps avant qu’il faille se lever, autant me rendre utile… » ajoutais-je avant de quitter la chambre pour aller dans la cuisine préparer le café. J’allais en avoir besoin, quoi que son esprit avait largement su me sortir de mes songes.

Revenant à la salle de bain pour me préparer rapidement, je me passais un coup d’eau sur le visage avant de lui dire « Le café doit-être fait si tu en veux. », c’était même une évidence vu qu’elle comme moi n’étions pas du genre à tourner sans. Une des petites choses que j’avais fini par apprendre après son premier stage. Celui qu’elle avait fait sans vivre chez moi et qui s’était limité à beaucoup de sexe et de café pour peu de discussion. Avec le recul, je me disais qu’il était pourtant assez évident à cette époque qu’elle ne représentait pas un danger, qu’elle pouvait déjà suivre mon esprit et mes songes sans les provoquer.

J’avais simplement été aveugle, Amos ayant sans doute réussi à percer la carapace, me laissant faire le chemin qu’il me restait à faire pour pleinement accepter qu’on m’approche. Le reste, elle l’avait fait seule, en ne se séparant jamais réellement de sa franchise à toute épreuve. Je pouvais lui faire confiance, lui donner plus qu’une simple courtoisie. Sortant de la salle de bain pour choisir mes vêtements du jours, je ne faisais pas vraiment attention à ce qu’elle faisait, comme si sa présence ici ne représentait aucun soucis. Elle y avait sa place, elle n’outre passait pas les limites qui semblait un peu plus floue aujourd’hui.

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Ven 6 Jan - 18:30

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Frémissante et encore embrumée par ce réveil des plus agréables mais également inattendu... Tu pinçais tes lippes, le laissant glisser ses lèvres contre ta peau avant qu’il ne rejoigne les tiennes pour un baiser des plus lascifs. Indéniablement, tu donnerais cher pour revivre un tel moment. Mais il fallait savoir profiter de l’instant présent comme s’il était le dernier, de ce fait... tu glissais tes mains sur son dos jusqu’à ce qu’il se redresse. Un petit gloussement d’amusement s’échappant face à son insolence.

- Je ne m’en plaindrais pas...

Bien au contraire même... Toutefois, il avait raison. Le moment de se lever était venu. Un soupir suivit alors que tu t’étirais en baillant. Te levant presque à contre coeur puis tu te dirigeais vers la cuisine. Effectivement, il fallait faire du café et tu en avais bien besoin. Servant deux tasses en buvant le contenu de la tienne, tu avais posé la tasse en évidence pour qu’il puisse la prendre au besoin. Terminant rapidement la tienne, tu posais le contenant dans le lavabo avant de te rendre dans la salle de bains pour te préparer. Il y avait une réunion très importante donc... Tu te devais d’être parfaite. Ainsi... tu vins à enfiler une robe assez... décolletée et moulante avec des escarpins noirs. Coiffant le tout d’un chignon et te maquillant malgré tout au naturel avec comme seule coqueterie un rouge à lèvres rouges, tu sortais de la salle de bains en souriant.

- Souhaites moi bon courage pour aujourd’hui. J’ai une réunion avec des diplomates étrangers pour une réunion avec la porte-parole. Tu penses que c’est assez... voyant ? Je dois pas passer inaperçu mais... Faut que ça reste pro.

Bon clairement, l’on pouvait connaître la vraie taille de ton bonnet avec une robe pareille et la beauté de tes formes également. Néanmoins... Tu n’avais pas le choix, c’était ta responsable qu’il avait préconisé ce genre de robes. Même si tu n’aimais pas spécialement ça, tu n’avais pas le choix. Enfin... tu ne savais pas pourquoi tu lui demandais son avis... Peut être que tu avais besoin d’être rassuré. Mais aussi parce que ce qu’il pensait, était important pour toi.

- Tu le dis si t’as pas envie de me répondre, je le prendrais pas mal.

Gloussant un peu plus alors que tu replaçais la robe pour l’abaisser au niveau de tes jambes car le tissu avait tendance à remonter légèrement. Non pas que tu étais mal à l’aise avec ce type de vêtements mais...c’était toujours mieux d’avoir le point de vue d’une personne que l’on apprécie, non ?...

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Min-Hwan Park

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Sam 7 Jan - 15:29

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Il était évident que ce genre de chose lui allait très bien et qu’il était subitement difficile de penser réellement au temps, à l’heure et à ces notions étrangement plus futile et sociale. Elle était magnifique. Impossible de le nier. Alors est-ce que c’était assez voyant sans en faire trop ? « C’est que je sais personnellement ce qui se trouve en dessus qui rend ma concentration difficile, mais… C’est très bien. » finis-je par répondre alors que j’entendais dans son esprit combien elle voulait avoir mon avis malgré ses mots… « Ta réunion est à quelle heure ? » demandais-je en filant prendre la tasse qu’elle m’avait préparé pour la vider aussi sec. Ma question n’était pas innocente, vraiment pas, pas plus que l’approche que j’avais envers elle. Si il n’était pas aussi tard, j’aurais clairement prit un malin plaisir à ruiner ses efforts, mais pas là, à la place… « Tu me rejoints dans mon bureau quand tu auras finir ? », elle pouvait y voir ce qu’elle voulait, elle aurait sans doute raison.

Me penchant sur elle pour embrasser sa nuque qui était le seul endroit que je pouvais posséder sans risquer de la mettre à mal pour son maquillage, je sortais de l’appartement, refermant derrière elle avant de prendre la route du ministère, mes dossiers à la main. Le chemin se fit avec quelques discussion d’un naturel des plus déconcertant jusqu’à ce qu’on doivent se séparer.

Ayant assez à faire au travail, je ne compris que le temps avait déjà bien avancé que lorsqu’elle vint me rejoindre comme prévu à mon bureau. Une bien bonne surprise qui m’arracha derechef un sourire, « Ça s’est bien passé ? », demandais-je avant de verrouiller la porte derrière elle et de me lever pour la rejoindre. Naturel, ça l’était, un peu trop sans doute, mais je n’allais rien refouler, rien nier. J’aimais ça, cette facilité à échanger avec elle et cette légèreté qu’elle m’apportait. Glissant mes mains sur ses hanches, je l’attirais lentement à moi alors que mes lèvres retrouvait la peau de son cou, ne prenant aucune risque sur les dégâts que je pourrais faire sur elle, « Ta maitre de stage a validé ? », la tenue, car c’était elle qui lui avait dit comment faire, mais aussi ce qui avait pu s’y passer. Elle était sur des moments charnières de sa carrière, si depuis ce matin il était assez évident que je voulais me retrouver seul avec elle, j’avais aussi envie de savoir où elle en était, comment ça allait. Nouveau et étrange, mais pour autant tellement proche de celui que j’avais longtemps été.

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#5792 -

Sam 7 Jan - 22:18

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Un gloussement franchissant la barrière de tes lèvres quand il fit cette petite remarque. Il était vrai qu’il connaissait même très bien ce qui se cachait sous le tissu mais bon, le fait que s’il estimait que ça présentait bien, c’était rassurant. Il n’y avait rien de plus désagréable que de paraître trop aguicheuse ou trop coincée. M’enfin, au moins... le choix de tenue était acceptable. Il vint à te questionner sur l’heure, inclinant la tête... tu réfléchissais.

- Elle est à neuf heures trente. J’en ai au moins pour deux heures.

Et Merlin savait à quel point, tu n’avais pas spécialement envie d’y aller. Par ailleurs, c’était un passage obligatoire et il fallait que tu t’y habitues. Néanmoins, tu savais pertinemment que cette demande n’était pas vraiment chaste. C'est pourquoi, tu avais répondu sur l’approximation du temps que cela prendra avant d’acquiescer d’un petit hochement de tête.

- Entendu, je me ferais discrète. Du moins, j’essaierais.

Souriant toujours avec un air enjoleur et rayonnant, tu frémissais légèrement en sentant ce baiser sur ta nuque. Il prenait le soin de t’éviter de devoir te remaquiller et il s’épargnait aussi du rouge à lèvres sur ses lippes. Ceci étant... il fallait s’y rendre. Le chemin fut assez agréable, les discussions également jusqu’à ce que la séparation se face au niveau de l’ascenseur.
Pour ta part... la réunion fut... longue et surtout ennuyeuse à souhait. Mais tu étais parvenue à garder cet air souriant et des plus plaisants tout du long. T’étant exprimée en parfaite diplomate et cherchant toujours des solutions pour convenir à chaque partie, non sans omettre les détails importants. Arrivant à l’intérieur du bureau, tu t’étirais doucement en le laissant fermer à clé derrière toi.

- Je crois que même mes anciens cours de divination étaient moins ennuyeux que cette réunion. Mais au moins, ils avaient l’air d’être très satisfaits de la conclusion.

Te laissant attirée contre lui, ton dos se pressant contre son torse, tu eus un doux frisson. Il était tout de même très fort... son simple contact suffisait à te faire frémir. Une certaine alchimie physique qui ne semblait pas partir, tant mieux. Tu ne t’en plaindras sûrement jamais.

- Elle a tout validé et semble sereine quant à la future passation de rôle. Même si j’hésite encore à accepter pleinement, je manque d’expérience.

Après il te restait encore six mois, mais cela te semblait si... rapide. Par ailleurs, ta tête se tournait afin de pouvoir le regarder et lui offrir ce petit rictus solaire habituelle. Tu te sentais vraiment bien dans ses bras. Il avait ce petit quelque chose de rassurant qui ne le quittait pas.

- Et toi ? La matinée n’a pas été trop éreintante ? Ou tu vas encore te retrouver avec une pile de dossiers à terminer à la maison ?

Ils le faisaient trop travailler. Même si son travail était essentiel, ce n’était pas une raison pour le surcharger comme ça. Hm... autre chose pour l’aider à se détendre une fois de retour chez lui... Oh... cette idée était pas mal... En tant que sportive aussi, tu avais l’habitude de le faire.

- Vu que c’est souvent un peu tendu au travail, ça te tenterait que je te masse les épaules ?

Ou était le mal, il dormirait encore mieux non ? Puis bon... il t’avait très bien détendu ce matin, tu étais allée au taf avec le sourire.. Autant lui offrir une belle nuit, non ?

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#5855 -

Dim 8 Jan - 19:10

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Réunion ennuyeuse ? C’était visiblement le cas, clairement même alors qu’elle comparait ce qui s’était passé ce matin à un de ses anciens cours de divination. Bonne chose cela dit, car au moins, ils avaient été satisfait d’elle. M’intéressant un peu plus alors que je m’approchais, elle confirmait que sa tutrice l’avait validé, elle était même bien plus sûre qu’elle sur son avenir. La femme avait de l’expérience, elle savait repérer les profils intéressant et elle était loin d’être idiote, « Les compliments sont rares au ministère, accueil les avec bienveillance… » murmurais-je contre sa peau, sentant le rayonnement de son humeur m’atteindre lentement. « Je ne suis pas à l’abris d’une mission surprise à l’extérieur, mais pour le moment elle passe vite. », mais impossible de prédire avec mon métier, je pouvais faire du bureau comme du terrain, j’étais même souvent de garde.

Souriant en voyant son idée germer dans son esprit, je n’eux pas à attendre longtemps avant qu’elle n’en fasse la proposition officielle. Un massage ? « Ça va faire des années que j’en ai pas eu, je me voit mal refuser… » ajoutais-je avant de mordre son cou sans y laisser de trace. Je ne savais pas exactement ce qu’elle aurait à faire après, alors autant y aller doucement…

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Dim 8 Jan - 23:04

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#5894 -

Lun 9 Jan - 10:36

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Même si le temps était toujours une notion particulière ici, avec elle, je n’avais vraiment pas envie d’expédier les choses, pas envie de passer à côté de la situation, du moment. J’aimais être avec elle, j’aimais aussi ces instants de calme où le temps pouvait s’étirer.

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#5958 -

Mar 10 Jan - 1:44

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Profitant encore un peu, tu laissais tes phalanges parcourir sa nuque, tu souriais d’un air béat... Il était si plaisant de pouvoir te délecter de sa présence. Même si le lieu n’était pas spécialement adapté et que le pauvre risquait des petits problèmes... Tu vins finalement à murmurer doucement, mais aussi à contre-cœur.

- Je vais devoir partir pour midi... Ma référente souhaite fêter également ma réussite pour cette réunion. Mais avec elle, ce sera une invitation au restaurant pour le déjeuner.

D’humeur taquine malgré tout, tu continuais de caresser sa peau... Totalement dépendante de ce que le grain de sa peau faisait à tes paumes... Tes phalanges donnaient l’impression de se consumer d’une délicieuse chaleur quand tu le touchais... Déposant un baiser sur sa tempe, tu vins à susurrer délicatement à son oreille.

- Ce sera à moi de me faire pardonner ce soir de t’abandonner lâchement... Un bon repas et un bon massage. En priant pour que tu ne te retrouves pas à devoir veiller cette nuit.

Ce serait tout de même ennuyeux qu’il soit encore contraint de revenir avec du travail supplémentaire. Après tout, tu lui avais promis ce massage. A dire vrai, tu avais même rapporté de l’huile de massage dans tes affaires. Mais ça... tu te gardais de le dire puisqu’il devait déjà le savoir... Après tout, tu n’avais aucun secret pour lui et ce n’était pas plus mal que ça. Tu n’avais rien à lui cacher et de toute évidence... cela t’allait parfaitement... Dans un sens, c'était ce qu'il appréciait le plus chez toi. Tu étais un livre ouvert, tes songes ainsi que tes paroles allaient de paires...

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#6010 -

Mar 10 Jan - 23:40

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Lui demander de continuer à s’habiller ainsi c’était donc ma seule réponse ? Ma seule pensée cohérente après l’extase ? Visiblement, et elle n’étais pas forcément plus à même de répondre, car elle en rit, acceptant d’alterner pour ne pas risquer mon poste. Souriant à ses mots, je glissais mon visage dans sa nuque, la mordant avec douceur avant de chercher à savoir ce qu’elle aurait à faire prochainement. Plus grand chose, donc pas de travaille pour ce soir, ce qui était presque une bonne chose. Meilleure que l’idée même de la laisser partir. Je n’avais pas pour habitude de regretter que la vie rappelles les autres à elle, mais ici, c’était évident que j’aurais pu m’en passer et je n’étais pas la seule.

Elle devait aller déjeuner avec sa référante pour parler de la réunion, un programme fort peu intéressant qui ne semblait pas vouloir la pousser à prendre le départ. Elle se ferait pardonner ce soir, manger et me masser en espérant que je ne doive pas veiller cette nuit… Un rêve pieu car il était rare que je sois entièrement tranquille chez moi. Même si l’idée qu’elle ait pu ramener de quoi appuyer sa volonté avait un certain intérêt. « Si il n’y a aucun drame aujourd’hui, je serais tranquille. », mais il n’y avait jamais de journée calme pour mon département.

Acceptant finalement de la libérer de mon emprise, je reculais de quelques pas pour remettre un peu d’ordre dans mes vêtements avant de poser mes yeux sur elle, sur cette réalité un peu étrange, mais trop grisante pour que je me pose de question. L’équilibre était parfait ainsi, il n’y avait rien à changer à rajouter. « Je t’enverrais une note si je vais sur le terrain. » ajoutais-je avant d’embrasser sa joue et de la laisser partir, ne voulant pas la mettre en retard alors que je devais moi-même clôturer les dossiers les plus urgents.

Bien évidemment, les choses ne se passèrent pas exactement comme prévu et un intervention de dernière minutes m’arracha à une soirée tranquille. La prévenant avant de partir, je l’invitais à venir chercher les clés de l’appartement dans mon bureau, même si avec la magie ce n’était toujours pas nécéssaire. Mais le bâtiment étant moldu, je préférais éviter de devoir intervenir dans mon propre immeuble. Elle pourrait au moins rentrer tranquillement et ne pas attendre ici. Ça pouvait sembler un peu extrême, mais partir à 16 heures c’était souvent le meilleur moyen de finir à passer 20 heures… Si on avait de la chance. Alors la faire attendre des heures, ce n’était pas envisageable.

Et j’eus raison.

Il était passé 19h quand je finis par retrouver mon bureau et que je dus faire un rapport en urgence pour mettre tous les services concerné au courant et il était passé 21h lorsque sortit enfin du ministère pour rentrer chez moi. C’était ouvert, comme je lui avais demandé de le faire, et après avoir refermé derrière moi, j’eus le plaisir de la découvrir là, dans le salon. C’était normal d’être aussi content à l’idée de retrouver quelqu’un ? Normal de se sentir d’un coup moins fatigué ? Abandonnant mes affaires, je la rejoints simplement sur le canapé, embrassant sa joue avant de m’allonger et poser ma tête sur ses cuisses. « Comment ça s’est passé ton déjeuner ? », demandais-je alors, comme un réflexe, après avoir posé mes bras sur mes yeux, juste le temps de me reposer.

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#6014 -

Mer 11 Jan - 1:40

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Magnus Sørensen & Athenais Wheeler

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La sensation de ses lèvres venant mordiller ta nuque te procurait de doux frissons. Même après une étreinte aussi chaleureuse, il parvenait encore à faire réagir ton corps. C’était presque inquiétant. Néanmoins, tu te délectais de ce moment. Bien peu pressée de retourner à tes obligations de travail. Tu étais véritablement bien ainsi... l’avoir contre toi, être dans cette bulle intime qui ne laissait rien parasiter... Malheureusement et à contre cœur, tu devais te dérober de ses bras et de sa chaleur. Tu n’en étais pas ravie et il pouvait aisément l’entendre dans tes songes, cela se percevait même sur ton visage alors qu’il se reculait de lui-même. Replaçant ta robe convenablement et remettant de l’ordre dans tes cheveux, tu acquiesçais faiblement.

- J’ai espoir même si je ne suis pas pleinement optimiste.

Ou plutôt, tu n’étais pas dupe. Mais le léger rictus présent sur tes lippes laissait bien paraître que tu te doutais que cela n’allait pas être forcément que vous le désiriez. Alors qu’il n’était qu’à quelques centimètres de toi, tu continuais de l’observer en gardant ce petit air béat au visage. Mais le retour à la réalité devait se faire et la petite moue témoignait de ton manque complet de motivation. Appréciant le baiser qui vint sur ta joue, ton sourire rayonnant revint avant que tu ne hoches la tête.

- Tiens moi au courant, je ferais en conséquence.

Sur ces bonnes paroles, tu caressais sa joue puis sa nuque avant de sortir de la pièce. Ton déjeuner ne fut donc pas passionnant comme tu t’en étais doutée et l’après midi semblait bien longue. La note que tu reçus... te fit comprendre qu’il allait rentrer tard. Hm... c’était normal d’être aussi triste ? Tu ne saurais le dire. En attendant, tu avais pu récupérer les clés de l’appartement de Magnus. Tu étais donc rentrée prendre une bonne douche, puis tu prenais soin de Pumpkin qui semblait un peu déçue de ne pas voir encore son maître, la tenant dans tes bras, tu lui offrais de belles caresses jusqu’à ce qu’elle s’endort. La posant dans un endroit qui lui était destiné, tu préparais quelque chose à manger. Certes, ce n’était pas élaboré mais... ça se mangeait. De la soupe de potimarron avec des toastinettes au beurre. Par ailleurs, tu n’avais pas pris la peine de manger... Tu l’attendais. Les heures passaient inlassablement... Tu aurais pu t’occuper d’une quelconque manière, non ? Pourtant, tu n’y parvins pas. Inquiète ? Un peu... Mais pourquoi ? Il était un grand garçon et un très bon sorcier, il s’était géré pendant des années bien avant que tu le connaisses... Pourquoi t’inquiéter ? C’était ridicule. Pourtant... quand il fut enfin à la maison, tu sentis un soupir de soulagement interne en entendant la porte s’ouvrir.

Installée et assise, vêtue d’une nuisette et d’un kimono de satin, tu avais un livre de droit dans les mains et une plume de focifère également... Il t’arrivait de souligner des passages qui t’intéressaient dans tes livres. Relevant la tête, tu lui offris un tendre sourire et accueillais son petit baiser, le laissant prendre place sur tes cuisses alors que tu posais tes affaires sur le côté. Glissant tes doigts dans ses cheveux pour commencer à lui masser le crâne.

- Ennuyeux à mourir... Si j’avais su, j’aurais refusé. Mais bon, les obligations... Et toi ? Cette intervention surprise ? J’espère qu’on te paie au moins tes heures supp... Sinon, je crie à l’exploitation...

Marmonnant légèrement mais gardant le sourire malgré tout, tu continuais de caresser les cheveux puis ton autre main vint à détailler sa barbe. Ton pouce glissant sur ses lippes avant que tu ne te penches pour y déposer un baiser.

- Si tu n’as pas mangé, j’ai fait de la soupe et des toastinettes. C’est pas aussi bon que tes plats à toi mais... on va dire que je suis en phase d’amélioration. Après ça, je te laisserais prendra ta douche tranquillement puis je te ferais ce massage comme promis ?

C’était fou tout de même... A quel point, tu étais heureuse comme ça... A quel point, tu te sentais si bien comme ça. Ces petits moments de douceur, de complicité... ça te réchauffait le cœur et ça te plaisait bien. A ce stade là, c’était devenu naturel comme une évidence...

- Comme tu le sais déjà, j’ai amené de l’huile de massage avec moi. Elle est comestible.

Certes, cela aurait été bien utile à un autre moment de la journée mais... Pour ce soir, tu allais te contenter de lui apporter du bien-être et le détendre simplement avec tes doigts et ainsi, il pourra oublier la tension du travail.

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Min-Hwan Park

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Mer 11 Jan - 16:49

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Je pouvais souffler, maintenant, en sa présence, contre elle. J’étais allongé contre elle, les yeux fermés alors qu’elle glissait ses mains sur moi, me répondant combien l’ennuie avait été profond ce midi. Quant à moi ? Comment avait été mon intervention ? « Il n’y a pas de décompte horaire pour les Obliators, nous sommes sous le même régime que les Aurors… Il n’y a pas de planning fixe nous concernant. », ce qui devait être fait devait être fait, quelque soit le temps qu’on y passerait, c’était pour ça qu’on avait des primes de risque. « Un Avada Kadava sur un Moldu devant sa famille… Pas compliqué, arrestation rapide, mais les Aurors sont des idiots fini qui préfères récolté des preuves inexistante pour ne pas se faire sanctionné en procès… Deux heures à entendre et voir des enfants pleurer la mort de leur mère et à me demander comment j’allais tourner ça pour que ce soit le plus facile sans qu’ils l’oublient… », car le vide aurait été puissant, évident et ça je ne pouvais pas.

Autant dire que j’étais bien mieux ici, contre elle, à accuser le coup de ses lèvres sur les miennes. Elle avait fait à mangé, je m’en fichais un peu du comment ou des comparaisons, il y avait simplement un profond soulagement à l’idée de me dire que je n’aurais pas à réfléchir à ça se soir, à me dire que je pourrais penser à autre chose. « J’ai pas mangé, mais pour le moment, j’ai pas forcément faim non plus… Enfin pour le moment. », souriant à sa précision avant de me redresser pour me pencher sur elle et l’embrasser, chastement, juste une attention, un merci. Ignorant la portée de ces attentions, je quittais la pièce avant de rejoindre la salle de bain pour la salle de bain et y passer un long moment. Je n’aimais pas entendre la détresse des enfants, je n’aimais pas la ressentir. C’était contre moi, contre ce que j’étais.

Sortant après plusieurs dizaines de minutes, je m’habillais brièvement avant de retourner dans le salon pour la retrouver et simplement l’attirer à moi, la forçant à se remettre debout, je la pris simplement dans les bras avant de m’y allonger elle sur mon torse, sa chaleur apaisant mes pensées. « Quand je pense au fait que tu existes, je me demande pourquoi tout le monde n’a pas des pensées aussi claires que les tiennes… Et aussi calme… », car elle l’était là, même si elle s’agitait, elle n’était que lumière et j’avais besoin de ma dose là, c’était bien plus important que n’importe quel repas, que n’importe quel fonction primaire.

J’avais juste besoin d’elle pour assumer, pour que les pages se tournent plus vite dans mon esprit. C’était stupide de dépendre d’un autre, mais elle comme moi avions trouvé notre équilibre avec l’autre. Un équilibre évident, solide, qui compensait les détresses de l’autres. Une raison valable d’abaisser ses barrières. Fermant les yeux, je continuais à me laisser envahir, à laisser le soleil mordre ma conscience jusqu’à oublier que la fin de journée avait été sombre. Inutile de penser au passé, au secondaire, pas avec elle.

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Jeu 12 Jan - 21:10

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Magnus Sørensen & Athenais Wheeler

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Pas de décomptes honoraires... Espérant que la paie suivait, mais bon... Tu ne pouvais pas vraiment te permettre de pleinement juger. Pour la simple et bonne raison que son travail était essentiel et que ce n’était pas comparable à celui d’un fonctionnaire. Un accident peut arriver à tout moment et ainsi... Il n’était pas véritablement viable de dire à une famille de moldus “Attendez demain pour vous remettre de votre traumatisme.” Ce serait ajouter du travail supplémentaire inutile. De ce fait, tu acquiesçais non sans effectuer un petit soupir. L’histoire racontée te fit avoir une légère moue... Une bien triste péripétie mais de ce que tu avais compris... Ce genre d’incidents n’était pas si exceptionnel que cela. Les sorciers pouvaient être véritablement dangereux pour le monde moldu s’ils étaient incapable de se contrôler.

- Le zèle des uns mais le dérangement des autres. Je suis navrée pour cette famille... Mais il n’est pas plus mal que la souffrance soit oubliée...

Perdre un proche devait être une véritable tragédie mais tu n’étais pas véritablement bien placé pour te questionner sur ce point. Ta vision de la mort était beaucoup trop... flou ? A vrai dire, tu voyais la vie comme un cycle sans fin, car après la mort vint la vie et ainsi de suite... Enfin, tu te focalisais pleinement sur Magnus qui semblait plus qu’épuiser... En un sens, tu étais impressionné... Son métier était nécessaire mais ingrat... Voir le malheur d’autrui et réparer les erreurs des inconscients.... Ce n’était définitivement pas pour toi. Par ailleurs, tu cessais de songer à ses mérites et tu te focalisais sur le calme dans ton esprit, désireuse de lui apporter un peu de repos, un peu de douceur... Songeant à un souvenir où tu te baladais sur les plages écossaises, tu relevais la tête quand il vint à se redresser pour prendre tes lèvres avant d’aller prendre sa douche. Tu en profitais donc pour faire un peu d’ordre. La faim n’était finalement pas présente, de ce fait... tu optais pour encore un peu de lecture. Il revint assez rapidement, tu te levais donc pour te laisser faire. Terminant donc contre son torse, tu ne pus contenir un petit sourire à la fois flatté mais aussi un peu triste.

- Tout le monde ne prend pas la vie comme moi je la prends. Il est difficile d’être pleinement franc quand l’on ne sait pas accepter ce que l’existence a à nous offrir. Les personnes les plus gourmandes voudront toujours plus et ne se satisferont jamais du reste. L’avidité mène souvent au mensonge.

Car malgré tout, tu savais que les menteurs avaient tendance à le faire pour se trouver des excuses et atteindre leur objectif. Ce n’était pas ta manière de faire, tu préférais mille fois donner une vérité blessante, plutôt que d’endormir des songes pour apaiser une âme qui ne le sera jamais véritablement...
Blottie contre lui, tu soufflais de soulagement. Il était si bon d’être contre lui, de pouvoir entendre son cœur battre, de pouvoir te contenter uniquement de sa chaleur comme seul réconfort. Ses bras étaient en quelque sorte un véritable sanctuaire protecteur. Caressant son torse avec délicatesse, tu enfouissais finalement ton visage dans son cou, pressant un peu plus ton corps contre le sien. Restant ainsi pendant un bon moment pour le laisser redescendre en pression. Puis un songe te vint... il fallait que tu lui partages ton ressenti...

- J’y pense... Je sais que tu n’as pas passé une bonne journée mais... Je crois que j’aurais besoin de toi quand tu auras de la disponibilité... Ma sœur... ne va pas mieux du tout...

Erin était pourtant si douce, si romantique et candide... Pourtant, depuis que cela s’était terminé avec Andrew, elle buvait... elle couchait à droite et à gauche... Ce n’était pas elle, cela ne lui ressemblait pas du tout. Et les agressions successives qu’elle avait dû subir... Tout ça parce qu’elle était demi-vélane et que son charme posait problème ? Personne ne t’avait jamais rien fait et pourtant, tu étais sa sœur cadette... Cela te révoltait. Sa rupture l’avait enfoncé dans cette détestation...

- Je crois qu’elle est vraiment traumatisée... Elle a dû demander à Mancini de l’accompagner pendant plusieurs jours pour sortir en dehors de l’école...

C’était toi la fille volage et sans romantisme, pas elle... C’était toi la fêtarde et elle la sage... Tout ceci te perturbait bien plus que tu ne parvenais à l’accepter.

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Ven 13 Jan - 10:48

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Je ne pouvais pas lui en vouloir de se laisser absorber par cette réalité, même le soleil avait le droit de se laisser couvrir par des nuages, mais elle avait en effet raison, le plus important c’était bien que la souffrance ne guide plus leurs vie. L’abandonnant finalement pour effacer les stigmate de cette journée déjà bien trop longue, je fus amusé de l’entendre se rationaliser pour ne pas davantage m’impacter. Comment résister ? Comment lutter ?

Revenant à elle, je la fis se lover contre moi alors que je déplorais le manque évident de personne comme elle dans le monde. Il était difficile d’être pleinement franc quand on ne savait pas accepter ce qui pouvait nous faire face. Il y en avait en effet qui voulait toujours plus, qui ne sauront jamais faire avec ce que le monde leur donnait et qui finissaient par manipuler la réalité. Je n’étais pas non plus le plus franc, je n’acceptais pas mon sang, enfin j’avais longtemps lutté contre ce dernier avant d’ouvrir les yeux, mais j’avais accepté ma vie, ses conditions, même peu enviable et je n’allais pas travestir mes pensées… « C’est pas en se plaignant qu’on peut changer les choses surtout…. », même si ça pouvait aider, vraiment aider à aller mieux, « Se satisfaire de rien est un sport nationale. » assurais-je finalement, pensant malgré moi à ma soeur, à son besoin constant d’une justice qui ne pourra exister tant qu’elle continuera à se battre pour les mauvaises causes. Qu’elle s’avance assez dans la vie pour trouver ses vrais combats. Il y avait un système à redresser, à peaufiner, se battre contre les soldats ne ferait que l’occuper sans la satisfaire. Enfin, je lui avais assez dit et je ne voulais pas m’y perdre à sa place.

Le calme ne fut que de courte durée, car bien rapidement, je sentis une ombre naitre dans son esprit, légère car bien rapidement verbalisé. Malgré ma journée, elle avait besoin de moi, de ma disponibilité car sa soeur n’allait pas bien… Soeur qu’elle portait bien haut dans son coeur, qui avait pourtant perdu son ami, vrillant visiblement dans une version d’elle peut enviable. Elle avait eu une série noire des plus marquantes et elle était à présent au fond. Elle était traumatisé, elle avait du demandé à… Fermant les yeux à ce nom, je ne voulus pas m’y concentrer car l’homme avait encore une fois été bon, donnant de son temps pour l’accompagner. « Elle est disponible ce weekend ? » demandais-je simplement, la gardant dans mes bras, « Effacer les souvenirs où les accidents aussi tard risquerait de créer des problèmes ou des incohérences, même à ses yeux, mais avec la légimencie, je peux viser les chocs post traumatisme, effacer la lourdeur pour y insuffler une perception raisonné et bienveillante pour la soulager. », ça impliquerait malheureusement de forcer son esprit, de la laisser s’exprimer pleinement, « Et il faudra qu’elle soit entouré, il ne faut pas laisser place à un retour d’impression. », mais elle semblait l’être, il fallait juste que les gens osent l’accompagner. Les traitements avec un aussi gros différé ne pouvaient être fait à la hâte.

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