Derniers sujets
Brother and Sister | Ft MikaAujourd'hui à 20:02Merindah Kareela
How are you now ? [Engel]Aujourd'hui à 15:37Engel K. Malefoy Yaxley
Bad time ? [Feat Huyn-Ki]Aujourd'hui à 13:35Engel K. Malefoy Yaxley
[EVENT - G1] A Beautiful LieHier à 9:35Hyun-Ki Jeon
[JEU] Mage Noir ou MinistèreMar 17 Sep - 10:42Sarah Beckett
FICHE - Witchwizzle, school of WhimsyDim 15 Sep - 18:44Invité
Les AchatsVen 13 Sep - 13:26Adria Carrow
Rechercher
Résultats par :
Recherche avancée
Septembre 2024
LunMarMerJeuVenSamDim
      1
2345678
9101112131415
16171819202122
23242526272829
30      

Calendrier

Les posteurs les plus actifs de la semaine
4 Messages - 24%
2 Messages - 12%
2 Messages - 12%
2 Messages - 12%
2 Messages - 12%
1 Message - 6%
1 Message - 6%
1 Message - 6%
1 Message - 6%
1 Message - 6%

Chronologie


0000
0000
0000
0000

Annonces du staff

Nous sommes le
+13
°
C
Max:+11
Min:+6
Mer.
Jeu.
Ven.
Dim.

Prédéfinis

Le Deal du moment : -45%
Four encastrable Hisense BI64213EPB à ...
Voir le deal
299.99 €

Aller en bas
Invité
Anonymous
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#6171 -


 



Like a Friends









Magnus Sørensen & Athenais Wheeler


Londres




Effectivement, le sorcier avait raison. Ce n’était pas en se plaignant que notre situation pourra s’améliorer. Tu en avais bien conscience et c’était souvent pour ça que tu ne le faisais pas. Te plaindre était uniquement dans des cas externes... Faire mine d’avoir une déception était facile et cela se voyait que tu ne croyais pas à tes propres paroles, le sarcasme pouvait être très utile par moment mais, la vérité finissait toujours par triompher. Pour la simple et bonne raison que tout se sait un jour... Et le passé a tendance à nous rattraper également.
Tu ne pus contenir ton rire quand il insinuait que se satisfaire de rien était un sport national. Pour dire vrai, tu n’étais pas vraiment d’accord avec lui... Après tout... Enfin, si. En y resongeant, il était plus logique de dire que le commun des mortels n’y parviendrait pas. Ce qui t’arrachait un petit soupir faussement attristé.

- Que veux-tu. L’humain est un éternel insatisfait. Du moins la plupart des individus le sont.

Souriant malgré tout, tu faisais le tri dans tes idées et tes songes, te concentrant uniquement sur ce moment calme et doux... Jusqu’à ce que la réalité revienne te hanter. L’inquiétude pour ta sœur ne s’était pas calmée et son changement de comportement était assez troublant également. Evidemment, tu aurais préféré que cela se passe autrement, que tu ne sois pas contrainte de le déranger mais... pour toi, il n’y avait plus de réelles solutions... Elle souffrait beaucoup trop, l’enchaînement de déceptions et de douleur avait été bien trop poussé... Pressant un peu plus ta joue contre son torse, tu fronçais doucement les sourcils avant d’être pleinement attentive. Ecoutant ses explications, tu acquiesçais faiblement.

- Je lui enverrais un hibou demain pour la prévenir de nous laisser son samedi après-midi. Je feindrais de vouloir te présenter en tant qu’un ami proche. Je n’ai pas vraiment le choix que d’utiliser des machinations, elle feindra que tout va bien sinon, je la connais.

Evidemment, elle aurait refusé si tu lui avais dis que tu allais venir avec ton ami Oubliator pour qu’il s’occupe d’elle... Clairement, elle n’apprécierait pas du tout. Mais pour toi, cela semblait être la bonne décision à prendre. Redressant doucement la tête, tu caressais délicatement son torse avant d’ajouter avec ce sourire toujours aussi solaire.

- Merci en tout cas... Je veillerais à préparer la rencontre. J’espère que tu ne te sens pas utilisé.

Il pouvait lire en toi que ce n’était pas le cas. Jamais tu ne t’étais rapprochée de lui pour te servir de ses compétences... Enfin, pas compétences professionnelles en tout cas. Glissant un peu plus tes phalanges sur sa peau, tu vins finalement à lui demander.

- Alors... Ce massage te tente toujours ? Je te sens encore tendu... ça te fera du bien.

Non pas que tu voulais fuir ses bras mais... l’envie de lui apporter du bien-être était bien présente. Et il savait que tu pouvais te montrer têtue quand tu te sentais légitime à le faire...






By Aardbei

Min-Hwan Park
Min-Hwan Park
Professeur
Onglet 1
Age : 26
Profession/Niveau : Doctorat 3 d'Enseignement d'Astronomie
Race : Humain
Statut : Né-Moldu
Baguette : Bois de Saule, Plume de phénix, de 27,9 cm, fine et flexible.
Patronus : Souris
Epouvantard : Être au milieu d’une foule
Gallions : 642
Faceclaim : Han Jisung
Date d'inscription : 07/12/2022
Messages : 369
Onglet 2
Onglet 3
#6188 -
like a friends

☽ • ☾

Elle était préoccupé par la situation, et elle devrait mentir pour la solutionner, toutefois… Elle s’inquiéta du fait que je puisse me sentir utilisé, ce qui n’était pas possible car je pouvais en effet lire dans son esprit, savoir ce qu’il en était. « J’ai choisi de faire Oubliator pour ça, car je vois dans l’esprit dans les gens, je vis leurs souffrance, c’est difficile d’en ignorer l’existence. Donc non, je ne suis pas utilisé, je ne me sens pas comme ça. », il y aurait eu autre approche et même si c’était le cas, est-ce que ça aurait changé quelque chose. C’était mon métier, j’étais là pour ça, pour soulager les esprits. Ce n’était pas de l’exploitation, ni une relation d’intérêt, elle avait déjà eu cette volonté avant que sa soeur ne se fasse agresser. C’était simplement savoir se servir de son entourage.

Et puis j’étais bien son ami, elle pouvait réellement me présenter ainsi, ça ne changerait rien à ce que nous étions. J’avais juste une raison de plus d’être là, « En revanche, elle n’est pas en danger immédiat, ni un danger pour le secret internationale. Je ne pourrais rien faire sans son accord. », je ne forcerais pas son esprit et je n’effacerais rien sans qu’elle ne l’ait accepté. Sinon le choque pourrait être aussi brutale.

J’avais connaissance des particularités d’un esprit, et… Elle finit par penser à autre chose, m’arrachant un sourire alors qu’elle me demandait si j’étais toujours tenté par sa proposition du matin. Me redressant alors, j’haussais légèrement un sourcils avant de lui demander, « Il y a vraiment des gens qui réponde non à ça ? », car impossible de ne pas voir l’intérêt d’un moment de détente après cette journée. Quant à équilibrer les choses… Je suppose que j’aurais assez d’occasion pour le faire et que je n’avais pas envie de lutter, pas ce soir. Un massage était un mot magique dans bien des mondes, dont le mien.


☽ • ☾
ft. Athénaïs



_________________
Invité
Anonymous
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#6245 -


 



Like a Friends









Magnus Sørensen & Athenais Wheeler


Londres




Rassurée de l’entendre dire qu’il ne se sentait pas utilisé, un petit soufflement s’échappait de tes narines. Bon... Au moins, c’était déjà ça. Même si cela ne te contentait pas intérieurement de devoir le déranger avec ça... Déjà, il t’avait précisé que c’était la raison pour laquelle il avait choisi de faire ce métier, tu n’en étais que plus admirative intérieurement. Porter la douleur de tant de personnes, cela aurait été sûrement trop lourd pour toi.
Par ailleurs sa précision te fit tiquer mentalement. Bon... Cela n’allait pas être facile de la convaincre ou même de trouver les mots pour qu’elle donne son accord. Evidemment, tu n’avais pas eu pour intention de la forcer ou d’aller pleinement contre sa volonté mais... Tu savais que cela ne serait pas une partie de plaisir. Essayer de lui faire comprendre qu’elle était un danger pour elle-même à se laisser se dégrader comme ça.

- Je suppose que je trouverais les mots pour la convaincre. J’aviserais en temps voulu, je pense.

A l’évidence, tu allais y resonger à un autre moment. Trouver un plan d’approche et surtout... chercher des arguments suffisamment tangibles pour que ta sœur se laisse tenter par cette solution. Il le fallait pour son bien à elle, pour qu’elle puisse avancer et surtout passer à autre chose avec un peu plus de douceur et beaucoup moins de souffrance.
Un petit pouffement de rire franchissant la barrière de tes lèvres alors qu’il te demandait si quelqu’un avait déjà répondu “non”. Oh... Il serait surpris en entendant les songes de quelques unes de tes amies. Tu haussais doucement les épaules avec ce sourire qui laissait pleinement l’occasion à Magnus de comprendre la réponse. Te redressant en douceur, tu prenais sa main en le laissant te suivre jusqu’à la chambre où tu l’invitais à s’allonger sur une serviette.

- Si on peut éviter de tacher tes draps ou être obligés de les changer plus tard.

Sortant le flacon, tu retirais ta nuisette pour être en simple culotte. Lui demandant de se retourner et donc d’être sur le ventre. T’asseyant délicatement sur ses fesses, tu mettais de l’huile parfumée dans tes paumes, la chauffant avant de commencer par ses épaules, puis ses omoplates, tes phalanges glissant jusqu’à son bas dos. Il pouvait sentir que l’huile chauffait de manière agréable et elle sentait l’érable. Oui... tu adorais le sirop d’érable. Plutôt taquine alors que tu massais la chute de ses reins, tes lèvres se pressèrent sur son épaule et la pointe de ta poitrine effleurait ses omoplates.

- N’hésites pas à me dire si j’y vais trop fort.

Après tout, tu avais une bonne poigne même si tu n’étais pas très grande. De ce fait, tu cherchais les points à détendre en restant pour le moment assez douce et attentionnée... Espérant vraiment que ce petit moment allait lui apporter cette tranquillité qu'il méritait. Après une journée de travail pareille, il était clair que cela ne lui ferait pas de mal.






By Aardbei

Min-Hwan Park
Min-Hwan Park
Professeur
Onglet 1
Age : 26
Profession/Niveau : Doctorat 3 d'Enseignement d'Astronomie
Race : Humain
Statut : Né-Moldu
Baguette : Bois de Saule, Plume de phénix, de 27,9 cm, fine et flexible.
Patronus : Souris
Epouvantard : Être au milieu d’une foule
Gallions : 642
Faceclaim : Han Jisung
Date d'inscription : 07/12/2022
Messages : 369
Onglet 2
Onglet 3
#6346 -
like a friends

☽ • ☾

Je me doutais bien qu’un accord pouvait être difficile, car il pouvait être compliqué d’admettre qu’on avait un problème, mais je ne pouvais pas faire autrement, pas en connaissant les ravages des mensonges, des manipulation. « Tu l’as connais, agis avec bienveillance et elle saura l’entendre. », surtout si elle était bien celle que son esprit avait en tête. Elle entendrait, elle saurait. Elle devait juste se faire confiance et laisser à sa soeur le temps d’admettre que si on s’intéressait à elle, c’était pour son bien.

Et puis la conversation glissa sur un autre sujet, sur une véritable question. Quelqu’un avait déjà refusé ce genre de chose ? Visiblement oui et ce qu’elle me laissa entrevoir n’était pas reluisant. Les hommes étaient stupide ou j’étais juste le seule à avoir conscience des biens fait d’une telle action ? Saisissant sa main en me relevant, je la suivais alors qu’elle m’amenait dans la chambre, déposant une serviette sur le lit avant de préciser la raison. Ne pas tacher les draps… « Elle est si puissante qu’un sort ne réglerait pas le problème ? » demandais-je après m’être allongé et la voir se déshabiller. Difficile de penser qu’au massage à cet instant, mon regard bien trop occupé à la dévorer des yeux avant qu’elle ne m’oblige à me mettre sur le ventre pour commencer son oeuvre.

Avec elle, j’avais l’impression de ne penser qu’à ça, qu’à ce genre de chose, de situation. C’était dérangeant d’être ainsi toujours hypnotisé par elle, par ce qu’elle savait éveiller sans que jamais cela ne tarisse. Me tendant malgré moi sous ses doigts, je découvrais l’étendu de l’épuisement de mon corps, des douleurs et tension qui s’y étaient installé sans jamais disparaitre. C’était fou comme on pouvait s’habituer a des choses désagréable. C’était un peu le cas de la solitude. Maintenant qu’elle était là, je me rappelais lentement combien je n’avais jamais été seul dans ma jeunesse. « Ne t’inquiètes pas… », murmurais-je bien trop apaisé par ses doigts, par sa chaleur.

J’aurais même pu m’endormir si je n’avais pas lutté. Je n’avais pas envie de sombrer comme ça, pas maintenant. Me redressant finalement, les yeux un peu plus lourds, je me retournais sous elle avant de venir caresser ses lèvres des miennes, « Si tu continues je vais m’endormir… » murmurais-je contre ses dernières avant que mes mains ne se posent sur la chute de ses reins. Je ne voulais pas dormir, du moins pas maintenant. Je voulais pouvoir prendre encore un peu de temps, ne pas juste m’écrouler alors qu’elle était là. Ça serait pourtant la chose la plus simple et saine à faire, mais après une journée comme celle là… J’avais fini par avoir le besoin d’avoir plus. Posant finalement mon front au dessus de sa poitrine, je laissais les battement de son coeur décider de mon sort.


☽ • ☾
ft. Athénaïs



_________________
Invité
Anonymous
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#6365 -


 



Like a Friends









Magnus Sørensen & Athenais Wheeler


Londres




A cet instant, il était clair qu’il avait davantage de confiance en toi que tu n’en avais pour ta propre personne. Non pas que tu te sentais incapable de convaincre ta sœur, mais... Celle-ci était bornée, le déni était bien ancré en elle et il serait assez complexe de l’extirper de cette turpitude sans vraiment la “blesser”... Par ailleurs, il n’était pas question de l’abandonner ou même de ne pas tenter. Ainsi, tu acquiesçais d’un petit hochement de tête avant de répondre que tu ferais de ton mieux pour. Après tout, il savait que tu donnais toujours ton maximum pour ceux qui avaient une place importante dans ta vie... Il en faisait parti. Il était un ami essentiel à tes yeux et tu n’imaginais pas une seconde ne pas donner le meilleur de toi-même pour lui.

Après l’avoir fait cédé pour se lever, tu avais mis en place le tout pour que cela ne soit pas trop désagréable. Même si un coup de baguette aurait suffi pour tout nettoyer, tu ne pouvais nier que cette odeur te galvanisait mentalement, l’érable avait ce parfum qui parvenait également à éveiller tes propres sens. Par ailleurs... Le moment n’était pas à la sensualité mais surtout à la détente...ou plutôt sa détente à lui. Il était si tendu, si ferme et rigide au niveau de ses articulations que cela laissait soupçonner la pression qu’il avait dû subir au quotidien...

- J’aime juste le parfum, ça m’ennuierait de le faire disparaître complètement de la pièce.

Ainsi, tu t’attelais à la tâche. Tes phalanges parcourant l’intégralité de son dos sans lésiner sur le moindre muscle, le moindre nerf... Il fallait lui apporter une détente complète. Malgré tout, tu le sentais somnoler et cela te faisait plaisir. Bien qu’il avait accès à tes songes, tu n’avais pas ce luxe. Tu ne pouvais qu’interpréter son langage corporel et celui-ci t’avouait pleinement que tu lui offrais un certain bien-être.  
Néanmoins, il ne succomba pas. Il se retournait finalement pour te faire face, cela te fit légèrement sursauter sur le coup, alors que tes doigts encore huilés se posaient sur son torse, remontant jusqu’à ses épaules alors qu’il déposait son front sur ta clavicule, tu souriais presque tendrement. Ton cœur battant vigoureusement pour lui... Il avait toujours cet effet quand il demeurait contre toi... Il parvenait à éveiller les battements de cet organe avec une facilité déconcertante.

- Au moins, ça prouve que mon massage a été efficace. Tu te sens plus détendu ?

Ta main glissant de son épaule jusqu’à sa joue en parcourant sa nuque au passage, tu avais déposé un peu de cette huile sur tes lippes, avant de finalement lui redresser le visage délicatement et de prendre possession de ses lèvres. Entourant son cou de tes bras, pressant ta poitrine contre son torse alors que tu le faisais basculer en arrière pour te retrouver à califourchon sur lui, ton bassin pressé contre le sien. Un tel désir, un tel besoin de le sentir, de le toucher ou d’être en sa présence... Tu n’arrivais pas à comprendre pourquoi ni comment cela était devenu si nécessaire, si indispensable à ta vie...  






By Aardbei

Min-Hwan Park
Min-Hwan Park
Professeur
Onglet 1
Age : 26
Profession/Niveau : Doctorat 3 d'Enseignement d'Astronomie
Race : Humain
Statut : Né-Moldu
Baguette : Bois de Saule, Plume de phénix, de 27,9 cm, fine et flexible.
Patronus : Souris
Epouvantard : Être au milieu d’une foule
Gallions : 642
Faceclaim : Han Jisung
Date d'inscription : 07/12/2022
Messages : 369
Onglet 2
Onglet 3
#6388 -
like a friends

☽ • ☾

L’excuse était bonne et puis, elle me fit rapidement oublié ça, ce détail, à mesure qu’elle relaxait mes muscles. C’était difficile de luter, de ne pas céder, de ne pas s’endormir. Finissant d’ailleurs par me redresser, je me retournais sous elle, posant mon front sur sa clavicule avant de l’entourer de mes bras, j’écoutais son coeur battre, me guider. Nous partagions le même sentiment, celui d’un confort bien nouveau lorsque nous étions l’un contre l’autre. « Oui… » soufflais-je contre sa peau avant qu’elle ne glisse ses doigts sur mes lèvres, me faisant relever la tête pour finalement m’embrasser.

Y répondant, facilement, en l’attirant encore un peu plus contre moi avant qu’elle ne me repousse, qu’elle ne s’assoit sur moi, son bassin sur le mien, jouant avec ma résistance, avec ma retenu. J’étais plus calme, moins dépendant en temps normal, mais là, avec elle, dans cet état de semi conscience… La vue qu’elle me présentait était trop agréable, trop précieuse. Elle était magnifique. « Comment c’est possible d’avoir toujours envie de toi ? » demandais-je dans un sourire avant de remonter ses cuisses de mes mains, j’avais envie de bien plus que ça, j’avais envie de la garder, de lui faire plaisir, de faire en sorte qu’aucun nuage ne noircisse son esprit.

La fatigue ou une réalité ? C’était difficile à dire, mais je la voulais contre moi, au final, ça n’avait pas d’importance ce qu’on pouvait faire, cette journée devait simplement finir dans ses bras, pour chasser ses démons et les miens.

Me redressant alors je capturais à nouveau ses lèvres avant de l’attirer à moi, contre moi pour me recoucher, avec elle, son corps épousant un peu plus le mien. « Merci de prendre soin de moi. » ajoutais-je finalement, luttant pour ne pas m’approprier son corps à nouveau, pour ne pas me perdre et… C’était étrange de ne pas vouloir la cantonner à une place. Étrange de vouloir à ce point solidifier les choses pour ne pas sombrer dans une routine, quoi qu’une routine n’aurait jamais ça place entre nous, dans cette amitié intense.


☽ • ☾
ft. Athénaïs



_________________
Invité
Anonymous
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#6403 -


 



Like a Friends









Magnus Sørensen & Athenais Wheeler


Londres




Difficile de ne pas garder cet air à la fois ravi et satisfait, toujours plus difficile de lutter contre cette envie, ce désir de rester blottie contre lui, de profiter de la chaleur de ses bras, de la douceur de sa peau, du ce parfum suave et envoûtant qu’il dégageait... Le tout était si galvanisant, si hypnotisant... Ta lutte interne te scandait d’aller plus loin, de chercher plus toujours plus... mais ton cœur t’ordonnait de rester fidèle à ce que tu souhaitais. A cet instant, ce n’était pas l’épuiser, c’était simplement lui offrir un moment où il n’aurait plus besoin de penser, où il pourrait profiter de ce repos tant mérité... Et tu demeurais tout aussi heureuse de pouvoir lui apporter ça...

Lui offrant un doux et rayonnant sourire, tu caressais délicatement son torse, allant même jusqu’à effleurer sa barbe en remontant jusqu’à sa machoire, tes baisers sur ses lèvres se faisant plus doux, plus tendres. Un petit gloussement franchissant la barrière de tes lippes alors que tu mordillais l’intérieur de ta lèvre.

- Je dirais que nous avons une... très bonne alchimie ? Je ne vois pas d’autres explications.

Et également une forte attirance l’un envers l’autre. Mais ça, cela tombait sous le sens. Tu le désirais autant qu’il te désirait également. Ses yeux... ses magnifiques yeux t’envoûtaient totalement, un simple regard de sa part, une caresse de ses mains puissantes, la délicieuse vision de son petit air sérieux... le mouvement qu’il effectuait quand il retirait ses lunettes pour mieux t’embrasser... Beaucoup de choses qui pouvait te rendre toute chose...  
Alors qu’il capturait de nouveau tes lèvres en les unissant des siennes, tu répondais à ce baiser, te laissant blottir contre lui, ta poitrine pressée contre son torse, tu murmurais finalement entre ses lippes.

- Je ne suis pas prête de m’arrêter... Tu le mérites, Magnus... Tu mérites qu’on prenne soin de toi...

Et il était le mieux placé pour savoir que tu le pensais en toute sincérité. Enfouissant ton visage dans son cou, tu fermais doucement les yeux, déposant de délicats baisers contre sa peau. Avais-tu des arrières pensées ? Non, ces gestes tendres étaient effectués sans rien attendre en retour... Ton seul désir étant que l’instant actuel dure encore un peu... Qu’il souhaite aller au-delà ou te posséder n’était qu’une consolidation supplémentaire... A vrai dire... Tu n’avais jamais été aussi proche d’un ami, aussi... dépendante ? Cela te prouvait que tu avais bien fait de te montrer insistante la première fois que tu l’avais rencontré... Tu en étais d’autant plus fière...

- Merci à toi d’être là et d’avoir eu foi en moi...

Des mots qui étaient toujours remplis d’une franchise bien à toi. A l’évidence, tu lui avais sans doute prouver que tu étais digne de confiance à bien des égards... Par ailleurs, tu constatais également que le retour à Poudlard allait s'annoncer un peu moins joyeux... Si tu venais à te languir par avance de ton ami alors que ton stage avait à peine repris... qu'est-ce que cela allait donner une fois enfermée entre quatre murs...






By Aardbei

Min-Hwan Park
Min-Hwan Park
Professeur
Onglet 1
Age : 26
Profession/Niveau : Doctorat 3 d'Enseignement d'Astronomie
Race : Humain
Statut : Né-Moldu
Baguette : Bois de Saule, Plume de phénix, de 27,9 cm, fine et flexible.
Patronus : Souris
Epouvantard : Être au milieu d’une foule
Gallions : 642
Faceclaim : Han Jisung
Date d'inscription : 07/12/2022
Messages : 369
Onglet 2
Onglet 3
#6426 -
like a friends

☽ • ☾

Oui, nous avions une très bonne alchimie, bien plus que ça même, elle me complétait entièrement, elle était ce qu’on pouvait vouloir de mieux, de plus  précieux dans une vie. Et elle l’était sans me briser, sans me forcer à reculer. « Je suppose… » murmurais-je en l’observant, en entendant son esprit se perdre avec autant de force que le mien avant de l’attirer à moi, de l’embrasser, de sentir sa chaleur m’envahir. Elle me faisait sortir de mon trou, de ma torpeur, me rappelant un peu celui que j’avais fini par enfermer au fin fond de mon esprit. Alors je la remerciais, profitant de son assurance, de sa volonté à vouloir prendre soin de moi alors que la vérité continuait à transpirer dans ses songes.

Dépendant était bien le terme pour moi aussi, surtout de soir, surtout après qu’elle ait demandé de l’aide, comme on pourrait le faire à quelqu’un de confiance. Me remerciant à son tour, je me demandais bien une chose, « Je sais pas comment on peut douter de toi. », pourtant je l’avais fait non ? Au début, je l’avais repoussé, tout simplement, doutant qu’on puisse être aussi sincère avant de comprendre mon erreur et de la laisser revenir. C’était bien égoïste de ma part, bien hypocrite surtout, mais des personnes n’ayant pas mes antécédents n’auraient sans doutes pas agit ainsi… Ils l’aurait accepté, entièrement.

Moi aussi je craignais un peu le retour à Poudlard, son absence soudaine après avoir passé autant de temps ensemble. Enfin pour le moment non, mais à la fin de son stage… « Je viendrais à Pré-au-Lard… », soufflais-je finalement contre ses lèvres avant de la faire basculer sur le lit, la surplombant, « Moi aussi je ne saurais pas tenir en t’ayant plus ici… » avouais-je finalement en retrouvant ses lèvres, son cou et en finissant par retirer nos vêtements inutile à cette étreinte plus chargé en sentiment que prévu. Une danse douce, sensuelle, trahissant cet aveux, cette réalité. Je ne pouvais pas le faire si facilement sans elle, pas si je voulais réellement y survivre, pas si je voulais vraiment continuer à renaitre.

Plein de mots, de déclaration. Elle n’était pas qu’une passade, qu’un nécessité pour aller mieux. Elle avait dépassé ce stade et c’était bien ainsi. Nous avancions à deux, elle m’apprenait à accepter les autres, à ne pas anticiper et craindre les pensées maladroites, même si de son côté, elle n’en avait jamais eu. J’apprenais quand même.


☽ • ☾
ft. Athénaïs



_________________
Invité
Anonymous
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#6457 -


 



Like a Friends









Magnus Sørensen & Athenais Wheeler


Londres




Certaines interrogations demeuraient sans réponse... Ou bien cette réalité semblait si évidente qu’elle n’avait pas besoin d’être énoncée... Les mots, les paroles... tout ceci n’était que du son...Les gestes pouvaient parfois être plus évocateurs que le plus beau des discours. Pour ta part, cela ne faisait aucun doute... Il t’était indispensable, essentiel... sa présence, son parfum, sa voix, sa chaleur et son esprit... Comment pouvait-on devenir si dépendant d’une personne ? Comment pouvait-on arriver à un tel stade ? Tu ne le savais pas. Et en toute sincérité, tu ne cherchais pas d’explication. A quoi bon tenter de trouver une logique dans tout ceci ? Nul besoin. Ce sentiment en toi de pure plénitude ne t’apportait que du bonheur, de la douceur mais aussi cette affection dont tu avais tant besoin. A lui seul, il parvenait à t’offrir tout ceci et sans même s’en rendre compte... Sa simple personne suffisait à ton bien-être. Grâce à lui, tu pouvais dire sans chercher d’être optimisme que tu étais pleinement heureuse.

Il te demandait comment l’on pouvait douter de toi... Oh, tu aurais été tenté de dire qu’il avait été méfiant au début... Qu’il t’avait vigoureusement repoussé. Mais en un sens, tu ne lui en avais jamais voulu pour ça. S’il avait été habitué à être constamment déçu par son entourage, comment aurait-il pu croire en une inconnue qui avait juste un sourire rayonnant et des formes assez avantageuses pour parvenir à éveiller du désir ? Cela pouvait sonner comme un piège, un guet-apens... Ainsi, tu te contentais de hausser les épaules en faisant une petite moue, avant de lui offrir ce sourire solaire qui t’était propre.

- Il est normal d’avoir des doutes et de se méfier quand on ne connait pas réellement quelqu’un. La confiance ne se gagne pas aisément pour tout le monde, n’est-ce pas ?

Evidemment, il savait que tu parlais de lui mais c’était évoqué avec un ton bien léger. Avant qu’il n’entende finalement ton languissement précoce... Il t’annonçait qu’il viendrait à Pré-au-Lard, prenant d’assaut tes lippes en te renversant. Tes phalanges glissant sur son dos puis ses omoplates tandis que tu répondais à son baiser. Ton regard s’illuminant de bonheur quand il avouait aussi ne pas être capable de tenir... Ainsi, le reste des vêtements ne demeura pas bien longtemps présents, l’étreinte qui suivit après ces mots doux, n’en fut que plus galvanisante. Cette union tendre, lascive et délicate ne faisant qu’accentuer cette réalité. Assurément... tu savais au plus profond de toi que ta vie n’aurait jamais été ce qu’elle est actuellement sans lui...

Si tu lui apprenais à être un peu moins fermé au reste du monde, il était également la voix de la raison pour toi. Car malgré le fait que tu sois un magnifique soleil... L’on pouvait aisément te blesser, même si tu prenais toujours les choses avec le sourire, ton cœur n’était pas à l’égal de ta conscience. Ce fut dans les affres de cette délicieuse danse que tu parvins à trouver ce Nirvana si délectable... Et ton sommeil n’en sera que plus réparateur alors que tu l’avais contre toi, ton cœur battant au rythme du sien comme harmonisé par ces sentiments partagés. Aucun ami n’était parvenu à devenir aussi essentiel que lui... Il était le seul et l’unique... Ta seule crainte était que cela ne s’arrête, tu ne voulais pas le perdre... pas une deuxième fois.
Alors que tu étais blottie contre lui... tes rêves se voulaient doux... et apaisés... Mais visiblement, ton esprit semblait ressasser les événements de cette horrible soirée suite à la précédente conversation... Les deux verres explosant sur le carrelage, cette vision du corps ensanglanté de ta sœur se vidant de son sang... Les hurlements de ta voix cassée, ton visage embrumé de larmes... la peur de perdre un être cher... dans ce souvenir douloureux qui hantait tes rêves, tu agrippais un peu plus ton ami, les larmes coulant sur tes joues pendant que tu dormais... Ta sœur avait souffert de milles douleurs et tu ne cessais de te dire que tu aurais préféré que ce soit toi... après tout... tu étais demi-vélane aussi... si ces monstres pouvaient s’en prendre à des hybrides... cela signifiait que tu n’étais pas non plus en sécurité... Peut être que tu étais la prochaine cible. Et le pire ? Tu préférais l’être... Au moins, tu n’aurais aucun regret...






By Aardbei

Min-Hwan Park
Min-Hwan Park
Professeur
Onglet 1
Age : 26
Profession/Niveau : Doctorat 3 d'Enseignement d'Astronomie
Race : Humain
Statut : Né-Moldu
Baguette : Bois de Saule, Plume de phénix, de 27,9 cm, fine et flexible.
Patronus : Souris
Epouvantard : Être au milieu d’une foule
Gallions : 642
Faceclaim : Han Jisung
Date d'inscription : 07/12/2022
Messages : 369
Onglet 2
Onglet 3
#6461 -
like a friends

☽ • ☾

Nous avions en effet était des étrangers avant d’être ce que nous étions aujourd’hui, avant d’être plus que ça. Je voulais l’être, je voulais qu’après une étreinte, après une nuit dans mes bras, elle ne pense plus à ça, qu’elle n’en souffre plus, mais ces peines, je ne pouvais les effacer sans qu’elle ne me le demande, sans qu’elle ne m’y autorise. Et peut-être qu’au final, l’entrevue qui fut réalisé avec sa soeur les jours qui suivirent m’en donnerait l’occasion. Une chance pour la soulager, d’une façon ou d’une autre, il fallait qu’on parle, que je m’ouvre aussi un peu plus avant de lui demander d’en faire de même.

Déposant mon manteau sur une chaise, je me tournais vers elle pour attraper sa main et glisser mon autre sur sa joue pour la caresser et l’embrasser, « Ça va ? », demandais-je en douceur, inquiet de ce qu’il pourrait en ressortir de tout ça. « Je ne voulais pas te surprendre concernant ma famille… C’est juste… C’est juste que ça a toujours été un sujet douloureux, une raison de haine. », mais elle avait apaisé tout ça, elle l’avait balayé, simplement. La prenant dans mes bras, je posais mon menton sur son crâne, attendant que mes pensées se clarifie avant de reprendre, « Mon père, un Mancini, avait ma mère en maitresse, quand elle finit par tomber enceinte et par avoir un garçon, il est retourné s’occuper de sa femme, abandonnant ma mère qui n’a jamais réellement su s’en remettre. », ce qui était un euphémisme. « Plus je grandissais, plus je lui ressemblais, c’était insupportable pour elle. Elle n’arrivait pas à m’aimer, ni à me regarder. Elle en ait devenu folle, alors j’ai fini par m’effacer de sa vie pour qu’elle soit à nouveau heureuse. », un véritable condensé pour m’éviter de ressentir quoi que ce soit de trop destructeur.

« J’ai longtemps haïs mon père, les Mancini et par extension Amos, même s’il n’y pouvait rien. Je haïssais simplement que son sang ait pu détruire ma mère et me faire grandir seul. », en parler avait était difficile pendant longtemps. Pas en n’étant pas injuste. Depuis, j’avais fini par comprendre que j’en voulais au mauvais coupable, enfin, à celui qui ne l’était pas entièrement. Ma solitude, elle venait aussi de ma mère, même si lui en vouloir était toujours aussi difficile à concevoir.

Me décollant finalement, je glissais une nouvelle main sur sa joue, lui demandant « Tu veux que j’efface ta culpabilité ? Tu n’y seras jamais pour rien dans cette histoire. », m’occuper d’elle, de sa santé mentale, c’était à présent une nécessité. Je ne voulais pas qu’elle sombre, qu’elle se pense responsable de quelque chose qu’elle n’aurait jamais pu éviter. Pas plus que je voulais qu’elle continue à vouloir échanger sa place avec elle. Elle ne ferait que déporter le problème, par rendre sa soeur coupable du même crime et pour avoir vu les deux interagir ensemble aujourd’hui, je savais qu’il était évident qu’aucune des deux ne mérités ce genre de traitement. La solution était ailleurs.


☽ • ☾
ft. Athénaïs



_________________
Invité
Anonymous
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#6505 -


 



Like a Friends









Magnus Sørensen & Athenais Wheeler


Londres




La culpabilité pouvait assurément être le sentiment le plus douloureux à porter. L’on pouvait aisément se détester et ne pas parvenir à outrepasser cette sensation dans sa poitrine... C’était ton cas. Tu te sentais effroyablement coupable. De par ton impuissance et ton incapacité à protéger ta sœur... Finalement, l’entrevue avec Erin parvint à alléger sa douleur à elle. Quant à la tienne ?... Eh bien, tu allais finir par l’accepter, non ? C’était ce que tu te répétais intérieurement depuis plus d’un mois.
Ôtant ta veste que tu déposais sur l’une des chaises, ton regard se posait sur ton ami alors qu’il prenait ta main pour t’attirer contre lui et t’embrasser. Après ce baiser, il te demandait si tu allais bien Un sourire s’étirant sur tes lippes alors que tu acquiesçais doucement.

- Ne t’en fais pas pour moi, j’ai juste été un peu surprise sur le coup. Mais si tu ne m’en as jamais parlé, c’est parce que tu avais tes raisons. Je n’ai pas à t’en vouloir pour ça.

Ce fut exactement ce que tu avais pensé sur le coup. Comme quoi, tu ne cessais encore d’être à l’égal de tes songes. Le pauvre devait avoir l’impression que tu étais un dictaphone humain... Te blottissant contre lui, tu caressais délicatement son dos alors qu’il reprenait. Et... Cet aveu... te brisa le cœur. Quoi ?... Comment... comment avait elle pu détester sa progéniture pour ses... Clignant des yeux en détournant le regard, tu essayais de garder tes songes pour toi. Certes, le père de Magnus était en faute... les deux parents l’étaient mais en attendant... C’était Magnus qui avait souffert des erreurs de ses parents... Serrant un peu plus ton ami, tu continuais de caresser son dos.

- Je comprends mieux ta réticence à être approché... Je suis vraiment désolé que tu aies subi ça...

Une enfance douloureuse, voilà ce qu’il avait dû avoir. Comment bien se construire quand on a un exemple de famille aussi déplorable ? Comment peut on aimer amicalement quand notre figure maternelle n’a même pas été capable de le faire ? C’était inconcevable... Acquiesçant faiblement alors qu’il t’expliquait également pourquoi il n’avait rien dit... tu venais à mettre un peu d’humour pour tenter de détendre l’atmosphère.

- Ta détestation envers les italiens est bien plus compréhensible désormais.

Un rire nerveux s’échappant de tes lippes alors qu’il se détachait de toi pour glisser sa main sur ta joue, posant cette question qui te fit perdre doucement ton sourire... Un soupir franchissant la barrière de tes lippes alors que les larmes te montaient aux yeux... Il avait beau le dire... il était la voix de la raison mais... ton corps lui ainsi que ton esprit refusaient de l’entendre... Tu hochais doucement la tête alors que les larmes coulaient sur tes joues.

- Oui... Libère moi s’il te plait...

Il n’avait pas eu connaissance de tes cauchemars qui s’étaient enchainés quand tu étais à Poudlard... Tu parvenais à les oublier en sa présence mais... tu avais conscience que dès la fin de ton stage... et dès que tu allais y retourner... la souffrance allait revenir, tout comme la culpabilité... Cela te nouait la gorge, tu te sentais faible pour la première fois de ta vie... Mais il le fallait...  






By Aardbei

Min-Hwan Park
Min-Hwan Park
Professeur
Onglet 1
Age : 26
Profession/Niveau : Doctorat 3 d'Enseignement d'Astronomie
Race : Humain
Statut : Né-Moldu
Baguette : Bois de Saule, Plume de phénix, de 27,9 cm, fine et flexible.
Patronus : Souris
Epouvantard : Être au milieu d’une foule
Gallions : 642
Faceclaim : Han Jisung
Date d'inscription : 07/12/2022
Messages : 369
Onglet 2
Onglet 3
#6608 -
like a friends

☽ • ☾

La surprise, mais elle avait raison de penser une chose, si je n’avais rien dit, c’était pour les bonnes raison. Le fait qu’elle ne m’en veuille pas était juste une façon rassurante d’apaiser mon coeur. Cela dit, elle devait savoir, entendre la vérité. Cette vérité douloureuse. Vérité qui fit écho dans son esprit. Elle aussi ne comprenait pas la réaction de ma mère, levant un peu plus le voile que j’avais fini par me mettre sur les yeux. J’étais le seul à avoir été aveuglé, le seul à ne pas comprendre qu’il n’était pas le seul responsable.

En sachant ça, elle comprenait un peu mieux ma façon d’agir, d’être. Elle était simplement désolée que j’ai eu à subir ça. Un fait que je ne pouvais pas effacer dans mon esprit car elle aurait changé qui j’étais et pourquoi je faisais ce que je faisais. J’aurais été trop compris les souffrance des autres pour aujourd’hui m’en défaire. J’avais appris à vivre sans attache, sans sentiment et bien trop rapidement. J’avais fait avec, pour le mieux et si ce n’est une haine des Italiens, je m’en étais bien mieux sortie. « J’apprends seulement à ne plus en vouloir à un nom. J’ai pu rencontrer Amos, apprendre qu’il n’était pas comme celui qui a détruit ma mère… Mais ça reste trop tôt pour aller mettre un pieds en Italie, en plus l’Italien du coin fait clairement l’affaire. », ajoutais-je pour essayer de continuer sur cette lancée, quoi qu’il y avait quelque chose que je devais faire, quelque chose d’impossible à nier.

Je devais soulager son esprit, lui proposer d’effacer cette culpabilité qui la rongeait elle aussi. J’avais pu agir sur sa soeur, elle n’avait pas de raison d’y échapper. Acceptant, j’embrassais sa tempe avant de l’attirer avec moi, la laissant s’asseoir, mes mains dans les siennes avant de lui dire, « Ca va être un peu désagréable, juste le temps que je localise tout. », ce que je finis par faire, pointant exactement ce qu’il en était avant sortir ma baguette pour lui retirer, pour lui faire comprendre que rien n’aurait pu l’éviter, que si elle avait été ciblé ici, en publique, elle aurait pu l’être en privé, rien ne garantissait sa sécurité. Elle avait juste été là assez rapidement, elle l’avait sauvé et elle devait le comprendre.

Finissant de la soulager, je la laissais profiter de l’épuisement d’avoir finalement été libéré, de la sérénité que devait s’étendre dans son esprit. Elle aurait un peu de mal à revenir, il lui faudrait quelques minutes, ce qui me suffit pour revenir avec un chocolat chaud pour appuyer ce retour, « Bois ça, le chocolat ça fait du bien. », soufflais-je en lui tendant, espérant voir son sourire revenir sur son visage.


☽ • ☾
ft. Athénaïs



_________________
Invité
Anonymous
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#6617 -


 



Like a Friends









Magnus Sørensen & Athenais Wheeler


Londres




Un léger gloussement s’était échappé de tes lippes quand il vint à dire que le restaurant italien se suffisait à lui-même, pas besoin d’aller en Italie ? Oh... Peut être dans quelques années, il acceptera d’y aller. Les paysages étaient si beaux... Surtout Milan et Bologne... Enfin, tu n’allais pas l’enquiquiner avec ça. Il était en droit de prendre son temps et puis... avec tout ce qu’il avait vécu, tu ne pouvais en aucun cas voir les choses autrement. Tu étais déjà impressionné qu’il soit parvenu à se relever de tout ceci, tu demeurais fière de lui.

- Le temps, ce n’est pas ce qui manque. Pense à toi et ton bien-être avant tout. Le reste passe après.

Des paroles qui te semblaient essentielles de lui dire. Même si tu n’avais cessé d’y songer tout le long de ta relation amicale avec lui. S’il avait besoin de se servir de toi pour parvenir à être un peu plus heureux, il le pouvait sans se poser de questions. Tu ne lutterais pas. Par ailleurs, tu avais souvent constaté qu’il prenait énormément soin de toi et qu’il te rendait toujours ce que tu lui offrais... Cela était perturbant au début mais tu avais fini par t’y habituer... Sans doute un retour à la normale sera bien plus dur prochainement...
Enfin, il avait relevé que tu ne supportais vraiment pas l’agression qu’avait subi ta sœur... Ta culpabilité était bien trop intense pour que tu parviennes à l’outrepasser. Il l’avait compris et il l’avait senti... Te laissant embrasser la tempe, il t’entrainait et t’incita à t’asseoir, tu t’éxécutais et tu le dévisageais longuement, les yeux encore rougis par les larmes que tu n’avais pas réussi à contenir. Tu acquiesçais d’un faible hochement de tête, ta machoire se crispant légèrement en serrant ses mains alors qu’il localisait la source. Fermant les yeux, tu le laissais faire. Ceci étant effectué... un soupir de soulagement franchissait la barrière de tes lèvres, ouvrant de nouveau les yeux en ayant comme l’esprit embrumé, tu prenais le chocolat chaud qui t’était tendu et tu bus une gorgée.

- Merci, Magnus...

T’approchant de son visage, tu voulus aller à la rencontre de ses lèvres. Un baiser, tu avais besoin d’être rassurée une dernière fois. Sa présence le demeurait... elle t’apportait un véritable sentiment de bien-être et là... tu n’avais plus le poids insensé de cette culpabilité... Tu souriais de nouveau de manière rayonnante et solaire sans qu’un seul nuage ne drape ce rictus.

- Je ne sais pas ce que je serais devenue sans toi...

Il fallait être purement sincère jusqu’au bout, tu y avais déjà songé et là, cela semblait bien plus prenant. Il t’avait tant apporté, tant donné et là... il te soulageait d’un poids. Ta reconnaissance envers lui était infinie... Tu n’avais jamais connu un ami aussi dévoué... aussi tendre et aussi indispensable à ta vie. Il avait pris une place essentielle dans ton existence et tu ne voyais plus réellement ta vie sans lui.
 






By Aardbei

Min-Hwan Park
Min-Hwan Park
Professeur
Onglet 1
Age : 26
Profession/Niveau : Doctorat 3 d'Enseignement d'Astronomie
Race : Humain
Statut : Né-Moldu
Baguette : Bois de Saule, Plume de phénix, de 27,9 cm, fine et flexible.
Patronus : Souris
Epouvantard : Être au milieu d’une foule
Gallions : 642
Faceclaim : Han Jisung
Date d'inscription : 07/12/2022
Messages : 369
Onglet 2
Onglet 3
#6757 -
like a friends

☽ • ☾

Prendre le temps de se réparer, de penser à soi. Un conseil réel, bien que différent de ce que j’aurais voulu faire. Les événements n’auraient jamais dû se profiler ainsi, mais il était trop tard pour y revenir, il fallait agir sur quelque chose d’encore utile, comme elle, sa douleur, d’autant plus que j’avais vu chez sa soeur quelque chose d’inquiétant, quelque chose ne pouvant que trahir un danger bien plus immédiat, une explication bien plus complexe. Je devais la soulager de sa culpabilité, autant que possible, d’y intégrer un nouveau sentiment plus rationnel.

La laissant se remettre, je lui apportais un chocolat chaud qu’elle finit par accepter avant de me remercier, « C’est normal… » assurais-je avant qu’elle ne trouve mes lèvres cherchant à se rassurer, ma présence pour appuyer mes mots, ce renouveau.

Souriant, elle s’inquiétait de ce qu’elle serait devenu sans moi. On s’équilibrait, on se complétait, c’était normal de se sentir ainsi. Enfin je le supposais, j’avais apprit à l’accepter ainsi. Car comme dans son esprit, je n’avais aucune idée de ce qu’il fallait vraiment attendre d’une amitié, je profitais simplement de l’exceptionnalité de la situation, de cette réalité enivrante et rassurante. Enfin il faudrait sans doute parler aussi de ce qui allait se passer, de ce que j’avais pu voir, deviner et des épreuves qu’elle allait devoir traverser avec sa soeur.

« Tu vas devoir être forte pour les mois à venir aussi. Mais je serais là. », je devais simplement voir avec le ministère quelle place je pourrais prendre et à quel point je pourrais m’en mêler. J’avais détecter un danger, un danger plus qu’imminent pour l’école, pour l’enseignement qui avait pu y être délivré. L’occlumencie de l’homme avait permis que l’on puisses ignorer, passer à côté de cette réalité. Il était à présent urgent de savoir où se trouver l’homme et comment on pourrait le neutraliser.

Enfin cela ne se ferait pas sans que je m’assure qu’aucune des soeur n’en souffre, elles en avaient eu pour leur compte.


☽ • ☾
ft. Athénaïs



_________________
Invité
Anonymous
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#6786 -


 



Like a Friends









Magnus Sørensen & Athenais Wheeler


Londres




Les précédentes suspicions t’avaient évidemment affecté... Après tout, tu trouvais cela honteux qu’un homme puisse se montrer aussi abject avec ta sœur... Si Andrew était le véritable commanditaire de cette agression... Tu avais senti une vive nausée t’accabler mentalement. La haine... la rancœur... le désir de vengeance... Mais tout ceci fut tempéré assez rapidement. Non pas que tu remettais en question les spéculations, toutefois... l’enquête allait être menée de sorte à trouver les preuves suffisantes pour qu’il soit jugé équitablement... Après tout, même le pire des meurtriers avait des droits...  

Continuant de boire le chocolat chaud qui t’avait été tendu, même si ce fut ses lèvres que tu vins rechercher instinctivement. Posant le contenant chaud sur la table basse, tu venais finalement à te blottir contre lui. Recherchant une fois de plus, la chaleur de son étreinte. Par ailleurs, il te rappelait que tu allais devoir être forte. Oh... Certes, la bataille qui allait suivre ne sera pas de tout repos. Tu en avais parfaitement conscience...

- Je ferais un peu plus attention à ma sœur quand je retournerais à Poudlard... Erin va devoir être un peu plus interrogée ?

Une question qui ne démontrait pas ton ignorance mais simplement ton inquiétude... Elle avait beaucoup souffert de ces agressions à répétitions, remuer le couteau dans la plaie n’allait pas aider... Mais c’était sûrement un mal pour un bien... Si ce monstre était véritablement coupable, il devait croupir en prison pour ses crimes...
Sur une note plus douce, un songe hors contexte te vint à l’esprit... Redressant doucement la tête... Tu vins finalement à lui demander avec un doux sourire rayonnant.

- Du coup... Ta légilimancie vient de ta mère ? Ou... de ton père ?

Intérieurement, tu espérais qu’il allait te répondre sa mère car... si cela venait de son père, il y avait des chances que Mancini soit aussi légilimens... et de ce fait... qu’il ait pu lire TOUTES tes pensées. Notamment, ces fois où tu perdais ta concentration et que tu songeais à comment Magnus t’avait fait monté jusqu’aux cieux sans usage de balai... Certes, la question était plus légère mais il fallait que tu ne te perdes pas dans la gravité, au risque d’être beaucoup moins positive. Tu ne souhaitais pas te perdre dans ces ombres.

- En fonction de ta réponse... Je suppose que ton cher cousin a eu le droit à de biens belles images en me regardant.

Et cela allait être légèrement plus difficile de ne pas faire un sourire faussement gênée en le regardant pendant tes prochains cours. En même temps, tu te disais qu'il devait sûrement faire comme Magnus... Il devait sûrement coupé son don. Dans le cas contraire, tu ne pouvais imaginer la migraine colossale qu'il devait avoir chaque jour à entendre tous les songes de chaque élève... Tu avais mal au crâne, rien que de l'imaginer. Alors le vivre tous les jours ? Autant se jeter de la tour d'Astronomie, ce serait moins douloureux.






By Aardbei

Min-Hwan Park
Min-Hwan Park
Professeur
Onglet 1
Age : 26
Profession/Niveau : Doctorat 3 d'Enseignement d'Astronomie
Race : Humain
Statut : Né-Moldu
Baguette : Bois de Saule, Plume de phénix, de 27,9 cm, fine et flexible.
Patronus : Souris
Epouvantard : Être au milieu d’une foule
Gallions : 642
Faceclaim : Han Jisung
Date d'inscription : 07/12/2022
Messages : 369
Onglet 2
Onglet 3
#6836 -
like a friends

☽ • ☾

Elle pouvait faire attention à sa soeur, mais son sang était aussi mêlé, il était impossible et impensable de le faire seule, elle serait en danger. Elle devait faire attention, mais au moins, elle serait ici, avec moi assez longtemps pour que… Pour qu’elle ne soit pas touché, pas impacté. « Oui, ce n’était qu’une amorce tout à l’heure. » assurais-je alors que son esprit cherchait déjà à trouver une sortie pour ne pas en souffrir. Elle faisait bien, mais il fallait aussi pas oublier le futur.

Demandant donc si mon don était de ma mère, je compris rapidement ce qui pouvait la gêné en cas d’information inverse. Car elle avait pensé à nous, à moi, devant Amos et… Difficile d’ignorer ce genre de chose, surtout quand on connaissait le fameux mec. « Je crois qu’Amos a du en apprendre un peu trop sur mon intimité… », soufflais-je avec un regard désolé pour elle. « Les Mancini sont une famille de légilimens, mais tu ne dois pas en parler. Un légilimens dans une école est important, il est une tour de contrôle, si ça s’ébruite, il ne pourra plus protéger les élèves. », sur ce point j’étais sérieux. L’homme était bon, il s’inquiétait de la santé de ses élèves, mais bien au delà de ça, cette vision devait lui offrir bien plus.

Me relevant pour m’asseoir à côté d’elle, je glissais mes doigts entre les siens, les serrant légèrement alors que je reprenais, « Tes pensées sont assez lumineuse pour ne pas non plus tourner qu’autour de moi, même si au début… Savoir que j’avais un sexe d’étalon avait de quoi être perturbant, mais je pense qu’il doit y avoir bien pire. Le sexe, c’est peut-être usant à entendre, pareil si on se fait baver dessus, mais il y a bien pire à lire. Tant qu’il y a de l’amour, de l’attirance, ça veut dire que le monde étudiant tourne rond. », inclinant légèrement la tête, je précisais une phrase, « Enfin toi et moi, c’est de l’attirance, pas de l’amour, sauf si tu veux secrètement qu’on s’épouse et que je te demande en mariage sur une plage pendant un lâcher d’oiseau. », avec mon sourire sur le visage, c’était évident que je rigolais, même si je devais reconnaitre qu’en parler, avec elle, ne me dérangeait plus autant.

Je ne risquais rien avec elle non ? « Alors oui ça donne la migraine, mais parfois c’est utile. », vraiment utile.


☽ • ☾
ft. Athénaïs



_________________
Invité
Anonymous
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#7058 -


 



Like a Friends









Magnus Sørensen & Athenais Wheeler


Londres




Une amorce qu’il disait... Cela ne te plaisait pas grandement, tu connaissais le caractère très sensible de ta grande sœur et tu n’étais pas ravie à l’idée qu’elle soit interrogée un peu trop brusquement... Tu connaissais la façon de faire des aurors... Il suffisait qu’elle tombe sur un imbécile pour que l’expérience ne soit pas bonne. Mais c’était nécessaire, au moins cela permettra de mettre un nom au commanditaire de son agression... Par ailleurs, te mettre des inquiétudes dans la tête n’allait pas t’aider à te détendre. Ta sœur était entre de bonnes mains, tu savais qu’Amos Mancini était à Poudlard et qu’il veillerait au grain. C’était d’ailleurs... Ce songe qui te fit te questionner sur une potentielle... légilimancie. Et... tu eus raison. Un petit rire s’échappait de tes lippes alors que tu pinçais tes lèvres, détournant le regard avant de faire une petite moue.

- Je ne dirais rien. Mais... Oui, il y a des chances qu’il eut le droit à quelques détails s’il prenait la peine de lire. Désolé ?

Un faux pardon évidemment, il était pleinement conscient que tu ne pouvais pas deviner que le sous-directeur était légilimens... Il ne cachait très bien et ne démontrait aucunement qu’il pouvait tout entendre... Tu ne pus retenir un rire et un sourire entendu quand il évoquait le principal de tes songes. Oui, il ne fallait pas le nier... Magnus était très très bien membré. Mais ça, tu avais eu la décence de lui faire comprendre.

- Je ne suis pas non plus une obsédée ! J’avoue que j’y songeais parfois... Mais pas constamment non plus.

Et c’était vrai, tu avais surtout tendance à songer aux moments tendres après les étreintes. C’était sûrement ce qui te plaisait le plus, l’après-baise. Par ailleurs tes sourcils se froncèrent quand il vint à évoquer de... l’amour ? Un pouffement s’en suivit avant que tu ne fasses un signe de main comme pour balayer cette idée. Et le mot mari... mariage ?! Tu pris un air offusqué en le regardant avant de finalement éclater de rire.

- Pendant qu’on y est, je veux que tu m’engrosses d’une dizaine d’enfants et qu’on vive heureux ensemble jusqu’à la fin des temps ? Tu en as d’autres des idées totalement farfelues ? La vie n’est pas un conte de fée. L’amour, c’est surfait. Comme tu l’as dis, toi et moi, c’est uniquement de l’attirance. Très forte certes, on a une très bonne alchimie mais ça s’arrête là. On sait ce que l’on veut et où l’on va. Y a qu’à voir ce que l’amour a apporté à ma sœur. Tu crois sincèrement que j’ai envie de tester ?

Non, clairement pas. Tout ce qui se passait entre toi et Magnus... C’était pas de l’amour. De l’affection oui, de l’attirance, assurément. Mais l’amour... en somme, c’était quoi ? Juste une émotion romantique et imaginaire. Alors que ta relation amicale avec le norvégien était réelle.
Prenant sa main, tu te redressais doucement pour venir t’installer sur lui, enfouissant ton visage dans son cou, déposant de petits baisers.

- Je ferais un peu plus attention à ce que je pense quand je serais en sa présence. J’éviterais de songer aux bons moments que je passe avec toi.

Ta main glissant sur sa joue, puis caressant sa barbe, tes lèvres vinrent à la rencontre des siennes avec une certaine douceur. Puis tu retournais contre son cou pour humer son parfum.

- Puis bon... Tu as aussi la preuve que je suis pas la seule à te trouver sexy. Erin a dû y songer en te voyant. Après tout... tu as des yeux magnifiques, on pourrait s’y perdre. Mais comme tu le sais... Moi, ce que je préfère... c’est quand tu retires tes lunettes avant de m’embrasser. Ça pourrait réveiller une morte.

Et évidemment, il avait toujours eu accès à tes songes et ceux-ci étaient en accord avec tes paroles. Dans le fond... ton cœur le savait, il avait conscience des choses mais ta tête ? Elle s’obstinait à nier l’évidence. C’était mieux ainsi, tu en étais très heureuse et tu avais remarqué au fil du temps, que Magnus semblait bien plus épanoui. Cela supposait que tu remplissais bien ton rôle d'amie... Et que tu lui apportais suffisamment pour qu'il puisse s'ouvrir au monde.







By Aardbei

Min-Hwan Park
Min-Hwan Park
Professeur
Onglet 1
Age : 26
Profession/Niveau : Doctorat 3 d'Enseignement d'Astronomie
Race : Humain
Statut : Né-Moldu
Baguette : Bois de Saule, Plume de phénix, de 27,9 cm, fine et flexible.
Patronus : Souris
Epouvantard : Être au milieu d’une foule
Gallions : 642
Faceclaim : Han Jisung
Date d'inscription : 07/12/2022
Messages : 369
Onglet 2
Onglet 3
#7089 -
like a friends

☽ • ☾

« C’est pas grave, j’ai jamais eu de soucis avec ça. », même si avec lui, ça pourrait être étrange. Après, j’avais déjà vu pire aussi dans son esprit, enfin pire… Quand même pas, mais passons, elle n’était en effet pas une obsédée, elle n’y pensait pas non plus constamment et après un sourire, « Oh le premier jour c’était pas mal quand même. », soulignais-je avant de préciser que c’était certaines choses qui pouvaient gêné, le reste, et que ça ne nous concernant pas vraiment.

Riant à ce qu’elle venait d’ajouter, même si ça finissait sur une note moins joyeuse, c’était surtout le fait de nous imaginer dans quelque chose d’aussi peu acceptable. Enfin si, pour les normes. « Dieu merci non, ça me va très bien, j’ai pas envie que ça change. », je ne voulais pas finir dans ce genre d’état. Déjà car je n’y croyais, car l’amour n’existait pas. Ce n’était qu’une illusion, qu’une vague réalité impossible à accepter.

Répondant à ses lèvres, je glissais mes mains autour de ses hanches alors que je glissais moi aussi mon visage contre sa peau, m’y cachant alors qu’elle m’assurait qu’elle essayerait de ne plus y penser. « Si tu peux, j’aime bien… », la revoir y penser, y réfléchir, me rappeler que nous étions bien plus, que nous étions parfaitement en accords. Une alchimie évidente. Elle n’était cela dit pas responsable selon elle, j’avais du voir dans l’esprit de sa soeur qu’elle me trouvait aussi sexy, mais ce qu’elle préférait c’était mes yeux, surtout quand je retirais mes lunettes pour l’embrasser. Ça ferait son effet à n’importe qui selon elle. Me pinçant légèrement les lèvres, je la regardais avec chaleur, jouant clairement de ce qu’elle m’avait dit, appuyant cette image pour finalement lui dire, « J’avais remarqué, mais pas à ce point… Tu sais que tu viens de me donner une bonne façon de t’avoir maintenant ? », quoi que je n’en avais pas besoin, nous nous appelions constamment, y répondre était facile.

« Mais oui, quoi que je ne suis pas le seul mec sexy dans la tête de ta soeur… », j’étais simplement… Bien fait. Assez pour attirer assez de regard, « J’ai l’habitude cela dit, je suis sexy… », mais pas réellement arrogant, « Cela dit, tant que je suis sexy pour toi, ça me va… », sinon on perdrait un axe plus qu’intéressant de notre amitié, même si… Plus ça avançait, plus le fait d’aimer son corps n’était plus réellement le plus important. Elle m’apportait bien plus.


☽ • ☾
ft. Athénaïs



_________________
Invité
Anonymous
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#7100 -


 



Like a Friends









Magnus Sørensen & Athenais Wheeler


Londres




Bon, heureusement pour toi, il ne semblait pas plus gêné de la situation. En un sens... Il aurait pu te prévenir s’il avait été réellement pudique, donc... Franchement, s’il n’avait pas été content, il n’aurait pu s’en prendre qu’à lui-même. C’est d’ailleurs ce que tu t’empressas de lui dire avec un ton bien espiègle et taquin.

- Oh, tu sais... De toute façon, si cela t’avait gêné. J’aurais été tenté de te dire que tu n’aurais pas pu m’en blâmer.

Oh que non. Et puis il semblait rassuré que tu ne veuilles pas de ce genre de vie. Clairement pas, non... Ce type d’existences ne te conviendrait pas du tout... Tu avais trop besoin de liberté. Ou du moins, en partie... Tu percevais le mariage comme des chaînes ou même comme un véritable tue-relation... Le nombre de relations qui avait volé en éclats après un mariage... C’était sûrement la pire invention de l’univers. M’enfin, tu n’allais pas l’enquiquiner avec ça, même si tu savais qu’il lisait en toi comme dans un livre ouvert et qu’il allait certainement entendre ce que tu pensais... Un soupir franchissait la barrière de tes lippes et... tes sourcils s’arquèrent avant que tu ne mordilles tes lèvres. Il aimait bien d’entendre y penser ?... Malgré tout, il occupait une bonne partie de tes songes. Tu ne pus t’empêcher de glousser légèrement avant de répondre sur le fait.

- Tu sais bien que nous n’avons pas besoin de ça pour nous chauffer mutuellement. Un regard de toi peut me suffire pour que je sois bonne à changer de sous-vêtements.

Et le pire, c’était que tu n’exagérais même pas. Il n’avait qu’à faire ce petit regard intense, pincer légèrement sa lippe en s’approchant, poser sa puissante main sur ta hanche... et les images de vos divers ébats pouvaient se succéder dans ton esprit... Cette alchimie était dévastatrice et si addictive. Continuant d’humer son parfum, tu souriais.

- Je doute que tu ne cesses de l’être un jour pour moi.

Un aveu certain, puisqu’à l’évidence... l’envie de lui te venait à n’importe quelle heure de la journée. Ton désir, cette attirance... ils demeuraient si violents, comme si tu craignais que cela s’arrête. Sans doute pour cette raison que tu n’avais aucune honte à profiter. Tu l’appréciais... tu l’appréciais énormément, il t’était devenu indispensable et... malgré tout, personne n’était parvenu à se créer une place aussi importante dans ta vie, hormis ta famille... Cela te troublait, il était presque devenu aussi essentiel que l’air que tu respires...

- Normalement... A la fin de l’année, je serais diplômée. Je vais peut être louée l’appartement à côté s’il se libère.

Même si vivre pleinement avec lui aurait été sûrement plus sympathique... Il avait le droit à son intimité et puis... à quelques pas l’un de l’autre, cela pouvait être vivable non ? La peur de t’imposer était certaine. Et puis, tu te disais qu'une fois indépendante... Il allait sans doute trouver ça normal que tu aies ton chez-toi.







By Aardbei

Min-Hwan Park
Min-Hwan Park
Professeur
Onglet 1
Age : 26
Profession/Niveau : Doctorat 3 d'Enseignement d'Astronomie
Race : Humain
Statut : Né-Moldu
Baguette : Bois de Saule, Plume de phénix, de 27,9 cm, fine et flexible.
Patronus : Souris
Epouvantard : Être au milieu d’une foule
Gallions : 642
Faceclaim : Han Jisung
Date d'inscription : 07/12/2022
Messages : 369
Onglet 2
Onglet 3
#7110 -
like a friends

☽ • ☾

En effet, on avait besoin de rien, juste de l’autre, juste de nous et de ses souvenirs. Souriant lorsqu’il était question de changer de sous-vêtement au premier regard, je la regardais penser à plus à l’instant où je posais une main sur elle, « Ça serait plus rapide que tu vives nue non ? », demandais-je dans un sourire, ça ne me dérangerait pas. Le plus important n’était au final pas les autres, mais elle, sa vision qu’elle avait de moi, de nous et je comprenais sans difficulté qu’elle pourrait bien prendre la forme et le visage qu’elle voulait que rien ne changerait.

J’avais apprit à vivre avec elle, apprit à l’aimer comme l’amie fidèle qu’elle était. Ca allait au delà des corps, c’était son esprit tout entier qui me suffisait. « C’est réciproque… » soufflais-je alors contre ses lèvres, entendant que comme moi, ma présence était devenu indispensable. On avait pas besoin de plus, très clairement. On se suffisait, mutuellement. Et puis, elle soufflait qu’à la fin de l’année elle serait diplômée et qu’elle louerait peut-être l’appartement d’à côté si il venait à se libérer. Ce qui ne m’arrangeait subitement plus vraiment. Vivre avec elle serait mieux, mon intimité n’en étant pas vraiment une sans elle. On s’entendait trop bien pour que ça n’aille pas.

« Ou sinon viens vivre ici. À côté ou ici ça ne changera rien, si ce n’est qu’on aura pas à traverser un appartement pour trouver l’autre… », et pour la chercher assez comme ça, je n’avais pas besoin de la distance pour me rappeler qu’elle était nécéssaire. « On fonctionne bien à deux, pourquoi ça changerait ? », pourquoi on aurait besoin d’agir autrement ? On ne changeait pas une équipe qui gagne, pas quand elle avait fait ses preuves, qu’on respectait déjà l’espace de l’autre. Si ça n’avait pas été, je l’aurais su tout de suite et ce n’était pas le cas. On fonctionnait au delà du sexe. « En plus je suis pas sûr que ça se libère… J’ai juste a faire de la place dans mes placards. », un détail moindre qui ne serait pas difficile à mettre en place. Surtout avec de la magie.

Elle n’avait pas besoin de chercher, elle avait déjà un chez elle, une place dans cette colocation étrange, mais pourtant saine.


☽ • ☾
ft. Athénaïs



_________________
Invité
Anonymous
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#7217 -


 



Like a Friends









Magnus Sørensen & Athenais Wheeler


Londres




La petite plaisanterie sur une potentielle vie basée sur la nudité te fit sourire et un peu rire à la fois. Effectivement, ça règlerait pas mal de soucis en matière de nettoyage de vêtements. Mais d’un point de vue purement éthique, ça manquait un peu de bienséance non ? M’enfin, la boutade te fit malgré tout bien sourire. Haussant les épaules avec un brin de fausse nonchalance, tu répondis simplement à sa provocation.

- Juste en privé alors, il faudrait pas que je me fasse arrêter pour atteinte à la pudeur, j’en choquerais plus d’un.

Surtout qu’il devait savoir que tu étais bien trop soucieuse du bien-être d’autrui pour faire ce genre de choses. Tu te demandais même intérieurement si tu l’avais déjà faite sous état d’ébriété... Mais aucun souvenir ne te vint sur ce point. Ton manque de pudeur avait sûrement des limites. Ou bien était-ce parce qu’il s’agissait de lui que tu te moquais un peu plus de ce qui t’entourait... Ce qui était un joli plus malgré tout...
Par ailleurs, il répondit à ton songe... Ajoutant que c’était réciproque. En toute honnêteté, beaucoup de personnes devait avoir le sentiment qu’avoir un ami ou un parent legilimens... était un calvaire, un poids, quelque chose d’oppressant. Pour ta part, c’était tout l’inverse. Il avait un accès complet à ta songe, il pouvait s’assurer de ta sincérité à tout moment. Nul besoin de te justifier, nul besoin de lui prouver que tu étais franche, il le savait... il l’entendait continuellement. Et ça... C’était sans doute le poids le plus lourd qu’il avait ôté dans ta poitrine. Ce poids constant que tu devais constamment porter car l’on pouvait de penser manipulatrice ou mal intentionnée. Après tout “comment quelqu’un peut donner de sa personne sans rien attendre en retour ?”, cette phrase résonnait continuellement dans ton esprit et depuis que tu étais avec lui, il l’avait totalement fait disparaître. Car lui te croyait, lui avait confiance en toi... Il n’avait pas idée à quel point, ça te soulageait grandement. Enfin maintenant, il le savait...

Caressant sa joue délicatement, tes sourcils se haussèrent de surprise sur le coup puis... Tu te disais qu’il n’avait pas tort. S’il se sentait pleinement à l’aise avec toi et qu’il n’avait pas le sentiment d’étouffer... C’était déjà une très bonne chose, la cohabitation était tout aussi satisfaisante pour toi que pour lui. Il ajoutait même qu’il avait juste à faire un peu de place dans ses placards. Un gloussement s’échappant de tes lippes alors que tu murmurais doucement.

- Tu oublies que je suis une femme, j’ai une garde-robe plus vaste qu’un coffre chez Gringotts !

Une autre taquiner évidemment, mais de toute évidence... Il ne serait pas complexe d’ensorceler le placard pour le rendre plus vaste et créer une sorte de dressing interne. Une idée assez amusante qui te venait à l’esprit alors que tu te blottissais un peu plus contre lui. Glissant finalement une main dans ses cheveux, tu déposais un énième baiser contre sa peau.

- Espérons que Pumpkin et Twilight s’entendent bien.

Car tu allais évidemment venir vivre ici avec ton matou noir. Lui par ailleurs était bien plus indépendant et bien moins tactile que la chatte de Magnus. Il était le genre de chat à apprécier des caresses de temps en temps mais sans excès. Il n’y avait plus qu’à voir si la cohabitation entre felins sera aussi bonne que celles entre maître. Tu l’espérais sincèrement.







By Aardbei

Min-Hwan Park
Min-Hwan Park
Professeur
Onglet 1
Age : 26
Profession/Niveau : Doctorat 3 d'Enseignement d'Astronomie
Race : Humain
Statut : Né-Moldu
Baguette : Bois de Saule, Plume de phénix, de 27,9 cm, fine et flexible.
Patronus : Souris
Epouvantard : Être au milieu d’une foule
Gallions : 642
Faceclaim : Han Jisung
Date d'inscription : 07/12/2022
Messages : 369
Onglet 2
Onglet 3
#7302 -
like a friends

☽ • ☾

Elle pourrait vivre nue ? Proposition intéressante à bien des niveaux, mais bien risqué aux yeux de la loi. « Tu saurais surtout réveiller le plus paresseux des hommes… », car je ne voyais pas grand monde capable de résister à ce qu’elle avait à proposer. Pas grand monde de capable d’ignorer sa perfection. Elle n’avait rien de mystique, c’était sans doute ce qui la rendait encore plus désirable.

Quoi que son esprit jouait beaucoup, elle semblait en mesure d’accepter tout ce que mon don impliqué, du meilleur au pire sans doute. Elle n’avait de peur, pas l’impression que je l’oppresse. Ça lui faisait gagner du temps, elle n’avait rien à prouver, elle ne pouvait qu’être franche. Elle économisait plus d’une pensée, plus d’un doute. Elle ne voyait pas le mal que les autres pouvaient voir. Alors pourquoi ne pas la laisser vivre ici ? Ça serait plus simple à plus d’un égard, ça serait plus simple. La cohabitation était déjà simple, mais je n’avais sans doute pas imaginé qu’elle puisse avoir autant de vêtements… « Si seulement il existait quelque chose pour agrandir l’intérieur d’un objet sans pour autant déformer l’extérieur… », soufflais-je faussement pensif alors qu’elle y pensait déjà.

Inclinant légèrement la tête à son contact, je la laissais m’embrasser pendant qu’elle s’inquiétait de la cohabitation de nos deux chats. « Tu peux déjà le ramener, on saura… », murmurais-je contre sa peau, conscient que mon chat n’était pas bien difficile, que la cohabitation pourrait-être facile si elle le voulait. « Il ne devrait pas y avoir de soucis. » ajoutais-je en embrassant sa ligne se son cou.

« D’autres oppositions ? », demandais-je simplement, laissant son esprit en trouver, quoi qu’elle avait déjà bien fait le tour, je doutais qu’il reste encore quelque chose à relever. On s’entendait, il y aurait assez de place pour elle et les chats devrait avoir des caractères facile. « Je suis même disposer à chercher un autre appartement si tu as besoin de plus de place. », même si j’aimais beaucoup le mien, je n’étais pas fermé. Ce n’était qu’immobilier, il serait clairement possible de trouver autre chose ailleurs sans que ça ne change grand chose.


☽ • ☾
ft. Athénaïs



_________________
Invité
Anonymous
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#7315 -


 



Like a Friends









Magnus Sørensen & Athenais Wheeler


Londres




Levant doucement les yeux au ciel à ce petit compliment, tu trouvais qu’il exagérait. Non pas que tu n’avais pas conscience de ton potentiel physique, tu partais du principe que chaque plastique et corps ne plaisait pas à tout le monde. Il n’y avait que les vélanes qui avaient le luxe de pouvoir être belles pour tout le monde. Enfin... Luxe était un grand mot. Tu voyais à quel point tes deux sœurs souffraient de leur don. Pour ta part, tu étais heureuse de ne pas avoir hérité de ce pouvoir. En un sens, tu avais la certitude que si on te trouvait attirante, c’était pour ce que tu étais véritablement, pas à cause de ton sang. Une véritable chance que tes deux sœurs n’avaient pas. M’enfin, actuellement, tant que tu demeurais attirante à ses yeux à lui... Le reste n’avait que peu d’importance. C’était fou à quel point, il avait de l’importance maintenant...

L’idée de vivre avec lui... enfin, de vivre pleinement avec lui... Cela ne t’était pas venu à l’esprit directement. Après tout, il avait été acté que c’était temporaire et que c’était pour se rendre service. Là... C’était véritablement une proposition de collocation. La cohabitation s’était toujours très bien passée mais certains détails te venaient à l’esprit... La question de la place, la présence de ton chat... Il trouvait la solution directement, ramener ton matou en avance. Pourquoi pas, c’était une bonne idée.

- J’irais le chercher demain après le travail pour voir si Pumpkin l’accepte. Après tout, c’est un mâle et il rentre sur son territoire. J’espère qu’elle ne le transformera pas en pâté.

Gloussant légèrement alors qu’un léger frémissement te gagnait en sentant ses lèvres se presser contre ton cou. Tu secouais doucement la tête quand il te demandait si tu avais d’autres “objections” pour le coup... Il n’y avait rien de plus à relever. Par ailleurs, tes sourcils se froncèrent doucement quand il envisageait un déménagement.

- Non, ce sera pas nécessaire. J’aime beaucoup ton appartement, je le trouve apaisant, comme un petit cocon sûr. Il y a clairement assez de place pour deux. N’oublies pas que j’ai vécu une bonne partie de ma scolarité dans des dortoirs étroits.

Non, tu aimais beaucoup cet endroit. A quoi bon vouloir partir ? Et puis... Ce serait aussi le déraciner. Avant de songer une seconde à un tel changement, il fallait d’abord s’assurer qu’il soit pleinement bien. De plus, ce n’était pas utile... Deux sorciers et deux chats, ici... C’était largement suffisant. Tu inclinais la tête avant de décider de le taquiner un peu.

- A moins que tu prévois une autre personne à héberger ? Je dois m’inquiéter d’être remplacée par une autre de tes amies ?

Une petite taquinerie mais cela ne te dérangerait pas. Tu n’avais aucune jalousie entre amie quoi que... L’idée qu’il puisse être aussi proche que toi avec une autre... Tu ressentais tout de même cette petite pique dans ta poitrine. Oui, non ça ne te plaisait pas des masses. Mais tu n’allais pas l’empêcher de vivre, donc tu te contentais de hausser les épaules.

- Dois-je me préparer mentalement ? Je ne suis pas possessive amicalement mais... Je ne sais pas. Quand ça te concerne, l’idée me semble beaucoup moins plaisante.






By Aardbei

Min-Hwan Park
Min-Hwan Park
Professeur
Onglet 1
Age : 26
Profession/Niveau : Doctorat 3 d'Enseignement d'Astronomie
Race : Humain
Statut : Né-Moldu
Baguette : Bois de Saule, Plume de phénix, de 27,9 cm, fine et flexible.
Patronus : Souris
Epouvantard : Être au milieu d’une foule
Gallions : 642
Faceclaim : Han Jisung
Date d'inscription : 07/12/2022
Messages : 369
Onglet 2
Onglet 3
#7387 -
like a friends

☽ • ☾

Elle doutait d’elle, enfin de ce qu’elle était, même si elle ne voulait pas du don de ses soeurs, elle doutait d’être aussi attractives qu’elles et c’était sans doute vrai, mais si le charme de sa soeur avait attiré mon regard, la seule que je voulais toucher, c’était elle. Alors pourquoi ne pas vivre ensemble ? Il était évident qu’on aurait encore quelques mois pour se faire à chaque choses, quelques mois pour découvrir si nous étions vraiment compatible, mais c’était déjà une bonne approche. Il n’y aurait en effet que les chats sans doute, mais elle irait chercher le sien demain pour voir comment ça se passe.

« On verra, mais elle n’a jamais été territoriale. », ça ne devrait pas poser de problème. Du moins si on réussissait à s’occuper de l’espace, mais là encore, je n’avais pas trop de doute. Il y avait ce qu’il fallait pour agrandir l’espace et en réalité, si jamais c’était vraiment problématique, il suffirait de déménager non ? Elle ne voulait pas, elle aimait mon appartement, il était apaisant et il y avait assez d’espace pour deux, surtout si on se rappelait qu’elle avait vécu une bonne partie de sa vie dans des dortoirs étroits. Souriant à ce fait, il était vrai que vu comme ça, mon appartement était un palace. « Alors on restera là. », j’aimais qu’elle me respecte assez pour ça, pour vouloir me préserver ici, même si l’idée que je puisse la remplacer traversa son esprit. « Me voilà démasqué dans mon plan de harem… » soufflais-je dans un rire.

Rire qui s’effaça de lui même en sentant son esprit divaguer et craindre que ça puisse être une réalité. Devait-elle se préparer ? Elle n’était pas possessive, mais elle n’aimait pas cette idée me concernant, « J’ai l’air d’avoir encore assez de temps avec toi dans ma vie pour une autre ? » demandais-je un peu plus rationnel. « Je ne me suis jamais entendu avec quiconque avant toi à ce niveau là, je subissais toujours. C’est pas maintenant que je vais changer. Y’a qu’avec toi que ça fonctionne. » assurais-je simplement. Je pouvais sans doute nier bien des réalités, mais pas celle là. J’avais appris à fonctionner avec elle, car elle était spéciale, je me voyais mal abandonner cet équilibre pour quelqu’un d’autre.


☽ • ☾
ft. Athénaïs



_________________
Invité
Anonymous
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#7428 -


 



Like a Friends









Magnus Sørensen & Athenais Wheeler


Londres




Un chat non territorial ? Cela t’étonnait un peu. Mais tu supposais qu’il avait dû l’éduquer de sorte à ce qu’elle n’ait pas besoin de se sentir possessive. Quoi que... Quand tu la voyais se loger sur ses épaules avec douceur, tu supposais qu’elle appréciait beaucoup son maître. Même si elle était partageuse, elle devait avoir sûrement ses limites. Ce songe te fit d’ailleurs beaucoup sourire.
Par ailleurs, ce sourire semblait s’amoindrir légèrement à l’idée que tu sois partageuse à ton tour. Car malgré tout... Tu n’étais pas vraiment dans l’optique de demeurer possessive ou même... jalouse ? Non, ce n’était clairement pas dans ta nature. L’idée te rebutait même. Ce genre d’amis étouffants qui faisaient des crises de jalousie sans raison... ça te dépassait complètement même. Mais... Tu ne savais comment le dire... L’idée qu’il puisse partager ce genre de moments privilégiés avec une autre personne. Etrangement... ça t’enchantait beaucoup moins. Cela valut même un soupir intérieur contre toi-même. Tu te sentais bien stupide d’y songer d’ailleurs... Et... Il vint mettre fin rapidement à tes doutes internes.

- Je... Je ne sais pas, tu pourrais bien. Tu es libre après tout de t’épanouir pleinement...

Mais... Il semblerait que les propos qui suivirent, te firent cligner des yeux de surprise. Oh... Plus que de surprise, tu dirais plutôt que c’était assez agréable à entendre. Tu sentis ton sourire s’élargir jusqu’aux oreilles alors que tu pinçais tes lippes avec douceur. Pour être un peu plus taquine, tu vins à entourer tes bras autour de son cou avant de demander en pressant ton front contre le sien.

- Magnus... Tu n’es pas honnête. Je te fais subir beaucoup de choses dernièrement. Regarde à quel point, je t’épuise avec mes idées et nos galipettes. Franchement quel monstre, je suis.

L’idée de dire abomination était venue mais... Tu te souvins que c’était ce que les racistes disaient des vélanes... Donc autant ne pas l’utiliser pleinement. Bien entendu, tu avais dis cela avec un grand sourire et purement taquine. Mais ça te faisait plaisir... véritablement, tu vins à murmurer à quelques centimètres de son oreille.

- Tu es le premier avec qui je m’entends aussi bien... J’ai jamais eu une alchimie aussi forte avec quelqu’un. Je partage ce que tu ressens à deux cent pourcents.

Il était tout aussi authentique et spécial pour toi que tu l’étais pour lui. Tu l’appréciais énormément, plus que de raison d’ailleurs... Mais ça, tu ne pouvais pas le nier et il pouvait l’entendre assez souvent. Pour qu’il hante la plupart du temps tes songes, c’était qu’il avait une place bien importante dans tes pensées mais aussi dans ton cœur.  






By Aardbei

Contenu sponsorisé
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#0 -
Revenir en haut





Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum