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Ft Thomas Gaunt & Adria Carrow


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24 février 2023, Manoir Gaunt
ᛏᛁᚢᚴᛋ ᛏᛁᛋᛏᛁᚾᛋ ᛏᛁᛋᚬᚱᛘᛅᛁᛋ ᛚᛁᛁᛋ


Quelle famille étrange. Adria avait toujours cru que sa propre famille était loin d’être dans la normalité, entre son cousin-parrain-père, sa mère-grande-tante et son neveu-frère… Mais les Gaunt… Ah. Les Gaunt ! C’était une autre paire de manches. Elle avait entendu bien des choses à leur sujet : hommes macho pervers à tendance à reluquer un peu trop les formes féminines, consanguinité extrême et grand oncle mégalomane raciste. Mais s’était-elle attendue à ça ? Non. Ô que non. Mais reprenons du début.

Voilà quelques jours que son cousin, enfin pardon non, père, lui avait annoncé avoir organisé des fiançailles entre elle et un Gaunt. Une histoire de “service rendu” qui se soldait apparemment par des fiançailles. Bon. Soit. Adria savait très bien que son “père” n’était pas blanc comme une colombe et qu’il avait tendence à tordre la justice et les faits par des biais douteux pour arriver à ses fins. Elle n’était donc pas si surprise de finir fiancée pour “service rendu”. Après tout… elle avait été élevée en tant que sang-pur traditionnelle et avait toujours su que ce moment viendrait. Elle savait qu’Elegius l’aimait véritablement comme sa propre fille et avait donc un certain espoir que l’homme qu’il lui avait trouvé serait… décent. Bon, soyons clairs, elle priait Merlin depuis trois jours de ne pas être fiancée au vieux Gaunt dont on entendait tant de choses sur lui. Pourtant, Adria connaissait sa place. Elegius demandait ? Elegius aurait. Le soir du dîner de fiançailles, la Croate n’avait pas ignoré les détails. Jolie, elle savait l’être. Ses longs cheveux blonds avaient était bouclés et tombaient sur ses épaules avec légèreté et élégance. Elle avait maquillé ses yeux vers d’un fard élégant, mais naturel. Elle avait revêtu une robe élégante qui mettait son corps en valeur, sans tomber dans l’excès. Parfaite. Elle était parfaite et elle le savait. Cette apparence de toute héritière idéale, elle la travaillait avec soins et savait comment l’entretenir.

C’est aux bras d’Elegius Carrow, celui qui demeurait officiellement son père, qu’Adria arriva chez les Gaunt, en compagnie de sa grand-mère, Danielle Rosier-Carrow. Danielle était la mère d’Elegius, épouse d’Amycus Carrow et vouait une terrible passion pour le défunt Lord. Entrer chez les Gaunt était donc, pour elle, béni de Merlin. Si sa grand-mère s’étonna de ne pas voir Bill Gaunt (non sans une apparente déception), Adria fut intérieurement lourdement soulagée de réaliser que son fiancé n’était autre que le fils dudit pervers. Un fils relativement jeune et qui ne semblait pas dépourvu de manières. Était-elle rassurée ? Plus ou moins. Le dîner fut si formel qu’Adria eu très peu d’espace pour connaître son fiancé ou d’apprendre quoi que ce soit sur lui… à part qu’il faisait un doctorat. Elegius connaissant Thomas, la conversation se porta principalement entre les deux hommes. Pour autant, si une chose inquiéta Adria… ce fut le comportement de Christina Gaunt. Soumise à son fils, le suivant telle une ombre ? Était-ce cela qui l’attendait elle aussi ?

Le dîner se termina tout aussi formellement qu’il avait débuté et Adria avait un terrible sentiment qu’il avait été une immense perte de temps. A part voir à quoi Thomas Gaunt ressemblait physiquement, elle n’en savait pas plus qu’avant. Frustrant. Alors qu’ils furent raccompagnés dans l’entrée du manoir, Adria demanda la permission de s’entretenir avec l’héritier, de manière à connaître l’homme qui partagerait ainsi son destin. Alors que Danielle protestait, rappelant l’étiquette et les bonnes manières, Elegius fit taire sa mère.

- Adria a raison, mère. Il s’agit d’une demande légitime après tout. De plus, ils sont tous deux étudiants à Poudlard. Thomas, serais-tu d’accord ?

Elegius attendit alors la réponse de Thomas et reprit :

- J’ai d’ailleurs confiance en Thomas et ma charmante fille pour savoir que tout sera fait dans le respect le plus complet. Thomas, serais-tu assez aimable pour raccompagner Adria chez nous ensuite ? Je ne suis pas serein à ce qu’elle transplane seule à une heure si tardive.

Puis, une fois le Gaunt ayant répondu, Elegius embrassa formellement la joue d’Adria avant de transplaner en compagnie de Danielle, laissant les deux fiancés seuls à seuls.

- Merci pour cet agréable dîner, Monsieur Gaunt. C'est un plaisir de faire votre connaissance, dit-elle alors de son ton si poli et au formalisme irréprochable.

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Thomas Gaunt
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Adria Carrow & Thomas Gaunt
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24 février - Manoir Gaunt




J'avais souris. Avec un rien d'ironie sans doute. Enfoncé dans le fauteuil qu'occupait généralement mon père, je m'amusais a tourner et a retourner la missive contenant une proposition que je n'avais pas vraiment vu venir. Adria Carrow. Il n'était pas difficile de savoir qu'elle n'était en rien la véritable fille d'Elegius. Après tout, il était l'avocat de notre famille, ne pas avoir un minimum de renseignement sur lui serait une erreur. Cela dit, les origines d'Adria demeuraient bien cachés et, honnêtement, avais je réellement envie de creuser ? Elegius n'était pas un homme a prendre a la légère, ce ne serait sans doute pas pertinent de vouloir dénicher ses secrets. En tout état de cause, la naissance d'Adria n'était pas légitime mais on ne pouvait nier qu'elle soit de sang pur et officiellement, elle était la fille de l'avocat des familles les plus influentes du monde sorcier. En vérité, cette alliance n'était pas mauvaise du tout. Avec le temps, les origines d'Adria serait oubliées mais pas son lien avec Elegius. Evidemment, j'avais longuement réfléchis avant de répondre par l'affirmative. Mon pauvre père toujours alité n'étant pas en mesure de le faire. Elegius n'attendait qu'un geste pour me remettre les pleins pouvoirs sur la famille Gaunt. Il attendait juste de savoir si mon père pourrait s'en relever. Que cette demande de fiançailles arrive maintenant, dans ces circonstances, n'était sans doute pas anodine. Soit il pariait sur la mort de mon père, soit il prenait les devants en mettant Bill devant le fait accompli. En gros, la même stratégie que la mienne concernant ma sœur. C'était un bon coup, sans aucun doute. Bien que la demande émane de la matriarche de la famille qui tenait Voldemor comme un héro, Elegius n'aurait pas abondé dans son sens si cela ne lui profitait pas. Mais pour moi, cette union n'était pas sans avantages et je n'avais aucune raison de la refuser. Peu de temps après mon approbation, une invitation a diner fut lancée, que je rencontre ma promise.

Mère n'avait, bien évidemment, pas son mot a dire mais elle se fit honneur en organisant cette rencontre sur fond de dîner amical. Et, en l'absence de mon père, ce fut moi l'hôte, seconder par ma mère en maîtresse de maison. Ma première impression concernant ma fiancée fut sans aucun doute qu'elle était belle, sans artifice superflu et effacée. Mais je me méfiais souvent de la première impression, elle avait tendance a être trompeuse. Néanmoins, je les accueillis avec l'honneur qu'ils méritaient, rassurant la matriarche d'un sourire sur la santé de mon père. Qu'elle ne s’inquiète pas, il se remettait bien que son cœur ai faibli devant la trahison de sa fille, il restait un homme fort. Je savais cacher avec intelligence mes propres pensées sous un sourire affable et légèrement inquiet comme il se doit a un fils dont le père est alité. Le dîner se passa dans une ambiance tranquille et amicale. Mais je gardais un œil sur la jeune Adria. En apparence, elle était parfaite. Elle ne donnait pas son avis sans qu'on le lui demande, affichait un sourire mêlant timidité et retenue, et savait sans aucun doute se tenir. Ce ne fut qu'a la fin du diner, au moment où Elegius et les siens allaient s'en aller qu'elle prit une initiative. Je dissimulais l'étincelle de surprise qui s'était allumée dans mes iris avant de sourire a Elegius. « Bien sûr, c'est une demande légitime. Ne vous inquiétez pas Madame Rosier-Carrow, je m'assurerais qu'Adria rentre saine et sauve. »  Autrement dit, je ne la déshonorerais pas et elle quittera mon manoir aussi intacte qu'elle y était entrée. Aussi magnifique soit elle, je n'étais pas homme a laisser mes pulsions prendre le pas sur ma réflexion et je savais conserver une attitude digne. « Bien entendu. »  concédais je a Elegius avant qu'ils ne partent, me laissant seul avec ma fiancée.

Un léger sourire ombra mes lèvres tandis qu'elle se fendit d'une attitude irréprochablement guindée. Mais quelque chose me disait qu'elle n'était pas si parfaite qu'elle le laissait penser. Quel secret avait donc cette si parfaite princesse ? « Vraiment ? »  soufflais je d'un ton bas et amusé avant de finalement l'inviter d'un geste a me suivre. « Je suppose qu'un thé s'impose. A moins que vous ne préfériez quelque chose de plus fort. »  fis je en la guidant dans le petit salon et de lui désigner le canapé face a celui sur lequel je m'installais. Je passais commande de nos boissons a la gouvernante, préférant un cognac avant de croiser les jambes. Posant un coude sur le support du canapé, je logeais mon menton dans la paume de ma main, dardant un regard légèrement moqueur sur elle, laissant le silence s'installer dans en paraître gêné. Même après que nos breuvages aient été servis et que la gouvernante se soit effacé. Voyons ce que me voulait cette délicieuse plante verte.


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Peut-être Adria avait-elle la sensation de se jeter dans la gueule du loup en demandant une entrevue privée avec Thomas. Mais cela lui semblait nécessaire. Si Danielle semblait se préoccuper des apparences, Elegius devait forcément avoir compris les intentions d’Adria. C’était un homme bien trop intelligent pour se voir devancé par une jeune femme de 24 ans. Mais il avait accepté cette entrevue, conscient de la possibilité qu’Adria s’exprime bien trop librement avec Thomas. Ce dernier avait lui aussi accepté. Très bien. Dire qu’Adria ne se sentait pas nerveuse serait mentir, néanmoins, elle n’en montrait rien.

Elle se contenta de poliment le remercier pour cet agréable dîner. Thomas lui souffla alors un “vraiment ?” sur un ton qui transpirait d’amusement. Bon… de toute évidence, il savait qu’elle mentait. De toutes manières, le dîner avait été ennuyant à mourir pour elle. Néanmoins, le jeune Gaunt semblait ainsi voir au-delà des courbettes. Soit. Cela la renforçait sur cette idée de devoir être honnête avec lui s’il voyait déjà clair au travers de ses sourires pour un simplement remerciement de coutume. Elle le suivit alors, silencieuse, mesurée dans ses pas, élégante dans ses gestes, le buste droit, le menton haut : la posture impeccable. Ils arrivèrent ainsi dans un petit salon, un peu plus intime que la salle à manger formelle dans laquelle ils avaient dîner et lui proposa un thé… ou une boisson plus forte. Était-ce un test ? Probablement. Proposer de l’alcool n’était pas choquant. Mais il aurait pu proposer un vin blanc, un rosé ou de l’ydromel, comme beaucoup d’hommes le faisaient. A vrai dire… Adria en avait une sainte horreur, même si elle se forçait à en boire pour les apparences. Certes, avec modération, mais tout de même. De toutes façons, le verre de rosé sucré du dîner lui restait bien trop sur l’estomac. Elle profita ainsi qu’il demande un cognac pour… en faire de même :

- Je vous rejoindrai avec plaisir sur un cognac.

Une boisson sans conteste masculine, peu prisé des belles demoiselles de sang-pur en haute société. Mais la question de Thomas n’avait pas été innocente. Sa réponse n’avait donc pas été innocente non plus. Elle s’installa donc sur le sofa avec toute la grâce maîtrisée qu’on lui avait appris à montrer, nullement décontenancée par le regard… moqueur de Thomas. Attendez. Il avait un regard moqueur ? Mh. Soit, il allait visiblement se jouer d’elle.

La gouvernante arriva, alors qu’un silence de plomb s’était installé. Elle distribua les boissons et disparut. Le silence était si épais qu’on aurait presque pu le découper au couteau. Adria était impressionnée. Oui, elle l’était. Sous sa confiance et son éducation irréprochable, elle n’avait jamais été fiancée par le passé. Elle n’avait jamais eu à faire face à un homme dont elle devait d'honorer le nom, la famille, les traditions… bref. Tout cela était nouveau. Pourtant, elle refusait de montrer quoi que ce soit. En dépit d’une anxiété, elle s’était refusée à briser le silence, montrant qu’elle ne flancherait pas. Elle se pencha en avant, récupérant son verre et prenant une gorgée de cognac, avec toute la délicatesse de son rang. Certes… c’était au fond tout autant pour se donner du courage. Merlin. Pourquoi s’était-elle lancée là-dedans ? Pourquoi Elegius avait-il accepté ? Elle afficha alors un sourire. Un sourire doux, poli, élégant, parfait pour un portrait de famille. Ou une couverture de Sorcière Hebdo.

- Il semble que nous allons devoir passer un certain temps ensemble. Du moins… en public. Après tout, soyez certain que tout Poudlard sera déjà au courant d’ici mardi. Il semble que les ragots circulent plus vite que les hiboux dans cette école, finit-elle enfin par dire. Je me suis ainsi dit qu'avoir l’opportunité de nous connaître serait une bonne idée. J’ai entièrement conscience d’être la monnaie d’un service rendu entre mon père et vous et je ne peux que me douter du contenu du marché me concernant. Pour autant, si vous désirez une épouse aussi blanche et innocente qu’une colombe, alors je suis navrée de vous informer que vous serez amplement déçu sur ce que vous recevez. Je suis douée pour garder les secrets, Monsieur Gaunt. Mais si vous et moi devons partager notre vie ensemble dans un futur proche, sachez que je ne vais pas vous mentir, ni sur mon passé, ni sur mes fréquentations, ni sur mes occupations. Alors, que pensez-vous d’une honnêteté entière et sans faille ce soir ? Je suis persuadée que si vous avez accepté cette entrevue, c’est que vous êtes un brin curieux.

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Adria Carrow & Thomas Gaunt
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24 février - Manoir Gaunt




Son choix amena un sourire furtif sur mon visage. Ainsi donc, elle souhaitait se démarquer ? Pourquoi pas. En soit ma question n'était pas un piège, juste de la politesse, mais j'avouais que son choix restait surprenant. D'un coup d'oeil, j'étouffais le regard un peu choqué de notre gouvernante. Celle ci avait l'habitude de ma mère mais surtout, de mon père. Elle allait vite comprendre que les temps avaient changés.

Je m'installais donc dans un canapé, dardant sur ma fiancée un regard insondable, laissant les secondes s'écouler tranquillement. Parfois, c'était un moyen de pression efficace, j'étais curieux de voir comment elle comptait réagir. Serait elle affectée par le poids de mon regard ? Par celui du silence ? Etait elle réellement la plante qu'elle semblait vouloir être ? Mon intuition était elle bonne ou non ? Tant de questions et très peu de réponses au final. Il n'était donc pas étonnant que je lui mette la pression de cette façon, une manière aussi de lui laisser la parole. J'observais chacun de ses gestes. Difficile de la prendre en défaut, même ses mouvements étaient parfaits. Voulais je d'une fiancée parfaite ? Non. En voulais je une manipulable ? Oui. La différence était subtile mais elle existait néanmoins. Cela étant, je me méfiais d'Elegius. Avait il élevé une fille manipulable ?

Elle attira tout de suite mon attention, ouvrant la discussion sans frémir ne serait ce que d'un cil. Silencieusement, je la laisse dire ce qu'elle a a dire, sans montrer aucune expression. Que cela me plaise ou non, elle ne peut pas le voir, ni le sentir. Cela dit, sa franchise me surprend un peu et confirme un fait...Elle ne serait pas a sous-estimer. Etais je heureux de ce fait ? Ca c'était un autre problème. Une épouse trop intelligente pouvait me gêner mais c'était une autre affaire si elle adhérait a mes choix. J'aimais l'intelligence après tout, c'était toujours quelque chose de stimulant.  Un brin curieux, oui, elle avait raison, après tout, il était toujours bon de savoir dans quoi on s'engageait n'est ce pas. Et puis, au fond, je ne lui demanderais sans doute que de devoir sauver les apparences, ce qu'elle faisait a coté ne m'intéresserait pas, tant qu'elle n'entravait pas mes plans s’entend.   « Quelle franchise... » murmurais je doucement tandis qu'un léger sourire s'amusait de mes lèvres. Au moins, je pouvais lui reconnaître ce courage là, c'était certain.   « Soit miss Carrow, si vous voulez de la franchise.... »  je souris légèrement amusé, faisant tourner mon verre entre mes doigts.   « Il y a deux types de femmes qui conviennent a un héritier. Celle qui se tait et demeure invisible et celle qui est capable de soutenir les ambitions de son mari avec intelligence. Dites moi, a quelle type appartenez vous ? Je peux ne pas intervenir dans vos affaires, tant qu'elles n'entravent pas les miennes. Contrairement a mon père qui aime les vases ennuyeux, je suis fait d'un autre bois, je peux m'en contenter cela dit... Je ne néglige pas pour autant l'atout que peut être une épouse, me comprenez vous ? »  fis je lentement, l'éclat de mes iris s'affinant a mesure de mes mots. Je pouvais me contenter d'une idiote mais quelque chose me disait qu'elle ne l'était pas, donc...j'avais d'autre attentes évidemment.



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Probablement, Thomas ne s'était-il pas entendu à un discours. A vrai dire, en la regardant ainsi, probablement peu de gens se seraient attendus à un tel discours. Néanmoins, un sourire se dessina sur les lèvres du Gaunt. Était-ce positif ? Difficile à dire et Adria ne voulait pas se réjouir trop vite. De toute évidence, son fiancé était un homme bien plus complexe qu’il n’y paraissait et il faudrait être bien sot pour se dévoiler immédiatement à une inconnue. Ainsi, il accepta la franchise, parfait.

Adria avait tout craint. Qu’il s’exclame, qu’il s’insurge, qu’il rit, qu’il fasse revenir Elegius pour briser leurs fiançailles à peine prononcées. Mais une telle réponse ? Pas vraiment. Il lui posa une question, visant à savoir dans quel type de catégorie d’épouse se rangeait-elle, admettant préférer ouvertement une femme différente de celle qui l’avait mise au monde. Adia le toisa un instant, ses yeux émeraudes rivés sur lui. Elle était une femme instinctive, capable d’une grande adaptation, mais il lui semblait hors de question de précipiter la moindre réponse sans y réfléchir, sans peser ses mots. Tout son avenir pouvait basculer en fonction de ses phrases, mais aussi des ses mimiques. Tout pouvait changer. Ca n’était pas un entretien d’embauche, mais ça n’était pas non plus une conversation entre amis à un pub. C’était sa vie de femme, qui avançait pas à pas sur une corde fine. “Je peux ne pas intervenir dans vos affaires, tant qu'elles n'entravent pas les miennes.” Adria pesa les mots de son fiancé dans son esprit. Était-il réellement en train de lui dire qu'il se moquait bien de ce qu’elle faisait, temps qu’elle ne s'imposait pas dans ses propres actions ? Il le semblait, mais ne nous réjouissons pas trop vite. Peut-être ne voyait-il pas l'envergure de ce qu’elle sous-entendait. Pas encore, du moins.

- Soyons honnêtes, Monsieur Gaunt. Vous pouvez me forcer à me contenter de vous suivre telle une ombre, sans dire le moindre mot. Je ne suis pas sotte et encore moins naïve. Je sais que mon destin se résumera à ce dont vous pensez avoir besoin.

Elle marqua une légère pause, prenant une gorgée de cognac et reprit la parole.

- Mais si, en effet, vous affectionnez moins les jolies plantes d’intérieur, alors votre satisfaction sera identique à la mienne. Je peux tant vous suivre avec un joli sourire et chanter vos louanges, que vous dire ouvertement ce que je pense. Doutez vous bien que j’affectionne la deuxième option plus que la première. Je connais ma place, ne vous en souciez guère. Je connais mon devoir. Je sais où s’arrête ma liberté et où elle commence. Si vous voulez me résumer à un joli sourire soit, mais ce sera votre perte. Je vous suivrai, serrant les mains de vos alliés comme de vos ennemis, imitant votre danse, respectant votre mot. Je ne vous dirai jamais le fond de ma pensée en public. Peu importe qui est ce public, qu’il soit constitué de gens que vous considérez comme de confiance ou non. Je vous serai loyale en ce sens. Néanmoins, je ne cacherai pas mon opinion une fois les portes closes, qu’elle vous soit déplaisante ou non. Si nous devenons mari et femme, votre succès sera mon succès, et inversement. Je n’ai aucune aspiration à détruire ou pervertir vos ambitions. Mais je n’aurais pas le moindre filtre pour vous informer de ce que vos amis ou vos ennemis disent. Et croyez-moi qu’on dit bien des choses devant un bel objet décoratif qu’on pense innocent. Tout est question d’image, Monsieur Gaunt. Mais quelle est la votre ? A quel point ce qu’on dit de vous est-il la vérité ?

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Elle sait ce qu'elle veut et sait l'exprimer. Silencieusement, je l'écoute apposer les limites, les règles et ce qu'elle veut de ce mariage. Ce que j'en pense ne se voit guère dans l'éclat de mes iris sombre. Effectivement, une jolie plante n'est guère attrayante, je ne vais pas le nier. Au pire, elle devient même une faiblesse, il n'y a qu'a voir ma mère pour le savoir. Mais elle...N'est elle pas un peu trop parfaite ? Bien que je reconnaisse dans sa manière de faire la patte d'Elegius, après tout, il n'était pas devenu l'avocat préféré des puissants pour rien et je me demande jusqu'à quel point le rôle d'Adria auprès de moi est calculé. Peut être me méfiais je pour rien ou peut être pas, je dois pouvoir tout envisager. « C'est une image parfaite, presque trop... » fis je lentement, laissant mes lèvres s'incurver d'un sourire insondable. Oui, beaucoup trop. Mais en même temps... Une alliée ou une ennemie...je ne savais pas encore où elle se situait, ce que je devais déterminer c'était...le risque en valait il le cierge.

Mon regard dissèque chacun de ses traits, je ne sais pas réellement ce que je recherche dans ce visage. De la duplicité ? De la sincérité ? Elle est difficile a lire cela est certain, elle pourrait être une alliée dangereuse et efficace, restait a déterminer si je le voulais. Pensivement, je laissai mon verre danser au bout de mes doigts. Finalement, mon sourire s'arque. « Cela dépend de ce que vous avez entendu. » Je suis beaucoup de chose différente selon les points de vue. Un fils obéissant et légèrement idiot, un héritier manipulable, un serpent caché dans l'ombre pour très peu. Je sais ce que l'on dit, je sais ce que l'on pense. Cela ne m'affecte pas vraiment, je connais mon cœur et ce a quoi il aspire, je me donne les moyens de l'obtenir. Par des moyens discutables ? Oui peut être...Sans doute. Mais parfois, il fallait en passer par là. « Mon père dira sans doute que je suis un idiot qui ne lui arrive pas a la cheville. Ma mère ira dans son sens. Mes sœurs vous diront que je suis un connard arrogant et manipulateur. Mes amis, que je suis affable et tranquille, mes ennemis que je ne suis digne que de leur mépris et ma maîtresse n'a de cesse de vouloir prendre le dessus. » énumérais je avec un sourire tranquille mais une lueur froide nageant dans mes iris.

Pourtant mon verre a mes lèvres, j'avalais une gorgée de cognac avec un léger amusement. « L'important dans tout cela, c'est que personne ne sait réellement ce qu'il en est et que c'est très bien ainsi, n'êtes vous pas d'accord ? » puis, j'eus un léger rire. « Entrer dans notre famille n'est peut être pas le plus beau cadeau que vous ai fait votre père, néanmoins je pense que vous pourrez vous y épanouir et déployer vos multiples talents. » Un défi, si je devais y mettre un nom. Redorer notre blason et faire oublier les erreurs de mes ancêtres, jusqu'à totalement les effacer, tel était mon but dans un premier temps. Prendre la tête de la famille serait un premier pas mais sans doute le plus important, en cela, Adria était un atout non négligeable même si le mystère qui entourait sa naissance  restait un problème, l'aura d'Elegius suffisait a l'étouffer. « Très bien, Adria, je suis curieux de voir ce que peut donner notre...partenariat. Comme je l'ai dis, tant que vous n'entravez pas mes ambitions, vous êtes libre de vos faits et gestes, assurez vous juste d'une parfaite discrétion. Ce que j'attends de ma femme n'est pas une fidélité aveugle, ni une dévotion idiote, cela dit, gardez a l'esprit que j'apprécie l'intelligence. Je ne suis pas quelqu'un d'ingrat non plus, je sais très bien rendre ce que je reçois, a vous de savoir vous en servir. »



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Cette conversation ressemblait presque à une partie d'échec. Pion après pion sur le plateau, Thomas et Adria avançaient, se rapprochant lentement du jeu de l’autre. Cette conversation avait beau être inconfortable, puisqu’elle signerait peut-être le début de sa captivité, mais elle avait quelque chose de… grisant. Thomas avait une manière troublante de cacher ses pensées, ses émotions. Bien difficile donc, de lire son interlocuteur quand chaque trait de son visage semblait calculé. Pourtant… cela avait quelque chose de tout aussi challengeant. Thomas n’était pas un idiot. Il n’avait rien de ces héritiers qui suivent papa dans l’ombre et disent amen à tout pour la prospérité de la Maison et blablablablabla. Il avait quelque chose. Il dégageait quelque chose. Quelque chose de troublant, de presque effrayant, mais… qui ne déplaisait pas à Adria qui se sentait le désir de découvrir ce qui se cachait derrière ces mots parfaitement choisis et alignés. Cette conversation n’était peut-être pas une partie d'échec. C’était un coup de funambule. Ils avançaient chacun de leur côté sur une corde si fine qu’ils risquaient la chute. Mais parviendraient-ils à se retrouver au milieu ? Elegius avait au moins vu ça correctement. Adria ne s’ennuyait pas.

Une image parfaite, presque trop. Thomas n’avait pas tort, même si son sourire de façade incitait Adria dans la direction qu’il en pensait bien plus qu’il n’en disait. Adria esquissa un sourire, tout aussi beau et élégant qu’une couverture de Sorcière Hebdo.

- Mais bien-sûr, Monsieur Gaunt. C’est une image parfaite. Trop parfaite, vous avez raison. Mais vous savez tout comme moi quand on porte un tel nom, la perfection n’est pas une option, c’est une obligation.

Parce que oui. Quand on s’appelle Gaunt, ou Carrow, un mot de trop, une action mal calculée, et c’est le déshonneur. Dans une société où on acclame des soi-disant héros de guerre, la moindre erreur porte à la stigmatisation et Adria avait passé bien assez d’heures en salle d’interrogatoire pour le savoir.

Mais finalement, Adria Thomas décida de répondre à sa question, à savoir : qui était-il vraiment parmi ce qu’on disait de lui. Parce que, pourquoi avoir l’air stupide ? Beaucoup de choses se disaient sur Thomas et sa famille et nier qu’elle avait entendu quelque chose serait parfaitement inutile. Thomas décida alors de ne pas s’arrêter aux bruits de couloir et de viser plus large. Adria apprit alors les dires de Bill Gaunt, de son épouse, et des amis de l’héritier. Cela s’arrêta-t-il là ? Oh non. Il alla encore plus loin, parlant de ses ennemis et… d’une maîtresse. Soit. Adria apprécia qu’il soit donc bel et bien honnête sur ces points, même si toute l’école avait entendu parler de cette histoire. Adria avait beau n’être au coeur d’aucune rumeur, elle avait bel et bien des oreilles et il semblait que Poudlard possède un certain plaisir à répandre certains bruits. Néanmoins, elle ne retint en rien un sourire amusé face à tous ces qualificatifs.

- Je vois que vous faîtes donc parler, Monsieur Gaunt, souffla-t-elle avec amusement. Et que pensez donc que votre futur femme dira de vous ?

Une plaisanterie ? Oui, mais pas que. Elle pouvait faire toutes les suppositions du monde, rien ne remplaçait l’auto-évaluation. Comment jugerait-il qu’elle le jugerait ? Comment se verrait-il donc ? Une réponse qui serait probablement fort intéressante à entendre.

Faisant doucement valser le liquide ambré dans son verre, d’un geste souple et élégant du poignet, Adria ne quitta pas Thomas de ses iris émeraudes lorsque finalement ce dernier déclara que devenir une Gaunt était loin d’être un cadeau. Adria secoua doucement la tête.

- Il m’en fait un, ne vous en faites pas pour cela, répondit-elle sur un ton appuyé et lourd de sous-entendu. Pour ce qui est de me permettre de déployer mes multiples talents… mh. Fort probablement, oui. J’ai ouïe dire que nos talents respectifs serviront d’ailleurs à une cause qui nous dépasse, vous et moi.

Abadone. Adria ignorait si le fait que son allégeance à Abadone soit offerte à la même période que celle de Thomas soit un hasard ou une volonté. Elegius avait ce fort penchant à dire les choses… sans les révéler. Pour autant, puisque Thomas voyait qui elle était aujourd'hui, il lui semblait important de laisser de côté ce masque de stupidité et montrer que oui, elle se tenait informée des choses. De plus, Elegius n’avait peut-être pas informé Thomas de l'allégeance de sa “fille”. Important, donc, de montrer qu’elle était bien décidé à partager son savoir avec son fiancé, comme elle l’avait indiqué.

Pour autant, Thomas changea de ton. Enfin… non. Il ne changea pas de ton. Il changea sa formulation. Une petite altération qui ne manquait pas d’être prise en compte par Adria. Fini les jeux, la sentence était arrivée. Thomas était “curieux de leur partenariat”, clarifiant au passage quelques règles d’usages. Un fin sourire en coin se dessina sur le visage d’Adria lorsqu’il lui demanda la discrétion.

- Oh, Thomas, lança-t-elle avec un réel amusement dans le regard, passant volontairement à l’usage de son prénom, puisqu’il en avait fait de même. Une chose à savoir, c’est que je suis d’une immense discrétion. Une discrétion stricte et étudiée avec beaucoup de soin. J’aime ma liberté, mais la liberté ne veut pas dire agir sottement quand on l’entend. Il va néanmoins de soi j’apprécie votre attention de me laisser cette… Liberté. Je ne compte en rien vous déshonorer ou vous faire du tort. Ainsi, puisque vous me laissez cette confiance, j’aimerais, si vous le désirez, vous proposer de connaître les noms de mes partenaires. Je peux comprendre qu’il serait hautement étrange pour vous de découvrir après-coup être en contact avec un ou une de mes partenaires.

“Un ou une”. Elle avait volontairement précisé, ici cette information, de sorte que Thomas sache qu’en effet… Adria ne se résumait pas non plus à la petite héritière parfaite jusque dans ses pratiques. Honnêteté et franchise. Si Thomas lui laissait de la liberté, autant qu’il sache ce qu’il autorisait et qu’il sache qu’elle ne se cantonnait pas à une personne ici et là, mais… à plusieurs et parfois en groupe. Mais le fait qu’il n'ait jamais entendu parler de cela confirmait d’ailleurs qu’elle savait très bien comment rester discrète. Elle reprit ensuite la parole.

- Il en est de même pour vous. Je n’ai que peu d’égard sur ce qui se dit entre Miss Abbot et vous et je ne serai en rien une fiancée possessive et jalouse. Si votre désir va vers Miss Abbot ou d’autres personnes, ainsi soit-il, je ne vous jugerai jamais sur vos pratiques ou vos désirs. J’en demanderai simplement une discrétion, non pas pour moi, mais pour mon nom. Vous découvrirez que je suis extrêmement ouverte sur la question des relations, mais notre société n’est pas aussi ouverte que moi et je préfèrerais éviter qu’une ombre soit jetée sur le nom des Carrow.

Que Thomas s’envoie en l’air avec qui il veut. Elle s’en moquait. A vrai dire, s’il trouvait son plaisir, tant mieux, non ? Elle voulait seulement éviter qu’on ne la prenne publiquement pour une imbécile. Elegius non plus n’en serait probablement pas ravi. Et ça n’était en rien une pic sur cette affaire de vestiaire dont elle avait entendu parler. Bon, certes, elle n’aurait personnellement pas choisi les vestiaire comme lieu, mais soit. Chacun ses plaisirs, non ?

Finalement, un fin sourire apparut de nouveau sur son visage si angélique et innocent que Thomas pouvait désormais savoir être une simple façade cosmétique masquant une personnalité bien moins douce et innocente.

- Je dois admettre être tout aussi curieuse de ce partenariat qui me semble pour l’heure satisfaisant. Il serait d’ailleurs mentir que de dire que je ne suis pas agréablement surprise. Peut-être devrais-je tirer ma révérence à mon père.

Parce que oui, autant être honnête : elle y trouvait son compte. Ainsi, elle leva son verre en direction de Thomas, pour porter un toast.

- A un partenariat avantageux ? proposa-t-elle ainsi de trinquer.

••• By Aardbei

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