INSCRIPTION
Inscription à Poudlard Année : Bachelor 3 Date de Naissance : 30/07/2001 Lieu de naissance : Sidney ; Australie Don/Malédiction : Aucun Baguette : Ébène, Crin de Licorne, 28 cm, normal et flexible Patronus : Wombat Epouvantard : Mourir Niveau de vie : Pauvre Allégeance : Neutre Résultats Scolaires Membres des clubs suivants : - Chœur des Grenouilles (Membre) PHYSIQUE & MENTALDescription physique Couleurs des yeux : Noisette Signe Particulier : Quelques cicatrices sur le corps Origines Coréennes et Australiennes Les sentiments que mon physique inspire : J’ai toujours été un peu plus petit que les autres, en grande partie car j’ai été battu dans mon enfance et que les os cassé c’est pas top pour la croissance. Je ressemble beaucoup à ma mère, même si j’ai le nez de mon père. Je suis pas forcément celui qu’on remarque non plus, mais j’inspire confiance, sans doute car je suis calme, quoi que mon regard est assez expressif alors parfois je peux aussi en dire bien plus que ce que je laisse entendre. Je suis relativement pudique, en grande partie du à mes cicatrices qui génèrent un peu trop de question. Pour le reste, je suis né moldu, alors j’ai un peu de mal avec la monde des sorciers, préférant ce qui vient de mon monde. Description mentale Je connais la valeur des choses. Pire, je connais la valeur de la vie et la sensation que l’on ressent quand on la perd. J’ai beaucoup murit avec le temps, j’ai surtout prit beaucoup de recule sur la vie, sur les tracas du quotidien. Disons que j’ai jamais été très fan des drama, des conneries d’adolescents et que j’ai jamais réellement pris en compte la réputation, les commérage et j’en passe. En fait, je suis toujours resté en retrait sur ça, jugeant qu’il y avait plus grave, plus important aussi. Alors je suis peut-être courageux, ou brave, mais je choisis mes combats et j’ai plus tendance à modérer les gens, à leurs rappeler que si c’est grave à l’instant T, ce n’est pas forcément vraiment le cas et qu’il est sans doute plus intelligent de réfléchir à comment solutionner le problème plutôt que s’apitoyer. Gentil, bien qu’un peu trop calme pour ma maison, j’ai tendance à tendre la main à ceux dans le besoin, à écouter, mais à rarement prendre partie. C’est pas vraiment un manque de conviction ou de détermination, mais plus un manque de… Prise au sérieux ? Ouais, c’est sans doute ça. J’ai du mal à prendre tout ça au sérieux la moitié du temps. Alors oui, parfois je me moque, je dédramatise, mais c’est jamais méchant. C’est pour leur bien. Protecteur, j’ai tendance à couver les personnes que je prends sous mon aile, à m’opposé aux autres, seulement j’ai un problème avec la violence. Elle me fige. Je rebascule face aux coups, je redeviens ce gosse tétanisé et craignant pour sa vie. Je ne me bats pas, je ne rentre jamais en conflit physique et je désamorce toujours très vite. C’est peut-être de la lâcheté, celle de pas réussir à dépasser ça, mais je suppose qu’il est très difficile de se remettre de certaines choses. Je suppose aussi que la violence n’est pas une réponse, même elle n’est jamais une réponse. Travailleur et débrouillard, j’ai rapidement fini par me prendre en charge, par me débrouiller. Aussi précaire soit ma situation, je n’ai aucune dette, je suis quelqu’un de confiance qui sait où sont les priorités. Qui sait faire ce qu’on lui demande, mais aussi improviser en cas d’absence. Et il n’y a pas que là dedans que je suis bon. Je sais aussi travailler à l’école. En fait j’ai surtout une bonne méthodologie pour retenir vite. Après j’ai pas les études les plus compliqué, on va pas se mentir. Enfin les études avec le plus de cours surtout. J’en ai que deux et c’est plus de la pratique qu’autre chose. Et puis, je reste un musicien dans l’âme, je ne peux juste pas en faire mon métier, pas en faire un avenir. Je joue toujours très bien du piano et quand j’ai un peu d’argent de côté, j’essaie de m’acheter de quoi apprendre d’autres instruments, mais ça s’arrête là. À quelques soirées, sans réelle volonté de faire plus. Car il y a des choses plus importante et que si mon talent reste là, le jour ou j’aurais une situation stable, je pourrais me permettre des choses. . HISTOIREHistoire Partout autour de moi, j’ai toujours vu des gens heureux, content d’être ainsi, de vivre avec de la magie. Pour ma part, il me fallut des années pour comprendre qu’elle pouvait m’apporter quelque chose. Il me fallut des années pour accepter qu’elle ne puisse pas être qu’une source de malheur. Je suis né Moldu, dans une famille déjà bien dysfonctionnelle en Australie. Ma mère était une femme battue, musicienne et Coréenne et mon père, un alcoolique notoire, mais flic donc intouchable aux yeux de tous, Australien. J’ai jamais vraiment compris comment elle avait pu l’aimer, comment elle avait pu rester. Où comment elle avait pu me dire de serrer les dents et de continuer à l’aimer après les coups. Car l’aimer, je ne pus le faire bien longtemps, pas quand les gestes d’affection se faisait trop rare face à sa violence. Je le détestais, je le haïssais.
Ma mère, elle, en revanche, était ce que j’avais de plus précieux. Elle m’apprenait qu’il pouvait y avoir du bon, me transmettant sa passion pour la musique, m’apprenant à en jouer, à être même pas trop mauvais. Seulement je me sentais toujours différent, à l’écart et j’ai longtemps mit ça sur le fait que j’étais juste un enfant non désiré, que mon père avait épousé ma mère car il l’avait mise enceinte et que j’étais simplement le fruit d’une union sans amour. Mais c’était autre chose, une chose qui se révéla lentement, dans le temps. Prenant de l’ampleur à chaque fois qu’il y avait une dispute, à chaque fois qu’il levait la mains sur moi pour me frapper. Ce sentiment grandissait, les anormalités aussi… Et puis il y eut cette inscription. Celle à cette école de magie et ce fut le pire jour de ma vie. Apprendre qu’une telle chose existait provoqua la colère de mon père, une colère noir, destructrice. J’étais un monstre. Je n’avais pas le droit de vivre…
Alors qu’il commença à frapper, encore et encore, me brisant les côtes, lacérant mes organes jusqu’à ce que je ne perde connaissance, jusqu’à ce que ma mère finisse par l’arrêter, par le supplier de ne pas me tuer. Me conduisant en urgence à l’hôpital, ma mère mentit, expliquant que je m’étais battu avec des inconnus, protégeant mon père car elle aussi n’arrivait pas à voir en cette nouvelle quelque chose de bien. De bon. Gravement blessé, je subis de nombreuses opérations, restant dans le coma de long mois, loupant ainsi cette fameuse rentrée malgré les relances de l’école.
Reprenant mes esprits peu avant Noël, la convalescence fut longue et difficile. Pas tant physiquement, mais bien psychologiquement, car j’avais peur, peur de lui. Si je l’avais toujours haït, je réalisais aujourd’hui que je n’avais jamais vraiment eu peur de lui. Que mon arrogance m’avait protégé. Mais là… J’avais sentis mes os se brisé, je m’étais étouffé avec mon sang et surtout, je n’étais plus le batard qu’il avait eu avec un coup d’un soir, mais j’étais bien un monstre qui devait sa vie qu’à l’instinct maternelle d’une femme. Je n’avais plus le droit de parler à la maison. Je n’avais plus le droit de rien faire tant que je ne serais pas guéris… Alors j’ai essayé, plus d’une fois. J’ai essayé de trouver comment je pouvais guérir de la magie, comment je pouvais contenir ces élans de puissance qui faisaient vibrer les murs. Mais ça se contrôle pas, pas vraiment. C’est… Une utopie. Réellement. Car personne n’avait jamais pu guérir de ça, sauf par le feu…
Désertant l’école, je m’étais complètement renfermé sur moi-même, craignant tout ce que je pouvais faire et le craignant lui, complètement… Totalement… Les coups demeuraient quotidien et à force, je finis par croire qu’il fallait vraiment que je meure. Que je cesse d’exister… Et puis le jour de mon douzième anniversaire, une nouvelle relance, une nouvelle colère, une nouvelle rage, sauf que cette fois, je ne fus pas capable de ne serais-ce que lutter un peu. J’étais trop faible, j’avais cessé de vouloir me battre et simplement, je le laissais faire, priant pour que cette fois, il me tue… Ce qui n’arriva jamais. À la place, je repris connaissance dans un centre de soin bien particulier. Un centre de soin réservé aux sorciers… En plus de ne pas m’avoir tué, il m’avait confié à des monstres ? J’eus du mal à comprendre, du mal à saisir que pour une raison ou une autre, le gouvernement Australien avait faire de moi une pupille de l’état. Non. Le Gouvernement Magique Australien.
Ne comprenant pas réellement pourquoi, j’étais resté un moment en état de choc, rejoignant l’école sans trop savoir quoi y faire et avec un an de retard, j’y vécu des mois difficile, non des années. J’avais l’impression de ne pas être à ma place, l’impression qu’à tout moment, il pourrait revenir. J’avais peur de la magie, peur de ce qu’elle m’avait fait. Alors les premières années ne furent que des échecs, qu’une lutte du corps enseignant pour me faire accepter de pratiquer, me faire accepter de l’extérioriser pour ne pas prendre le risque de me voir devenir autre chose. Contenir la magie était dangereux, beaucoup trop pour qu’ils ne soient pas obligé de m’encadrer. Ce n’était pas tant pour me protéger que pour s’assurer qu’il n’y aurait pas la naissance d’un nouvel Obscurial. On ne faisait pas ça pour moi… Personne n’avait jamais rien fait pour moi… Personne ne pourrait jamais rien faire.
Pourtant, lentement, je finis par y croire, par accepter la présence des autres, par comprendre aussi que la violence n’était pas commune, pas absolument. J’acceptais la magie, même si elle demeurait effrayante, même si je n’étais jamais pleinement rassuré à cette idée.
Et puis j’eus 17 ans, la majorité pour un sorcier et… L’aide de l’état me fut retiré. Je devais à présent vivre par mes propres moyens et… Je réalisais que je venais de passer 5 ans à accepter un monde, inconnu, cinq ans à vivre loin de ma famille et… Je ne savais pas quoi faire, j’étais… À nouveau seul. Alors, dans un réflexe un peu stupide, je fis le chemin jusqu’à chez moi. Jusqu’à la maison. Rentrant avec la clé caché dans le jardin, j’avais pas vraiment réfléchit à ce que je voulais, à ce que j’attendais, mais… En cinq ans… Peut-être qu’eux aussi pourrait accepter ? Ils n’étaient pas seul ce weekend là, ils recevaient et peut-être que cela évita un accident, mais à l’instant où je fis le chemin jusqu’au salon, lorsque je vis le visage de mon père, noir de rage et la panique dans les yeux de ma mère… Je compris que ces années sans me voir n’avaient pas été d’une grande difficulté… On me croyait mort ? Non, on m’avait même enterré ? Mon père m’avait-il à ce point amoché qu’il avait cru y être arrivé cette fois ? Secouant la tête, j’avais filé à l’étage, trouvant une chambre vide, comme si je n’avais jamais existé. Comme si je n’avais jamais vécu là… M’effacer d’une vie semblait aussi simple que le faire magiquement visiblement… Alors j’avais fini par redescendre. Le collègue de mon père venant me trouver pour me demander où j’étais avant que je finisse à table, avec eux… Je l’avais dit que je ne m’étais jamais sentit à ma place à l’école ? Enfin j’avais tort. À l’école j’avais au moins des gens autour de moi, des gens sur qui compter. Ici… J’étais un étranger, un monstre. Un monstre qui mentit malgré tout, affirmant que j’avais simplement fugué… Et puis la fin du repas. J’avais demandé à récupérer mes affaires, affirmant que je partirais. Si mon père avait voulu régler ça à sa façon, la présence d’une baguette dans ma main le fit reculer. Pour la première fois de ma vie, je voyais cet homme faire un pas en arrière. Me craindre…
Une part de moi aurait réellement voulu le faire souffrir. Le lancer l’un des pires sortilèges au monde, mais… À quoi bon ? Je ne gagnerais qu’une bataille, mais rien ne pourrait effacer le passé. Récupérant donc une simple boite, j’étais sortie, filant rejoindre un professeur qui avait accepté de m’héberger le temps que je me retourne. Chose que je ne ferais pas ici. Pas si ça impliquait d’être trop prêt de lui, dans un pays qui ne m’apportait plus rien. Demandant alors un transfert dans une autre école. Je finis à Poudlard, rejoignant l’école pour ma sixième année et me faisant avancer les frais d’inscription. Le deal était très simple. Je restais autorisé à travailler le weekend pour payer mes frais de scolarités si et seulement si, je gardais un bon dossier scolaire, si mes notes n’en pâtissaient pas. N’ayant guère le choix, ce fut donc ainsi que je pris mon rythme. Enchainant les petits boulots pour l’école et vivant chez des commerçant durant les vacances contre mon aide. Ce n’était clairement pas le mieux, ma vie tenant dans une malle, certes étendu, mais dans une malle quand même, mais lentement, je reprenais la main. Je savais simplement que je ne pourrais pas suivre la voie que ma mère, celle dans laquelle je m’étais pourtant toujours épanouie, mais qu’ici, ne me permettrait pas de vivre. Je devais m’assumer, vivre dans un rêve n’était pas possible. .
Le Test du Choixpeau L'heure est venue, le Choixpeau est désormais sur ta tête. Tu vas être réparti... Mais où... Répond aux questions du Choixpeau et il te donnera ta maison... 1. S'il te fallait faire un choix, tu préférerais inventer une potion te garantissant...b. La gloire 2. Sous quel nom préférerais-tu entrer dans l'histoire ?d. L'Audacieux 3. Tu détesterais le plus qu'on te qualifie de...c. Lâche 4. Qu'est-ce que tu as le plus de mal à supporter ?e. Être ignorée 5. Quel instrument de musique trouves-tu le plus agréable ?c. Le piano 6. Quel chemin emprunterais-tu ?a. La grande allée d'herbe baignée de soleil 7. Quelle est la maison qui t'attire le plus ?a. Gryffondor 8. Dans quelle maison ne veux-tu absolument pas aller ?b. Serpentard
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