Chronologie
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Dernière édition par Engel Turner le Mar 14 Fév - 23:57, édité 1 fois
Between badgers, we know how to talk ?@Athénais Wheeler + @Engel TurnerSi, la veille, un soleil éclatant s'était répandu sur le château, jour de la fête honnis par moi-même, poussant tout les amoureux à roucouler dans tout les coins, même dans les jardins alors que j'essayais de faire mon sport tranquillement sans me faire bousculer par des gens étant aveuglés par ce sentiment stupide, il n'en était pas de même pour aujourd'hui. Le ciel bleu a été remplacé par des nuages noirs et la pluie s’abat sans cesse sur l'école. Un temps où certains de mes camarades grognent car ils préfèrent généralement rester au chaud sous la couette. Ce n'est pas mon cas. J'adore sentir l'odeur de la pluie, l'entendre tomber tel une douce musique, le tonnerre gronder au loin quand l'orage s'y mêle. La plupart du temps , j'arrive néanmoins à courir sous ce temps, même si je finissais mouillé malgré les vêtements résistant. Ma course habituelle ne dure pas aussi longtemps qu'un entraînement de quidditch sous pareil intempéries. Nos deux heures et demi de pratique nous ont tous rendus trempés jusqu'aux os. Heureusement que le vent ne bat pas de plein fouet, sinon, l'infirmerie serait vite remplie dès lendemain. |
Between badgers, we know how to talk Engel Turner & Athenais Wheeler Vestiaires, Poudlard Comme à chaque entrainement, les échanges furent intenses, vifs et particulièrement vivifiants. Un soupir s’était échappé de tes lippes alors que tu avais pu te dépenser comme il se doit. Il ne fallait pas se leurrer, tu n’étais pas de très bonne humeur ces derniers temps. Le retour à Poudlard t’avait un peu agacé, tu dormais assez mal. N’étant plus vraiment habituée à dormir seule, il t’arrivait de venir squatter le lit de ta meilleure amie Merindah quand ce n’était pas elle qui t’y rejoignait. Visiblement, tu te sentais mieux blottie contre quelqu’un, même s’il ne s’agissait pas de lui. Par ailleurs, les entrainements de Quidditch te permettaient d’évacuer la frustration accumulée du début de semaine. Cette fois-ci... Mara n’avait pas été tendre, les exercices avaient été bien plus difficiles et sportifs qu’à l’accoutumée. Autant le dire... Tu étais presque complètement trempée de sueur quand tu entrais finalement dans les vestiaires. Même après une nuit à forniquer, tu n’aurais pas été aussi mouillée, songeais-tu intérieurement en pouffant de rire. Mais alors que tu retirais les sangles avec aisance comme d’habitude, jusqu’à finir en t-shirt puis finalement en soutien-gorge et culotte, tu entendis un juron et... quelle insulte. Clignant des yeux sur le coup, tu vins à éclater de rire avant de t’approcher d’Engel qui était visiblement en train de se battre avec ses cheveux ? Te retournant donc, tu t’approchais d’elle alors que tu ôtais ton soutien-gorge sans aucune pudeur, le jetant sur l’un des bancs. - Besoin d’aide Engy ? Quoi que... Oh ? Mais qu’est-ce qu’il se passe ? Madame Turner daigne enfin montrer son corps de déesse ? J’ai fini par laisser tomber l’idée d’un jour voir les courbes de tes hanches. La taquinant évidemment, tu posais tes mains sur tes hanches en restant face à elle, toute curieuse à l’idée de pouvoir l’observer. Tu avais déjà pu remarquer qu’elle avait quelques tatouages mais tu n’avais jamais eu l’occasion de voir son dos. Bon, ce n’était pas clairement ce que tu préférais regarder chez une femme mais... le mystère appelle à la curiosité malsaine, n’est-ce pas ? Pour ta part... La pauvre Engel avait pu constater ton manque cruel de pudeur. Puis tu vins finalement à demander d’un ton plaisantin. - Et je te prierais d’être un peu plus gentille avec mes cuisses ! Elles ne s’ouvrent pas si facilement que ça. Enfin... Tout dépend si le feeling est là ou pas. Mais dernièrement, je suis sage comme un portrait ! Bon, tu te dépêches de te déshabiller ? On peut prendre notre douche ensemble, si tu veux ? Aucun sous-entendu vicieux dans tes propos, juste une simple proposition. C’était toujours plus sympathique d’être avec quelqu’un pendant une douche. Sans mentir... Tu songeais encore à ton ami avec qui tu avais souvent eu l’habitude de le faire... Même si cela terminait souvent en quelque chose de plus... profond. Ça te manquait d’avoir quelqu’un qui te frotte le dos ou bien... C’était juste lui qui te manquait... Mais bref, tu la dévisageais longuement en attendant sa décision, décidant de croiser les bras sous ta poitrine. Eurk... Tu te sentais poisseuse à ce stade, il fallait vraiment que tu ailles vite prendre une bonne douche ! By Aardbei |
Dernière édition par Engel Turner le Jeu 18 Mai - 16:26, édité 2 fois
Between badgers, we know how to talk ?@Athénais Wheeler + @Engel Turner
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Between badgers, we know how to talk Engel Turner & Athenais Wheeler Vestiaires, Poudlard Sincèrement, l’on pouvait penser en te voyant que tu étais une personne que l’on pourrait qualifier de... sans gêne ? Malgré tout, tu n’éprouvais aucun complexe sur ton corps et tu n’avais aucune pudeur. Le fait que tu sois bisexuelle ne changeait rien concernant un potentiel malaise vis-à-vis de la nudité. Par ailleurs, tu n’avais pas pu t’empêcher d’aller un peu taquiner ta pauvre comparse qui visiblement... n’était pas en train de se battre avec chevelure mais bel et bien avec les sangles de ses protections. Pour ta part, tu étais déjà quasiment nue et prête à aller prendre une douche bien méritée afin de détendre et réchauffer tes muscles endoloris par l’effort. Néanmoins... Le regard que te portait la jeune femme ainsi que... ses yeux baladeurs. Hm. Avec l’expérience, tu étais capable de dire sans grand mal qu’elle était en train de te mater. Tel un fauve devant un délicieux morceau de viande. Ça te faisait bien sourire. Malheureusement, tu n’éprouvais aucune honte à te faire lorgner de la sorte. Elle pouvait bien se rincer l’oeil si ça pouvait lui faire plaisir. Mais la voir s’empourprer de la sorte et surtout... se perdre dans un discours aussi... maladroit ? Un léger sourire espiègle s’étirait sur tes lippes tandis qu’elle essayait en vain de se dépatouiller. L’écoutant malgré tout sans lui couper la parole, tu la laissais exprimer son point de vue et démontrer qu’elle semblait avoir de l’admiration pour toi. Hm... Pourtant, il n’y avait pas de raisons. Même si tu étais préfète et que tu avais d’excellentes notes, tu ne t’estimais pas plus exceptionnelle que n’importe qui. - Alors... Déjà, tu vas respirer un bon coup, d’accord ? Je ne vais pas te dévorer à la moindre maladresse. J’ai beau avoir l’air redoutable quand je joue au Quidditch, je n’ai jamais bouffé personne. Enfin... Pas de façon véritablement douloureuse. Mais ça, c’est un détail ! Gloussant légèrement, tu t’approchais d’elle pour finalement commencer à lui retirer les sangles assez facilement, les protections n’étaient pas si complexes à retirer pour toi, la force de l’habitude. Celles-ci ne tardèrent pas à retrouver le sol. Puis, tu te reculais avant de finalement placer tes mains sous ta poitrine. - Et ça non plus, ça ne mord pas. Ça rebondit juste et c’est parfois assez lourd mais le sport fait des miracles en matière de maintien. Et non, tu n’es pas ridicule ni bizarre d’avoir de la pudeur. Puis sincèrement... Tu es encore jeune, tu n’as que seize ans si je ne me trompe pas ? Il est normal que tu sois aussi gênée. Je me doute aussi que tu es encore vierge et possiblement lesbienne ? Voire bi ? Vu comment tu as dévoré du regard mes seins, c’est difficile de penser autrement. Pouffant doucement de rire, tu passais une main dans tes cheveux. Un petit soupir franchissant la barrière de tes lippes tandis que tu dévisageais longuement la demoiselle. La pauvre, elle semblait vraiment complexée par son corps et pourtant, elle paraissait particulièrement musclée et même très bien entretenue. - Après, si tu te sens à l’aise. Tant mieux. Mais il faut que tu apprennes à ignorer les moqueries. La plupart des gens s’arrêtent aux apparences sans jamais essayer d’aller au-delà. Tu as le droit d’avoir tes complexes, tes exigences et surtout, tu es libre de ton propre corps. Si quelqu’un te fait une réflexion... Eh bien, il a autant le droit de s’exprimer que tu as le droit de l’envoyer promener. Le jugement d’autrui qui n’est pas constructif... tu peux t’en foutre complètement. Gardant le sourire, tu craquais doucement ta nuque, joignant tes mains afin de commencer un étirement, levant les bras vers le plafond afin d’étirer tes épaules ainsi que ton dos. Baillant légèrement alors que tu plaçais ta main devant ta bouche. - Et si ça peut te rassurer, je peux aussi me bander les yeux pendant la douche. Bon ce sera pas pratique pour me laver, mais ça pourrait être une expérience amusante. Quoi que... ça serait pas un peu bizarre ? Riant sans contenance, tu savais que la situation était ridicule, voire grotesque mais c’était pour démontrer que tu ne te sentais pas du tout mal et que tu savais que cela allait sûrement la détendre. Soufflant un peu plus, tu finissais par ajouter. - Mais je suis contente d’apprendre que ton petit surnom te plait. Je trouve que c’est toujours plus sympathique d’appeler quelqu’un par un surnom effectué, ça casse la barrière et ça créé un lien de confiance. C’est comme ça qu’on devient amis et qu’on peut compter les uns sur les autres, en quelque sorte. Si ma façon d’être avec toi, a pu t’aider à mieux te sentir, ça fait mon bonheur. By Aardbei |
Dernière édition par Engel Turner le Jeu 18 Mai - 16:26, édité 2 fois
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Between badgers, we know how to talk Engel Turner & Athenais Wheeler Vestiaires, Poudlard A dire vrai, le comportement qu’avait la jeune fille en face de toi était... typique. Il était presque écrit sur son front qu’elle n’avait aucune expérience en matière de sensualité ou de sexe tout court. Mais ce n’était pas vraiment un mal. Chacun était libre de faire ce qu’il désirait de son corps. Si certains préféraient se préserver jusqu’à trouver “la bonne personne”, d’autres comme toi avaient tendance à ne pas prêter de réelle attention à l’idée saugrenue qu’était “l’amour”. Pour toi, ce sentiment n’existait pas. Enfin... L’on pouvait éprouver de l’amour. Pour un parent, un frère, une sœur, un cousin... Pour sa famille, quoi. Mais pour une personne où il n’y avait aucun lien de sang ? Hm... ça te semblait totalement impossible. La perte d’un membre de ta famille serait le pire déchirement que tu pourrais ressentir. Te sentirais-tu aussi mal si tu perdais un ami ? Sans doutes. Mais le principe même de l’amour t’échappait... Tout comme le romantisme. D’ailleurs, cette fête ridicule qui avait eu lieu hier t’avait fait bien rire. Ça roucoulait de partout en pouffant comme des idiots et idiotes... Pathétique, pensais-tu intérieurement. Par ailleurs, ta congénère vint à s’exprimer un peu plus. L’écoutant donc, tu gloussais d’amusement en haussant les épaules. - Certes. Vierge mais pas aveugle. Tu as le droit de me trouver désirable et d’avoir l’esprit un peu indécent en me voyant. Je ne te lancerais pas le cognard pour ça. Après tout, les yeux sont fait pour regarder. Tant que tu ne t’amuses pas à toucher sans mon consentement, tu survivras. Lui faisant un petit clin d’oeil pour continuer de la taquiner, tu inclinais la tête après lui avoir proposé cette solution afin de lui éviter une trop lourde gêne. Elle t’indiquait que ce n’était pas nécessaire et elle vint même à te donner un petit surnom en réponse au tien, ce qui te fit avoir un rictus chaleureux face à cette initiative. - Non, non. Ça me va. C’est déjà mignon de prendre la peine de m’en donner un. Si tu m’avais donné le même que celui de ma grande sœur, par contre... tu t’aurais noyé sous la douche. Evidemment, c’était une plaisanterie. Mais tu estimais qu’il n’y avait qu’Erin qui pouvait se permettre de te surnommer ainsi. Par ailleurs, tu laissais la jeune femme se dévêtir sans l’épier. Il n’y avait rien de pire que d’être observée en train de se déshabiller. Elle n’était pas en train de te faire un strip-tease après tout, le but restait d’aller prendre une douche pour se réchauffer et se détendre les muscles. Pour ta part, tu craquais ta nuque avant de retirer ta petite culotte et tu te retournais uniquement quand tu la sentis effleurer ton corps. Acquiesçant d’un faible hochement de tête, tu lui indiquais l’une des douches après avoir attrapé ton gel douche et ta serviette. Choisissant la cabine la plus grande, tu plaçais ta serviette sur l’angle de la porte et attendis qu’elle rentre à l’intérieur afin de fermer à clé. Autant éviter qu’une autre personne se rajoute à la douche sans le consentement de la petite poufsouffle, même si toi... Tu n’avais aucune pudeur. La laissant choisir la température de l’eau, tu détachais tes cheveux à ton tour en t’étirant. - Je te laisse choisir la chaleur, je suis tolérante à l’eau très chaude, mets là aussi forte que tu veux. D’ailleurs, tu pourras féliciter ton tatoueur. Les détails sont très réussis. Surtout celui au niveau de la hanche, on voit qu’il a réussi à ne pas faire de bavure. Après tout, tu étais bien placé pour le savoir puisque tu possédais le tien juste en dessous de ta nuque. Même si celui-ci était bien plus simpliste que celui de ta congénère... Tu pouvais bien avouer que le tracé était très bien exécuté. Et puis... Ton ami en avait aussi, tu aimais beaucoup caresser sa peau et redessiner les traits de ses tatouages. Enfin, là n'était pas le moment de songer à lui, tu attrapais ton gel douche pour commencer à te savonner tranquillement. - Toi aussi, tu sens les courbatures monstrueuses qu'on va se taper demain ? By Aardbei |
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Between badgers, we know how to talk Engel Turner & Athenais Wheeler Vestiaires, Poudlard Hm ? Elle te remerciait de respecter sa pudeur ? D’accord... Cela te semblait assez étrange. Mais tu ne cherchais pas à le souligner. Tu savais également que certaines personnes se permettaient de la charrier sans aucun état d’âme et sans respect... Donc, tu supposais qu’elle avait l’impression que ton comportement n’était pas “normal”. Par ailleurs, tu n’allais pas remuer le couteau dans la plaie et tu arquais légèrement un sourcil quant elle vint déposer un baiser chaste sur ta joue. Retenant un petit gloussement d’amusement, tu la toisais avant de dire d’un ton plaisantin. - Moh. Me remercie pas de te respecter. C’est la base. Mais je prends bien quand même le petit bisou. Evidemment, tu savais pertinemment qu’elle n’avait eu aucune arrière pensée en t’embrassant de cette façon. Il n’y avait pas eu de gestes déplacés, pas de sous-entendus. Juste une simple et pure gratitude. Même si tu ne comprenais pas qu’elle t’en remercie, tu n’allais pas tergiverser sur le sujet et... tu entrepris donc d’aller jusqu’à la douche, lui laissant le loisir de choisir la température avant de soupirer d’aise. Hm... ça faisait un bien fou de pouvoir sentir la chaleur de l’eau s’abattre sur ta peau... La détente des muscles, la caresse de l’eau perlant ton épiderme pour mieux la laver de ses impuretés. C’était sûrement l’un des meilleurs moments de la journée pour toi. Tournant la tête en la regardant, tu haussais un sourcil avant de pouffer de rire. - Le maori. Et...Un piercing au téton je présume ? Ils ne savent jamais s’arrêter les tatoueurs. Il voit les êtres comme des toiles vierges qu’il faut parfaire d’encre. Après si tu as envie de t’infliger ça sur ton malheureux mamelon... Fais le. Personnellement, ce serait mort pour moi. Je détesterais perdre de la sensibilité au niveau de ma poitrine. Venais-tu de lui divulguer que tu avais de la sensibilité sur cette partie de ton corps ? Oui. Et sans aucune honte. Il n’y avait aucun mal à apprécier certaines zones de son corps et y être plus réceptive. Elle parla également de maladie. Haussant les épaules alors que tu te savonnais. Tu secouais la tête avant de lâcher un lourd soupir. - Oh, c’est pas un peu d’eau froide qui aura raison de nos corps. C’est les bactéries et virus qui créent les maladies. Tant que tu ne roules de patins à personne, tu es safe. Pour ta part... ton gel douche avait une douce odeur de camélias, de pissenlit et de tournesol. Ton shampoing était à l’huile d’argan pour assurer une douceur satisfaisante. Alors que tu te rinçais, tu tendis l’oreille. - Oui, je t’écoute ? Avais-tu simplement répondu sans pour autant te retourner. Et... ce que tu entendis... Clignant légèrement des yeux, tu demeurais attentive. La laissant exposer son point de vue et te questionner avec une certaine demande de précision. Restant toujours dos à elle, tu tournais simplement la tête en la regardant droit dans les yeux en lui offrant un sourire toujours aussi solaire. - Si tu as des doutes sur ton potentiel de séduction, je vais te répondre cash alors. Si tu avais quelques années de plus et que je n’étais pas déjà pleinement satisfaite sexuellement parlant, ton dos serait déjà contre le carrelage et je t’aurais dévoré les lèvres. Mais je ne te parle pas de celles du haut. Gloussant légèrement avant de détourner de nouveau le regard, pour te concentrer sur tes cheveux que tu te mis à masser afin de les laver. - Arrête de te dénigrer. Tu es une belle jeune femme, reste naturelle. La drague ça s’apprend sur le tas mais il faut surtout que tu restes authentique. Ne va pas faire semblant pour plaire, car sinon... Tu ne trouveras jamais ce que tu recherches vraiment. Pour ta part... Avec ton ami Magnus, tu avais trouvé le parfait équilibre. Vous vous apportiez tout ce dont vous aviez besoin. Tu lui souhaitais de trouver une amie semblable afin qu’elle puisse s’épanouir. By Aardbei |
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Between badgers, we know how to talk Engel Turner & Athenais Wheeler Vestiaires, Poudlard Eh bien, qui aurait cru qu’une telle conversation aurait pu bifurquer d’une telle façon ? Pour ta part, tu n’avais aucune gêne à en parler. La sexualité n’avait rien de tabou, beaucoup faisait des chaudrons pour en parler, mais toi... Tu trouvais ça normal. La question te posa te fit arquer un sourcil avant que tu ne hausses les épaules. Réfléchissant un instant si tu avais connu quelqu’un qui avait ce genre d’accessoires en bouche, ne trouvant pas de réponses à cette interrogation interne, tu répondis simplement. - Je dirais que ça dépend de la texture, de la forme, mais aussi de la matière du piercing. Pour ma part, je ne saurais pas te dire. Je suis relativement classique dans mes fréquentations et dans mes pratiques. Donc bon, je suppose que ça ferait une sensation supplémentaire ? Après, tu le sauras rapidement quand tu auras essayé avec plusieurs filles pour te faire un avis. Je ne suis pas la mieux placée pour te donner un avis objectif. Massant tes cheveux afin de les nettoyer, tu manquais de rouler des yeux quand tu l’entendis parler. Elle n’avait que seize ans et elle se prenait déjà la tête pour du relationnel. Soupirant intérieurement, tu tournais la tête en la regardant. - La patience est une vertu, ça viendra quand le moment sera venu. Avais-tu répondu avec un petit sourire. Évidemment, il fallut qu’elle te pose une question dont la réponse vint visiblement l’échauffer. Ah... Il ne faut jamais interroger quelqu’un quand on ne veut pas savoir la réponse, n’est-ce pas ? Trop tard pour elle. Elle avait eu sa réponse et tu t’étais montré même un peu trop franche. M’enfin, c’était dans ta personnalité, tu n’allais pas faire semblant et tu préférais rester être authentique. Finalement, tu te rinçais les cheveux, tu tournais la tête quand elle s’adressait de nouveau à toi. Le “Pitié” n’engageait rien de bon. Et ses mots se firent sourire, tu haussais les épaules avant de tirer la langue. - Tu sauras à l’avenir qu’il vaut mieux ne pas poser de questions, si on a peur d’entendre la réponse. Mais oui, tu as bien pris en considération les “si”. Malgré tout, je suis habituée aux vierges. Si je peux le dire comme ça. En règle générale, ce sont celles qui osent le plus me demander, car j’ai la réputation d’être à l’écoute de mes partenaires. Mais oui, reste naturelle. Y a rien de pire qu’une hypocrite. Mais la suite de ses propos... Tu sentis tes muscles se tendre lourdement. “Personne dans ta vie”... Un songe vint vers l’homme avec qui tu partageais une amitié très forte... Cet homme que tu appréciais beaucoup... Ainsi, tu eus un soupir avant de mordre ta lèvre et tu vins à lui avouer. - Effectivement. Je n’ai jamais été en couple avec personne et je ne le serais jamais. Par ailleurs, j’entretiens une relation amicale très forte avec un ami. Il n’est pas à Poudlard. Et il satisfait ma libido. Accepter de te faire connaître ta première fois serait comme lui manquer de respect pour moi. Je ne peux pas accéder à ta demande. Il n’y avait aucun contrat avec Magnus, ou du moins... rien sur le papier... Mais tu ne voulais que lui. Tu n’avais pas envie que d’autres personnes te touchent, il était le seul à emplir tes songes, le seul qui parvenait à te faire connaître le comble de l’extase et il t’apportait bien plus que du simple sexe. Donc, non. C'était hors de question que tu fasses cette impasse car toi-même... Tu te sentirais un peu mal qu’il le fasse. - Par ailleurs, je te considérais déjà comme une amie, Engy. Aie un peu plus confiance en toi, je ne m’approche pas de n’importe qui. Tu es quelqu’un de bien, qui mérite de l’attention. Mais surtout... Je sais que tu ne pourrais pas être comme moi. Le meilleur que je te souhaite, c’est de faire ta première fois avec la femme qui fera chavirer ton cœur. Moi, je ne crois pas à l’amour, mais il parait que c’est quelque chose de merveilleux. Alors... Reste toi-même et surtout, ne doute jamais de toi. Tu es talentueuse, intelligente et tu as du charme. Quelle fille serait assez stupide pour ne pas le remarquer ? Posant ta main sur le haut de sa tête pour la patpater comme tu aimais le dire. Tu sortais de la cabine après avoir enfilé ta serviette et égouttée tes cheveux. Craquant ta nuque une fois de plus en soupirant d’aise. Tu espérais que tes conseils l’aideraient à se sentir un peu mieux. Elle devait retrouver confiance en elle. - Dis-toi que si tu es incapable de t’aimer, personne ne pourra t’aimer. Apprends à t’apprécier, te faire confiance et tu trouveras ta perle. By Aardbei |
Between badgers, we know how to talk Athenais Wheeler & Engel Turner 15 Février, Vestiaires de Quidditch Je l’écoute religieusement alors qu’elle continue de m’expliquer sa vision de la chose. Quoi ? Autant que je me renseigne vu que j’ai mon piercing à la langue sur ce que cela pourrait faire aux demoiselles. La réponse qu’elle me donnera me satisfera et je viens doucement hocher la tête. -Je vois. Je te dirais mon feedback si cela arrive alors. Juste que la question m’a traversé l’esprit et je vois bien que tu es très libre pour en parler. Nous continuons à échanger et elle me dira de patienter au niveau des relations. Je me mors la lèvre alors que je me sens gentiment rabroué par elle. Rien de méchant mais même mon loup intérieur à les oreilles qui se couchent de se faire gronder. Nous aimons bien Théna tous les deux. C’est toujours un rayon de soleil quand nous sommes moroses. Et elle nous fait toujours rire. Bon, pour sa réponse et la mienne sur le fait qu’elle me trouvait attirante et que j’aurais pu être dans son lit j’étais plus âgée, j’avais mis les pieds dans le plat et sa réponse franche n’était pas du tout ce que je m’attendais. Je lui avais même dit ce que j’en pensais. J’en avais rougi un peu. Et ma réponse sembla l’amuser vu qu’elle me tira la langue. Dans un geste purement gamin, je répondis dans le même style, tirant la mienne, oubliant qu’elle pouvait du coup voir l’éclat argenté que je prenais bien soin de cacher habituellement. J’en rigolais alors que ses mots baissaient ma gêne. -Je ne peux m’en prendre qu’à moi-même effectivement... Je m’attendais à de la franchise mais pas à cette réponse-là. Et habituée aux vierges hein ? J’en avais vaguement entendu parler mais je n’ai jamais pris cela pour gallion comptant... Quant à être hypocrite. J’ai horreur des gens comme çà. On a tous des secrets à protéger dans nos vies mais il y a les cacher en restant soit et les camoufler en étant une fausse personne. Je ne comprends pas trop ce genre de personnes... J'écoute avec attention la suite de son discours, surtout comment elle parle de son ami. Il a bien de la chance de pouvoir compter pour elle. Je ne m’estime pas encore avoir ce rôle. On n'est pas si proche malgré mon envie. Et je comprends donc sa décision à elle de ne pas vouloir faire ma première fois vis-à-vis de lui. Après, ce qu’elle me dit me fait tiquer légèrement. Cela me sembler vraiment ressemblant à une relation quand même. Mais je ne lui dirais pas à haute voix. Ce ne sont pas mes affaires après tout. -Je le conçois Théna... je ne te demanderai jamais cela. Cela serait vous manquez de respect à tous les deux à ce compte-là et ce n’est pas mon intention... Je me retenais néanmoins de lui rappeler le fameux adage “Il ne faut jamais dire jamais” concernant le couple. Je pense que cela la braquerait et je n’en ai pas l’envie. Mon loup est totalement d’accord avec moi sur la question. Mais la suite me figera alors que mon loup bondit à l’arrière de mon esprit excité. Cela me fera fermer les yeux pour éviter que la tête me tourne de trop tellement il semble aussi fou de joie que moi. Heureusement que nous ne sommes pas sur la fameuse semaine sinon je n’arriverai même pas à le contrôler pour qu’il recule. Mais les mots chauds sont du baume sur notre conscience, ainsi que sur mon cœur meurtri. Une amie... Quelqu’un qui me considérait déjà comme cela... Une Meute pense-t-il. Nous ne sommes peut-être plus si seuls. C’est en réalisant cela que je découvre que le vide que je sentais toujours est là. Cette solitude. Nous avons été tellement déçus dans notre vie... Il me disait parfois de me méfier mais je voulais pouvoir faire confiance... Pour être mieux trahis derrière... Il est difficile maintenant de passer l’armure, je suis toujours sur mes gardes comme lui. Parfois, nous cherchons des motivations pour nous aider qui ne sont pas là. Il est même difficile de ne pas penser que les gens ne le font pas par pitié... Sale habitude que je tente de changer malgré tout. Néanmoins, son discours me fera un peu rire, alors que les quelques larmes qui coulent sur mes joues sont cachés par la douche. Elle l’avait rempli de compliment et de doux mots. Je sentais ceux-ci vidés certaines de mes blessures de leurs pus pour les nettoyer et mettre une première couche de baume cicatrisant. Cela faisait tellement de bien. C’était libérateur au possible pour mon âme. J’avais tellement été privé d’une quelconque forme d’affection que je ne m’étais pas rendue compte que j’en avais besoin. Mais je me refrène. Ce n’est pas parce que je suis en manque de cela que je dois en demander trop et trop vite... Cela me fait peur. Je suis assez réaliste pour savoir que j’aurai peur de mal faire, de demander à ce qu’on m’en montre jusqu’à étouffer la personne ou d’avoir peur de déranger la personne. J’aurai le temps de disséquer cela plus tard... Je la sens tapoter le haut de ma tête dans un geste d’affection avant de sortir pour enfiler la serviette. Je me mords la lèvre. Apprendre à m’apprécier ? Avoir confiance en moi ? Très difficile. Je sais très bien que ce que je suis. Si je le montre trop, on sera rejeté et mon loup couine à cette idée. Il va falloir faire des recherches. Le peu que je sais, c’est que les miens tentent de ne jamais rentrer dans des relations trop personnelles avec des gens normaux par peur de les contaminer. Il serait peut-être bon que je recherche le vrai du faux et que je me fasse une idée de ce qui est possible ou non. J’ai déjà de bonnes bases de ma situation mais autant être préparé au mieux. J’éteins la douche par automatisme avant de m’enrouler dans ma serviette. La seconde viendra d’une autre impulsion. J’ai besoin de faire cela. Je viens donc enrouler mes bras autour de sa taille alors que j’enfuis ma tête contre elle dans un câlin. Mes larmes coulent encore su mes joues sans que je m’en rende compte. Ma voix est tremblante et chargée d’émotions -Merci Théna... J’ai l’impression... que tu viens de m’offrir un cadeau auquel je ne m’attendais pas... Personne ne m’a jamais dit ce que tu viens de me dire.... Ni ne m’a proposé son amitié ainsi... Je... Cela fait du bien... Je vais tenter de me faire plus confiance et de m’accepter comme je suis... C’est parfois difficile de se voir sous le bon jour quand tu n’as entendu que des... critiques tout le long de ton enfance... Et je ne sais pas si je trouverai l’amour... C’est un concept étrange pour moi. Cela me fait un peu peur je dois bien l’avouer. Je connais l’attirance oui. Mais ce mot est encore trop fort et trop inconnu pour moi.... Donc... Merci d’être mon amie... J’ai eu quelques petits rire nerveux lors de certains de mes mots, surtout en ce qui concerne le sujet de la romance. Je finis par me détacher d’elle, essuyant mes larmes avant de tenter d’aller vers mon casier, mes doigts glissant dans mes cheveux pour commencer à défaire les nœuds si trouvant. J'irai chercher mes produits ensuite mais là, je compte bien me sécher, aussi bien le corps que la tête avant de me rhabiller. Surtout que je mets toujours du temps à me coiffer vu que ma chevelure est longue et épaisse. Un petit sort de séchage ne sera pas de trop pour aider à aller vite. Je prends donc tranquillement mon temps, sortant ma brosse pour défaire les nœuds. Il faudra un peu de temps, mais cela sera fait efficacement. Mes affaires propres sont sorties et je laisse tomber la serviette pour pouvoir enfiler de nouveaux sous-vêtements. Je n’ai plus de raison de devoir me cacher devant elle. by aardbei |
Between badgers, we know how to talk Engel Turner & Athenais Wheeler Vestiaires, Poudlard Gardant un petit sourire amusé alors qu’elle te disait qu’elle te ferait un retour d’expérience quand elle aura testé avec quelqu’un, tu acquiesçais comme pour la mettre au défi de réellement le faire. Pour ta part, ça t’amusait bien. Par ailleurs, tu n’avais pas hésité à lui dire que tu étais effectivement habituée aux premières fois... Certes, tu n’avais pas une panoplie d’amants et amantes mais... Il était vrai que tu avais eu quelques expériences avec des personnes n’ayant jamais tenté la chose. Au moins, tu inspirais la confiance et certains osaient demander, tout comme elle le faisait actuellement. - Se fier aux rumeurs n’est jamais bon. Mais au moins, tu as eu la décence de me demander. Mais oui, on a tendance à me faire confiance, pour ça qu’on m’a déjà proposé à plusieurs reprises. En fonction de la personne et de la situation, j’acceptais ou non. Malgré tout, tu n’étais pas non plus une grande séductrice. Tu étais davantage la bonne amie avec qui l’on pouvait attendre plus si le feeling passait bien. Néanmoins, tu lui avais fait part de ton amitié et de cette forme de fidélité que tu avais avec lui. - Tu ne peux pas te sentir mal à l’aise de ce que tu ignorais, t’en fais donc pas pour ça. Disais-tu avec une légereté et un calme complet. Pour ta part, il n’y avait aucun souci. C’est aussi pour cette raison que tu avais tenté de la rassurer en lui faisant comprendre que tu la considérais déjà comme une amie et qu’elle devait avoir un peu plus confiance en elle car elle le méritait. Avais-tu conscience qu’elle était en train de pleurer ? Non. La douche avait cet avantage de camoufler les larmes. Pourtant, tu avais été sincère avec elle. Après avoir mis ta serviette autour de toi, tu secouais légèrement tes cheveux d’un geste vif puis... Tu sentis tes bras t’entourer et la voix significative qui suivit... Tes sourcils se froncèrent même si elle ne pouvait pas le voir. Posant doucement ta main sur son bras afin de lui offrir une douce caresse, tu répondis simplement. - Si tu dois me remercier pour quelque chose, ce n’est pas d’avoir obtenu mon amitié. Celle-ci t’ai dû. Mais si par mes paroles j’ai pu t’aider à te sentir un peu mieux, j’en suis ravie. Par contre niveau amour... Ne comptes pas sur moi pour t’aider, pour moi... ça n’existe pas. Au moins ça avait le mérite d’être clair... Tu n’allais pas tergiverser sur le sujet car pour toi...le concept de l’amour était bien trop abstrait et basé sur des faits non logiques... Ainsi, tu la laissais se détacher de toi, tu déposais un petit baiser sur son front avant de commencer à te sécher et te rhabiller. - Par contre, la première ou le premier qui te brise le cœur. Je lui brise les deux jambes, tu le ou la préviendras. Lui offrant un petit clin d’oeil taquin, tu craquais doucement ta nuque avant de finalement lui faire un autre câlin de toi-même puis... tu sortis des vestiaires après avoir rangé tes affaires. Après tout... tu avais un mémoire à terminer. Et malheureusement, il n’allait pas se finir tout seul ce bougre. By Aardbei |
Between badgers, we know how to talk Athenais Wheeler & Engel Turner 15 Février, Vestiaires de Quidditch Je trouve qu’il vaut mieux demander plutôt qu’imposer, cela se passe toujours mieux ainsi. Je l’écoute alors qu’elle me confirme que cela lui arrive et qu’il ne vaut mieux pas écouter les rumeurs. Mais elle est sélective, ce qui est pour le mieux, après tout, tu te fais bien poursuivre par certains dont tu n’as clairement pas envie d’être proches. Le dernier en date avait esquivé les poids que je lui avais jeté à la tête car il me tape définitivement sur les nerfs. Je vais éviter d’en parler à Théna, sinon, il va y avoir un blessé grave à l’infirmerie dans pas long. Je me mords la lèvre puis continue de l’écouter avant de lui répondre. -Cela ne fait pas de mal de s’en excuser. Mais merci de me dire tout cela. Elle me dira ensuite les mots magiques qui feront du bien à mon moral et soigneront une partie de mon âme. Quelqu’un tient enfin à moi. Même si elle ne connait pas toute la vérité. Mais elle le fait avec un tel abandon que cela ne peut que m’émouvoir. Je finis donc par la prendre dans mes bras alors qu’elle vient poser sa main sur mon bras dans une douce caresse qui m’apaise et qui fait que je me sens un peu plus rassurée, gardant mes pieds sur terre. Je lui déverse peut-être trop mais cela ne semble pas la gêner outre mesure. J’écoute sa réponse avant d’éclater de rire sur la fin. -Tu ne peux pas savoir combien tu m’as fait du bien Théna... Ce ne sont pas des mots que j’entends tous les jours. Je ne savais même pas que j’avais besoin de les entendre avant que tu ne les dises... Mais je te remercie de tes paroles effectivement. Quant à l’amour. Je sais que je ne te demanderai donc pas ton avis sur la question. Mais je ne pense pas que j’évoquerai le sujet avant un bout de temps moi-même. Je me détache et elle me retient juste le temps de déposer un baiser sur mon front. C’était... Agréable. Je pense que c’est ainsi qu’on agit avec ses amis ou sa famille. Je n’ai pas vraiment eu les deux donc cela continue de me faire du bien et de me rendre émotive. Je continue d’essuyer mes larmes avant qu’elle ne sorte une dernière phrase qui me fera partir dans un grand éclat de rire. Je réponds à son clin d’oeil taquin par le mien. -Promis ! Je pense qu’il ou elle prendra peur et ne voudra plus être avec moi après. C’est que ce n’était pas la bonne personne ! Je me laisse aller dans le câlin avant de partir vers le casier. Je commence à me rhabiller puis je finis de sécher mes cheveux d’un sort. Je range mes affaires de toilettes dans mon casier, les affaires de quidditch à sécher avant de vérifier que tout est bon vu que je suis la dernière à partir. Je fais un petit signe à Théna quand elle part avant de récupérer mon sac, mettant la capuche de mon sweat sur la tête pour me protéger de la pluie puis de fermer les vestiaires. Autant rentrer pour aller étudier aussi. FIN by aardbei |