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#3121 -


Dernière édition par Adelai Flint le Sam 10 Déc - 1:59, édité 1 fois
Le prix de la liberté
Adelai & Owen

Quelques jours d’absence... C’était ce que ta famille avait demandé exceptionnellement à la directrice. Le devoir familial semblait devenir de plus en plus présent au point d’en devenir étouffant. Par ailleurs... Ces moments passés avec ta famille ne furent absolument pas agréables pour toi. Ta belle-mère semblait bien plus viscérale et décidée à te marier de force avant février. Pendant les vacances de Noël, tu devais te rendre au sein de la demeure de ton cousin éloigné. A dire vrai... Tu savais ce qui t’y attendait et le désir d’y aller n’était absolument pas là. Après mûre réflexion... Tu avais pris une décision. Mais pour se faire, il était légitime de prévenir Owen ? Avec tout ce qui s’était passé... Entre les sélections, son bras cassé par les entrainements... Tu aurais voulu lui épargner cette discussion mais tu savais qu’il t’en voudrait de ne pas lui en parler. Ainsi, tu étais venue le voir pendant le petit déjeuner.

« Pourrais-tu me rejoindre au lac noir après le petit-déjeuner ? Il faudrait qu’on discute... »

Oui, ce genre de mise en bouche n’était jamais anonciatrice de bonne nouvelle. Mais tu avais tenté de sourire pour essayer de le rassurer et lui démontrer qu’il ne devait pas s’inquiéter. Ainsi, tu retournas à ta place avec tes copines puis tu terminais ton devoir de sortilèges avant de prendre tes affaires et sortir de la grande salle. De toute évidence, il était pour le moment occupé à parler avec ses coéquipiers de Quidditch qui n’arrêtaient pas de lui poser des questions. Le désavantage d’être capitaine sûrement.
Pour ta part, tu marchais tranquillement jusqu’au lac noir, tu t’étais postée à l’endroit où tu avais l’habitude de lire tranquillement ou prendre tes bains de soleil quand il faisait bon. A cette époque de l’année, le soleil était agréable mais le vent frais était aussi les prémices de l’hiver qui approchait... Emmitoufflée dans l’écharpe qu’Owen t’avait offert, tu attendais sagement jusqu’à ce que tu le vois arriver. Le laissant s’installer à côté de toi, tu prenais sa main en tournant la tête vers lui.

« Avant que tu ne t’inquiètes, sache que tout va très bien entre nous et que je n’ai pas l’intention de rompre... Je voulais juste t’annoncer que... je vais accepter d’être déshéritée. Ma belle-mère m’a menacé de convaincre mon père de m’exclure de son testament et de ne plus s’occuper de moi si je refusais de me marier. J’ai bien réfléchi et... je n’ai pas l’intention d’épouser mon cousin. C’est toi que j’aime. »

Pour étayer tes propos, tu approchais doucement ton visage pour venir déposer un chaste baiser sur ses lèvres. Posant ton autre main sur sa joue, tu caressais délicatement celle-ci avant d’ajouter toujours aussi calme.

« L’un de mes frères m’a déjà donné de quoi continuer à étudier à Poudlard jusqu’à mes dix-huit ans... Une fois que j’aurais récupéré le coffre de ma mère, je serais libre. Mais en contre partie... Je perds ma famille et mes liens... Mes frères ne pourront que me voir en secret. C’est le prix de ma liberté. »

Et aussi de cette façon, tu pouvais être avec lui sans que l’on vienne te prendre la tête ou qu’il risque quoi que ce soit. Ta belle-mère avait gagné... Tu abandonnais la frégate et tu lui laissais le monopole de la maison. Dans un sens... Tu pensais que ton père était sous l’emprise du sortilège d’Impero mais tu n’avais aucune preuve et tu ne pouvais pas te permettre de le crier sur tous les toits... Au moins, tu serais désormais tranquille...

« Je me suis dis que c’était normal de t’en parler car... on a plus rien à craindre maintenant. Et tu n’as plus d’appréhension à avoir... on n’attend plus rien de moi désormais... J’ai envoyé la lettre ce matin à ma belle-mère. »

Oui, tu avais clairement pris les devants car tu saturais de cette situation. Normalement, tu allais pouvoir vivre ta vie étudiante tranquille. Du moins, c’était ce que tu pensais... A l’évidence, ta belle-mère avait obtenu ce qu’elle désirait. Elle voulait te virer de ta propre maison et être la seule femme qui compte pour ton père. Tu étais fatiguée de te battre et de subir.

© Laueee

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#3141 -

Le prix de la liberté
Adelaï
Mon accident avait fait du bruit. Le lendemain des amis était venu me voir, des curieux aussi et surtout Adelaï. Elle m’avait d’ailleurs annonce que le soir même elle devait partir chez ses parents. Ça me faisait peur, car j’avais qu’une trouille, c’est que sa belle-mère l’a mari plus vite que prévue et que je ne la revois pas. Je lui ai d’ailleurs dit que si dans une semaine, je n’avais pas de nouvelle, je venais la chercher moi-même. Moi et mon bras en écharpe.
J’ai donc passé la journée à l’infirmerie pendant qu’elle était en cours et le soir avant de partir elle est venue m’embrasser. Encore une fois, je lui ai confié que j’étais inquiet et comme souvent elle me dit que je n’ai pas à m’angoisser.

Quatre jours sont passés et putain que ces longs. Oui, je suis grossier là, car je m’inquiète. Déjà que mon Coach m’a ruiné, il était furieux pour l’accident, et ce qui l’énervais encore plus c’est que je m’en fichais, que tout ce qui m’importais, c’était qu’Ade revienne.
J’étais table en train de discuter avec mon équipe de Quidditch vue que mon bras allait mieux. J’avais pu retirer l’écharpe. L’infirmière avait super bien géré, je devais attendre encore trois jours avant de reprendre le sport, mais je pouvais déjà assister aux entraînements.
Je relève la tête quand je vois Adelaï approché. Enfin, elle est revenue. J’entends quelques murmures des filles de Serdaigle et je lâche un.

« C’est bon… »

Ça m’agaçait qu’elles se mêlent de ma vie privée. Je souris à la Serpentard qui avait apparemment besoin de me parler. Je pose doucement ma main sur la sienne et je lui réponds.

« Ok j’y serais »

Je crispe ma mâchoire quand elle repart, je n’aime pas ce ton… Elle a des choses à me dire et ça me rend nerveux. Elle est mariée ? Non, elle n’avait pas de bague autour de son doigt… Je continue ma discussion puis je monte eu dortoir récupérer ma cape pour avoir chaud et je fonce au lac. Je la vois au loin et je m’approche pour m’asseoir à ses côtés alors qu’elle me prend la main. Je tourne la tête vers elle et je l’écoute me parler.
J’ouvre les yeux en grand quand elle me parle. Elle va se faire déshéritée pour moi ? Enfin non pour sa liberté, mais aussi parce qu’elle m’aime et qu’elle refuse ce mariage. Je lâche sa main et je passe mon bras autour de ses épaules pour la ramener vers moi en écoutant la suite.
Elle en profite pour poser ses lèvres sur les miennes et doucement elle caresse ma joue alors que je garde le silence pour savoir la suite.
Je comprends alors que ses frères sont avec elle-même s’ils le font dans le plus grand des secrets. Je pose alors ma tête contre la sienne et je murmure doucement.

« Je suis là aussi. Je sais que tu ne veux pas être un fardeau, mais tu n’en es pas un pour moi Ade. »

Je pose mon front contre le sien en prenant son menton pour le relever doucement et la fixer du regard.

« Déjà, je t’annonce un truc et tu as interdiction de refuser… Noël, tu le passes avec moi dans ma famille. On n’est pas obligé de leurs parlers de nous si tu ne le souhaites pas. Mais j’adorerais te présenter à eux comme ma petite amie. Si tu n’en a pas envie, je dirai que tu es comme Kathleen, une amie qui a des soucis. »

A la différence que Kathleen ma mère la connaît. Mais bref le souci n’est pas là. Il est hors de question quelle passe ses vacances de Noël à Poudlard. J’effleure alors ses lèvres avec les miennes et tout naturellement, je murmure.

« Je t’aime …Avec ton passé et ton présent sache le »

Elle était celle qui avait réussi à passer ma carapace, celle qui m’avait redonné foi en la gent féminine. Je lui devait beaucoup et je voulais qu’elle ait le sourire n’a tout jamais.

Mes lèvres effleurent à nouveau les siennes et pour la deuxième fois, je lui offre un tendre baiser. Notre dernier remonte au Texas, depuis ce n’était que des petit baiser chaste ou bien des effleurages de mains. Aussi bien elle que moi étions assez pudique sur notre relation, outre le fait qu’on ne voulait pas que belle maman le sache, moi je me refusais à ce qu’Ade ai des soucis avec sa main ou avec la mienne.
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#3298 -
Le prix de la liberté
Adelai & Owen

A dire vrai, tu n’étais pas ravie de devoir partir alors qu’Owen se remettait à peine de ses blessures. Cette impression désagréable de devoir partir comme une voleuse vers un avenir incertain... Mais la finalité n’était pas plus mal. Tu avais accepté ta destinée ou plutôt... tu avais pris les choses en main. Il n’était plus question de te laisser faire, tu allais protester et tu allais enfin pouvoir vivre et non plus survivre. Certes, beaucoup penseraient que c’était un caprice mais ça... tu t’en manquais. Le regard des autres ne t’importait plus vraiment. Désormais déshéritée, qu’est-ce que cela pouvait bien te faire ? Absolument rien.

Pendant ce laps de temps passé loin de lui, tu étais en quelque sorte rongé par l’inquiétude et c’était sûrement la réflexion de ta belle-mère de trop qui t’avait fait prendre ta décision. Il n’y avait plus qu’à en parler à Owen, la seule personne qui méritait vraiment d’être au courant de tout ceci. Il était concerné malgré tout. Et même si tu souhaitais l’impliquer le moins possible, il n’allait pas vraiment te laisser le choix, tu ne le savais que trop bien. Il était toujours dans une certaine bienveillance que tu estimais parfois ne pas mériter.
Alors que tu avais eu le droit à quelques moqueries de ses camarades serdaigles, tu lui avais donné rendez-vous au lac et tu attendais de le voir arriver. Une fois qu’il fut installé, tu avais déballé tout ce que tu avais à dire et tu avais conclu sur un petit baiser. Il posa sa tête contre la tienne et il te fit sourire en avouant que tu n’étais pas un fardeau. Puis son front se pressa contre le tien, il prit ton menton afin de le redresser pour que tu puisses ancrer ton regard dans le sien et... tu entendis ses mots. Un léger rougissement suivit... Il... il souhaitait vraiment t’emmener dans sa famille ? Ce n’était pas un peu précipité ? Mais quand il finit de s’expliquer, tu gloussais nerveusement.

« Je... ça ne me dérange pas du tout. Mais... je voudrais que tu gardes ma situation pour toi. Être présentée comme ta petite amie me ferait très plaisir, je veux juste que tes parents ne sachent pas que ma famille est gangrénée... Voir leur méfiance me ferait plus de mal qu’autre chose.. »

Tu te doutais bien qu’il ne souhaitait pas te savoir seule à Noël. C’était très doux et gentil de sa part de vouloir assurer que tu sois accompagnée pendant ces jours de fête. Un frisson te gagnait alors que ses lippes caressaient délicatement les tiennes puis... Ses mots... Tu te sentis fondre intérieurement. Le baiser tendre qu’il t’offrit... tu y répondis avec cette même tendresse, ta main glissant délicatement sur sa nuque tandis que tu prolongeais celui-ci. Un contact sincère qui t’avait énormément manqué depuis le Texas... Toutefois, tu vins à interrompre le baiser et tu murmurais entre ses lippes.

« Je t’aime aussi, Owen... Et sincèrement, je ne veux plus qu’on soit discret... Ma famille ne se soucie plus de ma réputation et puis... je moque de ce que peuvent penser les autres. Le premier qui me fera la moindre remarque aura le droit à mon plus grand sourire. »

Et ton indifférence également. De toute façon... Peu importe ce que toi et Owen feraient, des personnes se permettront de critiquer. Donc bon, autant ne pas en tenir compte, n’est-ce pas ? Faisant tout de même attention à son bras car tu n’étais pas assurée qu’il soit complètement guéri, tu vins à demander avec un air un peu gêné malgré tout.

« Tu es sûr que... ça ne dérangera pas tes parents que je vienne ? Même si Kathleen est déjà allée chez toi... Moi... Je suis ta petite amie... ce n’est pas les mêmes circonstances... »

Envisageais-tu la possibilité d’être regardée de travers ? Un peu. Les quelques copines t’ayant raconté leurs expériences... ne t’avaient pas beaucoup rassuré sur la question. Surtout que... le terme “petite amie”... cela te faisait très plaisir et puis... tu eus des songes en tête. Tu allais être chez lui, dans la maison de ses parents mais aussi... dans sa chambre. Tu ne connaissais pas les règles de sa famille. Beaucoup de questions se bousculaient dans ton esprit mais tu ne jugeais pas bon de les énoncer... Autant voir à le moment venu non ? Mais avant tout... de t’assurer de ne pas être déplaisante envers sa famille...

© Laueee

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#3505 -

Le prix de la liberté
Adelaï
Je me doutais bien que les révélations de la Serpentard la pesait. Elle m’en parlait, car on avait décidé de se lancer dans une relation autre que notre amitié. Mais elle allait aussi devoir accepter que je veuille l’aider et si je ne roulais pas encore sur l’or, il est clair que je peux l’aider à ma façon. Je lui propose donc de venir chez mes parents pendant les vacances, car il est hors de question qu’elle passe noël à Poudlard seule.
J’accepte donc de la présenter comme ma petite amie et non comme une amie dans le besoin. Je lui confie ensuite mes sentiments à son égard et je l’embrasse avec une douceur enjôleuse. Depuis le Texas, nous n’avons pas eu de moment à nous et donc forcément le fait d’être seuls ici aujourd’hui, je me laissais à l’embrasser tendrement et de façon plus intime que quand on se croise à Poudlard.
Lorsque je rompt le baiser, elle me confie ne plus vouloir être discret. Je rougis un peu, en soit cela ne changera rien, car en général, quand on se voit, on est discret de base, mais au moins maintenant, je n’ai plus à me retenir de la traîner hors de chez les Serpentard par la main.

Elle change ensuite de sujet et me reparle de mes parents. Je ricane un peu et lui confie.

« Je vais envoyer un hibou pour leur demander et…Je vais être honnête avec toi sur une chose. »

Je la garde contre moi et je pose mon menton sur le haut de sa tête en lui confiant ce qui je l’espère la fera rire.

« Dans ma famille, les mariages arrangés ne se font pas. À la place, j’ai une mère qui me harcèle sur quand vais-je remmener une fille à la maison… Alors crois-moi, elle va t’adorer si tu me donnes le sourire. Ne prends juste pas peur si elle te demande combien tu veux d’enfants. »

Je glousse en la relâchant puis je la rassure.

« Pour le moment je n’en veux pas alors t’en fais pas…Et je ne suis pas le genre de mec à faire des enfants et laisser la femme tout gérer alors tant que j’ai ma carrière tu seras en paix et ma mère ne t’en voudra pas »

Bon, c’était le petit côté humour, surtout que je n’ai pas prévue d’épouser Adelaï même si je l’aime énormément. J’ai envie de prendre mon temps quoi qu’il arrive et fonder une famille ne fais pas partie de mes priorités. Je décide ensuite de me lever et de m’installer derrière elle en ouvrant mes jambes pour qu’elle soit calé et qu’elle puisse coller son dos contre mon torse. Je l’enlace doucement et je murmure alors que je pose mon menton sur son épaule.

« Je suis content que notre présent s’éclaircît un peu. »

Car oui j’allais lui faire une deuxième révélation qui allait la rendre heureuse.

« J’ai raté mes sélections en France avec l’accident. Le Texas n’a pas fait la plus grosse offre donc… »

Je souris en la serrant un peu plus et je lui annonce.

« Je signe en Irlande pour septembre 2023. C’était une des équipes que je visais le plus »

Je la relâche doucement au cas où elle voudrait s’exprimer. Certes, je ne serais pas à Londres, mais l’Irlande ce n’est pas loin et y a pas de décalage horaire donc je pourrais faire des passages rapides pour la voir l’année prochaine.
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#3559 -
Le prix de la liberté
Adelai & Owen


Certes... Il était clair dans ton esprit que tu ne voulais pas le forcer et que tu avais conscience de l’effort que cela pouvait lui demander d’être beaucoup moins discret. Il avait tant souffert de sa précédente relation... Mais malgré tout, il était difficile pour toi de ne pas pouvoir démontrer ton affection pour lui en public. Juste pouvoir lui tenir la main, lui sourire tendrement ou encore lui faire un simple signe alors qu’il devait aller à l’entrainement. Ces petits détails que tu t’efforçais de ne pas faire pour éviter de l’embarrasser.
Par ailleurs, tu ne désirais pas non plus le brusquer et ce fut pour cette raison que tu changeas le sujet afin de parler de sa famille... Tu adorerais passer Noël avec lui et tu serais même ravie de rencontrer ses parents. Il riait légèrement avant de t’annoncer qu’il enverrait un hibou puis... il désira te faire un aveu. Tu t’attendais au pire mais... tes yeux s’écarquillèrent avant que tu n’éclates de rire à ton tour.

« Eh bien, elle ne perdra pas de temps avec moi, si elle a un bon pressentiment visiblement.»

En un sens, ça te faisait plaisir, mais aussi te mettait une légère pression. Les enfants... Voilà quelque chose dont tu n’avais pas pensé également. Déjà passer à l’acte était une étape à franchir avant de songer à procréer non ?
Il te rassurait toutefois sur la question en te disant qu’il n’envisageait pas d’en faire pour le moment et qu’il préférait être un père présent plutôt qu’un homme laissant sa femme gérer seule. Tu acquiesçais donc d’un petit hochement de tête. Il vint à se placer derrière toi en ouvrant les jambes, tu te calais contre lui en pressant ton dos contre son torse, posant tes mains sur ses cuisses en lui offrant un tendre sourire. Jusqu’à ce que tu apprennes qu’il avait raté les sélections de France. Tu t’excusais pour lui avant qu’il annonce cette merveilleuse nouvelle. Tes yeux s’écarquillant grandement alors que tu te retournais en lui sautant dans les bras, tu étais débordante de joie.

« Félicitations, Owen ! Tu peux être fier de toi ! Je suis tellement contente pour toi et c’est encore mieux d’avoir l’une des équipes que tu désirais le plus. »

Déposant un tendre et passionnel baiser sur ses lippes, tu l’enlaçais en entourant tes bras autour de son cou tandis que tu pressais ta poitrine contre son torse. Il pouvait certainement sentir ton cœur battre la chamade tant tu étais heureuse pour lui.
Interrompant finalement le baiser en laissant échapper un léger soupir chaud, tu caressais ses joues par le biais de tes mains avant d’oser lui dire ce que tu pensais également.

« Et puis... sans te mentir, ça m’arrange... Le Texas me paraissait tellement loin... L’Irlande est bien plus proche... Je pourrais te rendre visite plus facilement... Je sais que c’est un peu égoïste de penser comme ça, mais... je suis vraiment heureuse de ton choix... »

Autant jouer la carte de la sincérité après tout, n’est-ce pas. Tu l’enlaçais de nouveau afin d’enfouir ton visage dans son cou, désireuse de humer son parfum. De toute évidence, tu pouvais le faire sans que personne ne te juge.

« Tu as l’air d’être voué à un grand avenir, je suis sûre que tes parents seront aussi fiers de toi. »

Enfin, tu ne pouvais que le supposer. Mais une carrière professionnelle dans le Quidditch... Il y avait de quoi être fier non ?

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#3659 -

Le prix de la liberté
Adelaï
Adelaï ne semblait pas s’offusquer du comportement à venir de ma mère. Elle n’est pas différente de toutes les mères de Sang pur, seulement, elle est plus bienveillante et jamais elle ne me forcera à me marier ou à me mettre avec quelqu’un alors si Adelaï et moi ça fonctionne, il y a fort à parier que ma mère fera tout pour convier la Serpentard à nos fêtes de famille.
Après une petite discussion sur comment, je vois une famille et pourquoi je ne compte pas en fonder une tout de suite, je me décide à lui annoncer une grande nouvelle. En septembre, j’intégrerais l’équipe d’Irlande.
Je la vois se tourner et à en juger par son visage, elle est heureuse. Je n’ai pas choisi cette équipe pour mon couple, je lui avais dit que jamais je ne mettrais de côté mon avenir pour l’amour. Peut-être parce que je suis encore abîmé de ma précédente relation. Mais puisque l’équipe d’Irlande est bien mieux quotté que le Texas et qu’il propose un bon salaire, il était normal que je les choisisse.
Je réceptionne la Serpentard dans mes bras alors qu’elle se tourne pour me communiquer sa joie.

Ses bras autour de mon cou, je souris contre ses lèvres durant ce baiser passionné. Elle est toujours plus expressive que moi et des fois, je me dis que peut-être elle doit penser que je ne suis pas aussi attaché à elle qu’elle. Mais c’est bien tout le contraire. Adelaï est clairement le rayon de soleil qui manquait dans ma vie. Je l’aide donc à s’asseoir sur mes jambes que j’ai plié en tailleur et je passe mes mains fraîches sous sa robe de Sorcier alors de les poser sur son pull en dessous pour pas qu’elle tombe. Je l’écoute me parler.

Sa phrase ne me surprend pas et je serais un bel hypocrite de lui en vouloir. Finalement, peut-être que j’étais soulagé que l’Irlande soit sur une meilleure offre. Car cela va me permettre de lui proposer autre chose. Je profite de son visage frais dans mon cou chaud et je caresse doucement son pull épais en la berçant un peu.

Je pose mon nez dans ses cheveux et je réponds à sa dernière phrase.

« Ma mère rêve de me voir au ministère, mais là, elle va devoir se faire une raison. Je vais passer pro »

Je me mordille la lèvre inférieure, puis je m’écarte un peu d’elle pour poser mon front contre le sien et la regarder.

« Je voudrais te parler d’un truc. Je voulais attendre, car je me disais que c’était encore trop tôt, mais… Vu ta situation »

Je continue de mordiller ma lèvre inférieure, ce n’est pas facile, car on sort ensemble depuis à peine un mois et donc je pourrais comprendre qu’elle flippe. Je soupire et je me lance.

« Si ça te tente… Je voulais me prendre un appartement à Londres histoire de rester proche de ma famille. L’Irlande en Porto loin, c’est East et il n’y a pas de décalage horaire donc pas de fatigue. Je me disais que peut-être le week-end à partir de Septembre et les vacances, tu pourrais vivre avec moi…ça serait notre appartement. Enfin, ça sera le tien à temps complet après tes études. Mais au moins, tu aurais un endroit à toi et avec moi »

Je l’écoute réagir, puis pour la calmer, je l’embrasse. Un baiser tendre alors que mes doigts s’appuient dans son dos et petit à petit… Ils tirent sur son pull et son chemisier de l’école pour effleurer du bout des doigts sa chute de reins chaude.
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#3702 -
Le prix de la liberté
Adelai & Owen

Certes, ta réaction était peut être disproportionnée mais tu étais si heureuse pour lui et en un sens... Tu l’étais pour toi également. Aurais-tu été capable de supporter une trop grande distance entre lui et toi ? Hm... difficile à dire. Dans le fond, tu le savais au plus profond de ton être que tu risquais d’en souffrir. Mais de là à lui en parler ouvertement et risquer de le faire culpabiliser ? Non, ce n’était pas envisageable dans ton esprit... Tu voulais qu’il soit heureux et son bonheur ferait indéniablement le tien.
Par ailleurs un frisson te vint quand tu sentis ses mains fraiches passer sous ta robe pour mieux se poser sur ton pull. Le pauvre devait avoir froid à cause de toi. Tu replaçais donc le plaid comme il se doit en te blottissant tendrement contre lui, tu étais toute contente. Et si fière de lui également, il venait de te faire oublier ce que tu avais perdu et il t’avait redonné le sourire. Restant ainsi blottie contre lui, tu fis une petite moue avant de te redresser doucement en haussant les épaules.

« Je suis persuadée qu’elle comprendra. C’est une aubaine pour toi et je suis certaine qu’elle voudra ton bonheur. »

Puis tu le vis mordre sa lèvre, ce qui t’inquiétait un peu. Pressant un peu plus ton front contre le sien afin de lui démontrer que tu étais pleinement à l’écoute de ses paroles. Tes sourcils se froncèrent délicatement puis tu inclinais la tête un peu curieuse.

« Je dois m’inquiéter ?... »

Visiblement non. Car la suite de ses propos te laissa sur le choc pendant quelques secondes. Il venait vraiment de te proposer de vivre avec lui ? Puis il vint à déposer un baiser des plus tendres contre tes lippes. Un rougissement demeurait bien présent sur tes joues alors qu’un long frisson vint à te faire tressaillir en sentant ses phalanges beaucoup plus aventureuses, venant effleurant la chute de tes reins. Cette sensation était vraiment agréable... cette douce chaleur envahissait également ton bassin, tu te sentais si bien contre lui. Ce baiser durera quelques secondes avant que tu ne répondes avec le rose teintant tes joues.

« Si je peux passer le plus clair de ton temps libre avec toi, ce serait avec plaisir. J’avoue que... c’est un de mes petits plaisirs de dormir blottie contre toi. »

Il faut dire que tu adorais sentir sa caresse contre ta peau alors qu’il était dans les bras de morphée. Ainsi, tu déposais un baiser à la commissure de ses lippes avant d’ajouter avec toujours ce rougissement bien présent sur tes joues.

« Je serais ravie de vivre avec toi... Par contre, j’espère que tu es prêt mentalement, je suis une vraie sangsue quand je m’y mets. Je ne te lâcherais pas et profiterais de toi à chaque fois que tu seras là. »

Au moins... Tu demeurais honnête avec lui mais ça, ça ne changeait pas de tes habitudes. Toutefois, ses caresses ne te laissaient pas indifférente... Ainsi, tu venais à te presser un peu plus contre lui, ton bassin collé au sien alors que tu osais murmurer d’une voix douce.

« J’aime rester contre toi comme ça, tes caresses me donnent des frissons... »

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#4044 -

Le prix de la liberté
Adelaï
Je venais d’annoncer à Adelaï que j’étais pris à Dublin, que j’allais rester vivre en Angleterre et surtout…Je lui proposais de vivre avec moi. Je ne serais plus à Poudlard alors si le week-end et pendant les vacances, je peux profiter de sa présence quand je suis disponible, je ne dis pas non. Et puis même quand je ne suis pas là, je veux qu’elle se sente chez elle quand elle viendra en mon absence. Je la vois rougir après notre baiser et c’est là qu’elle me répond enfin. Un grand sourire s’affiche sur mon visage. Je suis content qu’elle accepte ma proposition. Finalement, elle m’annonçait un truc triste et moi, je lui remontais le moral avec d’autres annonces.
Je glousse à sa remarque sur dormir contre moi. La seule fois, où on a dormi ensemble elle a pris sa forme de chat. Je me suis dit que c’était peut-être une façon à elle de se protéger. Même si j’aurais préféré sentir sa peau.

Elle m’annonce ensuite qu’elle ne comptait pas me lâcher et qu’elle serait une vraie sangsue. Cela ne me dérange pas. Encore une fois, ce n’est pas parce que je ne suis pas expressif que je n’aime pas sa façon d’être avec moi. Je dois juste m’habituer à être dans une relation saine.
Je réponds donc gentiment.

« Ça ne m’ennuie pas. J’adore ton côté sangsue. »

Je la sens alors se coller encore plus à moi. La sentir pile sur mon bassin me fait vite réagir. Mes joues rougissent un peu alors que mon bas du corps réagit déjà à son contact. Je crispe doucement mes doigts dans le bas de son dos pour m’apaiser un peu. Sa voix aussi me fait du bien. Je réponds alors doucement en approchant mes lèvres des siennes.

« J’adore caresser ta peau. »

Mes lèvres effleurent les siennes avec douceur alors que mes doigts se promènent dans son dos sur sa colonne vertébrale. Je pouvais sentir nos corps se réchauffer sous ce plaid qui nous cachait. De loin, on ressemblait sûrement à un gros caillou. Nos têtes allaient nous trahir. Je romps le baiser quelques secondes pour lui offrir un tendre regard, puis doucement, je reprends possession de ses lèvres lui offrant ma langue avec douceur afin de jouer avec la sienne. Ma main à plat sur son dos pour la maintenir contre moi, j’ose approcher ma deuxième main du bas de son pull que je tire doucement vers le haut. Je fais de même avec le bas de sa chemise et du bout des doigts j’effleure la peau de son ventre en soupirant contre ses lèvres. Je suis légèrement tendu à l’idée de ce que je m’apprête à faire. Notre relation est encore assez platonique, mais plus ça va, plus Adelaï semble vouloir se rapprocher alors je me dis qu’on peut y aller par étape. Je n’ai absolument pas dans l’idée de la plaquer dans l’herbe. Mon ex aurait adoré, mais je suis bien trop pudique pour cela. Je suis le genre de garçon à vouloir une chambre fermée, un lit et le calme et je n'ose espérer qu’Ade aussi, car batifoler dans les salles de classes n’a jamais été mon truc et lorsque mon ex me poussait à cela, ça ressemblait plus à un viol sur ma personne qu’autre chose. Je cédais à ses caprices alors que je ne prenais que peu de plaisir dans ses situations.

Non là ce que je souhaite, c’est juste toucher sa peau, peut-être une de ses rondeurs oui, lui offrir un peu de plaisir dans mes gestes. Mais en aucun cas, je n’ai prévu de passer la frontière de sa jupe. Pas ici pas maintenant.

« J’aime le rouge de tes joues Adelaï. »
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#4215 -
Le prix de la liberté
Adelai & Owen

La maladresse était une chose. Il faut dire que tu n’étais pas très douée d’un point de vue relationnel. Sans doutes avais-tu fait des erreurs et que tu allais continuer à en faire. Mais c’est en tombant de son balai qu’on apprend mieux à se relever, n’est-ce pas ? L’avantage avec Owen demeurait qu’il était très doux, très compréhensif et surtout... Il avait cette façon si attentionné et appréciable de dire les choses. Autant le dire, tu te sentais bien avec lui, même s’il n’était pas particulièrement expressif, il savait démontrer à sa manière son affection. Ses gestes parlaient davantage que ses paroles et ses yeux ne mentaient jamais.
Ne pouvant retenir un petit gloussement quand il vint à te rassurer sur le fait que ton côté sangsue n’allait pas le déranger, tu étais malgré tout heureuse de le savoir. C’était toujours plaisant de se l’entendre dire. Restant blottie contre lui, tu rougissais doucement alors qu’il avouait adorer caresser ta peau.

« Fais le sans hésiter alors... j’adore aussi... »

Sur ces belles paroles, la sensation de ses lippes prenant possession des tiennes, te fit frissonner. Il était clair que tu n’étais pas celle qui osait aller vers lui ou tenter des caresses plus libidineuses. Pour la simple et bonne raison que ce n’était pas dans ta nature mais aussi parce que tu savais tout ce que son ex-petite amie avait pu lui faire subir... La bougresse s’en vantait dans la salle commune et n’avait pas honte de dire qu’elle lui faisait du chantage pour obtenir ce qu’elle désirait. Ainsi... Il était clair dans ta tête que le pauvre avait dû avoir un véritable trauma et qu’il n’avait pas envie d’une relation où sa nouvelle petite amie soit trop... incisive sur la question... Même si tu avais des désirs et que ton corps réagissait plus que positivement à ses caresses, tu avais peur. Peur de le brusquer, peur de le dégoûter et peur qu’il t’abandonne finalement... Beaucoup d’appréhensions et de craintes injustifiées sûrement mais... Ce ressentiment allait finir par disparaître au fur et à mesure, il fallait que tu prennes de l’assurance et que tu oses un peu plus. Ce que tu fis en usant des paroles afin de lui montrer que tu n’étais pas contre.
Alors que ses caresses se faisaient sûrement un peu plus franches, tu sentais sa paume effleurer la peau de ton ventre. Avais-tu conscience des intentions du serdaigle ? Même si l’on pouvait te croire innocente sur certains points, tu n’étais pas non plus aussi pure que la rosée du matin, certains gestes ne trompaient pas.  

© Laueee

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#4430 -

Le prix de la liberté
Adelaï



Si au début je trouvais l’air assez frais autour du lac, il est clair que là nos deux corps suffisent à se nous faire oublier l’automne poignant auquel nous faisons face.
Je profite des lèvres de ma petite amie, ce simple geste me suffit à profiter de ce moment à nous. Je n’ai pas besoin de plus. Le contact de sa peau sous mes doigts est tout aussi appréciable. Je lui confie alors qu’elle compte beaucoup pour moi et elle me répond entre deux frémissements que c’est réciproque. Mes joues s’empourprent doucement et mon sourire s’étire alors que je reprends possession de ses lèvres tout en laissant ma main explorer le dessous de son chemisier. Je pouvais sentir sa peau douce, chaude et ses petits Frisons. Adelaï a toujours été franche avec moi, elle n’a jamais rien fait avec un garçon, pas même un baiser. Le baiser que nous échangeons devant le lac est donc certes le deuxième puisque le premier était à l’hôtel, mais un baiser aussi chaleureux, c’est sûrement son premier.

Elle me demande alors si je ne la trouve pas ridicule. J’avais bien entendu le petit souffle quand j’ai effleuré le haut de son corps. Je murmure alors en inclinant doucement ma tête sur le côté près à l’embrasser à nouveau.

« Ridicule ? Au contraire. Tu es magnifique. »

J’avais envie de lui montrer qu’on n’a pas besoin d’aller très loin pour offrir un peu de plaisir. Ma main rejoint alors sa sœur sur sa chute de reins et je vais embrasser son cou en murmurant.

« Laisse-toi aller. »

J’espère qu’elle a conscience que je n’irais pas plus loin, que juste le fait de frotter mon bassin habillé au sien pouvait suffire à lui faire plaisir. J’appuie alors doucement sur ses reins afin que nos bassins appuyés l’un contre l’autre se frottent doucement. Je continue d’embrasser son cou avec tendresse alors qu’un souffle de plaisir s’échappe.
Ma relation avec mon ex était uniquement basée sur le sexe et ses envies lubriques et toute plus folles les unes que les autres. Mais avec Adelaï c’était diffèrent. C’était innocent, agréable et surtout, on prenait notre temps aussi bien elle, que moi.


Je reste tout de même doux dans mes mouvements afin que d’un point de vue extérieure personne ne puisse comprendre ce que nous faisons. Je pose ensuite mon front contre celui de ma petite amie et d’une voix soufflante, je murmure de quoi la rassurer…Mais aussi une réelle confiance.

« Je t’aime Adelaï depuis des années. »

Est-ce que je l’aimais déjà quand j’étais avec mon ex ? Il y a de grandes chances…
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#4475 -
Le prix de la liberté
Adelai & Owen

Le manque d’expérience était une chose assez déroutante et un peu intimidante... Se sentir novice et perdue dans une relation n’avait rien d’agréable mais la douceur ainsi que la gentillesse d’Owen était une barrière parfaite pour parer la moindre crainte ou incertitude. Autant le dire, si tu avais des doutes ou la moindre crainte... Celles-ci se dissipaient à mesure qu’il te guidait. Ses phalanges, ses caresses et ses attentions te rassuraient autant qu’elles te plaisaient. Tes lippes s’unissant de nouveau aux siennes et tu sentis ce baiser bien plus passionnel... plus sensuel même. Un long frémissement te gagnant tandis qu’il jouait de ses doigts se faisaient plus joueurs et taquins...
En un sens... tu te sentais véritablement bien, tu n’avais pas peur, tu te laissais simplement entrainé... Néanmoins, la plus belle des récompenses était assurément de le sentir éveillé et de constater que lui aussi éprouvait un désir certain pour toi. Certes, c’était la première fois que tu allais aussi loin au niveau des caresses et le plus appréciable, était également que tu te sentais à l’aise. De part ses mots mais aussi de ses gestes. Tu ne te sentais pas forcée ni même inquiète, tout venait progressivement et... tu avais presque honte de vouloir que ça ne s’arrête pas... tes réactions te semblaient un peu disproportionnées et tu en fis part à Owen qui te rassurait une fois également. Le teint rosé de tes joues se faisant plus vif, tes frissons étaient bien présents alors que tu sentais son bassin contre le tien. Ses gestes restaient doux et tendres, il faisait attention et prenait un soin particulier... Cela te faisait vibrer... Il te proposait de te laisser aller alors que ses lippes venaient caresser ton cou puis ta nuque... Il n’y avait rien de véritablement indécent dans ce que tu faisais avec lui, tu ne le voyais pas ainsi... c’était tellement naturel et plaisant... que tu en oubliais que cela se produisait à l’extérieur...




« Je... Je t’aime aussi Owen... »

Osais-tu murmurer à demi-mot alors que tu tremblais encore un petit peu... Te pressant contre lui en enfouissant ton visage dans son cou... Ses paroles résonnaient dans ton esprit... Il avait bien dis depuis des années ?... Mais il était avec sa petite amie à l’époque, non ?... Toi-même tu avais cru le savoir plus ou moins heureux avec elle ? Tu t’étais trompée sur toute la ligne... Tu te sentais à la fois honorée mais si mal de ne pas avoir su voir tout ceci avant..


« Je ne sais pas ce qu’il m’ait arrivé mais... je me sens presque molle et toute détendue... »

Riant nerveusement, tu pinçais tes lippes en déposant un petit baiser dans son cou. Tu avais peut être fait quelque chose de mal en te détendant ainsi... tu n’en savais rien, tu vins finalement à murmurer doucement à son oreille.  

« J’ai... toujours été jalouse de ton ex... Je me suis toujours dis qu’elle avait eu de la chance de t’avoir... »

Un aveu à ton tour concernant la naissance de tes sentiments avant de les assumer pleinement ? Peut être bien... Mais au moins, il savait ce que tu avais ressenti. Tu te blotissais contre lui... Profitant de sa chaleur et de son doux parfum...

© Laueee

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#4665 -

Le prix de la liberté
Adelaï



Aucune indécence, aucune arrière-pensée. Si certains auraient déjà imaginé Adelaï nue, moi non. Je me contentais de laisser nos deux corps habiller se frotter l’un à l’autre. J’avais retiré ma main de sous son chemisier et je me concentrais juste sur son souffle. Je l’entendais soupirer de plaisir alors que je me contentais juste de mimer ce qu’un jour nous feront en toute intimité.
Certes, je n’en retire aucun plaisir ultime au contraire de la Serpentard, mais la voir chanter pour la première fois m’offre un spectacle des plus agréable et cela suffit à mon plaisir.

Un petit sourire fier sur mon visage, je ne la quittais pas des yeux alors qu’elle s’empourprer dans la gêne. Une gêne qu’elle n’avait pas à avoir avec moi. Une gêne qui la rendait tellement belle. Je lui confie alors mes sentiments, j’ouvre littéralement mon cœur et c’est aujourd’hui qu’elle apprend que des sentiments, j’en avais toujours eu pour elle. Seulement, j’étais en couple à l’époque.
Elle me confie qu’elle aussi m’aime et je peux sentir mon cœur se réchauffer. Je l’enlace sous sa cape quand elle se blottit contre moi et je la laisse profiter de cette étreinte chaleureuse.
Elle me parle de son état et quand elle embrasse mon cou, je murmure.

« On appelle ça le plaisir… Comme quoi je n’ai pas besoin de toucher à ta pureté pour t’en donner et j’apprécie beaucoup t’entendre chanter Ade »

Elle me confie ensuite sa jalousie envers mon ex. Je fixe devant moi en caressant son dos alors qu’elle reste dans mon cou et je murmure.

« Je ne suis pas parfait, tu sais. J’ai de gros défauts. Être avec moi n’est pas une chance »

Je recule un peu ma tête et je la regarde en souriant avec tendresse.

« Par contre… Moi, j’ai de la chance de t’avoir. Tu es ce qui manquait à ma vie pour être comblée… »

Je soupire doucement tout en gardant le sourire et j’annonce.

« Sur ces magnifiques paroles…Je pense qu’on devrait rentrer. Tu vas attraper la mort. »

Je la laisse se relever quand elle le souhaitera, puis je me lèverais aussi après avoir discrètement remis ce qui est en bazar dans mon pantalon. Je passe le plaid sur nos dos avec mon bras sur son épaule et je la ramène à Poudlard en profitant de ce moment de béatitude.
Nous allons devoir quitter notre bulle intime et je pense qu’on la retrouvera à Noël quand nous seront seul avec mes parents lions de Poudlard.

Une fois devant le château, je tourne la tête vers Adelaï et je pose mes lèvres sur sa joue sous le regard de certains qui vont sûrement alimenter les rumeurs que j’assumerais totalement. Je suis avec la serpent et je l’assume même si certains Serdaigle vont me casser les pieds. Je murmure à ma petite amie.

« Garde le plaid »

Je laisse ensuite Ade et je m’engouffre dans le château pour aller chercher mes affaires et avoir mon cours. Je garde en même la douce mélodie de la voix de la jolie Flint.
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