Hurricane groupe 8

by aardbei

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هره ثانیه حساب کوي. هره موسکا حسابیږي. هر فکر کولی شي هرڅه بدل کړي.

ft des compagnons & Eshani

Poudlard - Dortoir Poufsouffle

Hurricane

Ca a commencé comme un tremblement, comme si mon lit était monté sur d'étranges ressorts. Hébétée, j'avais ouvert les yeux dans le noir, un peu perdue, fronçant les sourcils, mon esprit occupé par une question tournoyante, qu'est ce qui m'avait réveillée ?  Et puis un tremblement plus violent me fit tomber de mon lit. Ahurie, je repoussai mes cheveux qui venait de tomber devant mes yeux avant de regarder fébrilement autour de moi... Le grondement des pierres qui s'entrechoquent, qui cèdent envahit l'espace. Les cris aussi, plein de panique et d'incompréhension.  Mes doigts se crispèrent sur ma poitrine avant que je ne me redresse, m'aidant de mon lit, jetant un coup d'oeil sur le lit a coté du mien, je poussai un soupir de soulagement, Meghan n'était pas là. Peut être était elle sortie ou pas rentrée. Je venais de faire deux pas, jetant un châle sur mes épaules, que je faillis glisser sur une flaque d'eau....De l'eau ?! Je battis des paupières, il y avait de l'eau qui coulait sous la porte.... Que se passait il ?

Alors je fis une erreur, j'ouvris le battant de bois, permettant a l'élément liquide de se ruer dans la pièce, me repoussant brutalement contre un fauteuil.  Les cris se faisaient plus forts, plus terribles aussi. Serrant les dents, je refoulais la panique de souvenirs bien plus anciens et, m'aidant du battant de la porte, je finis par m'extirper de ma chambre. L'eau ne m'arrivait pas encore a la taille mais elle semblait monter très vite et là, je me souvins que je ne savais pas nager.... Me battant contre l'eau qui s'obstinait a me pousser en arrière, je m'aidais du mur pour avancer, ce faisant, je réussis a redresser un petit première année qui buvait la tasse et le poussai en avant. « Avance, vite ! » Tout autour de nous, c'était le chaos et  j'eus une pensée pour Min-Ho, heureusement qu'il n'avait pas décidé de passer la nuit avec moi ce soir...Mais nos dortoirs étaient au même étage alors... Le sang battant a mes tempes, je continuais a poussé le petit premier année avant de voir une chevelure devant moi. : « Engel ! » Ma voix n'avait pas l'habitude de porter très loin mais j'espérais qu'elle m'entende par dessus le grondement de l'eau et des pierres qui se meurent.

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♱ Hurricane ♱

Mon corps est le berceau de ma conscience, Le temple de mon esprit, Le tombeau de mon âme... - G.G

           On disait que l’enfer était pavé de bonne intention, les esprits manichéens verront une forme de paradoxe à ce courant de pensée... Sans doute de la même manière que celui très cartésien de l’albinos, qui avait du mal avec les concepts religieux, surtout à cause de sa propre éducation catholique. Mais elle était aussi une personne ouverte à quelques pensées du courant philosophique et de ce fait, elle appréciait l’idée qu’une phrase comme celle-ci cachait un sens bien moins simplet que cette divergence mis en lumière. Partant de ce postulat, elle se disait que si l’enfer était pavé de bonnes intentions, la phrase ne faisait pas essentiellement référence à l’idée même pour laquelle le mal était puni par le mal. Mais qu’un mal pour un bien était une nécessité à la vie elle-même tant qu'elle vibrait encore. L’albinos avait longtemps songé que la vie elle-même était cet enfer pavé de bonne intention, tant par la souffrance qu’elle plaçait sur le chemin de ceux qui subissait son existence.  
          Et elle était cruelle cette vie, plus les gens étaient tenter de connaître le bonheur... Souffrir pour réussir sa vie, n’était là qu’un simple exemple. L’expérience qui meurtrissait les esprits avait apparemment tendance à renforcer les plus chanceux, les forger dans la douleur, tandis que les malheureux seraient brisés mentalement. Une sélection naturelle à laquelle personne n’était égal, et même si les plus civiliser avait beau s’entourer des lois pour se protéger, l’existence faisait toujours en sorte de rappeler une règle simple en cas de catastrophe, celle de cette triste loi du plus fort. Et ce soir, ce même genre de sélection naturelle allait avoir lieu ici... Gladys avait le devoir d’être forte pour ce qui ne pourrait l'être, ces personnes qui risquaient de se laisser engloutir par l’incapacité à surmonter cette fameuse épreuve. Devant elle, l’escalier était détruit... Cependant, elle s’aperçut que plus bas, les débris étaient toujours présents. Dans un mouvement circulaire de la baguette, elle lança un Reparo pour rejoindre la salle commune.  

           Les choses étaient terribles, elle observa l’ensemble des dégâts, des élèves présents et ceux qui semblaient encore absent. Elle remarqua rapidement que les garçons semblaient déjà entre de bonnes mains, en apercevant le professeur Steward. Aussi, elle s’empressa de rejoindre le quartier dédié aux filles. Elle avait eu peur un instant que l’enchantement dédié à empêcher les garçons de rejoindre les couloirs des filles, fasse effet sur elle. Dans la panique, elle en oubliait son statut de professeur, légèrement tourmentée par ses origines biologiques. Pourtant, il semblerait qu’un élève avait réussi à passer cet enchantement, peut-être que la magie ne faisait plus effet à cause des dégâts. La priorité était bien sûr les élèves blessés, mais surtout les plus jeunes. « Que les élèves les plus âgés qui s’en sentent capable, aident les plus jeunes à regagner la salle commune. Et surtout restez en mouvement. » Il faisait froid, l'eau qui s’engouffrait était glacial. Le risque d’hypothermie était élevé, elle allait réduire l’endurance de beaucoup de personnes et en paralyser d’autre.
           Elle vit le jeune homme, monsieur Yoon, récupérer une élève, elle venait de recevoir un coup terrible à la tête. Mais la situation précaire dans laquelle ils étaient tous, empêchait la Greaux de l’examiner. Il fallait malheureusement privilégier l’évacuation en premier lieu. Reconnaissant par ailleurs Engel qui aidait ceux qui semblaient blessée et d’autre coincé. Sans se faire prier, Gladys plaça l’extrémité de sa baguette sur l’eau qui avait déjà atteint sa taille, et ce, avant de la relever au-dessus de sa tête dans un geste vif et orchestral... Maintenant un flux d’énergie qui s’échappait de la baguette en continu dans une vibration invisible qui n'était indiqué que par une légère lueur bleuté brillant à l'extrémité de sa baguette. Aussitôt, le courant semblait subir un étrange phénomène de gravitation inversée, l’eau au sol fut aussitôt attirée par le plafond... Non, sans que son courant et l’augmentation de sa quantité n'en soient stoppé. Le but était d’éviter que ceux coincés ne se noient avant d’être libéré par Engel et permettre aux élèves de rejoindre plus vite la salle commune. Maintenant une position, ferme... L’albinos semblait dans l’incapacité de faire quoi que ce soit d’autre, tant le sortilège de manipulation d’eau lui demandait une force de concentration et de magie extrêmement éprouvante. 

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Poudlard - Dortoir Poufsouffle

Hurricane

Je pousse un soupir de soulagement a voir Engel se diriger vers nous. Je ne sais pas combien de temps j'aurais pu tenir en poussant devant moi un enfant terrifié tout en luttant contre l'eau qui ne cessait de monter. L'élément liquide ne me faisait pas peur en soit, mais je savais aussi que mon ignorance a le maitriser comme la plupart des gens pouvait poser problème. Mais je refusais d'y songer, parce que si je le faisais, je risquais de glisser dans une panique impossible a gérer. Allons, ce n'était pas la première fois que ma vie se jouait, cela avait été le cas durant 18 ans. Serrant les dents, tentant de rester sourde au roulis d'une catastrophe annoncée, je hochai la tête aux instructions d'Engel, me dirigeant comme je le pouvais vers l'endroit qu'elle désignait sauf...

Oui, dans l'idéal sauf que rien ne se passa comme prévu. Il y eu comme un grondement rauque, d'agonie qui fit vibrer les murs et la pierre. L'eau qui rugissait en réponse et cette impression terrible que le sol tanguait, devenait intangible. Instinctivement, je cherchais a me raccrocher a une porte alors que le courant, qui me battait la taille m’entraînait. Je crus un instant avoir réussit, juste quelque seconde avant que mes yeux ne s'écarquillent subitement, qu'un cri muet ne s'échappe de ma bouche ouverte. La masse sombre et lourde d'une armoire glissait vers moi inexorablement, impossible de l'éviter. Je me protégeais de mes bras et la douleur explosa, me faisant doucement couiner., il me sembla sentir un corps contre lequel je rentrais sous la poussée de l'armoire mais impossible d'en être sûre. Emportée par l'objet, mon visage s'enfonça sous l'eau et le courant me fit tournoyer, me faisant perdre mes repères. Refusant de céder a la panique qui m'étranglait, je battis maladroitement des membres pour me propulser a la surface... Mon visage creva l'eau et, presque désespérément, je tendis les bras au dessus de moi, agrippant a l'aveugle a un lustre autrefois magnifique et dorénavant aussi terne et lugubre que la situation. Mes poumons me brûlait alors que j'avalais goulûment l'air. Je passai mon coude dans les entrelacs du lustre et repoussai mes cheveux d'une main. Le froid me faisait claquer des dents et je n'avais aucune idée de où je me trouvais. « A l'aide ! » criais je en serrant presque convulsivement ma baguette entre mes doigts qui devenaient de plus en plus gourds. Mais est ce que l'on pouvait seulement m'entendre par dessus les rugissements d'agonie de Ma Maison ?

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           Son sortilège trouva rapidement ses limites... L’eau ne devrait normalement pas être un problème, c’était plutôt ce qui accompagnait l'eau qui était un danger véritable. Le froid, le courant, le risque de rencontrer des éléments dangereux dans ce courant, ou encore la possibilité qu'elle provoque un effondrement, d’être tout simplement dans l’incapacité de faire usage d’un sortilège. Beaucoup d’élèves étaient inexpérimentés, la panique leur faisant oublier les sortilèges qui pourraient leur permettre de survivre. Gladys elle-même, fouillait au plus profond d’elle pour rester brave et surtout, garder la tête froide. Elle évitait de penser à sa famille, ce qu’elle pourrait ressentir en sachant que l'albinos avait péri ici. Non. Elle devait garder ses pensées centrées sur le sauvetage des élèves, c’était de sa responsabilité. Finalement, elle n’eut même pas le temps de rompre l’enchantement qu’elle avait lancé sur l’eau, ayant modifié sa nature tellurique. Un choc provoqua un effondrement, c’était alors comme si la partie où ils étaient s’enfonçait dans le lac.

Cet événement se chargea de briser la concentration de l’albinos, qui se faisait légèrement emporter par le courant d’eau qui venait de lui retomber brutalement dessus. Forçant la Française à faire usage du Protégo pour empêcher physiquement que l’eau l’atteigne. Le temps au moins d’atteindre Eshanie Rain non loin d'elle. « Je suis là, ne paniquez pas ! » S’annonça le professeur de Rune en constatant qu’elle était prise au piège avec l’élève. La sorcière semblait être une septième année ou bien une étudiante en parcours supérieur, elle devait donc connaître suffisamment de sort pour être en mesure de s'en sortir... Encore fallait-il qu’elle garde son calme et les idées claires. « L’eau augmente dangereusement, donc pour commencer, utilisez un sortilège de Têtenbulle, on verra ce qu’on va faire pour l’armoire après. On pourra toujours le déplacer avec un Leviosa combiné ou le détruit via un flipendo, ou un reducto. Donc gardez votre calme et concentrez-vous sur ce que vous avez appris jusqu’à maintenant. »   

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Poudlard - Dortoir Poufsouffle

Hurricane

Je tournai vivement la tête en entendant une voix a mes côtés. Inutile de dire le soulagement qui me dilata la poitrine en avisant le Professeur Greaux. « Oh professeur... »  murmurais je en me détendant un peu, mais rien qu'un peu avant que mes dents ne se mettent a claquer. J'étais une fille du désert et le froid ne m'était pas familier malgré les années passées en Angleterre...Qui n'était pas nombreuses en prime. Je hochai la tête a ses directives. Je connaissais pas mal de sorts, le tout étant de les réussir cela dit. Mon accent avait tendance a ressortir beaucoup trop lorsque je stressais et on ne pouvait pas dire que la situation était....sereine. Néanmoins,  je serrais un peu les dents. « D'a...D'accord. Je vais ess...es...essayer. »  affirmais je en bégayant a moitié a cause de la danse de mes dents entre elles.

Heureusement, la formule passa mes lèvres sans trop de dégâts et une bulle apparue sur mon visage, englobant mon nez et mes yeux. « S...Si.. on d..détruit l'armoire, l'eau rentrera de plus b...belle non ? J'ai vu une lu...lu..lucarne par là, je ne sais pas tr..tr...trop où elle mène, sans doute vers l'extérieur mais...J'ai l'impression qu'on s'enfonce dans le lac et...Je ne sais pa..pas nager. » avouais je dans un souffle grelottant.

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           L’eau montait, c’était dangereux... L’albinos se doutait qu’il valait mieux faire usage d’un sortilège pour pouvoir respirer sous l’eau. Toutefois, le froid risquait d’être dangereux pour elles si elles s’attardaient. Le mouvement de l’endroit où elles étaient, laissait supposer à la Française que la salle commune des Poufsouffle était en train de couler et très certainement avec elle, celle des Serpentards. Il fallait quitter cette chambre dans laquelle elles étaient toutes deux coincées. Un son étouffée se fit entendre en direction de l’armoire alors même que Gladys s’approcha enfin jusqu’au niveau de l’élève du nom de Rain. Quelqu’un venait de libérer le passage... Eshani avait utilisé le sortilège de têtenbulle, parfait, mieux valait prévenir que guérir. « Une personne nous a libéré l’accès, nous allons essayer à présent de rejoindre les autres. Et oui, l’on va sans doute devoir nager effectivement. Je serai près de vous si c’est le cas, alors restez agrippée à moi. » Posant une main délicate sur son épaule.

Je rajoutais. « Et au cas où nous serions séparées, rappelez-vous... Ascendio, pour vous aider à regagner la surface rapidement. » De ses yeux translucides, Gladys fixait son élève et s’assura qu'elle avait bien compris ses paroles, avant de l’inviter à la suivre sans lui lâcher le bras. Hors de question qu’elle perde une élève. Avant de passer l'armoire, l'albinos utilisa aussi sur elle le sortilège de têtenbulle.  

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Poudlard - Dortoir Poufsouffle

Hurricane

Le calme de Madame Greaux agit comme un baume sur ma propre agitation. C'est étrange. Mais au moins, je ne suis pas seule, je ne sais pas la situation des autres, de Min-Ho, mais je refuse d'y penser, par lorsque ma propre situation est si précaire. Tremblotante de froid, j'avoue ne pas savoir nager et, bizarrement, je me fais la promesse d'apprendre bientôt...Si jamais nous sortons d'ici vivantes du moins.

Je hoche la tête a ses instructions, incapable de parler correctement. Je n'ai pas peur de l'eau mais je ne sous estime pas son danger, surtout coincées comme nous le sommes. Une fois sous l'eau, je peux respirer sans peine mais le plus dur est le déplacement. Ne voulant pas gêner les mouvements de ma professeur, je me décale a peine pour glisser dans son dos, m'accrochant a sa taille et copiant son mouvement en battant des pieds. Je ne sais pas si j'aide vraiment a avancer, mais une chose est sûre, je ne la lâcherais pas, quitte a y perdre des doigts. Lorsque nous crevons la surface, je suis au bord de l'épuisement, mais la vue de nos camarades bien en vie... « Ici ! » criais je en agitant ma baguette illuminée d'un Lumos. Ils avaient des barques ! Etions nous sauvés ? « professeur...ils ont des b...b...barques. » fis je un peu idiotement, l'espoir bien vivant dans ma voix.

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           Rejoindre les autres, c’était ce qu’il leur fallait faire dans l’immédiat. L’albinos ne pouvait s’empêcher d'imaginer le pire en ayant été séparée des autres élèves. Sa vie et plus particulièrement celle d’Eshani étaient importantes, mais tant de chose la travaillait. La peur la rongeait silencieusement de l’intérieur, mais c’était là une chose qu’elle ne pouvait pas montrer ouvertement. Sa mère lui disait souvent qu’il n’y avait pas de mal laisser paraître ses émotions, pleurer quand il fallait pleurer, craindre ouvertement les choses et ainsi exprimer en toute sincérité ce qu'ils étaient. Mais Marie a toujours été le genre de personne à cracher des conseils qu’elle ne suivait pas elle-même. Au fond, c’était le genre de femme à garder sa souffrance pour elle, froide face à l’adversité. Gladys était ce qu’elle était non par en suivant les paroles de sa mère, mais suivant le comportement de sa mère.

Et avec les années, elle avait compris une chose qui se reflétait aussi dans la situation qu’elle vivait présentement avec la jeune Rain. Elles souffraient toutes les deux, il n’y avait pas une qui avait plus froid ou plus peur que l’autre. Mais tout comme elle l’avait compris à travers le comportement de sa mère, montrer à Eshani qu’elle aussi pouvait craquer, qu’elle aussi avait mal à cause du froid, qu’elle n’était pas loin de s'effondrer en sanglot, c’était donné une bonne raison à cette enfant de paniquer. Du coup oui, comme Marie, comme sa mère, Gladys gardait une expression forte et dure, de sorte à paraître inébranlable. Ainsi, elle entretiendrait le sentiment de sécurité qui pouvait calmer le cœur de Rain présentement. Et les deux femmes nageaient, sans que l’albinos ne lâche l’élève qu’elle avait sous sa responsabilité, même si elle faisait énormément d’effort, car nageant pour deux. Et elles avaient atteint l’objectif, Eshani fut la première à remarquer les barques à prévenir les autres de leur présence.  

La professeure quant à elle, avait du mal à reprendre son souffle face à l’effort, le froid, la fatigue mentale comme physique... Elle sentait son cœur battre dans sa poitrine avec une force douloureuse. Le soulagement qu’elle ressentît, fit dangereusement chuter son adrénaline alors qu’elle s’appuyait contre la roche. Ses paupières s’alourdissant tout aussi dangereusement.      

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