Samaël Rosier
ft. Tom Ellis
Nom : Rosier
Prénom : Samaël
Âge : 36 ans
Date de naissance : 30 septembre 1986
Lieu de naissance : Londres
Race : Sang-Pur
Lieu d'habitation : Londres
Niveau de vie : [X] Riche [ ] Aisé [ ] Moyen [ ] Pauvre
Baguette : Bois de cerisier, plume d'oiseau-tonnerre, 38.2 cm, fine et semi-rigide.
Patronus : Epervier
Epouvantard : Des chaines
Don : Occlumentie acquise
Allégeance :
[X] Neutre [ ] Ministère [ ] Partisan d'Abadone
Mon métier
Lieu de travail : Ministère de la Magie / Département des Mystères
Métier : Langue-de-Plomb
Dernier cursus scolaire suivi : Doctorat en Administration Magique
Notes obtenues :
Sortilège : O
Potion : O
Physique
Samaël est un pur produit anglais. Brun aux yeux presque noirs, il est grand, très grand 1m90 que supporte 85 kilos de muscles fins mais bien présents. De son éducation, il a acquis une classe certaine dans sa façon de s'habiller, toujours de manière savante et parfaitement maîtrisée. A la façon dont il bouge, on peut deviner sans peine que chaque mouvement est réfléchis, il possède un regard luisant d'amusement constant mais derrière cela, il y nage pourtant un ennui certain. Le pli de sa bouche est souvent plissé par un sourire cynique qui peut pourtant éclater dans un rire sonore.Ses cheveux parfaitement coiffé lui confère une maturité certaine et son attitude plus mêlant assurance et nonchalance annonce la présence d'un caractère bien trempé.
Caractère
Cynique, désabusé, sardonique, mordant. C'est généralement la manière dont on décrit Samaël. Doté d'une détermination a faire crever un dragon, d'une volonté d'airain et d'un goût du secret prononcé, l'homme est délicat a cerner. Souvent moqueur, railleur et ironique, on ne sait jamais si on l'aime ou on le déteste. Notons que cela lui importe peu, Samaël ne prête que très peu attention a ce que l'on peut penser de lui. Méticuleux, efficace et réfléchis sont aussi des termes avec lesquels on pourrait le qualifier. Seuls ces proches, peu nombreux au demeurant, on droit a autre chose qu'une éternelle ironie dans son sourire, remplacée alors par une franche affection ou une tendre moquerie.Samaël est un homme compliqué dont il est difficile de prévoir les actions néanmoins, il est loyal, peut être trop et, une fois son affection et son respect gagnés, de haute lutte le plus souvent, ceux ci deviennent immuables.
Histoire
Le verre de cognac danse dans ma paume droite tandis que la gauche desserre ma cravate. Un énième soupir traverse la pièce intemporelle qu'est le bureau familial. Mes jambes se croisent d'un mouvement las tandis que mon regard sombre se pose sur le dernier Rosier a avoir eut son heure de gloire. Ce reflet auquel s'accroche désespérément ce qui reste de ma famille. Un rictus sarcastique s'imprime sur ma bouche au pli sardonique. Le regard fier d'Evan Rosier me juge mais je n'en ai que faire. Après tout, y avait il quelque chose de fier a être mort et enterré ? Sans doute pas, mais les Rosier ou plutôt ce qu'il en reste semble le porter aux nues. Seul petit hic, ce reste n'est qu'une personne a moitié folle. Moi ? Je me fiche totalement de ce Evan.
Je suis né sur le tard, dernier bébé d'une famille déjà au bord du gouffre. Adolescent, j'ai regardé la Seconde Guerre avec un air absent. Quelle importance qui règne sur qui ? Mis à part perdre la vie de toute façon, quel était l'intérêt ? Peut être s'ajouter quelques problèmes de plus. Je n'en avais cure, j'avais déjà la lourde tâche de relever la fortune de la famille, inutile de m'ennuyer avec des objectifs aussi inatteignables que ridicules. Cela dit, j'étais d'accord avec une chose, une seule, le sang. Mais le sang des Rosier s'éteindra certainement avec moi. Je suis le dernier, ne comptons pas ma vieille tante grabataire dont j'espérais un rapide trépas pour avoir enfin la liberté de mener mon galion comme je l'entendais. J'ai grandis dans l'ombre de ce Evan assez stupide pour se faire tuer par une de ses anciennes victimes. Quitte a se faire des ennemis, autant les avoir morts non ? Quel abruti. Je porte un toast ironique au portrait. Dont je me débarrasserais dès que je le pourrais. Avec cette énième lettre imbécile de cette foutue tante Vinda.J'ai eu un parcours sans faute ou presque, un Serpentard digne et fier, lié aux familles les plus influentes. J'ai remonté la fortune familiale grâce a de savants placements et j'ai un pied au Département des Mystère Magiques du Ministère. De quoi se plaignait cette vieille goule au juste ? Ah, peut être qu'a mon âge, je n'étais toujours pas marié et sans enfants. Je n'étais pas un moine pour autant mais le mariage...Non. M'encombrer d'une femme aussi revêche et pimbêche que ma tante n'était pas dans mes projets. De toute façon, le mariage n'était pas dans mes projets non plus. J'étais très bien ainsi ou peut être que je m'illusionnais de cette pseudo liberté allez savoir. Je m'étais déjà débarrasser de deux fiancées, j'en ferais de même pour les suivantes, ce n'était pas bien difficile. Ma langue acérée et mon indifférence crasse servaient bien évidemment ce projet et décourageaient assez facilement toute velléités d'union, même de convenance. C'était bien la seule chose que je refusais de concéder a ma vieille tantine déjà a moitié folle.
D'un geste vif, je termine mon verre et déploie mes 1m90, un sourire ironique aux lèvres. De toute façon pourquoi s'encombrer d'une femme et de marmots. Je suis un Langue-de-Plombs, l'un des plus expérimenté même, une carrière dont je suis fier quelque part et qui me permet souvent d'avoir un coup d'avance. Je porte l'un des sang les plus anciens du monde magique et je ne manque de rien... Mais soyons honnête, tout cela est d'un ennui pathétique parfois. Peut être devrais je faire un bâtard pour qu'on me lâche ? Mauvaise idée. Marcus serait certainement d'un meilleur conseil si je lui posai la question, il aurait peut être un plan pour faire patienter la vieille sénile jusqu'à ce qu'elle y passe...Ou alors j'étais devenu trop cynique au fil des années. Et ce cynisme s'imprime sans mal dans le regard que je pose sur la créature qui vient d'entrer, courbée en deux de déférence, vêtue d'un pagne miteux. Ah...Il faudra que je pense a me débarrasser de ce petit espion aux yeux porcins. L'elfe de maison s'avança a petits pas. « Monsieur, Maîtresse vous demande. » « Dis donc a cette vieille chouette déplumée que je n'ai pas le temps de m'occuper d'elle. » Je n'ai pas besoin de me retourner pour savoir que Noctimbus grince des dents, je peux sentir son regard désapprobateur sur mon dos. Quelle petite chose immonde. Je l'enterrerais avec la vieille. Il m'espionne pour son compte, lui rapporte le moindre de mes faits et gestes. On pourrait se dire qu'a mon âge, je n'avais pas besoin d'en passer par elle, mais la vérité était autre hélas. La famille ou même ce nom que parfois je me prenais a haïr était le mien. Et même si je ne désirais pas autant qu'elle le perpétuer, il devait rester parfait. Alors je la tolérais. Je tolérais ces ordres que je trouvais toujours moyen de contourner. Jouer le rôle de l’obéissance était facile, mais la petite fouine toute fripée qui me brûlait de désapprobation était une sacrée épine dans mon pied.
Sous le regard humide de l'elfe, je vais me resservir un cognac, en prenant bien soin qu'il le note alors qu'il me voit désobéir a un ordre de sa maîtresse, chose impensable. Discrètement, je replace un dossier sur une lettre de Marcus. Bien sûr, il n'y a rien d'étrange a cela, nous sommes proches des Avery depuis longtemps, a 11 ans, je suis même devenu le parrain de leur petite dernière. Une déception selon Marcus, je n'ai pas tellement d'avis sur la question, je me souviens d'une gamine avec des dents en moins, c'était tout. Ce que je savais d'elle, je le tenais de son frère duquel j'étais bien plus proche et ce n'était pas reluisant, Marcus devait parfois s'arracher les cheveux et moi, j'avoue avoir rit une paire de fois. Qu'importe la gamine ne serait jamais de ma responsabilité de toute façon...Du moins, ça c'était ce que je croyais...
Le Moldu que je suis...
Âge : 20 ans a tout jamais
Pseudo : Asteride
Comment as-tu connu le forum ? Oui alors c'est une loooongue histoire
Un petit mot ? Chut