Chronologie
0000
0000
0000
0000
Annonces du staff
Invité
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#742 - Mer 7 Sep - 19:41
Dernière édition par Andrew Mackelled le Sam 24 Sep - 22:13, édité 1 fois
Erin Wheeler
Professeur
Onglet 1
Age : 31
Profession/Niveau : Professeur d'Histoire de la Magie
Race : Hybride
Statut : Sang Mêlé
Baguette : Bois de Charme, Cheveu de Vélane, 24 cm, Souple
Patronus : Loutre
Epouvantard : Un loup-garou
Gallions : 560
Gif : https://i.pinimg.com/originals/f7/c5/40/f7c540c0c1a243c2272243f8d0c84b62.gif
Faceclaim : Shelley Hennig
Bannière : https://zupimages.net/up/24/11/wu0w.png
Date d'inscription : 21/04/2022
Messages : 566
Onglet 2
Onglet 3
#750 - Jeu 8 Sep - 15:09
Dernière édition par Erin Wheeler le Jeu 8 Sep - 21:11, édité 1 fois
En toute discrétion... Pourquoi est-ce que j'avais fait ça ? Bonne question. La rentrée avait à peine eu lieu que j'avais disons... Dérapé. Oui voilà, appelons ça comme ça. J'avais dérapé. Et pas avec n'importe qui, qui plus est... Avec le sous-directeur et SURTOUT mon ancien professeur de potions. Autant dire que je n'allais pas facilement m'en remettre car si le Professeur Mackelled faisait partie du fantasme de nombre d'étudiante, je n'étais pas CE genre d'étudiante. Bien au contraire. D'ailleurs je n'étais même plus étudiante. Et il n'était plus mon professeur mais seulement un collègue... Qui avait presque la moitié de mon âge de plus que moi... Et des filles que j'avais en cours et... Oh par Merlin, qu'avais-je fait ? Mais pire que ça... Pire qu'avoir couché avec un collègue, je me doutais du pourquoi tout cela avait eu lieu. Andrew qui n'avait jamais manifesté, à mon sens, le moindre regard envers moi ne pouvait décemment pas avoir cédé de la sorte sans un coup de pouce "magique". Et quoi de mieux pour ce coup de pouce que d'avoir face à lui une demi-vélane ? Voilà tout le fond du problème ou tout du moins le demi fond du problème à bien réfléchir. Outre ma position hiérarchique et cette sensation de voir toujours mon ancien professeur, je savais, ou tout du moins j'imaginais savoir, qu'Andrew regrettait ce qu'il s'était passé en se rendant compte - ou non - du pourquoi cela s'était passé. Après tout, comment ne pouvait-on pas se rendre compte d'une attirance seulement basée sur le physique d'une personne dû à sa race ?... Bonne question. A vrai dire je n'en savais strictement rien puisque je n'étais pas à leur place mais... Disons que je l'imaginais. En attendant, cela faisait désormais près d'une semaine que je fuyais ni plus ni moins Andrew, évitant jusqu'à la salle des professeurs et les déjeuners pris en commun. Cela n'allait pas pouvoir durer, certes, mais tant que cela pouvait... Cela durerait ! Bien sûr, je ne pouvais pas m'empêcher de sortir. Peu encline à rester en place et détestant être enfermée, trop sociable pour cela à vrai dire, j'avais malgré tout pris la décision de quitter mon bureau et mes appartements pour Pré Au Lard afin de faire le plein de foule... Et de Bièraubeurre. Evidemment. Le risque de le croiser était évidemment présent mais dans toute cette foule cela ne pouvait pas être si impor... Mon souffle se coupa soudainemet alors qu'une force qui m'était inconnue venait de me saisir par la taille pour m'entraîner plus loin du chemin principal. Prise par surprise, je n'avais même pas eu la présence d'esprit de sortir ma baguette et me retrouvais alors désormais contre le mur d'une ruelle. Il me fallut quelques instants de réflexion pour comprendre qui et pourquoi et à l'instant même où je compris, mes joues s'empourprêrent bien malgré moi alors que mon regard se mit à fuir mon "agresseur". Andrew Mackelled... De toute la population de Poudlard, il avait fallut qu'il me retrouve lors de ma seule sortie hebdomadaire. Un comble ! - N... Non ! Me défendis alors automatiquement. Moi ? Utiliser une personne pour une nuit ? Evidemment que j'en serais incapable ! Déjà qu'il n'était que le deuxième homme à franchir mes cuisses, il ne fallait pas non plus imaginer de moi que j'étais une femme... Disons... Facile, et ce sans jugement de ma part, évidemment. Pourtant, ce n'était visiblement pas ce que l'homme avait à me dire. Non. Au contraire, il... S'inquiétait ? Clignant des yeux, je relevai mon regard interloqué vers son visage. Avais-je bien compris ?... - N... Non... Soufflai-je alors qu'il se reculait légèrement, me permettant de reprendre ma respiration, retenue jusque là. Hé bien maintenant qu'on était là, je n'allais plus avoir beaucoup de possibilité... Le fait de fuir venait d'être réduit à néant. Restait donc... Pleurer et... Discuter. Bien. Je n'allais évidemment pas me mettre à pleurer. Alors il ne me restait plus qu'à m'expliquer. - Evidemment que non ! Dis-je alors un peu brusquement, soucieuse de le rassurer. Je n'ai pas été blessée ! Loin de là, même, avouai-je en détournant légèrement le regard. Et tu as été clair sur ce que tu voulais alors... Enfin je sais ce qu'il en est, mais... Je n'avais jamais été la personne la plus à l'aise pour exprimer ses sentiments et ses idées. Alors exprimer mes peurs, mes doutes et toute autre angoisse... C'était toute une histoire. Mais je n'avais pas la possibilté de fuir alors... - Professeur Mackelled... Je toussotai, secouant la tête de gauche à droite. Andrew... Repris-je alors. Je... Il faut que je vous dise... te dise quelque chose... Grimaçai-je sans oser croiser son regard, reprenant mes mauvaises habitudes de le vouvoyer, presqu'intimidée par sa prestance. Je... C'est juste que... Je soupirai grandement. Je sais pertinemment que si tu as cédé, enfin si nous avons... Voilà... Enfin tu comprends... Je sais juste que ce n'est pas "toi". Enfin si, mais... Ce n'était que ton attirance superficielle envers moi et... Et ça m'angoissait, comme cela m'avait toujours angoissé dans mes relations avec les hommes. Une seule mauvaise expérience avec mon premier petit copain avait entraîné cette peur, et les hommes ne m'ayant jamais prouvé que je me trompais - en témoignait cet homme qui m'avait pris ma virginité en Grèce - j'avais continué à craindre que le sexe fort ne trouve en moi qu'une belle plante, une vélane et c'était tout. - Et c'est tout ce que je ne voulais pas mais je n'y ai pas réfléchis quand on a... Quand on s'est rapproché... Grimaçant, je comprenais bien que mes mots étaient là chaotiques et sûrement sans vraiment de sens pour quiconque n'était pas au courant. Certains l'étaient, certes, mais je ne l'ébruitais pas vraiment sur les toits et Julia ne l'ayant pas non plus fait... - Qu'est ce que vous savez... tu sais... sur les vélanes ? Demandai-je alors en soupirant avant de me reprendre rapidement. Je suis désolée ! J'aurais dû te le dire avant ! Et je n'ai pas réfléchi ! Et je sais que tu es quelqu'un de respectueux, tu es mon ancien professeur, tu es plus âgé que moi - et voilà le deuxième fond du problème qui n'était surtout qu'un fait qui me faisait "bizarre" plus qu'un problème tant l'homme était... Hum. Bien conservé allons-nous dire pour être polie - mais je n'ai pas réfléchie au fait que je pouvais sans le vouloir influer sur ta façon de me voir, de me vouloir ou j'en sais rien et... Je grimaçai de nouveau. Et je me sens super mal à cause de ça parce que c'était vraiment... Mes joues de nouveau se mirent à rougir alors que je n'oserais certainement pas lui avouer que l'envie de recommencer m'avait prise plusieurs fois dans la semaine. Enfin voilà... Terminai-je sans même finir ma dernière phrase. With @Andrew Mackelled |
Invité
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#753 - Jeu 8 Sep - 18:36
Erin Wheeler
Professeur
Onglet 1
Age : 31
Profession/Niveau : Professeur d'Histoire de la Magie
Race : Hybride
Statut : Sang Mêlé
Baguette : Bois de Charme, Cheveu de Vélane, 24 cm, Souple
Patronus : Loutre
Epouvantard : Un loup-garou
Gallions : 560
Gif : https://i.pinimg.com/originals/f7/c5/40/f7c540c0c1a243c2272243f8d0c84b62.gif
Faceclaim : Shelley Hennig
Bannière : https://zupimages.net/up/24/11/wu0w.png
Date d'inscription : 21/04/2022
Messages : 566
Onglet 2
Onglet 3
#755 - Jeu 8 Sep - 21:31
En toute discrétion... Si j’étais habituellement friande de blague en tout genre, tentant même d’en faire à ma façon – que je trouvais d’ailleurs drôle, soyons honnête j’aurais presque pu faire comique dans une autre vie – cette fois fut différente. J’étais en effet tellement stressée qu’il me fut incapable même d’esquisser un sourire à la plaisanterie du Professeur Mackelled. Et… Ce fut pire quand il se mit à rire. Pourquoi est-ce qu’il se mettait à rire ? Qu’avais-je dit de si drôle que ça ? Pour une fois que je ne faisais pas de blagues en plus ! Fronçant les sourcils alors que je venais de lui expliquer le pourquoi il était tombé « sous mon charme », je ne comprenais réellement pas quelle mouche avait piqué Andrew. Et ce qu’il vint à dire… Ne m’aida pas le moins du monde. Non, vraiment, il ne m’aida pas du tout. Bien au contraire. Il m’enfonça. Ainsi ce qu’il avait fait ne lui ressemblait pas… Qu’il veuille ou non devenir cette personne n’allait pas m’arranger. Il avait fait quelque chose qui n’était pas lui. Le résumé était donc bien vite fait… Tout ça était en tant que tel ma faute. Je ne l’avais pas voulu, certes, mais c’était ma faute. Enfin… Au moins avait-il compris et j’hochai doucement la tête pour confirmer ses dire. - Ma mère était une vélane. Julia et moi sommes donc effectivement demi vélanes. Expliquai-je presque tristement. Et le couperet tomba alors : oui. Il avait eu envie par mon simple physique. Pas pour le reste. Alors que sa main était posée sur mon avant-bras, je baissai alors la tête, presqu’honteuse de lui avoir fait ça et de m’avoir cru pour une fois au-dessus de ma race. Enfin… Disons de ne pas y avoir pensé surtout, pour être tout à fait honnête. Pourtant, Andrew ne s’arrêta pas là, me faisant relever la tête, surprise. Il me remercier ? Venant me mordiller la lèvre, les joues rouges, je l’observai alors, anxieuse alors que venait le temps des compliments. Oui, oui, des compliments. Il était en train de dier que mes blagues n’étaient pas drôles ? Hein ? Une moue se fit alors sur mon visage tandis que les mots d’Andrew continuaient à se déverser sur moi. Un tic ? Quel tic ? Instantanément, je cessai de me mordiller la lèvre nerveusement, l’observant avec une certaine attention sans trop savoir quoi dire. Et comment ça il avait « toujours eu un faible pour moi » ? On ne se parlait presque pas avant l’année dernière ! J’étais à vrai dire trop intimidée pour ça et d’ailleurs je l’étais toujours un peu, il fallait se l’accorder. Les lèvres alors entrouvertes, prête à dire quelque chose qui ne sortait pas et dont j’ignorais même le sens, je ne bougeai pas alors que la main du professeur de potions venait remonter jusqu’à ma joue. Ses lèvres proches des miennes, je fermai doucement les yeux, sentant son souffle sur moi, les instants partagés avec lui me revenant en tête alors qu’une sensation de chaleur naissait en moi. - Je sais… Tu as été clair. Soufflai-je alors sans ouvrir les yeux. Pas d’attache, juste de l’amusement… Répétai-je presque machinalement contre ses lèvres sans pour autant les toucher. Mais j’ai encore un peu de mal avec ce système… Doucement, mes bras s’enroulèrent autour de son cou alors que j’en oubliais que nous n’étions pas loin de l’avenue principale de Pré-Au-Lard, là où pouvait passer bon nombre de nos élèves. Et je n’ai pas envie d’être la belle petite Serdaigle que tu as mis dans ton lit maintenant qu’elle n’est plus sous ton autorité. Grondai-je à mi-voix plus contre moi que contre lui. Est-ce que j’étais persuadée que mon charme de demi-vélane avait été la raison de tout ça ? Oui. Et malgré les compliments ; car Merlin seul savait que els hommes pouvaient être généreux en compliments quand quelque chose lui plaisait et je n’avais toujours ou presque qu’était qu’une chose dans les yeux de ces mêmes hommes alors… Pourquoi ferait-il exception ? Pourtant, et malgré la peur qui me tiraillait le ventre et cette envie de fuir qui me reprenait de nouveau, mes lèvres entrèrent en contact avec celle du sous-directeur de l’école, me serrant doucement contre lui alors que l’une de mes mains venaient se poser dans sa chevelure dans un soupire d’aise. Et merde… Si moi-même je n’écoutais plus mes angoisses, qui donc allait les écouter ? With @Andrew Mackelled _________________ Erin Wheeler You're the only reason that I'm not afraid to fly and it's crazy that someone could change me. Now no matter what it is I have to do, I'm not afraid to try and you need to know that you're the reason why. That it's alright. ••• by Aardbei |
Invité
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#765 - Sam 10 Sep - 16:26
Erin Wheeler
Professeur
Onglet 1
Age : 31
Profession/Niveau : Professeur d'Histoire de la Magie
Race : Hybride
Statut : Sang Mêlé
Baguette : Bois de Charme, Cheveu de Vélane, 24 cm, Souple
Patronus : Loutre
Epouvantard : Un loup-garou
Gallions : 560
Gif : https://i.pinimg.com/originals/f7/c5/40/f7c540c0c1a243c2272243f8d0c84b62.gif
Faceclaim : Shelley Hennig
Bannière : https://zupimages.net/up/24/11/wu0w.png
Date d'inscription : 21/04/2022
Messages : 566
Onglet 2
Onglet 3
#860 - Dim 11 Sep - 22:31
En toute discrétion... Que je le blesse ou qu’il me blesse ? A vrai dire, je n’avais absolument pas pensé à ça. Cela ne m’était pas venu à l’idée. Pourquoi ? Car je ne pensais que rarement au mal qui pourrait être fait. C’était, jusque-là, ce qui m’avait permis de toujours voyager seule, par exemple, dans des contrées éloignées. Mais c’était aussi cela qui m’avait poussé devant ce lycan et qui avait, en quelque sorte, créé l’attaque dont j’avais été victime au Brésil. Alors… Alors peut être un jour devrais-je commencer à penser aux choses qui pouvaient me faire du mal, à défaut de penser que je pourrais faire du mal. Non. Cela… Je n'y penserais certainement jamais. Pourquoi ? Tout simplement parce que je n’en serais pas capable. Non. Cela ne me ressemblait pas. Bien au contraire. Et si c’était non désiré et que je faisais quand même du mal ? Hé bien je ferais tout pour rattraper mon erreur, cela allait de soi. Mais je n’eus pas le temps de répondre. Ses lèvres m’appelaient bien trop pour que je puisse m’en détourner. Alors, l’embrassant avec une certaine envie tandis que lui-même venait se saisir de mes poignets. Ces pauvres petits poignets qui furent alors captifs contre le mur alors que je profitai plus qu’allègrement du contact avec Andrew comme si nous étions seuls au monde. Une solitude bien relative au vu du bruit qui nous entourait mais que j’omettais désormais, toute concentrée sur le corps du professeur de potion. Basculant ma tête en arrière, soufflant d’aise autant que d’envie, je me sentis soudainement bien frustrée lorsqu’il prit la décision de relâcher toute la pression qu’il me faisait accumuler en reculant seulement de quelques pas. Me retenant fermement de gronder du fait de cette frustration que je ne me connaissais pas, je l’écoutais malgré tout avec attention. Clignant des yeux, je l’observai alors sans comprendre de quoi il me parlait. Un marché… Mais quel marché ? Comment voulait-il me rassurer quant à ce que je craignais qui était pourtant, à mon sens et par mes connaissances, un fait qui ne pouvait de toutes façons changer. Mes esprits complètement repris, je continuai alors d’écouter Andrew sans parler jusqu’à… Devenir plus rouge qu’une tomate trop mûre. Venais-je réellement d’entendre ce que j’avais entendu ? Ou venais-je de rêver et de déformer ses propos. Outre le fait qu’il me semblait impossible d’atténuer ma demi race, venait-il réellement de me demander de lui faire découvrir ce qu’était une relation ? Cela signifiait-il… Que… Que l’on sortait ensemble ? Ou au moins que l’on essayait ? Enfin… Qu’est ce que… Qu’est ce que cela voulait dire ? Du calme, Erin… Du calme. Me soufflai-je à moi-même. Il fallait rester calme, réfléchie et surtout ne pas mettre le carrosse avant l’hippogriffe. Ainsi pris-je quelques instants pour me reprendre de nouveau et toussoter, me mordillant la lèvre inférieure sans m’en rendre compte en observant sa main tendue. Et doucement, je pris sa main alors, presque timidement, ne sachant pas réellement si cela était réellement une bonne idée. - J’accepte ton marché… Soufflai-je doucement. Mais je doute que tu trouves comment atténuer ma race. Sinon crois bien que je l’aurais trouvé depuis longtemps. Grimaçai-je légèrement avant de me rapprocher de lui. Mais d’accord malgré tout. Je vais te montrer alors… Mais lui montrer quoi d’ailleurs ? Je n’avais pas vraiment d’idées de ce qu’était réellement une « relation ». En dehors du sexe ou avec le sexe d’ailleurs. Je n’en avais jamais eu. Alors comment montrer à quelqu’un… ce qu’on ne connaissait pas ? Impossible ! Inimaginable ! Et pourtant ! Si la panique était quelque peu visible sur mon visage que je tentais, malgré tout, de contrôler, je m’étais décidé à lui montrer – et à me montrer aussi par la même occasion – ce que pouvait être une « vraie relation ». Ainsi hochai-je la tête à sa question, serrant doucement sa main dans la mienne. - Va pour un verre. Acceptai-je alors en relâchant doucement sa main. Je te l’offre pour la peine. Ne pas se toucher était donc le maître mot désormais puisque nous allions quitter la ruelle. Me mouvant à ses côtés, je me dirigeai alors de moi-même vers Les Trois Balais où je m’installai simplement à une table, laissant Andrew commander son verre avant de me commander un Bièraubeurre. - Alors… Commençai-je en l’observant avant de soupirer pour reprendre les choses bien, malgré tout. Désolée de t’avoir fui toute la semaine. Dis-je l’air réellement désolée. Je ne suis pas la personne la plus courageuse du monde, c’est peut être pour ça que je n’ai pas été à Gryffondor. M’amusai-je un peu avant qu’une voix ne me fasse sursauter. - Professeur Mackelled ! Me retournant vers la voix qui venait de derrière moi, j’observai alors un groupe d’étudiant s’approcher de notre table. - Bonjour Professeur ! Se retournant vers moi, l’élève que je reconnaissais être de Serpentard hocha la tête. Bonjour Professeur Wheeler. Désolé de vous déranger. On voulait savoir si le devoir pour demain allait être noté en fait. Mais… J’vois que vous êtes en super bonne compagnie donc… On va peut être pas vous déranger. Ricana-t-il en tentant de se contenir. Outre le fait que ces jeunes gens ne devaient certainement pas avoir commencé leur devoir au vu de leur question et de leur présence ici, je laissai Andrew gérer ses élèves à sa façon, tentant de masquer la gène que l’idée qu’on puisse nous imaginer « ensemble » avait provoqué. Et ce n’était pas tant une gène de dégoût ou de mésenvie, non… Plutôt une gène venant du fait que je ne savais pas comment me comporter et que tout devait rester entre nous pour le moment. Comme convenu. With @Andrew Mackelled _________________ Erin Wheeler You're the only reason that I'm not afraid to fly and it's crazy that someone could change me. Now no matter what it is I have to do, I'm not afraid to try and you need to know that you're the reason why. That it's alright. ••• by Aardbei |
Invité
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#943 - Jeu 15 Sep - 19:40
Erin Wheeler
Professeur
Onglet 1
Age : 31
Profession/Niveau : Professeur d'Histoire de la Magie
Race : Hybride
Statut : Sang Mêlé
Baguette : Bois de Charme, Cheveu de Vélane, 24 cm, Souple
Patronus : Loutre
Epouvantard : Un loup-garou
Gallions : 560
Gif : https://i.pinimg.com/originals/f7/c5/40/f7c540c0c1a243c2272243f8d0c84b62.gif
Faceclaim : Shelley Hennig
Bannière : https://zupimages.net/up/24/11/wu0w.png
Date d'inscription : 21/04/2022
Messages : 566
Onglet 2
Onglet 3
#951 - Jeu 15 Sep - 22:29
En toute discrétion... Avoir une discussion dès le lendemain ? Oui… Cela aurait peut-être été plus adulte… Je devais bien l’accorder. Mais sur le coup… Il fallait bien avouer que je n’avais pas vraiment eu ce courage. Et cela pour plusieurs raisons qui me semblaient particulièrement logiques. Tout d’abord, il y avait le fait que je ne m’attendais certainement pas à passer une nuit avec lui, mon ancien professeur, de quinze ans ou presque mon aîné. Ensuite… Je m’en étais en quelques sortes voulu. Parce que je l’avais trompé. Enfin trompé… Je m’entendais. Je n’étais pas humaine. Pas uniquement humaine je voulais dire. Et je ne lui avais pas dit. Je l’avais laissé se faire berner par une race que je ne contrôlais pas, qui m’étais inhérente… Et en cela… Ce n’était pas honnête. Et je n’avais pas eu le courage de le lui dire. Enfin, j’avais craint… A vrai dire je n’en avais aucune idée. J’avais eu peur de le voir, comme si j’avais craint qu’il ne me dise quelque chose comme « Salut Erin ! C’était cool cette nuit ! Mais c’était moins bien qu’avec Madame X »… Ou même « Salut Erin ! On le refera plus jamais mais c’était bien ». Ouais… En fait… c’était plutôt ça. J’avais craint que ça ne soit qu’un coup d’une nuit. Comme ce qui était plus ou moins prévu. Du moins… Enfin je me comprenais. - Désolée… Dis-je ainsi penaude en baissant légèrement la tête. Mais rapidement, trop rapidement, un élève vint nous déranger dans cette conversation. Lançant un regard vers le directeur de Serpentard, je le laissai alors se débrouiller avec le jeune homme de la meilleure des manières alors qu’il en venait, même, à s’excuser. De la meilleure des manières avais-je dit ? Oui… Mais non. Car le terme employé vint me faire grimacer légèrement. C’était presque pire qu’ancien professeur en fin de compte… Quoique non. Cela ne faisait que rajouter. Ancien professeur était définitivement le pire. Et ce fut pire quand Andrew reprit parole. - Tu me compares au Professeur McGonagall et à Amos ? Demandai-je alors quelque peu vexée. Il désirait que l’on en apprenne plus l’un sur l’autre… Ce n’était pas en prenant des verres entre collègues que ça allait être le cas, ce n’était certainement pas assez proche ! Mais plus que ça… Mes joues s’empourprèrent alors que mes pensées fusaient dans ma tête. Son corps… Nu… Contre le mien… En moi… Par Merlin ! Au moins nos boissons arrivèrent-elles rapidement, me coupant dans ces pensées obscènes. Attrapant ma pinte, je commençai à la boire lorsque je m’étouffai, ni plus ni moins, avec une gorgée, redevenant de nouveau rouge pivoine, une chaleur bien étrange quoiqu’agréable naissant dans mon bas ventre aux pensées qu’Andrew me faisait avoir. Allais-je me laisser faire ? Non. Bien au contraire. Pour autant, je n’en fis rien… Pour le moment. Il fallut attendre près de deux heures trente de conversation pour qu’enfin, plus à l’aise, je me redresse sur mon siège pour caresser doucement, de mon pied, l’intérieur de la jambe du professeur, discrètement. - Est-ce que tu penses que l’on pourrait terminer la soirée ailleurs ? Demandai-je alors en le regardant droit dans les yeux, mon pied remontant jusqu’à sa cuisse, l’air de rien. Me rendais-je compte de ce que je faisais ? Oui… Et non. Disons que je me rendais compte du fait que je faisais quelque chose que je n’avais jamais fait et qui ne me ressemblait fondamentalement pas. Mais c’était une chose dont j’avais envie, une chose qui était presque plus forte que moi, peut être poussée par les pensées, les souvenirs, que m’avait offert le professeur de potion. - J’adore aller au bord du lac et à cette heure-ci… Les élèves sont déjà rentrés et sous couvre-feu. Au moins, nous ne serions pas dérangés par les élèves cette fois. Libres et seuls face à ce que j’aimais en particulier : la nature. Ainsi payais-je les consommations qui avaient été malgré tout plus nombreuse que prévu pour prendre la direction du lac noir, non sans continuer à parler à Andrew, étrangement en confiance, cette fois, près de lui. Je découvrais un homme plus qu’intéressant – quoique je le savais déjà – mais dont les valeurs et l’intelligence ne faisait que croître dans mes pensées. Arrivés enfin dans le parc de Poudlard, je m’installai alors dans l’herbe, soupirant d’aise, le nez au vent. - Promis… Je ne te retiendrais pas trop. Tu dois avoir envie d’aller dormir. Soufflai-je alors en souriant. Mais merci pour la soirée, Andrew… ça me fait du bien, à vrai dire, de pouvoir discuter avec quelqu’un. Ce n’est pas forcément très fréquent d’avoir autant de conversation et… Mes joues, de nouveau, s’empourprèrent alors que mon regard fuyait vers le lac. Tu es quelqu’un d’intéressant dirons-nous. Mais ça… Je le sais depuis longtemps. Depuis longtemps oui, car quelle élève n’avait pas un jour fantasmé sur le beau professeur Mackelled ? Je n’étais certainement pas exempte de ça. Bien au contraire. J’avais toujours rêvé de… Enfin… Hum. Passons ces souvenirs… N’est-ce pas ? With @Andrew Mackelled _________________ Erin Wheeler You're the only reason that I'm not afraid to fly and it's crazy that someone could change me. Now no matter what it is I have to do, I'm not afraid to try and you need to know that you're the reason why. That it's alright. ••• by Aardbei |
Invité
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#984 - Dim 18 Sep - 15:39
Erin Wheeler
Professeur
Onglet 1
Age : 31
Profession/Niveau : Professeur d'Histoire de la Magie
Race : Hybride
Statut : Sang Mêlé
Baguette : Bois de Charme, Cheveu de Vélane, 24 cm, Souple
Patronus : Loutre
Epouvantard : Un loup-garou
Gallions : 560
Gif : https://i.pinimg.com/originals/f7/c5/40/f7c540c0c1a243c2272243f8d0c84b62.gif
Faceclaim : Shelley Hennig
Bannière : https://zupimages.net/up/24/11/wu0w.png
Date d'inscription : 21/04/2022
Messages : 566
Onglet 2
Onglet 3
#996 - Dim 18 Sep - 18:54
En toute discrétion... Est-ce que j’aurais préféré que… Non ! Evidemment que non ! Je n’avais aucune envie de devoir me justifier auprès de quique ce soit et le risque de cette relation, quelle qu’elle puisse être, était justement la demande de justification. Auprès des filles d’Andrew en premier lieu, qui avaient le plus gros de mon attention, mais aussi auprès de ma sœur, qui prenait déjà mal mon poste alors si en plus je faisais des « choses » avec un autre professeur… Mais aussi pour notre différence d’âge, parce qu’il avait été mon professeur et qu’il était actuellement mon supérieur hiérarchique direct. Et je n’avais pas non plus parler des bruits dans les couloirs du fait de nos étudiants que cela engendrerait inévitablement. Autant dire que cela faisait énormément de bémol à la moindre idée de relation que l’on pouvait avoir, quoique puissent être ses tenants et aboutissants. Mais malgré tout ces bémols et les pensées envahissante que le Professeur s’amusait à me faire avoir, la soirée se passa pour le mieux, les discussions allant de bon train et les rires tout autant. J’appréciais réellement discuter. Outre ma nature propre, Andrew avait un quelque chose de captivant lorsqu’il parlait et c’était d’ailleurs peut être cela qui faisait de lui un excellent professeur. Ce fut d’ailleurs parce que la soirée se déroulait bien que j’en vins à lui proposer une suite à cette dernière, près du lac où nous nous retrouvâmes alors seuls, dans la nuit. Bientôt assise dans l’herbe, je fus surprise de sentir Andrew se mettre derrière moi, m’emprisonnant entre ses jambes. Posée le dos contre son torse, je soupirai alors d’aise. Je n’avais jamais vécu une telle chose, comme s’il me faisait revivre une période de ma vie dont je n’avais pu profiter. Et cela… était particulièrement agréable je devais l’avouer. Sa joue contre la mienne, je soufflai alors doucement les quelques mots que je désirais lui dire. Maladroits, certes, mais réels. Il était « intéressant ». Plus que ça même quand on y réfléchissait bien. Et sa réponse me fit alors sourire et rougir. Rougir car il était toujours aussi étrange de l’entendre dire qu’il me voulait dans son lit – quand bien même cette étape était-elle passée – et sourire car… Je n’en savais rien. Je souriais à vrai dire bêtement. Frissonnant lorsque je sentis ses mains sur mon ventre, ce fut d’autant plus le cas à ses prochains mots qui me figèrent quelques secondes. Aller plus loin que l’amusement ? Qu’est ce que cela voulait dire exactement ? Est-ce que c’était quelque chose que j’espérais un tant soit peu lui donner envie – après tout, rien n’était interdit dans les rêves n’est-ce pas – ou était-ce une chose que je ne voulais pas mais dit autrement et que je ne comprenais pas ? Par Merlin pourquoi fallait-il que la communication soit si compliquée ? J’allais d’ailleurs lui poser la question, tournant la tête vers lui lorsque ses lèvres rencontrèrent les miennes avec une envie à laquelle je ne pus que répondre. Et ce fut d’autant plus le cas lorsque sa main glissa sur l’intérieur de mes cuisses, provoquant un long frisson bien trop agréable le long de ma colonne vertébrale. - J’ai dû rater une partie de ma scolarité plaisantai-je alors en basculant ma tête en arrière sur son épaule. Je n’ai jamais défié le moindre couvre-feu. Et si l’envie de lui sauter dessus était, bien malgré moi, présente, je n’en fis rien, le laissant se relever pour prendre sa main afin de me remettre moi-même sur pied et lisser les pans de ma robe avant qu’il ne m’embrasse à nouveau. Et c’est tendrement que je répondis à son baiser, mes bras autour de son cou, avant de soupirer. - Rentrons alors… Un léger sourire ornant mon visage, je le relâchai alors, profitant de la nuit pour glisser innocemment ma main dans la sienne jusqu’à ce que… Sans que je ne comprenne pourquoi, l’homme visiblement bien plus réactif que moi, je me retrouvai enfermée dans un placard à balais, le doigt d’Andrew sur mes lèvres alors que j’entendais des pas se rapprocher. - Il y a quelqu’un ? J’eus bien du mal à me retenir de soupirer en entendant la voix. Ce n’était pas ma sœur. Heureusement. Malgré tout, il ne fallait pas que l’on nous trouve. Et certainement pas dans un placard à balais aussi étroit ! - Est-ce qu’il y a quelqu’un ? Insista la voix en se rapprochant d’autant. Je vous ai entendu ! Fais comme des rats ? Non ! Il en était hors de question. Ainsi sortis-je ma baguette pour viser la serrure et… - Collaporta. Murmurai-je alors qu’un bruit de succion se faisait soudainement entendre, provoquant l’arrivée rapide, cette fois, du préfet en chef qui tourna devant la porte à la recherche du ou des fuyards. Grimaçant, je n’étais néanmoins plus vraiment inquiète, esquissant un sourire amusé à Andrew alors qu’à mon tour, je posai mon doigt sur mes lèvres pour lui intimer un nouveau silence. Par trois fois, l’élève tenta d’ouvrir la porte. Impossible. Evidemment. Et ce ne fut qu’au bout de longues minutes qu’il partit. Enfin. Non sans râler, comme tout bon élève. - Hominum revelio. Soufflai-je alors afin de vérifier la présence, ou non, de l’élève. Il était parti. Enfin. Et un soupir de soulagement sortit de mes lèvres avant que je ne me mette à rire, ma main libre posée sur le torse du Professeur de potion. - J’ai l’impression d’avoir quinze ans. Lui soufflai-je alors, particulièrement amusée. Et quitte à avoir quinze ans… Esquissant un sourire toujours aussi amusé, je me mis alors sur la pointe des pieds pour embrasser le professeur avec la même envie dont il avait précédemment fait preuve, soufflant d’aise à son contact. - Nous sommes pires que des élèves. Soufflai-je alors contre ses lèvres, mon front contre le sien. Pire que des élèves, oui mais bien plus expérimentés qu’eux en matière de cachette visiblement. With @Andrew Mackelled _________________ Erin Wheeler You're the only reason that I'm not afraid to fly and it's crazy that someone could change me. Now no matter what it is I have to do, I'm not afraid to try and you need to know that you're the reason why. That it's alright. ••• by Aardbei |
Invité
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#1009 - Lun 19 Sep - 18:19
Erin Wheeler
Professeur
Onglet 1
Age : 31
Profession/Niveau : Professeur d'Histoire de la Magie
Race : Hybride
Statut : Sang Mêlé
Baguette : Bois de Charme, Cheveu de Vélane, 24 cm, Souple
Patronus : Loutre
Epouvantard : Un loup-garou
Gallions : 560
Gif : https://i.pinimg.com/originals/f7/c5/40/f7c540c0c1a243c2272243f8d0c84b62.gif
Faceclaim : Shelley Hennig
Bannière : https://zupimages.net/up/24/11/wu0w.png
Date d'inscription : 21/04/2022
Messages : 566
Onglet 2
Onglet 3
#1023 - Mar 20 Sep - 15:22
En toute discrétion... Plus les secondes passaient, plus il me semblait que la pièce s'emplissait d'une chaleur certaine, sûrement dues à la tension plus que présente entre Andrew et moi. Mes bras enroulés autour de son cou, je profitai ainsi allègrement de ses lèvres, sentant bien rapidement le mur dans mon dos et les bras du professeur me soulever pour me permettre de l'entourer de mes jambes afin de maintenir une certain équilibre. Laissant ses lèvres se perdre dans mon cou, des frissons me couvrant le corps, je ris doucement à sa remarque. - J'avoue que je ne connaissais pas cette sensation, mais c'est... Agréable, soufflai-je en basculant doucement ma tête en arrière. Si je ne l'arrêtais pas... Mais avais-je envie de l'arrêter ? Je peinais moi même à ne pas avoir envie de le sentir de nouveau contre moi, comme la semaine précédente. Je l'avais certes fui, mais l'envie de le reconquérir, d'approfondir, même, ce que nous avions commencé... A vrai dire... Surtout d'approfondir... Soupirant profondément d'aise autant que d'envie, je sentais la chaleur envahir le bas de mon corps et l'envie se faire de plus en plus pressante de répondre à ses caresses qui, déjà, commençaient à devenir pressante, sur mes cuisses, sous ma robe. Mais avais-je ne serait-ce que la force de l'arrêter alors que j'en avais tout autant envie ? Là. Maintenant... Il me fallut plus que tout mon courage pour arriver à sortir de nouveau ma baguette et murmurer un « Alohomora » difficile entre deux baisers afin de déverrouiller la porte. Et dès lors qu'elle fut déverrouillée, embrassant Andrew avec toute l'envie et la passion qu'il me faisait ressentir, je l'entraîné en dehors du placard, les joues rouges non pas de timidité mais bien de chaud, l'attirant de nouveau vers moi pour l'embrasser alors que nous nous retrouvions seuls dans les couloir. Et sans attendre davantage, sa main dans la mienne, ce fut dans mes appartements que je l'entraînai. J'atteignis mon lit sur lequel je m'assis pour l'attirer entre mes jambes afin d'embrasser son torse que je dévêtis bien rapidement. Cherchant ses lèvres, je soufflai doucement contre celles-ci. - Voilà... Pas de placard... A cet instant, ma réflexion n'allait pas plus loin. J'en étais incapable... Ou presque. Une chose me revenait en tête. Il était dans cet état parce que je l'entraînais inexorablement à être dans cet état. C'était mon état, ma race, qui le poussait à faire cela. Mais lui... En avait-il réellement envie ? Ce fut cette question qui m'arrêta alors, ma robe déjà sur le sol, me faisant poser ma main sur son torse, le souffle court. - Attend... Murmurai-je enfin, me contenant plus que je n'aurais pu le penser. Est-ce que... Est-ce que c'est vraiment ce que tu as envie de faire ? Demandai-je sérieusement. Il me suffirait d'un oui, d'un simple oui, murmurer ou non, d'un hochement de tête positif pour le faire basculer sur le lit afin de me hisser sur lui pour l'embrasser de nouveau avec envie, cette envie qu'il avait été le seul à me faire connaître jusque là. Était-ce parce qu'il était le premier à avoir vécu assez proche de moi pour se faire désirer de la sorte ? Était-ce parce qu'il s'agissait justement d'un fantasme de longue date ? Toutes les idées étaient bonnes à prendre mais je rejetais toutes les idées pour me concentrer uniquement sur le présent et l'actuel, à savoir lui, moi et ce lit sur lequel nous étions. With @Andrew Mackelled _________________ Erin Wheeler You're the only reason that I'm not afraid to fly and it's crazy that someone could change me. Now no matter what it is I have to do, I'm not afraid to try and you need to know that you're the reason why. That it's alright. ••• by Aardbei |
Invité
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#1087 - Sam 24 Sep - 22:18
Erin Wheeler
Professeur
Onglet 1
Age : 31
Profession/Niveau : Professeur d'Histoire de la Magie
Race : Hybride
Statut : Sang Mêlé
Baguette : Bois de Charme, Cheveu de Vélane, 24 cm, Souple
Patronus : Loutre
Epouvantard : Un loup-garou
Gallions : 560
Gif : https://i.pinimg.com/originals/f7/c5/40/f7c540c0c1a243c2272243f8d0c84b62.gif
Faceclaim : Shelley Hennig
Bannière : https://zupimages.net/up/24/11/wu0w.png
Date d'inscription : 21/04/2022
Messages : 566
Onglet 2
Onglet 3
#1097 - Dim 25 Sep - 13:31
En toute discrétion... With @Andrew Mackelled _________________ Erin Wheeler You're the only reason that I'm not afraid to fly and it's crazy that someone could change me. Now no matter what it is I have to do, I'm not afraid to try and you need to know that you're the reason why. That it's alright. ••• by Aardbei |
Invité
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#1114 - Lun 26 Sep - 11:27
Erin Wheeler
Professeur
Onglet 1
Age : 31
Profession/Niveau : Professeur d'Histoire de la Magie
Race : Hybride
Statut : Sang Mêlé
Baguette : Bois de Charme, Cheveu de Vélane, 24 cm, Souple
Patronus : Loutre
Epouvantard : Un loup-garou
Gallions : 560
Gif : https://i.pinimg.com/originals/f7/c5/40/f7c540c0c1a243c2272243f8d0c84b62.gif
Faceclaim : Shelley Hennig
Bannière : https://zupimages.net/up/24/11/wu0w.png
Date d'inscription : 21/04/2022
Messages : 566
Onglet 2
Onglet 3
#1118 - Lun 26 Sep - 13:09
En toute discrétion... With @Andrew Mackelled _________________ Erin Wheeler You're the only reason that I'm not afraid to fly and it's crazy that someone could change me. Now no matter what it is I have to do, I'm not afraid to try and you need to know that you're the reason why. That it's alright. ••• by Aardbei |
Invité
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#1156 - Mar 27 Sep - 19:41
Erin Wheeler
Professeur
Onglet 1
Age : 31
Profession/Niveau : Professeur d'Histoire de la Magie
Race : Hybride
Statut : Sang Mêlé
Baguette : Bois de Charme, Cheveu de Vélane, 24 cm, Souple
Patronus : Loutre
Epouvantard : Un loup-garou
Gallions : 560
Gif : https://i.pinimg.com/originals/f7/c5/40/f7c540c0c1a243c2272243f8d0c84b62.gif
Faceclaim : Shelley Hennig
Bannière : https://zupimages.net/up/24/11/wu0w.png
Date d'inscription : 21/04/2022
Messages : 566
Onglet 2
Onglet 3
#1163 - Mar 27 Sep - 21:18
En toute discrétion... J’étais fatiguée, épuisée même devrais-je dire face à ce « sport » très peu prévu au programme de la soirée. D’une fuite en avant, j’étais passée à… Disons tout autre chose pour être polie. Et cela me plaisait bien plus que ladite fuite. Je n’avais d’ailleurs même plus envie de me cacher du professeur. Nous nous étions, en quelques sortes, expliqués, et j’avais retrouvé, en quelques heures, une adolescence que je n’avais jamais vraiment eu, petite Serdaigle bien trop passionnée par son travail et peu sûre d’elle pour me mêler véritablement à ceux en qui je n’avais pas assez confiance. Mais lui, avais-je confiance en lui ? C’était bien la première fois que je cédais aussi facilement à un homme… Enfin… A moins que ce soit moi qui le fasse céder… C’était une bonne question. Une question à laquelle je n’avais aucune réponse. Et peut-être, d’ailleurs, valait-il mieux que je n’aie pas de réponse à apporter. Dans tous les cas, le fait était que sans savoir si je pouvais réellement lui faire confiance, en admettant fortement que malgré ses dires son comportement soit dicté par ma race, j’avais envie de lui faire confiance. Et plus que cela, j’avais envie, simplement, de profiter de sa présence. Présence qui, contre toute attente, m’apaisait. Sans que je ne puisse dire si j’avais confiance, mon esprit semblait calme et serein à ses côtés. Ainsi lui avais-je demandé de rester. Une question quelque peu hasardeuse, certes, mais j’en avais tant envie… Et serrée contre lui, j’entendis sa réponse. Il acceptait au moins pour cette nuit. Un sourire s’afficha sur mes lèvres alors que les siennes embrassait mon front. Là, nue, contre lui, je me sentais bien. Complète. Et étrangement heureuse pour une personne qui ne voulait pas « seulement s’amuser ». Ainsi, l’épuisement étant, je m’endormis bien rapidement. Et la nuit se passa bien mieux que mes nuits habituelles la plupart du temps. Plongée dans des songes bien plus doux que ceux que je pouvais avoir normalement, mon sommeil fut ainsi bien plus réparateur et c’est avec douceur que j’ouvris alors les yeux, sentant une caresse particulièrement agréable sur ma joue. Un sourire s’affichant sur mes lèvres avant même que mes yeux ne captent toute la réalité du moment, il était évident que j’étais heureuse. - Hey… Murmurai-je alors la voix encore quelque peu endormie. Oui… Et toi ?... Enfin mes yeux s’ouvrirent réellement afin de découvrir l’homme torse nu près de moi pour mon plus grand plaisir. Un homme parfaitement taillé, du moins à mon sens, beau et tatoué. Tatoué ? Clignant des yeux, surprise d’une chose que je n’avais jamais vu jusque-là, je me relevai soudainement brusquement, le fixant plus avec surprise qu’avec effroi, cette fois particulièrement bien réveillée. Je connaissais cette marque. Tout le monde connaissait cette marque. Les créatures comme ma famille peut être d’ailleurs plus que tout autre sorcier tant nous avions été persécutés par les détenteurs de cette marque. - Tu as la Marque des Ténèbres. Dis-je les yeux fixé sur le tatouage comme s’il était essentiel de noter quelque chose d’absolument visible pour le rendre réel. Seuls les Mangemorts ont cette marque. Que faire ? Que penser ? Andrew connaissait ma race et ma faiblesse. Et pourtant il était dans mon lit. Or, il était tout à fait impensable qu’un Mangemort accepte cette position. S’unir avec une créature inférieure… Non. Alors pourquoi ? Comment ? Pourquoi avait-il cette marque ? Ou pourquoi était-il ici ? Ma race était-elle si puissante qu’elle fasse vaciller jusqu’aux valeurs même d’un Mangemort ? Que celles-ci soient ignobles ou non d’ailleurs. Devais-je craindre encore plus ce que je ne voulais pas ? - Je t’en supplie, dis-je alors en levant enfin les yeux vers ceux du professeur de potion. Ne me dis pas que tu soutiens les Mages Noirs. Dans ma voix, il était impossible de passer à côté de la crainte que je ressentais. Le fait était que mon histoire familiale m’avait bien assez façonné sur la crainte des mages noirs pour que l’on puisse imaginer que je passe outre et fasse comme rien n’était réel. Non. Cela m’était tout simplement impossible. Je craignais ce type de sorcier presqu’autant que les loups-garous. Pour leur violence, pour leur racisme et pour ce qu’ils étaient capables de faire aux créatures comme ma sœur ou moi. Et plus que cela, il s'agissait d'un homme que j'avais, jusque là, toujours admiré. Un homme sur qui j'avais eu mon premier coup de coeur adolescent et mon premier coup de coeur adulte aussi au vu de ce que nous avions fait la veille. Et cela me faisait soudainement peur, comme si toute ma construction et toute les idées que j'avais pu me faire sur lui et de lui étaient fausses. Comme si, à vrai dire, je me retrouvai face à un étranger. - Dis moi que tu n'es pas un Mage Noir. Le suppliai-je à novueau presque autant de ma voix que de mon regard lourd de sens. With @Andrew Mackelled _________________ Erin Wheeler You're the only reason that I'm not afraid to fly and it's crazy that someone could change me. Now no matter what it is I have to do, I'm not afraid to try and you need to know that you're the reason why. That it's alright. ••• by Aardbei |
Invité
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#1172 - Mer 28 Sep - 14:06
Erin Wheeler
Professeur
Onglet 1
Age : 31
Profession/Niveau : Professeur d'Histoire de la Magie
Race : Hybride
Statut : Sang Mêlé
Baguette : Bois de Charme, Cheveu de Vélane, 24 cm, Souple
Patronus : Loutre
Epouvantard : Un loup-garou
Gallions : 560
Gif : https://i.pinimg.com/originals/f7/c5/40/f7c540c0c1a243c2272243f8d0c84b62.gif
Faceclaim : Shelley Hennig
Bannière : https://zupimages.net/up/24/11/wu0w.png
Date d'inscription : 21/04/2022
Messages : 566
Onglet 2
Onglet 3
#1182 - Mer 28 Sep - 19:10
En toute discrétion... J’avais peur. C’était un fait que je ne masquais pas. Je craignais la vérité autant que le mensonge. Que préférais-je ? Qu’il me dise que ce n’était là qu’un tatouage pour s’amuser ? Non. Je n’y aurais même pas cru. Alors quoi ? Qu’il était un mage noir qui s’était laissé convaincre ? Non. Non plus. Je ne savais même pas quelle explication je désirais. En désirais-je au moins une ?... Oui. A cette question, la réponse était oui. Car à l’instant T, j’avais peur de ce qu’il pouvait ou ne pouvait pas se passer. Un tas d’interrogations, de questions, d’affirmations et d’autres phrases me passaient par la tête et ce fut pourquoi je le suppliai littéralement de ne pas être ce que je craignais. De ne pas faire partie des Mages Noirs, des Soutiens de Voldemort ou de sa suite… Et lorsqu’enfin il se redressa pour s’asseoir sur le lit… Je frémis. Et pourtant, c’est silencieusement, presque religieusement, que je l’écoutai. Il avait été un Mangemort. Il avait été l’un des partisans du Seigneur des Ténèbres. Cette seule information me frappa comme une petite bombe intérieure alors que je le quittai des yeux, posant mon regard sur les draps, comme choquée d’une chose que je n’avais même pas imaginé. Qu’il fasse de la magie dite noire ne m’inquiétait étrangement pas, à cet instant. Seul le mot « Mangemort » résonnait dans mon esprit. Mais sa main vint se poser sur la mienne, me faisant de nouveau lever la tête vers lui, sans bouger. Ses mains étaient douces. Comme la veille. Et à nouveau, je l’écoutai. - … Je ne me suis jamais posé de question sur le nom de ta femme. Dis-je alors sans bouger. Je n’étais même pas encore admise à Poudlard quand tu t’es marié… Lui rappelai-je alors. Il était vrai que j’en oubliais moi-même notre différence d’âge lorsque nous étions ensemble. Mais… j’avais été l’une des premières élèves qu’avait eu le jeune professeur qu’il était, dans ses toutes premières années à Poudlard. Treize ans nous séparaient, et par ces treize ans… Tout un monde. Un monde que lui avait connu, celui de l’avènement des Ténèbres il fut un temps, auquel il avait visiblement participé, mais un monde dont je ne connaissais presque rien mis à par les histoires que l’on me racontait et ce que je pouvais lire dans les œuvres en ma possession. Restée totalement immobile, je l’écoutai de nouveau alors. Jusqu’à la fin. Sans un autre mot. Les yeux rivés droits devant moi, comme perdus dans mes pensées. Il ne faisait plus partie de ces rangs. Andrew. N’était plus. Un. Mangemort. Aux images de ténèbres que mon éducation m’avait offert, ces simples mots vinrent s’y apposer et mon esprit se remit alors en marche, le choc de cette vision passée. Il avait été Mangemort, partisan du plus grand monstre que le monde magique ait pu connaître. Il avait… Il avait tué. Visiblement. Pas beaucoup. Mais suffisamment pour moi. Il avait protégé le monstre qui avait provoqué la mort ou l’agonie d’on ne savait combien de personne. Il avait partagé ses valeurs. Des valeurs que je ne pouvaient moi-même imaginé tant elles étaient aux antipodes des miennes. Oui… Il avait été et fait tout cela. Mais. Oui, il y avait un mais à tout ce ramassis de faits que je ne pouvais accepter ni même admettre un tant soit peu. Il y avait un mais qui me revenait en tête… Ou plutôt qui ne m’avait jamais quitté. Un mais particulièrement important qui faisait partie même de ma constitution. Ce mais qui m’avait toujours ordonné de ne jamais jugé un livre par son résumé et encore moins par ses critiques passées… Mais de l’ouvrir et de le lire moi-même pour m’en faire une idée. Et… Et cela fonctionnait avec Andrew. Nous… Nous avions tous un passé. Aussi difficile à assumer soit-il et… Et il venait de me jurer sur ce qu’il avait de plus précieux que jamais il n’avait fait de mal à quelqu’un comme moi. Alors… Alors avais-je réellement envie de le croire, de croire un ancien Mangemort ? Ce fut son mouvement qui me sortit de mes pensées, m’obligeant à l’observer quitter le lit pour se rhabiller. Silencieuse, je l’observai un moment. Je ne savais pas quoi faire. Une partie de moi me demandait de le laisser partir, de réfléchir à une chose essentielle pour moi : ses valeurs propres. Une autre me hurlait de lui faire confiance, que l’homme que j’avais toujours admiré depuis mon adolescence était quelqu’un de bien, qu’il s’était seulement égaré. Une troisième, encore, me donnait envie de pleurer. Et une quatrième… Enfin bref… Sans faire chaque partie de mon corps… Je n’arrivais pas à me mettre en accord avec moi-même. Alors… Je restai immobile. Et cela dura jusqu’à ce le professeur remette sa chemise. Comme si cette dernière signifiait le départ définitif. Mon esprit ne fut toujours pas en accord avec lui-même, et pourtant, mes muscles décidèrent pour moi. Je quittai mon lit, nue, sans même prendre la peine de me couvrir pour attraper du bout des doigts le vêtement du Serpentard. Et sans un mot, je l’obligeai, plus ou moins, à la redéposer là où elle devait être, à savoir loin de lui. Doucement, je vins me positionner face à lui, ma main contre son torse, sans même le regarder, je fronçai les sourcils, mes yeux fixés sur ma propre main. - Je… Je ne savais pas quoi dire. Alors… Plutôt que de parler, plutôt que de faire là où je pouvais être meilleure… Je me hissai sur la pointe des pieds et l’embrassai avec une tendresse que je n’avais jamais eu jusque-là, le repoussant doucement jusqu’à ce qu’il puisse être assis sur le lit. Et dès lors que ce fut le cas, je montai sur lui, à califourchon, enroulant mes bras autour du cou du Professeur afin, d’enfin pouvoir le regarder dans les yeux, plongeant mes iris dans les siennes. - Tu ne me caches rien d’autre sur un passé potentiellement… Pire ? Demandai-je en fronçant les sourcils. Tu n’as pas été à Azkaban ? Tu… Tu n’es pas en fin de compte un mauvais génie qui veut tuer tout le monde ? J’exagérais complètement, certes, mais je ne faisais pas cela de manière inintention elle, bien au contraire. Ainsi soupirai-je doucement, venant caresser sa joue de ma main, lentement. - Tu sais ce qu’ils ont fait à des gens comme moi… Commençai-je alors à expliquer calmement. Alors… Je soupirai de nouveau. J’ai envie de te faire confiance… Non… Je te fais confiance. Me corrigeai-je alors. Mais on va mettre une règle alors… Ne me cache pas de choses aussi… Grosses que ton tatouage. « Plaisantai-je ». Mais si tu me dis… Si tu me dis que tu n’es plus comme eux et que tu ne redeviendras jamais comme eux… A nouveau, mes lèvres rencontrèrent celles du sous-directeur dans la même tendresse que j’avais pu lui offrir précédemment. Alors… D’accord. Je ne demandais pas de promesse, pas de paroles inutiles supplémentaires. Juste l’approbation de mes mots. Rien de plus. Et si j’outrepassais largement l’amusement que nous nous étions fixés au préalable de nos « rencontres » en me comportant de la sorte… A vrai dire je n’avais aucune envie de me comporter autrement, et au diable l’amusement que désirait Andrew. Après tout, l’homme était bien assez solide et sûr de lui pour me repousser si j’allais trop loin dans le « sentimentalisme ». - J'ai envie... De continuer... De continuer quoi ? A lui d'interpréter mes mots comme il le désirerait. Mais une chose était claire à cet instant dans mon esprit : je ne voulais pas m'amuser. Je ne l'avais jamais vraiment voulu. Je voulais lui plaire. Et je voulais le séduire. Comme je l'avais toujours désiré. Et afin de ponctuer ces mots, à nouveau, je l'embrassai, le couchant de nouveau sur mon lit pour profiter de sa présence autant que de son corps. With @Andrew Mackelled _________________ Erin Wheeler You're the only reason that I'm not afraid to fly and it's crazy that someone could change me. Now no matter what it is I have to do, I'm not afraid to try and you need to know that you're the reason why. That it's alright. ••• by Aardbei |
Invité
Invité
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#1211 - Jeu 29 Sep - 20:17
Contenu sponsorisé
Onglet 1
Onglet 2
Onglet 3
#0 -
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|