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#742 -


Dernière édition par Andrew Mackelled le Sam 24 Sep - 22:13, édité 1 fois


En toute discrétion

feat Erin


L’année dernière, je m’étais mis en objectif d’être un peu plus proche de mes collègues. J’avais souvent cette image de mec sombre et ténébreux, et même si je suis d’accord, je ne suis pas le roi du sourire, je reste quelqu’un d’assez social. Je me suis donc rapproché de mes collègues et lorsque Septembre est arrivé, j’ai continué et bizarrement, je m’entendais de plus en plus avec Erin. Au point de lui proposer une pizza sur le ton de rigolade. Je m’attendais à la voir rougir comme à chaque fois vue mademoiselle à du mal à me voir autrement que comme son ancien professeur. Et bien non, finalement elle a accepté. Nous nous sommes donc retrouver dans un petit restaurant à Prés au lard avec des pâtes à pizza en lévitation et des plats qui se prépare par magie sous nos yeux. Nous avons discuté de tout et de rien, jusqu’à ce que la discussion dérape un peu. Elle est n’est pas du genre coucherie d’un soir, je ne suis pas prêt à me mettre en couple, bref, on apprend chacun l’un de l’autre sans aucun tabou.
Une fois de retours au château, je lui propose de finir la soirée dans mes appartements et … C’est là que nous avons dérapé. Je dois avouer que je n’ai rien vue venir et je crois qu’elle non plus. Le lendemain matin quand je me suis réveillé elle était déjà partis. Le temps de prendre ma douche et la journée commence.

J’ai voulu aller voir Erin afin de discuter, mais elle semble me fuir et je n’ai pas non plus un emploi du temps très facile. C’est donc le samedi soir, soit une semaine après notre dérapage que je décide d’aller me promener au Prés au Lard vue que j’ai finis ma journée.
Les rues sont animées, je salut quelques personnes que je connais et quelle surprise, au loin qui se promener dans le village qui voit je ? Erin. J’hésite quelques secondes, peut-être qu’elle me fuie réellement, mais pourquoi ? Ais je mal agit ? L’ais, je blessée? Il est vrai qu’avant le dérapage, je lui ai dit que je ne cherchais rien de sérieux. Surement un moyen de défense après l’horrible trahison de ma femme. Mais je ne la vois pas non plus comme un vulgaire plan d’un soir qu’on jette. Erin est très jolie et je dois avouer que depuis qu’elle est devenue professeur, mon regard se pose souvent sur elle.
Je me faufile doucement derrière Erin et d’un geste vif, mais calculer pour ne pas la blesser, je me saisis de sa taille et je nous fais entrer dans une ruelle calme entre deux boutiques. Je la pose contre le mur des Trois balais et je place une main sur le mur à côté de son visage. Mon regard la fixe et je lui dis en souriant.

« Cette fois, tu ne me fuiras pas. »

Je continue de sourire et je la taquine un peu.

« C’est bien la première fois qu’on m’utilise pour une nuit. Plus sérieusement Erin qu’est ce qui ne va pas ? Je t’ai… Blessé ? J’ai dit ou fait quelque chose de mal ? »


Je retire ma main pour me reculer un peu et la laisser s’expliquer. En soit si elle veut m’éviter, je peux le comprendre, mais je préférais qu’elle me le dise. Surtout que je n’ai pas prévu de parler de ce que nous avons fait, cela ne regarde que nous donc même si c’est une aventure d’un soir personne ne le sera. Je décide alors de la rassurer.

« J’ai passé une très bonne soirée Erin. Même si… Je ne suis pas prêt à m’engager avec quelqu’un, sache que je te respecte énormément. »


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Erin Wheeler
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Dernière édition par Erin Wheeler le Jeu 8 Sep - 21:11, édité 1 fois
En toute discrétion...
Pourquoi est-ce que j'avais fait ça ? Bonne question. La rentrée avait à peine eu lieu que j'avais disons... Dérapé. Oui voilà, appelons ça comme ça. J'avais dérapé. Et pas avec n'importe qui, qui plus est... Avec le sous-directeur et SURTOUT mon ancien professeur de potions. Autant dire que je n'allais pas facilement m'en remettre car si le Professeur Mackelled faisait partie du fantasme de nombre d'étudiante, je n'étais pas CE genre d'étudiante. Bien au contraire. D'ailleurs je n'étais même plus étudiante. Et il n'était plus mon professeur mais seulement un collègue... Qui avait presque la moitié de mon âge de plus que moi... Et des filles que j'avais en cours et... Oh par Merlin, qu'avais-je fait ? Mais pire que ça... Pire qu'avoir couché avec un collègue, je me doutais du pourquoi tout cela avait eu lieu. Andrew qui n'avait jamais manifesté, à mon sens, le moindre regard envers moi ne pouvait décemment pas avoir cédé de la sorte sans un coup de pouce "magique". Et quoi de mieux pour ce coup de pouce que d'avoir face à lui une demi-vélane ? Voilà tout le fond du problème ou tout du moins le demi fond du problème à bien réfléchir. Outre ma position hiérarchique et cette sensation de voir toujours mon ancien professeur, je savais, ou tout du moins j'imaginais savoir, qu'Andrew regrettait ce qu'il s'était passé en se rendant compte - ou non - du pourquoi cela s'était passé. Après tout, comment ne pouvait-on pas se rendre compte d'une attirance seulement basée sur le physique d'une personne dû à sa race ?... Bonne question. A vrai dire je n'en savais strictement rien puisque je n'étais pas à leur place mais... Disons que je l'imaginais.
En attendant, cela faisait désormais près d'une semaine que je fuyais ni plus ni moins Andrew, évitant jusqu'à la salle des professeurs et les déjeuners pris en commun. Cela n'allait pas pouvoir durer, certes, mais tant que cela pouvait... Cela durerait !

Bien sûr, je ne pouvais pas m'empêcher de sortir. Peu encline à rester en place et détestant être enfermée, trop sociable pour cela à vrai dire, j'avais malgré tout pris la décision de quitter mon bureau et mes appartements pour Pré Au Lard afin de faire le plein de foule... Et de Bièraubeurre. Evidemment.
Le risque de le croiser était évidemment présent mais dans toute cette foule cela ne pouvait pas être si impor... Mon souffle se coupa soudainemet alors qu'une force qui m'était inconnue venait de me saisir par la taille pour m'entraîner plus loin du chemin principal. Prise par surprise, je n'avais même pas eu la présence d'esprit de sortir ma baguette et me retrouvais alors désormais contre le mur d'une ruelle. Il me fallut quelques instants de réflexion pour comprendre qui et pourquoi et à l'instant même où je compris, mes joues s'empourprêrent bien malgré moi alors que mon regard se mit à fuir mon "agresseur". Andrew Mackelled... De toute la population de Poudlard, il avait fallut qu'il me retrouve lors de ma seule sortie hebdomadaire. Un comble !

- N... Non ! Me défendis alors automatiquement.

Moi ? Utiliser une personne pour une nuit ? Evidemment que j'en serais incapable ! Déjà qu'il n'était que le deuxième homme à franchir mes cuisses, il ne fallait pas non plus imaginer de moi que j'étais une femme... Disons... Facile, et ce sans jugement de ma part, évidemment. Pourtant, ce n'était visiblement pas ce que l'homme avait à me dire. Non. Au contraire, il... S'inquiétait ? Clignant des yeux, je relevai mon regard interloqué vers son visage. Avais-je bien compris ?...

- N... Non... Soufflai-je alors qu'il se reculait légèrement, me permettant de reprendre ma respiration, retenue jusque là.

Hé bien maintenant qu'on était là, je n'allais plus avoir beaucoup de possibilité... Le fait de fuir venait d'être réduit à néant. Restait donc... Pleurer et... Discuter. Bien. Je n'allais évidemment pas me mettre à pleurer. Alors il ne me restait plus qu'à m'expliquer.

- Evidemment que non ! Dis-je alors un peu brusquement, soucieuse de le rassurer. Je n'ai pas été blessée ! Loin de là, même, avouai-je en détournant légèrement le regard. Et tu as été clair sur ce que tu voulais alors... Enfin je sais ce qu'il en est, mais...

Je n'avais jamais été la personne la plus à l'aise pour exprimer ses sentiments et ses idées. Alors exprimer mes peurs, mes doutes et toute autre angoisse... C'était toute une histoire. Mais je n'avais pas la possibilté de fuir alors...

- Professeur Mackelled... Je toussotai, secouant la tête de gauche à droite. Andrew... Repris-je alors. Je... Il faut que je vous dise... te dise quelque chose... Grimaçai-je sans oser croiser son regard, reprenant mes mauvaises habitudes de le vouvoyer, presqu'intimidée par sa prestance. Je... C'est juste que... Je soupirai grandement. Je sais pertinemment que si tu as cédé, enfin si nous avons... Voilà... Enfin tu comprends... Je sais juste que ce n'est pas "toi". Enfin si, mais... Ce n'était que ton attirance superficielle envers moi et...

Et ça m'angoissait, comme cela m'avait toujours angoissé dans mes relations avec les hommes. Une seule mauvaise expérience avec mon premier petit copain avait entraîné cette peur, et les hommes ne m'ayant jamais prouvé que je me trompais - en témoignait cet homme qui m'avait pris ma virginité en Grèce - j'avais continué à craindre que le sexe fort ne trouve en moi qu'une belle plante, une vélane et c'était tout.

- Et c'est tout ce que je ne voulais pas mais je n'y ai pas réfléchis quand on a... Quand on s'est rapproché...

Grimaçant, je comprenais bien que mes mots étaient là chaotiques et sûrement sans vraiment de sens pour quiconque n'était pas au courant. Certains l'étaient, certes, mais je ne l'ébruitais pas vraiment sur les toits et Julia ne l'ayant pas non plus fait...

- Qu'est ce que vous savez... tu sais... sur les vélanes ? Demandai-je alors en soupirant avant de me reprendre rapidement. Je suis désolée ! J'aurais dû te le dire avant ! Et je n'ai pas réfléchi ! Et je sais que tu es quelqu'un de respectueux, tu es mon ancien professeur, tu es plus âgé que moi - et voilà le deuxième fond du problème qui n'était surtout qu'un fait qui me faisait "bizarre" plus qu'un problème tant l'homme était... Hum. Bien conservé allons-nous dire pour être polie - mais je n'ai pas réfléchie au fait que je pouvais sans le vouloir influer sur ta façon de me voir, de me vouloir ou j'en sais rien et... Je grimaçai de nouveau. Et je me sens super mal à cause de ça parce que c'était vraiment... Mes joues de nouveau se mirent à rougir alors que je n'oserais certainement pas lui avouer que l'envie de recommencer m'avait prise plusieurs fois dans la semaine. Enfin voilà... Terminai-je sans même finir ma dernière phrase.
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#753 -


En toute discrétion

feat Erin



Non fut apparemment les seuls mots qu’elle était capable de me sortir. Je me recule doucement histoire de ne pas trop envahir son espace vital même si je dois avouer que l’idée de l’embrasser contre ce mur me tord la poitrine. C’est surprenant, car avant notre dérapage, je n’avais jamais été aussi bestial au lit. Mon ex-femme était très calme sous les draps et nos rapports se résumaient à la bienséance le samedi soir. Mais là avec Erin… c’était comme-ci elle faisait ressortie en moi ce petit pervers que j’étais quand j’étais plus jeune.

Mais bref, l’esprit est plus fort que le corps. Je me tiens à bonne distance et je l’écoute. Ce n’est donc pas moi le souci, j’ai été respectueux et elle n’a pas été blessé. Mais voilà qu’elle me sort le Professeur Mackelled. J’arque un sourcil et je pose mes mains sur mes hanches en l’écoutant. Qu’est-ce qu’elle allait me sortir ?
Le discours d’Erin est brouillon et je sens qu’elle est nerveuse, mais je n’arrive pas à comprendre. Quand elle dit que ce n’est pas moi, je la taquine.

« Ah, je te promets que je n’ai pas de jumeaux contrairement à mes filles. »

Je croise les bras et je l’écoute avec attention. Elle vient alors à me poser une question sur les Velanne.

« Les Vélanes ? Je sais qu’elles attirent les hommes en prenant l’apparence de femme magnifique et quand elles sont en colère vaut mieux ne pas être dans le coin pourquoi ? »

Elle continuait à me parler, son discours ne rimait à rien et je dois avouer qu’elle avait de la chance que je sois quelqu’un qui réfléchit, sinon je n’aurais pas compris. Mais finalement, son discours m’ouvre les yeux, je me met alors à rire de bon cœur. Les bras toujours croisés, je la regarde en souriant et je prends la parole.

« Je comprends mieux en effet. Tu sais… Ce qu’on a fait la semaine dernière, en effet ce n’est pas moi. Mais je ne suis pas contre devenir cette personne. Mon mariage niveau sexualité était très plat. Je n’étais pas du genre bestial et je crois même que le sexe était une corvée pour moi. Cela explique sûrement pourquoi elle m’a trompé. »

Je décroise mes bras et je passe doucement une main tendre sur son avant-bras en continuant de parler.

« Une demi-Velanne, je suppose ? Je t’ai déjà vue en colère et tu n’es jamais devenue une Harpie. Ce qui te fait peur, c’est que j’ai couché avec toi parce que ton charme m’y a poussé ? Je pense que oui… Ton charme m’a envoûté et m’a donné envie de toi au point que j’en ai déchiré ton sous-vêtement. Je n’avais encore jamais fait ça. »

Je me doute que mes mots aussi vrai soient ils lui font mal. Mais la suite va la rassurer.

« Sexuellement, tu as réveillé quelque chose en moi que j’avais enfouie depuis des années et je t’en remercie. Mais sache une chose Erin… J’ai toujours eu un faible pour toi. Ton sourire, tes blagues pas drôles qui ne font rire que Peeves, ta maladresse et… ce petit tic que tu as quand tu es nerveuse avec tes lèvres… Je doute que ce soit ton charme de Velanne qui me séduit de ce côté-là. Depuis une semaine, tu me fuis et crois moi, outre le fait que là tout de suite, j’ai envie de te plaquer contre le mur pour t’embrasser, c’est surtout la peur de t’avoir manqué de respect ou de t’avoir blessé avec mes paroles qui me faisaient peur et non… Le fait de ne plus pouvoir déraper avec toi »

Je remonte doucement ma main sur son épaule, sur sa joue et avec douceur, j’approche mes lèvres des siennes en murmurant.

« Je te désire certes, je n’arrive pas à me retenir alors qu’une petite voix me dit que je ne suis pas prêt à m’attacher de nouveau. Mais te voir sourire est tout ce qui m’importe pour le moment. »


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En toute discrétion...
Si j’étais habituellement friande de blague en tout genre, tentant même d’en faire à ma façon – que je trouvais d’ailleurs drôle, soyons honnête j’aurais presque pu faire comique dans une autre vie – cette fois fut différente. J’étais en effet tellement stressée qu’il me fut incapable même d’esquisser un sourire à la plaisanterie du Professeur Mackelled. Et… Ce fut pire quand il se mit à rire. Pourquoi est-ce qu’il se mettait à rire ? Qu’avais-je dit de si drôle que ça ? Pour une fois que je ne faisais pas de blagues en plus !
Fronçant les sourcils alors que je venais de lui expliquer le pourquoi il était tombé « sous mon charme », je ne comprenais réellement pas quelle mouche avait piqué Andrew. Et ce qu’il vint à dire… Ne m’aida pas le moins du monde. Non, vraiment, il ne m’aida pas du tout. Bien au contraire. Il m’enfonça. Ainsi ce qu’il avait fait ne lui ressemblait pas… Qu’il veuille ou non devenir cette personne n’allait pas m’arranger. Il avait fait quelque chose qui n’était pas lui. Le résumé était donc bien vite fait… Tout ça était en tant que tel ma faute. Je ne l’avais pas voulu, certes, mais c’était ma faute.

Enfin… Au moins avait-il compris et j’hochai doucement la tête pour confirmer ses dire.

- Ma mère était une vélane. Julia et moi sommes donc effectivement demi vélanes. Expliquai-je presque tristement.

Et le couperet tomba alors : oui. Il avait eu envie par mon simple physique. Pas pour le reste. Alors que sa main était posée sur mon avant-bras, je baissai alors la tête, presqu’honteuse de lui avoir fait ça et de m’avoir cru pour une fois au-dessus de ma race. Enfin… Disons de ne pas y avoir pensé surtout, pour être tout à fait honnête.

Pourtant, Andrew ne s’arrêta pas là, me faisant relever la tête, surprise. Il me remercier ? Venant me mordiller la lèvre, les joues rouges, je l’observai alors, anxieuse alors que venait le temps des compliments. Oui, oui, des compliments. Il était en train de dier que mes blagues n’étaient pas drôles ? Hein ? Une moue se fit alors sur mon visage tandis que les mots d’Andrew continuaient à se déverser sur moi.
Un tic ? Quel tic ? Instantanément, je cessai de me mordiller la lèvre nerveusement, l’observant avec une certaine attention sans trop savoir quoi dire. Et comment ça il avait « toujours eu un faible pour moi » ? On ne se parlait presque pas avant l’année dernière ! J’étais à vrai dire trop intimidée pour ça et d’ailleurs je l’étais toujours un peu, il fallait se l’accorder.

Les lèvres alors entrouvertes, prête à dire quelque chose qui ne sortait pas et dont j’ignorais même le sens, je ne bougeai pas alors que la main du professeur de potions venait remonter jusqu’à ma joue. Ses lèvres proches des miennes, je fermai doucement les yeux, sentant son souffle sur moi, les instants partagés avec lui me revenant en tête alors qu’une sensation de chaleur naissait en moi.

- Je sais… Tu as été clair. Soufflai-je alors sans ouvrir les yeux. Pas d’attache, juste de l’amusement… Répétai-je presque machinalement contre ses lèvres sans pour autant les toucher. Mais j’ai encore un peu de mal avec ce système… Doucement, mes bras s’enroulèrent autour de son cou alors que j’en oubliais que nous n’étions pas loin de l’avenue principale de Pré-Au-Lard, là où pouvait passer bon nombre de nos élèves. Et je n’ai pas envie d’être la belle petite Serdaigle que tu as mis dans ton lit maintenant qu’elle n’est plus sous ton autorité. Grondai-je à mi-voix plus contre moi que contre lui.

Est-ce que j’étais persuadée que mon charme de demi-vélane avait été la raison de tout ça ? Oui. Et malgré les compliments ; car Merlin seul savait que els hommes pouvaient être généreux en compliments quand quelque chose lui plaisait et je n’avais toujours ou presque qu’était qu’une chose dans les yeux de ces mêmes hommes alors… Pourquoi ferait-il exception ?
Pourtant, et malgré la peur qui me tiraillait le ventre et cette envie de fuir qui me reprenait de nouveau, mes lèvres entrèrent en contact avec celle du sous-directeur de l’école, me serrant doucement contre lui alors que l’une de mes mains venaient se poser dans sa chevelure dans un soupire d’aise.

Et merde… Si moi-même je n’écoutais plus mes angoisses, qui donc allait les écouter ?
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You're the only reason that I'm not afraid to fly and it's crazy that someone could change me. Now no matter what it is I have to do, I'm not afraid to try and you need to know that you're the reason why. That it's alright.

  ••• by Aardbei

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En toute discrétion

feat Erin



Mon dérapage avec Erin avait été une grande surprise. Comment une simple pizza avait pu faire que moi Andrew Mackelled j’ai pu me jeter sur elle sans aucun contrôle ? Je viens de le découvrir quand elle m’annonce à moitié son secret. Par chance, je suis assez intelligent pour comprendre. La miss est donc une demi-velane. Soit je comprend mieux les raisons de cette baise sauvage et je lui en fais par. Je ne suis pas de ce genre, jamais je ne l’aurais couché dans ce canapé le premier soir. J’aurais attendu quelques rendez-vous et elle aurait eu le droit au lit dans ma demeure, pas à Poudlard.
Je caresse délicatement son avant-bras alors qu’elle parle, puis sa joue et petit à petit nos corps se rapprochent une nouvelle fois. Je ne perds pas une miette de ses paroles et moi je lui répond avec sincérité.

Vint ensuite le moment où je sens son souffle alors qu’elle me rappelle mes paroles de la semaine dernière. Pas d’attache oui, car je suis encore blessé de mon divorce et je refuse de faire du mal à une femme si jamais je venais à ne pas tomber amoureux de celle-ci.
Je souris doucement alors que je sens mon corps se coller au sien. Ses bras s’enroulent alors autour de moi alors que mes cheveux tombent de chaque côté de nos visages.

« Erin, Si je voulais que tu sois ce que tu dis, jamais je ne t’aurais dit que je ne veux rien de sérieux. Si je te l’ai dit, c’est parce que tu me plais. Mais j’angoisse à l’idée qu’un jour, tu me blesses comme mon ex-femme, ou pire… Que je te blesse »

Ses lèvres se collent enfin aux miennes à la fin de ma phrase. Sa main dans mes cheveux me font de nouveau frissonner et c’est avec envie que je me saisis de ses poignets pour les coincer contre le mur alors que je profite de ce baiser entre deux ruelles. Je ne sais pas combien de temps, il dure, mais je sais que je n’avais pas eu ce genre de moment depuis des années. Velane ou pas, Erin m’offre ce que je n’ai jamais eu dans mon mariage. De la complicité. Véroniqua et moi certes, je l’aimais, mais nous n'avions jamais été complice. Nous étions maris et femme et non amant comme je l’ai été avec Erin la semaine dernière et aujourd’hui. Je romps doucement le baiser et je vais l’embrasser dans le cou avec envie pour ensuite relâcher ses poignets. Je recule de quelques pas et en souriant, je lui propose quelque chose.

« Et si je te proposais un marché ? Histoire de te montrer que ton charme n’est pas la cause à 100% de ce qu’il se passe ? »

Je la laisse reprendre ses esprits, puis je lui parle de mon idée.

« Je ne sais pas ce que je veux… Et toi, tu es angoissé à l’idée que tu me contrôles par ta race. »

J’essuie le coin de mes lèvres humide et je continue.

« Fait moi découvrir ce qu’est une vraie relation en dehors du sexe et moi… Je vais chercher comment atténuer ton charme afin de te prouver que même sans ta race j’arrive à craquer pour toi. Qu’ne dis-tu ? »


Je tends la main vers elle. Certes, je n'ai dit pas d’attache, juste de l’amusement. Mais il est clair que si je ne voulais pas d’attache, je ne serais pas affecté par le fait qu’elle me fuie depuis une semaine. Je l’écoute puis je propose.

« Et si on buvait un verre ce soir, tous les deux ? «


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Que je le blesse ou qu’il me blesse ? A vrai dire, je n’avais absolument pas pensé à ça. Cela ne m’était pas venu à l’idée. Pourquoi ? Car je ne pensais que rarement au mal qui pourrait être fait. C’était, jusque-là, ce qui m’avait permis de toujours voyager seule, par exemple, dans des contrées éloignées. Mais c’était aussi cela qui m’avait poussé devant ce lycan et qui avait, en quelque sorte, créé l’attaque dont j’avais été victime au Brésil. Alors… Alors peut être un jour devrais-je commencer à penser aux choses qui pouvaient me faire du mal, à défaut de penser que je pourrais faire du mal. Non. Cela… Je n'y penserais certainement jamais. Pourquoi ? Tout simplement parce que je n’en serais pas capable. Non. Cela ne me ressemblait pas. Bien au contraire. Et si c’était non désiré et que je faisais quand même du mal ? Hé bien je ferais tout pour rattraper mon erreur, cela allait de soi.

Mais je n’eus pas le temps de répondre. Ses lèvres m’appelaient bien trop pour que je puisse m’en détourner. Alors, l’embrassant avec une certaine envie tandis que lui-même venait se saisir de mes poignets. Ces pauvres petits poignets qui furent alors captifs contre le mur alors que je profitai plus qu’allègrement du contact avec Andrew comme si nous étions seuls au monde. Une solitude bien relative au vu du bruit qui nous entourait mais que j’omettais désormais, toute concentrée sur le corps du professeur de potion. Basculant ma tête en arrière, soufflant d’aise autant que d’envie, je me sentis soudainement bien frustrée lorsqu’il prit la décision de relâcher toute la pression qu’il me faisait accumuler en reculant seulement de quelques pas. Me retenant fermement de gronder du fait de cette frustration que je ne me connaissais pas, je l’écoutais malgré tout avec attention. Clignant des yeux, je l’observai alors sans comprendre de quoi il me parlait. Un marché… Mais quel marché ? Comment voulait-il me rassurer quant à ce que je craignais qui était pourtant, à mon sens et par mes connaissances, un fait qui ne pouvait de toutes façons changer.

Mes esprits complètement repris, je continuai alors d’écouter Andrew sans parler jusqu’à… Devenir plus rouge qu’une tomate trop mûre. Venais-je réellement d’entendre ce que j’avais entendu ? Ou venais-je de rêver et de déformer ses propos. Outre le fait qu’il me semblait impossible d’atténuer ma demi race, venait-il réellement de me demander de lui faire découvrir ce qu’était une relation ? Cela signifiait-il… Que… Que l’on sortait ensemble ? Ou au moins que l’on essayait ? Enfin… Qu’est ce que… Qu’est ce que cela voulait dire ?

Du calme, Erin… Du calme. Me soufflai-je à moi-même. Il fallait rester calme, réfléchie et surtout ne pas mettre le carrosse avant l’hippogriffe.  Ainsi pris-je quelques instants pour me reprendre de nouveau et toussoter, me mordillant la lèvre inférieure sans m’en rendre compte en observant sa main tendue.

Et doucement, je pris sa main alors, presque timidement, ne sachant pas réellement si cela était réellement une bonne idée.

- J’accepte ton marché… Soufflai-je doucement. Mais je doute que tu trouves comment atténuer ma race. Sinon crois bien que je l’aurais trouvé depuis longtemps. Grimaçai-je légèrement avant de me rapprocher de lui. Mais d’accord malgré tout. Je vais te montrer alors…

Mais lui montrer quoi d’ailleurs ? Je n’avais pas vraiment d’idées de ce qu’était réellement une « relation ». En dehors du sexe ou avec le sexe d’ailleurs. Je n’en avais jamais eu. Alors comment montrer à quelqu’un… ce qu’on ne connaissait pas ? Impossible ! Inimaginable ! Et pourtant ! Si la panique était quelque peu visible sur mon visage que je tentais, malgré tout, de contrôler, je m’étais décidé à lui montrer – et à me montrer aussi par la même occasion – ce que pouvait être une « vraie relation ». Ainsi hochai-je la tête à sa question, serrant doucement sa main dans la mienne.

- Va pour un verre. Acceptai-je alors en relâchant doucement sa main. Je te l’offre pour la peine.

Ne pas se toucher était donc le maître mot désormais puisque nous allions quitter la ruelle. Me mouvant à ses côtés, je me dirigeai alors de moi-même vers Les Trois Balais où je m’installai simplement à une table, laissant Andrew commander son verre avant de me commander un Bièraubeurre.

- Alors… Commençai-je en l’observant avant de soupirer pour reprendre les choses bien, malgré tout. Désolée de t’avoir fui toute la semaine. Dis-je l’air réellement désolée. Je ne suis pas la personne la plus courageuse du monde, c’est peut être pour ça que je n’ai pas été à Gryffondor. M’amusai-je un peu avant qu’une voix ne me fasse sursauter.

- Professeur Mackelled !

Me retournant vers la voix qui venait de derrière moi, j’observai alors un groupe d’étudiant s’approcher de notre table.

- Bonjour Professeur ! Se retournant vers moi, l’élève que je reconnaissais être de Serpentard hocha la tête. Bonjour Professeur Wheeler. Désolé de vous déranger. On voulait savoir si le devoir pour demain allait être noté en fait. Mais… J’vois que vous êtes en super bonne compagnie donc… On va peut être pas vous déranger. Ricana-t-il en tentant de se contenir.

Outre le fait que ces jeunes gens ne devaient certainement pas avoir commencé leur devoir au vu de leur question et de leur présence ici, je laissai Andrew gérer ses élèves à sa façon, tentant de masquer la gène que l’idée qu’on puisse nous imaginer « ensemble » avait provoqué. Et ce n’était pas tant une gène de dégoût ou de mésenvie, non… Plutôt une gène venant du fait que je ne savais pas comment me comporter et que tout devait rester entre nous pour le moment. Comme convenu.

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En toute discrétion

feat Erin



Ce baiser langoureux, ce baiser fiévreux. Erin arrivait à me faire lâcher prise. Enfin, si je comprends bien, c’est sa race qui fait cela. En ce qui me concerne je n’ai aucun doute que ce n’est pas son côté Velane qui me fait m’attacher a elle-même si je ne le voulais pas au début. Je relâche néanmoins ses poignets, j’abandonne ses lèvres et je lui propose un marché. Si elle veut plus avec moi, elle allait devoir être patiente et m’aider à soigner mon cœur qui n’arrive plus à faire confiance aux gens.

Je lui propose donc de découvrir une relation sans attache avec moi et je m’engage à trouver comment calmer ce charme qu’elle pense fautif de notre dérapage tout en me faisant connaître une relation différente de celle de mon mariage avec elle.


Je la laisse réfléchie, je vois bien qu’elle pense à plein de choses. Elle se mord la lèvre inférieure, ce fameux tic de nervosité chez elle. Elle reprend alors finalement la parole et un petit sourire amusé apparaît sur mon visage.
Je propose ensuite à Erin d’aller boire un verre. Elle accepte et elle insiste pour me le papier. Je ne vais pas faire le casse-pieds et j’accepte. Surtout que la robe de Maelya m’a un peu mis sur les rotules, financièrement.

Nous stoppons les contacts physiques et nous partons aux trois balais. Une fois assis, je me commande un cocktail à base de Citrouille et d’alcool. J’écoute ensuite Erin et je réponds.
Ses mots me font rire. Je réponds alors doucement.

« Je ne t’en veux pas Erin. Mais j’aurais tout de même bien apprécié avoir cette discussion le lendemain et mieux comprendre. »

Rapidement, notre discussion se termine, car la voix Finigan Ashford , un étudiant en Master de chez Serpentard m’interpelle. Je lève la tête et le fixe de mon regard sombre. Je réponds alors un poil agacé.

« Appréciez-vous Finigan que je vienne vous parler de travail le dimanche à huit heure du matin ? »

L’étudiant secoue la tête pour dire non. J’ajoute alors.

« Le soir, c’est pareil pour moi, surtout quand je suis en rendez-vous profession elle avec une de mes employées. »

L’étudiant se racle la gorge gênée et s’excuse. Il se tourne ensuite vers Erin et dit.

« Pardon professeur Wheeler »

Je pouvais être très gentil, j’aidais beaucoup mes élèves, mais là clairement pour me poser cette question non, je ne suis pas d’accord. Finigan et ses camarades ont bien compris que je n’ai pas apprécié leurs interventions. Gênés, ils repartent et quittent d’ailleurs le pub sans un mot de plus. Je tourne alors face à ma table et je pose mon regard sur Erin surpris de sa tête.

« C’est juste un verre entre collègues Erin. Détends-toi. Je viens souvent ici avec Minerva, Amos et d’autre professeur. A moins que tu sois gênée, car tu repenses à mon corps contre le sien l’autre fois dans mes appartements. »

J’aime la taquiner et si jusqu’à maintenant, je la taquinais sur des choses minimes, là, je pouvais la taquiner plus fortement. Nos boissons arrivent et la serveuse remparts. Je me penche alors vers Erin et je murmure.

« En ce qui me concerne, je repense souvent à ton corps nu… Contre le mien, le frottement de nos deux corps »

Je ne suis pas un Serpentard pour rien, la faire rougir va vite devenir mon passe-temps favoris. Je me replace comme il faut, puis je prends mon verre et je l’approche d’elle pour trinquer en la fixant du regard. Je vais trouver un moyen de me protéger de son sort. Elle se sentira rassurée à tous les coups. Mais je me surprends à penser cela, moi qui avais parlé d’amusement. Ais je réellement envie de juste m’amuser ? Erin a toujours été une sorte coups de cœur pour moi. Seulement Veronica m’a tellement abîmé que je ne sais pas si je vais réussir à m’attacher et à faire confiance de nouveau.

Durant de longues heures, je discute avec Erin de tout et de rien et clairement, je n’ai pas envie de rentrer…


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Avoir une discussion dès le lendemain ? Oui… Cela aurait peut-être été plus adulte… Je devais bien l’accorder. Mais sur le coup… Il fallait bien avouer que je n’avais pas vraiment eu ce courage. Et cela pour plusieurs raisons qui me semblaient particulièrement logiques. Tout d’abord, il y avait le fait que je ne m’attendais certainement pas à passer une nuit avec lui, mon ancien professeur, de quinze ans ou presque mon aîné. Ensuite… Je m’en étais en quelques sortes voulu. Parce que je l’avais trompé. Enfin trompé… Je m’entendais. Je n’étais pas humaine. Pas uniquement humaine je voulais dire. Et je ne lui avais pas dit. Je l’avais laissé se faire berner par une race que je ne contrôlais pas, qui m’étais inhérente… Et en cela… Ce n’était pas honnête. Et je n’avais pas eu le courage de le lui dire. Enfin, j’avais craint… A vrai dire je n’en avais aucune idée. J’avais eu peur de le voir, comme si j’avais craint qu’il ne me dise quelque chose comme « Salut Erin ! C’était cool cette nuit ! Mais c’était moins bien qu’avec Madame X »… Ou même « Salut Erin ! On le refera plus jamais mais c’était bien ». Ouais… En fait… c’était plutôt ça. J’avais craint que ça ne soit qu’un coup d’une nuit. Comme ce qui était plus ou moins prévu. Du moins… Enfin je me comprenais.

- Désolée… Dis-je ainsi penaude en baissant légèrement la tête.

Mais rapidement, trop rapidement, un élève vint nous déranger dans cette conversation. Lançant un regard vers le directeur de Serpentard, je le laissai alors se débrouiller avec le jeune homme de la meilleure des manières alors qu’il en venait, même, à s’excuser. De la meilleure des manières avais-je dit ? Oui… Mais non. Car le terme employé vint me faire grimacer légèrement. C’était presque pire qu’ancien professeur en fin de compte… Quoique non. Cela ne faisait que rajouter. Ancien professeur était définitivement le pire. Et ce fut pire quand Andrew reprit parole.

- Tu me compares au Professeur McGonagall et à Amos ? Demandai-je alors quelque peu vexée.

Il désirait que l’on en apprenne plus l’un sur l’autre… Ce n’était pas en prenant des verres entre collègues que ça allait être le cas, ce n’était certainement pas assez proche ! Mais plus que ça… Mes joues s’empourprèrent alors que mes pensées fusaient dans ma tête. Son corps… Nu… Contre le mien… En moi… Par Merlin ! Au moins nos boissons arrivèrent-elles rapidement, me coupant dans ces pensées obscènes. Attrapant ma pinte, je commençai à la boire lorsque je m’étouffai, ni plus ni moins, avec une gorgée, redevenant de nouveau rouge pivoine, une chaleur bien étrange quoiqu’agréable naissant dans mon bas ventre aux pensées qu’Andrew me faisait avoir. Allais-je me laisser faire ? Non. Bien au contraire. Pour autant, je n’en fis rien… Pour le moment. Il fallut attendre près de deux heures trente de conversation pour qu’enfin, plus à l’aise, je me redresse sur mon siège pour caresser doucement, de mon pied, l’intérieur de la jambe du professeur, discrètement.

- Est-ce que tu penses que l’on pourrait terminer la soirée ailleurs ? Demandai-je alors en le regardant droit dans les yeux, mon pied remontant jusqu’à sa cuisse, l’air de rien.

Me rendais-je compte de ce que je faisais ? Oui… Et non. Disons que je me rendais compte du fait que je faisais quelque chose que je n’avais jamais fait et qui ne me ressemblait fondamentalement pas. Mais c’était une chose dont j’avais envie, une chose qui était presque plus forte que moi, peut être poussée par les pensées, les souvenirs, que m’avait offert le professeur de potion.

- J’adore aller au bord du lac et à cette heure-ci… Les élèves sont déjà rentrés et sous couvre-feu.

Au moins, nous ne serions pas dérangés par les élèves cette fois. Libres et seuls face à ce que j’aimais en particulier : la nature.
Ainsi payais-je les consommations qui avaient été malgré tout plus nombreuse que prévu pour prendre la direction du lac noir, non sans continuer à parler à Andrew, étrangement en confiance, cette fois, près de lui. Je découvrais un homme plus qu’intéressant – quoique je le savais déjà – mais dont les valeurs et l’intelligence ne faisait que croître dans mes pensées.
Arrivés enfin dans le parc de Poudlard, je m’installai alors dans l’herbe, soupirant d’aise, le nez au vent.

- Promis… Je ne te retiendrais pas trop. Tu dois avoir envie d’aller dormir. Soufflai-je alors en souriant. Mais merci pour la soirée, Andrew… ça me fait du bien, à vrai dire, de pouvoir discuter avec quelqu’un. Ce n’est pas forcément très fréquent d’avoir autant de conversation et… Mes joues, de nouveau, s’empourprèrent alors que mon regard fuyait vers le lac. Tu es quelqu’un d’intéressant dirons-nous. Mais ça… Je le sais depuis longtemps.

Depuis longtemps oui, car quelle élève n’avait pas un jour fantasmé sur le beau professeur Mackelled ? Je n’étais certainement pas exempte de ça. Bien au contraire. J’avais toujours rêvé de… Enfin… Hum. Passons ces souvenirs… N’est-ce pas ?

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Boire un verre avec Erin me permettait aussi de discuter. Même si cette envie de baver devant elle me tiraille, j’arrive à me contrôler. Elle est belle, elle m’attire, mais j’aime parler avec elle et ça, je doute que ce soit dû à son coté Velane. Nous avons été dérangés par mes étudiants, mais rapidement, ils sont repartis, à croire que ma façon de parler est toujours aussi rude. Mais au moins, je faisais partie des professeurs qu’on respecte tait. Les paroles d’Erin me font sourire. La comparé à McGonagall et à Amos. Je souris et je lui murmure.

« Tu aurais préféré que je leur raconte ce que nous avons fait y a une semaine ? »

A sa tête, je comprends vite que non. Rapidement les souvenirs de nous deux me reviennent et je dois avouer que moi aussi, je n’aurais pas voulu que mes étudiants le sachent. D’un côté, j’ai cette envie de garder notre début de relation secrète. Pour être heureux le mieux, c’est de vivre caché et je n’ai pas envie de devoir rendre des comptes à notre directrice, à mon ex qui bosse ici maintenant et à mes filles. Lorsque nos boissons arrivent, je discute donc avec Erin pendant un long moment. Au bout de deux heures, je retrouve la Erin entreprenante qui m’avait séduit y a une semaine. Je sens alors son pied remonter le long de ma jambe tandis que je la dévore littéralement du regard. Elle me propose alors de finir la soirée ailleurs. Je suis curieux de voir où elle veut m’emmener alors je finis mon verre et j’accepte d’un signe de tête.

J’ai donc laissé Erin payée , les temps se modernisent et maintenant, les femmes veulent payer alors je la laisse faire. Nous partons ensuite pour direction Poudlard et plus précisément le lac alors que nous continuons de discuter. Je lui parle de mes années à Poudlard sans trop parler de la maltraitance de mon père, ni de Voldemort, je lui parle de mon rôle de père, puis j’écoute Erin me parler d’elle.

Une fois au lac, je la laisse s’asseoir et quant à moi je m’installe derrière elle ouvrant mes jambes de chaque côté de ses hanches, puis je prends sa taille pour la ramener vers moi quand elle parle. Son dos collé à mon torse, je pose mon menton sur son épaule. Cela me rappelle un peu mes années à Poudlard, je n’étais certes pas aussi attention envers Veronica, mais j’aimais ce genre de moment. Là, je me décide à être un peu plus loquace et à l’écoute de ma partenaire. Ma joue se colle à celle d’Erin et je murmure.

« Toi aussi, tu es très intéressante Erin. Sache qu’outre mon envie de t’avoir dans mon lit, l’envie de te voir et de parler avec toi est bien présente. Et ça, je doute que ce soit ta race qui l’attise »

Doucement, mes mains s’immiscent sous son haut pour caresser son ventre avec douceur et je souffle à son oreille.

« Tu me donnes presque envie…D’aller plus loin que l’amusement »


J’attends qu’elle tourne la tête pour l’embrasser avec envie tandis que mes doigts se resserrent sur son ventre.

Doucement, ma main s’immisce plus bas, je passe ma main sur l’intérieur de ses cuisses afin de la taquiner et de faire remonter quelques souvenirs de nous deux dans mon canapé. Je retire ensuite ma main et je souffle.

« Si je m’écoutais Erin, tu serais déjà allongée dans l’herbe à moitié nue. Mais pour avoir été élève ici, je sais qu’il n’est pas rare qu’un ou deux élèves malgré le couvre-feu viennent ici »

Je me relève alors doucement en abandonnant les cuisses de la jolie professeur et je l’aide à se relever en souriant.

« On devrait rentrer. »

Je lui offre tout même un baiser des plus chaleureux en passant mes mains sur ses hanches. Durant de longues secondes, je profite de ce moment puis je la ramène à Poudlard. Au croisement d’un couloir, alors qu’on entend du bruit, je l’attire avec moi derrière une porte qui n’est autre qu’un placard à balais pour notre concierge. Je souris amuser et je fais shut en posant mon doigt sur ses lèvres alors qu’un préfet en chef fait sa ronde.


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Est-ce que j’aurais préféré que… Non ! Evidemment que non ! Je n’avais aucune envie de devoir me justifier auprès de quique ce soit et le risque de cette relation, quelle qu’elle puisse être, était justement la demande de justification. Auprès des filles d’Andrew en premier lieu, qui avaient le plus gros de mon attention, mais aussi auprès de ma sœur, qui prenait déjà mal mon poste alors si en plus je faisais des « choses » avec un autre professeur… Mais aussi pour notre différence d’âge, parce qu’il avait été mon professeur et qu’il était actuellement mon supérieur hiérarchique direct. Et je n’avais pas non plus parler des bruits dans les couloirs du fait de nos étudiants que cela engendrerait inévitablement. Autant dire que cela faisait énormément de bémol à la moindre idée de relation que l’on pouvait avoir, quoique puissent être ses tenants et aboutissants.

Mais malgré tout ces bémols et les pensées envahissante que le Professeur s’amusait à me faire avoir, la soirée se passa pour le mieux, les discussions allant de bon train et les rires tout autant. J’appréciais réellement discuter. Outre ma nature propre, Andrew avait un quelque chose de captivant lorsqu’il parlait et c’était d’ailleurs peut être cela qui faisait de lui un excellent professeur.
Ce fut d’ailleurs parce que la soirée se déroulait bien que j’en vins à lui proposer une suite à cette dernière, près du lac où nous nous retrouvâmes alors seuls, dans la nuit. Bientôt assise dans l’herbe, je fus surprise de sentir Andrew se mettre derrière moi, m’emprisonnant entre ses jambes. Posée le dos contre son torse, je soupirai alors d’aise. Je n’avais jamais vécu une telle chose, comme s’il me faisait revivre une période de ma vie dont je n’avais pu profiter. Et cela… était particulièrement agréable je devais l’avouer. Sa joue contre la mienne, je soufflai alors doucement les quelques mots que je désirais lui dire. Maladroits, certes, mais réels. Il était « intéressant ». Plus que ça même quand on y réfléchissait bien. Et sa réponse me fit alors sourire et rougir. Rougir car il était toujours aussi étrange de l’entendre dire qu’il me voulait dans son lit – quand bien même cette étape était-elle passée – et sourire car… Je n’en savais rien. Je souriais à vrai dire bêtement. Frissonnant lorsque je sentis ses mains sur mon ventre, ce fut d’autant plus le cas à ses prochains mots qui me figèrent quelques secondes. Aller plus loin que l’amusement ? Qu’est ce que cela voulait dire exactement ? Est-ce que c’était quelque chose que j’espérais un tant soit peu lui donner envie – après tout, rien n’était interdit dans les rêves n’est-ce pas – ou était-ce une chose que je ne voulais pas mais dit autrement et que je ne comprenais pas ? Par Merlin pourquoi fallait-il que la communication soit si compliquée ? J’allais d’ailleurs lui poser la question, tournant la tête vers lui lorsque ses lèvres rencontrèrent les miennes avec une envie à laquelle je ne pus que répondre. Et ce fut d’autant plus le cas lorsque sa main glissa sur l’intérieur de mes cuisses, provoquant un long frisson bien trop agréable le long de ma colonne vertébrale.

- J’ai dû rater une partie de ma scolarité plaisantai-je alors en basculant ma tête en arrière sur son épaule. Je n’ai jamais défié le moindre couvre-feu.

Et si l’envie de lui sauter dessus était, bien malgré moi, présente, je n’en fis rien, le laissant se relever pour prendre sa main afin de me remettre moi-même sur pied et lisser les pans de ma robe avant qu’il ne m’embrasse à nouveau. Et c’est tendrement que je répondis à son baiser, mes bras autour de son cou, avant de soupirer.

- Rentrons alors…

Un léger sourire ornant mon visage, je le relâchai alors, profitant de la nuit pour glisser innocemment ma main dans la sienne jusqu’à ce que… Sans que je ne comprenne pourquoi, l’homme visiblement bien plus réactif que moi, je me retrouvai enfermée dans un placard à balais, le doigt d’Andrew sur mes lèvres alors que j’entendais des pas se rapprocher.

- Il y a quelqu’un ?

J’eus bien du mal à me retenir de soupirer en entendant la voix. Ce n’était pas ma sœur. Heureusement. Malgré tout, il ne fallait pas que l’on nous trouve. Et certainement pas dans un placard à balais aussi étroit !

- Est-ce qu’il y a quelqu’un ? Insista la voix en se rapprochant d’autant. Je vous ai entendu !

Fais comme des rats ? Non ! Il en était hors de question. Ainsi sortis-je ma baguette pour viser la serrure et…

- Collaporta. Murmurai-je alors qu’un bruit de succion se faisait soudainement entendre, provoquant l’arrivée rapide, cette fois, du préfet en chef qui tourna devant la porte à la recherche du ou des fuyards.

Grimaçant, je n’étais néanmoins plus vraiment inquiète, esquissant un sourire amusé à Andrew alors qu’à mon tour, je posai mon doigt sur mes lèvres pour lui intimer un nouveau silence. Par trois fois, l’élève tenta d’ouvrir la porte. Impossible. Evidemment. Et ce ne fut qu’au bout de longues minutes qu’il partit. Enfin. Non sans râler, comme tout bon élève.

- Hominum revelio. Soufflai-je alors afin de vérifier la présence, ou non, de l’élève.

Il était parti. Enfin. Et un soupir de soulagement sortit de mes lèvres avant que je ne me mette à rire, ma main libre posée sur le torse du Professeur de potion.

- J’ai l’impression d’avoir quinze ans. Lui soufflai-je alors, particulièrement amusée.

Et quitte à avoir quinze ans… Esquissant un sourire toujours aussi amusé, je me mis alors sur la pointe des pieds pour embrasser le professeur avec la même envie dont il avait précédemment fait preuve, soufflant d’aise à son contact.

- Nous sommes pires que des élèves. Soufflai-je alors contre ses lèvres, mon front contre le sien.

Pire que des élèves, oui mais bien plus expérimentés qu’eux en matière de cachette visiblement.

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Je ne suis pas surpris quand Erin me confie n’avoir jamais enfreint le couvre-feu. La Serdaigle à toujours été une élèves docile à mon gout. D’ailleurs si je pouvais en avoir plus comme elle à l’époque , j’aurais moins de travail. Bref nous partons direction le château et une fois dans les couloirs, je me sens léger. C’est comme-ci Erin me faisait avoir une nouvelle jeunesse.

Elle était peut-être ma seconde chance. J’ai beau dire que je ne veux rien de sérieux, je crois que même je n’y crois pas. Il est clair que j’ai toujours ressentie quelque chose pour Erin depuis qu’elle n’était plus élève ici et donc même si j’ai peur de souffrir à nouveau je ressens cette envie de faire plus avec elle.
Mais je ne perd pas plus de temps à réfléchir car j’entends des bruits de pas. Rapidement j’entraine Erin dans la première salle que je trouve.

Nous voila dans un petit placard à balais. Je pose mon doigt sur la bouche de la jolie professeure en souriant et lui intimant l’ordre de ne pas faire de bruit.
Je pouvais sentir son corps contre le mien et rapidement je pouvais dire qu’il faisait chaud ici, mais je n’en fit rien. La voix se rapprochait de plus en plus. Je vois alors Erin sortir sa baguette et un bruit de succion raisonne alors que la porte refuse de s’ouvrir.
Je retire mon doigt des lèvres d’Erin et je regarde la porte que le préfet tente d’ouvrir. Je reconnais sa voix, c’est celui de Gryffondor. Wheeler place son propre doigt sur ses lèvres pour me dire de ne pas faire de bruit.
Ose t’elle me donner des ordres ? Je souris et je lui fais bien comprendre du regard que je vais me venger.
Le calme revient et après un sort de vérification, Erin murmure qu’elle à l’impression d’avoir quinze ans. Ah donc mademoiselle se planquait dans les placard à quinze ans ? Je ne sais même plus ce que je faisais. J’étudiais surement.

Je sens Erin gagner en grandeur, voila que ma lilliputienne veut un bisou. Je la laisse donc faire alors que je la colle doucement contre le mur. L’autre fois c’est apparemment ce qui lui a fait beaucoup d’effet. Je la prend alors par la taille et je la soulève sans abandonner ses lèvres afin qu’elle puisse m’enlacer de ses jambes si elle le souhaite.
Je profite de ses lèvres durant de longue secondes, puis je rompt le moment pour aller enfouir mes lèvres dans son cou avec une certaine envie. Je marmonne alors entre deux baiser sur sa peau de pèche.

« C’est donc ça qu’on appelle les hormones d’adolescents ? Si tu ne m’arrêtes pas, je te garantit qu’il va falloir plus qu’un sort pour à sonoriser ce placard »

Je ne le montrais pas, mais j’avais vraiment, vraiment besoin qu’Erin soit plus mature que moi sur ce coup. Car clairement là c’est son côté Velane qui me pousse à vouloir déjà passer mes mains sous cette robe . En temps normal je me retiendrais et je lui aurait proposer de passer dans mes quartiers pour discuter et éventuellement oui aller plus loin une nouvelle fois. Mais là dans ce placard…Je murmure alors doucement.

« Arrête-moi Erin…Pas ici. Tu mérites mieux que ce placard »

Mon esprits voulait que je m’arrête, mais mon corps refusait et tout ce qui pouvait me faire arrêter, c’était le consentement d’Erin. Qu’elle me dise stop.

Elle pouvait déjà sentir mes mains sur ses cuisses caressant sa peau douce et encore fraiche de l’extérieur lors de notre sortie au lac.



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Plus les secondes passaient, plus il me semblait que la pièce s'emplissait d'une chaleur certaine, sûrement dues à la tension plus que présente entre Andrew et moi. Mes bras enroulés autour de son cou, je profitai ainsi allègrement de ses lèvres, sentant bien rapidement le mur dans mon dos et les bras du professeur me soulever pour me permettre de l'entourer de mes jambes afin de maintenir une certain équilibre. Laissant ses lèvres se perdre dans mon cou,  des frissons me couvrant le corps, je ris doucement à sa remarque.

- J'avoue que je ne connaissais pas cette sensation, mais c'est... Agréable, soufflai-je en basculant doucement ma tête en arrière.

Si je ne l'arrêtais pas... Mais avais-je envie de l'arrêter ? Je peinais moi même à ne pas avoir envie de le sentir de nouveau contre moi, comme la semaine précédente. Je l'avais certes fui, mais l'envie de le reconquérir, d'approfondir, même, ce que nous avions commencé... A vrai dire... Surtout d'approfondir...
Soupirant profondément d'aise autant que d'envie, je sentais la chaleur envahir le bas de mon corps et l'envie se faire de plus en plus pressante de répondre à ses caresses qui, déjà, commençaient à devenir pressante, sur mes cuisses, sous ma robe. Mais avais-je ne serait-ce que la force de l'arrêter alors que j'en avais tout autant envie ? Là. Maintenant...

Il me fallut plus que tout mon courage pour arriver à sortir de nouveau ma baguette et murmurer un « Alohomora » difficile entre deux baisers afin de déverrouiller la porte. Et dès lors qu'elle fut déverrouillée, embrassant Andrew avec toute l'envie et la passion qu'il me faisait ressentir, je l'entraîné en dehors du placard, les joues rouges non pas de timidité mais bien de chaud, l'attirant de nouveau vers moi pour l'embrasser alors que nous nous retrouvions seuls dans les couloir.
Et sans attendre davantage, sa main dans la mienne, ce fut dans mes appartements que je l'entraînai. J'atteignis mon lit sur lequel je m'assis pour l'attirer entre mes jambes afin d'embrasser son torse que je dévêtis bien rapidement.

Cherchant ses lèvres, je soufflai doucement contre celles-ci.

- Voilà... Pas de placard...

A cet instant, ma réflexion n'allait pas plus loin. J'en étais incapable... Ou presque. Une chose me revenait en tête. Il était dans cet état parce que je l'entraînais inexorablement à être dans cet état. C'était mon état, ma race, qui le poussait à faire cela. Mais lui... En avait-il réellement envie ? Ce fut cette question qui m'arrêta alors, ma robe déjà sur le sol, me faisant poser ma main sur son torse, le souffle court.

- Attend... Murmurai-je enfin, me contenant plus que je n'aurais pu le penser. Est-ce que... Est-ce que c'est vraiment ce que tu as envie de faire ? Demandai-je sérieusement.

Il me suffirait d'un oui, d'un simple oui, murmurer ou non, d'un hochement de tête positif pour le faire basculer sur le lit afin de me hisser sur lui pour l'embrasser de nouveau avec envie, cette envie qu'il avait été le seul à me faire connaître jusque là. Était-ce parce qu'il était le premier à avoir vécu assez proche de moi pour se faire désirer de la sorte ? Était-ce parce qu'il s'agissait justement d'un fantasme de longue date ? Toutes les idées étaient bonnes à prendre mais je rejetais toutes les idées pour me concentrer uniquement sur le présent et l'actuel, à savoir lui, moi et ce lit sur lequel nous étions.


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#1087 -


En toute discrétion

feat Erin



Cette chaleur, cette envie de me déchaîner avec elle dans ce placard. Oui, c’est enivrant, oui, j’en ai envie. Mais je ne suis pas comme ça. Déjà de base les aventures d’un soir, je n’avais encore jamais fait et je sens bien qu’avec Erin ça va devenir plus qu’une aventure d’un soir même si je m’obstine à vouloir garder des distances. Mais m’envoyer en l’air dans un placard à balais hors de question.
Je m’écrase contre elle soutenue par ce mur en pierre continuant de l’embrasser avec passion alors que je la sens fouiller dans sa poche. Je l’entends murmurer et quand j’entends le click de la porte, je comprends alors qu’elle fait preuve d’un meilleur contrôle que moi. Je la suis alors dans le couloir échangeant un dernier baiser au risque d’être vue.

En moins de deux, je me retrouve dans les appartements de la jolie professeur qui encore une fois va réussir à me faire céder. Sa race y est pour quelque chose oui certes, mais de base, j’avais déjà des vues sur Erin depuis la rentrée. Peut-être que j’ai enfin accepté le fait qu’elle n’était plus mon élève, mais ma collègue et que donc j’avais maintenant mes chances. Elle s’assoit sur son lit alors que je pose un genou entre ses jambes pour aller dévorer son cou. Me chemise rencontre alors le sol et mon corps s’offre à moitié nu à Erin qui se débarrassait de sa robe. Je retourne voler ses lèvres jusqu’à ce qu’elle pose sa main sur mon torse pour me stopper. Je rompt le baiser et je la fixe du regard me demandant ce qu’il se passe. Je l’écoute donc parler.
Elle me pose réellement la question ? Je souris en regardant ma chemise au sol. Puis je replonge mon regard sur le sien et je réponds en souriant.

« Tu es presque nue sous moi, je suis torse-nu et tu me demandes vraiment si j’en ai envie ? »

Je soupire et je lui réponds en toute transparence.




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Une discutions père fille

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Sa voix raisonne alors dans un murmure et je dois avouer que je ne m’attendais pas à cela. Rester ? Dormir avec elle ? La voilà dans mes bras blottie contre moi alors que je caressais doucement sa longue chevelure. La suite me fit sourire. Les autres nuits aussi ? Ça va être compliqué et je n’ai pas spécialement envie qu’on nous voit tout de suite ensemble alors que moi-même, je ne sais pas ce que je veux. Je pose alors mon menton contre le sien et je murmure.

« Je vais déjà dormir ici cette nuit. Le reste, nous verrons »

C’est un bon début non ? Je pose mes lèvres contre son front et je ne sais pas ce qu’il se passe, mais lorsque j’ouvre les yeux, nous sommes déjà le matin.

Il n’est pas loin de cinq heures quand j’ouvre les yeux. J’ai la tête et le corps lourd et je ne suis pas étonné vue ce qu’on a fait la veille. Je remarque qu’on a quand même un drap sur nous. J’ai dû le mettre au milieu de la nuit peut-être, je ne sais pas. J’oublie totalement un détail… L’ignoble tatouage sur mon avant-bras. Ce dessin signe de mon passé raciste que je camoufle tous les jours avec un sortilège. Seulement, j’ai oublié que tous les matins, il s’évapore et laisse mon passé resurgir.

Trop concentré sur le visage endormi de la belle Erin que je caresse du bout des doigts, je ne lance aucun sortilège pour camoufler cette horreur sur mon bras.
Lorsqu’elle ouvre enfin les yeux, c’est sûrement ça qu’elle verra en premier vu que mon bras est plié pour soutenir ma tête afin que je puisse l’admirer.

« Salut… Bien dormie ? »

Comme promis, je suis resté toute la nuit, j’ai dormi avec elle et je me réveille avec elle sans aucun regret. J’ai encore en tête notre discussion et ce que nous avons fait ensemble. J’ai aussi réfléchi pendant qu’elle dormait et que je l’admirais ces quelques minutes. Je vais aller faire des recherches à l’occasion pour une potion, un filtre afin que je puisse être à l’abri de son charme de Velane et qu’elle comprenne que ce que je ressens pour elle est réel et non influencer par sa race.


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#1163 -
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J’étais fatiguée, épuisée même devrais-je dire face à ce « sport » très peu prévu au programme de la soirée. D’une fuite en avant, j’étais passée à… Disons tout autre chose pour être polie. Et cela me plaisait bien plus que ladite fuite. Je n’avais d’ailleurs même plus envie de me cacher du professeur. Nous nous étions, en quelques sortes, expliqués, et j’avais retrouvé, en quelques heures, une adolescence que je n’avais jamais vraiment eu, petite Serdaigle bien trop passionnée par son travail et peu sûre d’elle pour me mêler véritablement à ceux en qui je n’avais pas assez confiance. Mais lui, avais-je confiance en lui ? C’était bien la première fois que je cédais aussi facilement à un homme… Enfin… A moins que ce soit moi qui le fasse céder… C’était une bonne question. Une question à laquelle je n’avais aucune réponse. Et peut-être, d’ailleurs, valait-il mieux que je n’aie pas de réponse à apporter. Dans tous les cas, le fait était que sans savoir si je pouvais réellement lui faire confiance, en admettant fortement que malgré ses dires son comportement soit dicté par ma race, j’avais envie de lui faire confiance. Et plus que cela, j’avais envie, simplement, de profiter de sa présence. Présence qui, contre toute attente, m’apaisait. Sans que je ne puisse dire si j’avais confiance, mon esprit semblait calme et serein à ses côtés. Ainsi lui avais-je demandé de rester. Une question quelque peu hasardeuse, certes, mais j’en avais tant envie…

Et serrée contre lui, j’entendis sa réponse. Il acceptait au moins pour cette nuit. Un sourire s’afficha sur mes lèvres alors que les siennes embrassait mon front. Là, nue, contre lui, je me sentais bien. Complète. Et étrangement heureuse pour une personne qui ne voulait pas « seulement s’amuser ». Ainsi, l’épuisement étant, je m’endormis bien rapidement.

Et la nuit se passa bien mieux que mes nuits habituelles la plupart du temps. Plongée dans des songes bien plus doux que ceux que je pouvais avoir normalement, mon sommeil fut ainsi bien plus réparateur et c’est avec douceur que j’ouvris alors les yeux, sentant une caresse particulièrement agréable sur ma joue. Un sourire s’affichant sur mes lèvres avant même que mes yeux ne captent toute la réalité du moment, il était évident que j’étais heureuse.

- Hey… Murmurai-je alors la voix encore quelque peu endormie. Oui… Et toi ?...

Enfin mes yeux s’ouvrirent réellement afin de découvrir l’homme torse nu près de moi pour mon plus grand plaisir. Un homme parfaitement taillé, du moins à mon sens, beau et tatoué. Tatoué ? Clignant des yeux, surprise d’une chose que je n’avais jamais vu jusque-là, je me relevai soudainement brusquement, le fixant plus avec surprise qu’avec effroi, cette fois particulièrement bien réveillée. Je connaissais cette marque. Tout le monde connaissait cette marque. Les créatures comme ma famille peut être d’ailleurs plus que tout autre sorcier tant nous avions été persécutés par les détenteurs de cette marque.

- Tu as la Marque des Ténèbres. Dis-je les yeux fixé sur le tatouage comme s’il était essentiel de noter quelque chose d’absolument visible pour le rendre réel. Seuls les Mangemorts ont cette marque.

Que faire ? Que penser ? Andrew connaissait ma race et ma faiblesse. Et pourtant il était dans mon lit. Or, il était tout à fait impensable qu’un Mangemort accepte cette position. S’unir avec une créature inférieure… Non. Alors pourquoi ? Comment ? Pourquoi avait-il cette marque ? Ou pourquoi était-il ici ? Ma race était-elle si puissante qu’elle fasse vaciller jusqu’aux valeurs même d’un Mangemort ? Que celles-ci soient ignobles ou non d’ailleurs. Devais-je craindre encore plus ce que je ne voulais pas ?

- Je t’en supplie, dis-je alors en levant enfin les yeux vers ceux du professeur de potion. Ne me dis pas que tu soutiens les Mages Noirs.

Dans ma voix, il était impossible de passer à côté de la crainte que je ressentais. Le fait était que mon histoire familiale m’avait bien assez façonné sur la crainte des mages noirs pour que l’on puisse imaginer que je passe outre et fasse comme rien n’était réel. Non. Cela m’était tout simplement impossible. Je craignais ce type de sorcier presqu’autant que les loups-garous. Pour leur violence, pour leur racisme et pour ce qu’ils étaient capables de faire aux créatures comme ma sœur ou moi.
Et plus que cela, il s'agissait d'un homme que j'avais, jusque là, toujours admiré. Un homme sur qui j'avais eu mon premier coup de coeur adolescent et mon premier coup de coeur adulte aussi au vu de ce que nous avions fait la veille. Et cela me faisait soudainement peur, comme si toute ma construction et toute les idées que j'avais pu me faire sur lui et de lui étaient fausses. Comme si, à vrai dire, je me retrouvai face à un étranger.

- Dis moi que tu n'es pas un Mage Noir. Le suppliai-je à novueau presque autant de ma voix que de mon regard lourd de sens.

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Je la regarde ouvrir les yeux et prendre doucement connaissance. J’avais oublié à quel point c’était agréable de se réveiller avec quelqu’un. Je ne l’avais pas fait depuis bien trop longtemps puisque je désertais le lit conjugal le lundi matin pour le retrouver le samedi soir et encore ça, c’est quand je ne devais pas rester à Poudlard pour veiller sur ses habitants. Donc je dirais que ça fait bien une dizaine d’année que je n’avais pas pris autant de plaisir à réveiller quelqu’un. Mais j’étais loin de m’imaginer que j’allais déchanter.

Mais voilà qu’elle se redresse d’un coup ce qui me surprend. C’est pourtant elle qui m’avait demandé de rester là cette nuit non ?
Elle met alors un mot sur sa réaction et instinctivement, je tourne la tête vers mon avant-bras… Le sortilège. J’avais tellement hâte de la réveiller que j’en avais oublié de camoufler mon tatouage. Je reste quelques secondes scotcher à mon avant-bras en repensant à mon passé. Je n’ai jamais torturé de Velane. Je n’ai jamais torturé grand monde de toute façon, car malgré tout, je ne suis pas quelqu’un de violent. J’étais plutôt celui qui gardait les secrets grâce à mon esprit occlument, je ramenais des informations et j’escortait le seigneur des ténèbres. J’ai donc assisté à des tortures, je n’ai pas aidé les innocents à s’en sortir, mais… Mes mains sont presque propres, car j’ai tout de même tuer une personne ou deux pour protéger Voldemort.

Erin me supplie alors de lui dire que je ne les soutiens pas. Mon regard est encore posé sur ce tatouage. Est-ce que je les soutiens encore ? Non. Je les ai soutenues, à une époque où j’étais jeune, immature et amoureux d’une Lestrange. A l’époque chez les Serpentard, un sang de bourbes était une infamie, mais j’ai toujours été un observateur plutôt qu’un harceleur. J’inspire un grand coup et je tourne enfin la tête vers Erin. Je peux sentir son angoisse et son stress et je ne sais pas pourquoi, mais la peur m’envahit. Je la dégoûte ? Je lui fais peur ? Pourtant, jamais je ne lui ferais de mal et je pense qu’elle le sait non ?

Je me redresse pour m’asseoir sur le lit et la fixer du regard. Je réponds alors d’une voix claire.

« Je ne suis pas… Plus un mangemorts. Je reste un mage noir, je pratique encore la magie sombre car elle me fascine. Mais je ne fais plus partis des rangs du seigneur des ténèbres. »

Je ne sais pas si cela va la contenter, je passe alors doucement ma main sur la sienne en espérant qu’elle ne me rejette pas. Qu’elle reste là ou qu’elle s’agite pour s’habiller et me fuir, je continue de parler pour me libérer de mon secret.

« J’ai été un des partisans les plus proches de Voldemort Erin… J’ai épousé une Lestrange à quoi tu t’attends en ce qui concerne mon passé ? Ce n’est pas un secret, je ne me cache pas de mon passé. Je camoufle mon tatouage pour éviter de mettre mal à l’aise les élèves. J’ai évolué, je ne crois plus en ses valeurs préhistorique comme quoi les sang-mêlé serait inferieure. Et si ça peut te rassurer, je ne suis pas un tueur, j’ai protégé le seigneur à plusieurs reprises ce qui a entraîné la mort de ses agresseurs… Mais jamais et je peux te le jurer sur la tête de mes filles, jamais je n’ai torturé où tuer d’hybride. »

Je me mords la lèvre inférieure puis je me lève pour me rhabiller. Je pense qu’elle va vouloir que je parte… Ou peut-être qu’elle va me retenir.

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#1182 -
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J’avais peur. C’était un fait que je ne masquais pas. Je craignais la vérité autant que le mensonge. Que préférais-je ? Qu’il me dise que ce n’était là qu’un tatouage pour s’amuser ? Non. Je n’y aurais même pas cru. Alors quoi ? Qu’il était un mage noir qui s’était laissé convaincre ? Non. Non plus. Je ne savais même pas quelle explication je désirais. En désirais-je au moins une ?... Oui. A cette question, la réponse était oui. Car à l’instant T, j’avais peur de ce qu’il pouvait ou ne pouvait pas se passer. Un tas d’interrogations, de questions, d’affirmations et d’autres phrases me passaient par la tête et ce fut pourquoi je le suppliai littéralement de ne pas être ce que je craignais. De ne pas faire partie des Mages Noirs, des Soutiens de Voldemort ou de sa suite…

Et lorsqu’enfin il se redressa pour s’asseoir sur le lit… Je frémis. Et pourtant, c’est silencieusement, presque religieusement, que je l’écoutai. Il avait été un Mangemort. Il avait été l’un des partisans du Seigneur des Ténèbres. Cette seule information me frappa comme une petite bombe intérieure alors que je le quittai des yeux, posant mon regard sur les draps, comme choquée d’une chose que je n’avais même pas imaginé. Qu’il fasse de la magie dite noire ne m’inquiétait étrangement pas, à cet instant. Seul le mot « Mangemort » résonnait dans mon esprit. Mais sa main vint se poser sur la mienne, me faisant de nouveau lever la tête vers lui, sans bouger. Ses mains étaient douces. Comme la veille. Et à nouveau, je l’écoutai.

- … Je ne me suis jamais posé de question sur le nom de ta femme. Dis-je alors sans bouger. Je n’étais même pas encore admise à Poudlard quand tu t’es marié… Lui rappelai-je alors.

Il était vrai que j’en oubliais moi-même notre différence d’âge lorsque nous étions ensemble. Mais… j’avais été l’une des premières élèves qu’avait eu le jeune professeur qu’il était, dans ses toutes premières années à Poudlard. Treize ans nous séparaient, et par ces treize ans… Tout un monde. Un monde que lui avait connu, celui de l’avènement des Ténèbres il fut un temps, auquel il avait visiblement participé, mais un monde dont je ne connaissais presque rien mis à par les histoires que l’on me racontait et ce que je pouvais lire dans les œuvres en ma possession.
Restée totalement immobile, je l’écoutai de nouveau alors. Jusqu’à la fin. Sans un autre mot. Les yeux rivés droits devant moi, comme perdus dans mes pensées.

Il ne faisait plus partie de ces rangs. Andrew. N’était plus. Un. Mangemort. Aux images de ténèbres que mon éducation m’avait offert, ces simples mots vinrent s’y apposer et mon esprit se remit alors en marche, le choc de cette vision passée.

Il avait été Mangemort, partisan du plus grand monstre que le monde magique ait pu connaître. Il avait… Il avait tué. Visiblement. Pas beaucoup. Mais suffisamment pour moi. Il avait protégé le monstre qui avait provoqué la mort ou l’agonie d’on ne savait combien de personne. Il avait partagé ses valeurs. Des valeurs que je ne pouvaient moi-même imaginé tant elles étaient aux antipodes des miennes. Oui… Il avait été et fait tout cela.

Mais.

Oui, il y avait un mais à tout ce ramassis de faits que je ne pouvais accepter ni même admettre un tant soit peu. Il y avait un mais qui me revenait en tête… Ou plutôt qui ne m’avait jamais quitté. Un mais particulièrement important qui faisait partie même de ma constitution. Ce mais qui m’avait toujours ordonné de ne jamais jugé un livre par son résumé et encore moins par ses critiques passées… Mais de l’ouvrir et de le lire moi-même pour m’en faire une idée. Et… Et cela fonctionnait avec Andrew. Nous… Nous avions tous un passé. Aussi difficile à assumer soit-il et… Et il venait de me jurer sur ce qu’il avait de plus précieux que jamais il n’avait fait de mal à quelqu’un comme moi. Alors… Alors avais-je réellement envie de le croire, de croire un ancien Mangemort ?

Ce fut son mouvement qui me sortit de mes pensées, m’obligeant à l’observer quitter le lit pour se rhabiller. Silencieuse, je l’observai un moment. Je ne savais pas quoi faire. Une partie de moi me demandait de le laisser partir, de réfléchir à une chose essentielle pour moi : ses valeurs propres. Une autre me hurlait de lui faire confiance, que l’homme que j’avais toujours admiré depuis mon adolescence était quelqu’un de bien, qu’il s’était seulement égaré. Une troisième, encore, me donnait envie de pleurer. Et une quatrième… Enfin bref… Sans faire chaque partie de mon corps… Je n’arrivais pas à me mettre en accord avec moi-même. Alors… Je restai immobile.

Et cela dura jusqu’à ce le professeur remette sa chemise. Comme si cette dernière signifiait le départ définitif. Mon esprit ne fut toujours pas en accord avec lui-même, et pourtant, mes muscles décidèrent pour moi. Je quittai mon lit, nue, sans même prendre la peine de me couvrir pour attraper du bout des doigts le vêtement du Serpentard. Et sans un mot, je l’obligeai, plus ou moins, à la redéposer là où elle devait être, à savoir loin de lui. Doucement, je vins me positionner face à lui, ma main contre son torse, sans même le regarder, je fronçai les sourcils, mes yeux fixés sur ma propre main.

- Je…

Je ne savais pas quoi dire. Alors… Plutôt que de parler, plutôt que de faire là où je pouvais être meilleure… Je me hissai sur la pointe des pieds et l’embrassai avec une tendresse que je n’avais jamais eu jusque-là, le repoussant doucement jusqu’à ce qu’il puisse être assis sur le lit. Et dès lors que ce fut le cas, je montai sur lui, à califourchon, enroulant mes bras autour du cou du Professeur afin, d’enfin pouvoir le regarder dans les yeux, plongeant mes iris dans les siennes.

- Tu ne me caches rien d’autre sur un passé potentiellement… Pire ? Demandai-je en fronçant les sourcils. Tu n’as pas été à Azkaban ? Tu… Tu n’es pas en fin de compte un mauvais génie qui veut tuer tout le monde ?

J’exagérais complètement, certes, mais je ne faisais pas cela de manière inintention elle, bien au contraire. Ainsi soupirai-je doucement, venant caresser sa joue de ma main, lentement.

- Tu sais ce qu’ils ont fait à des gens comme moi… Commençai-je alors à expliquer calmement. Alors… Je soupirai de nouveau. J’ai envie de te faire confiance… Non… Je te fais confiance. Me corrigeai-je alors. Mais on va mettre une règle alors… Ne me cache pas de choses aussi… Grosses que ton tatouage. « Plaisantai-je ». Mais si tu me dis… Si tu me dis que tu n’es plus comme eux et que tu ne redeviendras jamais comme eux… A nouveau, mes lèvres rencontrèrent celles du sous-directeur dans la même tendresse que j’avais pu lui offrir précédemment. Alors… D’accord.

Je ne demandais pas de promesse, pas de paroles inutiles supplémentaires. Juste l’approbation de mes mots. Rien de plus. Et si j’outrepassais largement l’amusement que nous nous étions fixés au préalable de nos « rencontres » en me comportant de la sorte… A vrai dire je n’avais aucune envie de me comporter autrement, et au diable l’amusement que désirait Andrew. Après tout, l’homme était bien assez solide et sûr de lui pour me repousser si j’allais trop loin dans le « sentimentalisme ».

- J'ai envie... De continuer...

De continuer quoi ? A lui d'interpréter mes mots comme il le désirerait. Mais une chose était claire à cet instant dans mon esprit : je ne voulais pas m'amuser. Je ne l'avais jamais vraiment voulu. Je voulais lui plaire. Et je voulais le séduire. Comme je l'avais toujours désiré. Et afin de ponctuer ces mots, à nouveau, je l'embrassai, le couchant de nouveau sur mon lit pour profiter de sa présence autant que de son corps.

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Je ne pensais pas qu’un jour, je passerais d’une nuit paradisiaque à un matin aussi sombre. Je sens dans le regard de la demi-velane qu’il se passe un truc. Elle a peur de moi, elle n’a plus confiance et je me demande même si je ne la dégoûte pas.
Je venais de m’expliquer, je venais de littéralement justifier mes choix du passé. Mais elle ne parlait plus, elle semblait réfléchir. Cela me brisait déjà le cœur. On n’a encore rien construit , nous n’en sommes qu’a l’étape de la coucherie et voila que je lui fais déjà peur. Je décide donc de faciliter les choses. Je me lève et je pars à la chasse aux vêtements subissant le silence horrible de cette matinée. Ma journée allait bien commencer , j’allais être de très bonne humeur. Désolé pour mes élèves.
J’enfile alors mon jean , mes chaussettes et vint le tour de ma chemise froissée. Je donne un coup de baguette pour la défroisser et au moment de la passer sur moi, quelqu’un la retient. Je tourne la tête vers Erin qui vient de me rejoindre dans son plus simple appareil.

J’accompagne son geste pour poser ma chemise sur un meuble non loin et je la fixe du regard complètement torse-nu avec pour seul habillage mon tatouage sur l’avant-bras.
Elle pose sa main chaude sur mon torse et la fixe du regard. Le temps est long, c’est insoutenable. Puis voilà qu’elle se met sur la pointe des pieds. Ses lèvres vont à la rencontre des miennes. Mais cette fois, il n’y a pas de fièvre, pas de passion, mais une énorme tendresse dont elle n’avait encore jamais fait preuve envers moi. Et moi non plus d’ailleurs. Je pose une main sur sa joue en savourant ce baiser. Je recule, car elle m’y oblige et quand je sens le lit derrière mes genoux, je m’assoit la laissant venir à califourchon sur moi. Je passe alors mes deux mains sur ses cuisses pour la tenir contre moi.
Ses bras entourent mon cou et doucement, elle rompt le baiser pour me fixer du regard. Un regard que je soutient car je ne me sens absolument pas coupable de mon passé. J’ai suffisamment travaillé pour me racheter aux yeux de la société. La preuve puisque Minerva m’a assez fait confiance pour me donner le poste de sous-directeur.
Elle commence ensuite à me questionner en me caressant la joue, je réponds alors d’une voix calme et sûre de moi.

« Je n’ai pas été condamné…Ni arrêté. Je te l’ai dit, je n’ai tué personne. J’ai assisté à des choses, mais je n’ai rien fait. »

J’avais beau à l’époque être raciste, je n’étais pas un tueur pour autant.
Erin reprend alors la parole, je sens qu’elle est nerveuse, mais je comprends vite qu’elle est disposée à me faire confiance. Elle m’embrasse à nouveau en validant ses dires. Elle est d’accord pour rester avec moi.
Elle m’embrasse à nouveau après m’avoir dit qu’elle voulait continuer. Je me retrouve sur le dos et doucement, je repousse une de ses mèches de cheveux en murmurant.

« Continuez quoi ? Je n’ai plus envie de jouer, je crois. »

Enfin, je n’ai pas envie de jouer finalement. Cette discussion avec Erin après notre dérapage, je crois que je viens de comprendre moi-même que je ne vois pas en Erin un vulgaire plan cul… Mais bien plus. Je murmure alors pour la rassurer.

« Je veux prendre le temps Erin, mais je crois que ce marché est stupide, j’ai envie de te connaître et … pas seulement dans un lit. Je te promets une chose, c’est que même si les Mangemorts revenaient, je ne les laisserais pas t’approcher. »

Je l’embrasse à nouveau alors que j’inverse les rôles pour me mettre sur elle et lui offrir trente minutes de plaisir afin de lui fait évacuer ce trop-plein de stress.
C’est ensuite sur un petit nuage que je la laisse partir se doucher alors que je file chez moi faire de même et me préparer pour aller travailler alors que ma tête est remplie de souvenirs très agréables. J’étais loin de m’imaginer y a une semaine que ce dérapage allait donner naissance à une histoire bien plus sérieuse.


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