Chronologie
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Annonces du staff
Engel K. Malefoy Yaxley
Etudiante
Onglet 1
Age : 18
Profession/Niveau : 1er Année de Justice et Droit Magique
Race : Humain
Statut : Sang Pur
Don : Lycane
Baguette : Bois d'if, ventricule de dragon, 32 cm fine, souple
Patronus : Loup
Epouvantard : Un Lycan en furie
Gallions : 2726
Gif : https://64.media.tumblr.com/08b64695149d855fcd5f8d66557bfae7/b7708ddca7a13499-fa/s400x600/95bac8c2a873c150480db00b220afe7eed78b389.gifv
Faceclaim : Sarah Catherine Hook
Bannière : https://zupimages.net/up/24/32/2aqt.png
Date d'inscription : 08/02/2023
Messages : 533
Onglet 2
Onglet 3
#11933 - Lun 22 Mai - 23:16
Let's talk before sleep Primrose Silvering & Engel Turner 22 Mai 2023, Chambre 3 du Dortoir des filles La journée avait été calme et ensoleillée. Les élèves ayant marre du mauvais temps avaient eu du mal à se concentrer, attendant la fin des cours pour pouvoir profiter de l’extérieur. Je n’étais pas dans ce cas-là. Je savais que j’allais profiter dans la soirée du grand air frais. Peu importe le temps, je partais courir pour m’entretenir et chauffer mon corps avant de faire mes exercices dans la salle de combats. Je pouvais donc me concentrer sur mes cours et tentais d’y exceller. J’avais toujours quelques matières plus difficiles que les autres mais je m’en sortais bien pour la plupart. En tout cas, bien mieux que certains le pensaient de base en voyant ma maison... On pense que les gentils blaireaux ne peuvent être brillant. Mais bien sûr. Et la Ministre de la Magie actuelle ne vient pas de Gryffondor et a eu des notes qui en ont fait baver plus d'un Serdaigle ! On pense qu'on est gentil, faible, inoffensif et très crédule. Alors ceux qui le croient non pas vraiment parler à quelqu'un de ma maison, ni pris dans la tête une de mes reparties. Et je ne parle même pas de mon physique. Cela commençait à se voir que j’étais tonique voir musclée sous l’uniforme sans trop non plus que cela paraisse trop vulgaire ou superflus. Je me souviens avec crainte d'avoir vu des femmes bodybuildées à mort. C'était tellement voyant avec leurs physiques et non harmonieux à mon goût. Mais elles étaient généralement supers sympas et données de très bon conseils d'un point de vue exercices et alimentation pour s'entretenir. Des mamans ourses avec la patte sur la main. Mais je comptais bien m'arrêter à un certain point pour que cela soit juste bien définie. Un peu comme cette assassin grecque dans une célèbre licence moldue. Mais j’étais partisane d’entraîner autant mon cerveau que mon corps. C’est ainsi qu’une fois les cours finis, je m’attelais à mon moment de sport. Il faut dire que, parfois, avoir un lecteur sur les oreilles pour m’entraîner, me manquer. Heureusement que je pouvais le faire à l’orphelinat pendant les vacances. Je tentais aussi de suivre les dernières sorties musicales, autant sorcières que moldues. L’air des morceaux restait dans ma tête et cela m’accompagnait donc pendant ces instants. Je faisais donc ma course à pied pendant presque quarante-cinq minutes, ayant poussée un peu pour profiter du beau temps, avant de m’atteler à mes exercices lors de ma rentrée dans la salle. C’était le jour des bras aujourd’hui ainsi que du haut du corps. Je finissais ma cession au bout de 45 minutes. Pile le temps d’aller prendre une douche avant de devoir manger. L’air commençant légèrement à se refroidir, je portais donc un jogging noir ainsi qu’un tee-shirt blanc avec un sweat aux couleurs de ma maison lors du repas. J’avais discuté avec les uns et les autres pendant que je remplissais et vidais mon assiette avec bonne humeur. Après avoir fini de remplir mon estomac, j’avais fait un crochet à la bibliothèque, disant bonsoir à Mme Carlin en récupérant quelques livres pour pouvoir finaliser mes devoirs. Je restais souvent à étudier ici et j’ai toujours une légère rougeur quand je pense à ma discussion avec le professeur Avery mais cela avait été fort instructif. D’autant plus avec ce qu’il s’était passé en ce début de mois. La nuit des hybrides comme beaucoup l’appelle avait fait des remous. Beaucoup avaient été blessés, les hybrides en particulier et certains avaient eu d’énormes impactes psychologiques. Pour dire que l’ambiance était encore un peu tendue et que les concernés s’en voulaient toujours tandis que les autres les regardaient avec suspicion... C’était l’euphémisme de l’année. Je ne leur en voulais pas personnellement. J’avais vu l’état des uns et des autres après coups et cela m’avait conforté dans mon idée qu’ils n’y étaient pour rien et que cela avait été provoqué dans le but de leur nuire. Je ne savais pas qui en particulier avaient menés cela mais au nom de qui, çà, j’avais un énorme doute. Cela remettait en cause mes convictions. Je n’étais pas encore à changer d’allégeance mais je l’avais bien en travers de la gorge. Je voulais défendre les opprimés, pas les rejeter comme ils venaient de le faire. Enfin, mieux vaut garder ses pensées pour plus tard. Je finirais avec quelques livres empruntés à mon dortoir pour faire mes devoirs. J’en avais un de potions et un de défenses contre les forces du mal à rendre. Et il fallait que je relise certains livres concernant les sorts informulés. Je relève donc mes cheveux dans un chignon et je me mets au travail à mon bureau. Le peu de colocataires que j’avais pouvait aller et venir sans problèmes. Elles savaient que je ne me déconcentrais pas comme cela et qu’elles pouvaient me déranger au besoin J’en connaissais la plupart de brèves discussions et d’aides pour les devoirs même la dernière arrivante Primrose, qui avait été changé de chambre cette année. Je n’avais pas l’histoire entière du pourquoi même si j’avais entendu des bribes à droite et à gauche. Quand je l’entendis entrer plus tard, c’était poursuivis par des jeunes qui voulaient encore en savoir plus sur leur idole. Il faut dire que c’était un prodige de la voltige. Une partie des jeunes de plusieurs maisons étaient fans d’elle et venaient donc la coller. Et je ne parle même pas de ceux de nos années ou au-dessus qui tentent d’être amis avec elle par intérêt ou pour rentrer dans les bonnes grâces de ses parents. Ou simplement pour se vanter d’être sortie avec elle. Je voyais parfois que cela l’agaçait. Et elle avait besoin de repos. J’ai presque fini mon devoir. Je la regarde alors qu’elle tente de leur dire gentiment au revoir. "Mais ils peuvent pas lui foutre la paix sérieusement ? Bande de sangsues collantes à pois!". Tel fut ma pensée alors que je pose lentement ma plume en faisant attention. Je soupire avant de me lever et d’apparaitre sur le cadran de la porte, faisant sursauter les plus jeunes. Je croise les bras en appuyant une épaule contre. -Bonsoir à tous. Elle a besoin de repos donc soyez gentils et laissez là. Mon sourire est poli mais ma voix est ferme et ne laisse aucunement place à un questionnement ou à une réponse. Je les vois disparaitre en nous souhaitant une bonne nuit avant de la regarder puis de secouer la tête. -Tu sais très bien que tu peux me demander si tu n’arrives pas à leur dire non.... Ton dernier soupirant l’a entendu quand j’ai gentiment dit que j’allais le jeter dans le lac noir s’il n’arrêtait pas de te poursuivre lourdement. Je n’aime pas cette attitude qu’ils ont. Cela m’agace profondément. Je ne comprends pas ce genre de réactions. Bien sûr, j’en ai qui vienne parfois m’écouter chanter ou me demander des explications sur les cours à la bibliothèque mais cela reste assez courtois. Pas comme elle. Je ne suis pas amie avec elle mais je n’aime pas que les gens se fassent embêter. Si encore elle semblait adorée cette situation, je ne dirais rien, mais son visage montrait souvent le contraire. Je repars lentement vers mon devoir pour écrire les dernières lignes. -Tu as passé une bonne journée ? Je n’étais pas amie mais cela ne m’empêchait pas d’être cordiale et polie avec mes camarades de chambres. Quelques mots échangés ici et là pour être sûre qu’elles aillent bien. Quant à mes disparitions une fois par mois, j’avais dit que j’avais un traitement à Saint Mangouste obligatoire une fois par mois à cause d’une maladie cardiaque de naissance. J’avais un faux certificat à l’appui au cas où. Je me demande souvent si cela fonctionne vraiment ou si les gens n’osent pas demander du coup. -J’ai bientôt fini mon devoir mais si tu es trop fatiguée et que tu as besoin de dormir, on peut aller dormir tôt, cela ne me dérange pas. Je reprends, tournant légèrement la tête vers elle pour qu’elle sache que je l’écoute au besoin. Je reste néanmoins studieuse, quelque chose qu’on ne pourra pas m’enlever. by aardbei |
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