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#13159 -
 

Robert Kareela
Robert Kareela est le chef du gouvernement australien. Premier Ministre sang-pur issu de ce qu'on pourrait appeler une famille fondatrice de la colonisation, il est le premier ministre bien aimé du pays. Réélu un grand nombre de fois il est connu pour être un homme réfléchi qui pense à son pays avant tout. Avec ses politiques ouvertes et moderne il est bien vu sur la scène internationale. Son seul talon d'Achille ? Des politiques parfois incomprises des autres pays sur le sujet des créatures magiques, bien plus dangereuses en Océanie. Si les moldus et la guerre ne sont pas d’actualité là bas, le juste milieu entre protection des êtres humains, contrôle des créatures magiques et protection de la nature est bien complexe à trouver. Outre une vie professionnelle très remplie, c'est aussi le père de Merindah. Un père souvent très absent du fait de son quotidien politique. Pour autant, même s'il a l'air extrêmement absent, il sait aussi être là quand il le faut et même si ce n'est pas toujours facile de mettre sa vie de famille en avant, il aime ses filles plus que tout au monde et est prêt à tout pour les protéger.

PNJ joué par Merindah.





 
Let's team up
Sebastian Carrow & Robert Kareela
Début Juin 2023, Australie, bureau du Premier Ministre


Quand Robert Kareela avait reçu la nouvelle, le premier juin, que sa fille avait été questionnée par la police pour une histoire de meurtre, il avait cru à une plaisanterie. Mais ça n’en était pas une. Le peu qu’il avait reçu en information disait seulement qu’elle était questionnée, puisque connaissant la fille de la victime. Ah. Soit. Rien de bien inquiétant, donc, surtout qu’elle avait pris un avocat, ce qu’il lui aurait conseillé de faire. Il avait rassemblé ses avocats, demandant de fouiner là dedans et un rapport complet sur Maître Sebastian Carrow. Le résultat n’avait pas été très inquiétant, il était plus que compétent même si le type de clientèle de son cabinet ne plaisait pas vraiment à Robert. Sur le papier, tout était géré. Bon…. il avait confiance en Merindah. Elle savait où le trouver si besoin.

Oui, enfin… jusqu’à ce qu’il apprenne, quelques jours plus tard, que sa fille venait de porter plainte pour abus d’influence et manipulation de souvenirs ??? Heeeein ? Contre un professeur de Poudlard ? Dans quel foutoir s’était-elle mise ? Ni une ni deux, il l’avait contactée, mais elle lui avait assuré que ce n’était rien, que tout allait bien et qu’il ne devait ni s’inquiéter ni intervenir, qu’elle “gérait”. Tout allait bien ? Sa fille était une bien piteuse menteuse, vraiment. Elle avait des tas de qualités, mais Merlin merci, elle s’était tournée vers la médicomagie et pas dans une carrière de joueuse de poker ou dans la politique. Si ça ne tenait qu’à lui, il enverrait aussi sec une équipe de policiers pour venir la récupérer de gré et de force et la forcer à rester ici. Mais… bon. Elle était majeure, donc ça s'apparentait à un kidnapping et puis… elle se terrait à Poudlard, ce qui rendrait l’accès à ses hommes un peu complexe. Alors… en plus de lui demander de ramener “expressément ses fesses à la maison”, puis il avait ensuite convoqué Sebastian Carrow. Oui, oui. Convoqué. Ce genre de hiboux très officiel, donné en main propre par deux agents du gouvernement qui ne vous disent que “suivez-nous maintenant, s’il vous plaît”. Il n’avait même pas songé à regarder quelle heure il était à Londres et se fichait bien que ses agents sortent Carrow de son bain.

Pendant ce temps là, il s’était aussi bien renseigné. Qui était cet homme que sa fille accusait ? Amos Mancini. A première vue, un nom bien vu en Europe méridionale. Sauf que… au contraire de la majorité des gens, Robert avait bien plus de moyens pour enquêter et ce qu’il découvrit fut loin, ô Merlin, très très très loin de lui plaire. Une famille de légilimens innée, machiste, enterrée dans des histoires qu’il soupçonnait d’être encore plus sombres que ce que son service de renseignement avait pu déterrer aussi rapidement. Appelons-le papa poule ou papa dragon si on le voulait, mais pour le coup, il craignait sincèrement pour la sécurité de sa fille. Et oui, convoquer les services de renseignement était peut-être un peu extrême, mais à cet instant, il s’en fichait. Il avait perdu sa femme et sa fille ainé, il refuserait qu’on touche le moindre cheveux de sa cadette. Ainsi, la patience à bien rude épreuve et se fichant complètement des convenances, il ordonna d’une voix ferme mais néanmoins remplie de tension :

- Envoyez moi vos hommes les plus discrets à Florence. Je veux savoir ce que ces raclures ont sur ma fille. Et trouvez moi ce putain d’Amos Mancini. Dès que vous avez les yeux sur lui, envoyez-moi un patronus.

- Oui Monsieur.

- Oh, et une dernière chose. Je ne veux aucune trace de cette expédition.

L’agent hocha doucement la tête, le regard ferme, quand on frappa à sa porte de nouveau. Robert autorisa à entrer, et la porte s’ouvrit sur les deux hommes envoyés pour récupérer Sebastian Carrow. Bon. Cela s’enchaînait au moins avec une certaine cadence.

- Sortez tous. Laissez nous seuls.

Ainsi, tous les employés et officiers quittèrent la pièce, laissant le premier ministre et l’avocat seuls.

- Monsieur Carrow, donc. Bonjour. Merci de vous être déplacé aussi vite, dit-il avec politesse, sachant bien que Carrow n’avait pas vraiment eu d’autres choix de toutes manières.



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#13190 -

Une main tendue

Juin 2023 - Ministère australien
Robert Kareela & Sebastian Carrow

La journée avait été longue. Très longue. Les affaires s’accumulaient sans se ressembler, m’obligeant à bon nombre de saut, de pirouettes et d’adaptation. Cela m’allait, certes, mais écourtait de loin mes nuits. Ainsi, c’était à deux heures passées que j’avais réussi à me coucher, à dormir rapidement tant j’étais épuisé lorsque…

Un bruit sourd me sortit de mon sommeil bien peu profond. Grondant d’agacement, je quittai mon lit en direction du bruit, dans mon salon.

- Par Merlin, Adria. Si c’est toi je…

Me stoppant, sourcil arqué face à deux hommes en costume cravate, j’observai le courrier tendu par ces derniers pour le prendre doucement entre mes mains. Une convocation. Du gouvernement magique américain. Oh. Cela tombait… Disons… Etrangement. Mais les suivre aussi rapidement ?

- Je suppose que vous accepterez un rab de cinq minutes. Prononçai-je dans un sourire poli avant que je ne fasse volteface pour partir revêtir l’un de mes costumes.

De toutes les manières, ils n’auraient pas eu le choix. Il était bien hors de question que j’apparaisse devant le Ministre Kareela en pantalon de pyjama. Ainsi revins-je, habillé et coiffé prêt à partir et à transplaner, visiblement.

Le soleil était au zénith lorsque nous arrivâmes dans ce que j’imaginais être l’Australie. Bien… N’aurait-il pas pu calcule l’heure décente anglaise ? Soit. Accompagné des deux hommes j’avançai au travers du Ministère Australien, l’air sérieux quoique satisfait. Parfait. C’était parfait. Outre l’horaire évidemment. Mais les choses se goupillaient parfaitement. Accepter – ou plutôt forcer – cette affaire avait définitivement était la meilleure idée du mois.

Ainsi pénétrai-je dans le bureau du Ministre, sourire aux lèvres, pour m’avancer vers l’homme avant qu’il ne renvoie les deux, nous laissant seul. Main tendue, je serrai doucement la main du ministre dans un sourire entendu.

- Enchanté, Monsieur Kareela. Prononçai-je. J’admet que vos officiers sont particulièrement efficaces pour convaincre. Plaisantai-je doucement. Je suppose que cette entrevue se rapporte à mes différents échanges avec votre équipe d’avocats concernant votre fille. Une équipe des plus curieuse, sachez-le.

Je ne pouvais pas tout dire, je ne pouvais pas tout révéler, même à cet homme. Il s’agissait là de la vie, de la fierté de sa fille et surtout d’une histoire intime. Bien sûr, je pourrais le faire, je pourrais ne pas respecter l’envie, le désir de Miss Merindah Kareela. Mais j’avais encore besoin de sa confiance, quand bien même elle m’importait personnellement peu.

- Je ne sais pas réellement ce que vous désirez. Repris-je ainsi. Mais sachez néanmoins que quelles que soient les questions que vous me poserez, je m’interdirais de répondre aux questions trop personnelles concernant votre fille. Au moins étais-je clair. Alors… Je vous écoute, Monsieur le Ministre. Que puis-je faire pour vous ?

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Sebastian Carrow & Robert Kareela
Début Juin 2023, Australie, bureau du Premier Ministre


Personne ne touchait à sa fille. Non. Personne. Et encore moins un mangeur de pesto. Robert avait beau être un homme très posé, très… collecté, quand cela touchait à ses filles, c’était une toute autre affaire. Alors oui, il avait convoqué Sebastian Carrow sous l’impulsion, sans vraiment prendre le temps de calculer la différence de fuseau horaire. Une petite erreur qu’il réalisa après coup, lorsque la porte de son bureau s’ouvrit sur le brun. Serrant la main de l’avocat avec politesse en l’accueillant, le juriste pointa du doigt le fait que ses officiers étaient “efficaces pour convaincre”.

- Je ne peux leur en vouloir. Néanmoins, il est sincèrement appréciable de vous voir arriver ici en dépit de l’heure tardive à Londres, dit-il tout de même après un rapide calcul mental.

Il invita l’avocat à s’installer, lui faisant signe de s’asseoir sur l’un des sièges en face de son large bureau d’acajou au dessus duquel trônait un exemplaire de la plainte de Merindah, supposé être encore confidentiel à ce stade là mais qu’il avait réussi à obtenir grâce à ses informateurs et contacts au sein du Ministère de la Magie britannique. Une fois l’avocat assit, Robert resta debout un instant, tout de même désireux de mettre son invité à l’aise, il demanda :  

- Que puis-je vous offrir à boire ? Un café, un rhum ? Je crois que les Anglais sont friands de thé, mais je doute que nous ayons quelque chose qui égal celui de votre pays.

Ce serait un rhum pour lui et… pour Sebastian apparemment aussi. Ainsi, il versa un peu du liquide ambré dans deux verres de cristal qu’il posa sur le bureau avant de s’asseoir à son tour, pendant que Sebastian affirmait ne pas savoir ce qu’il désirait et le lui demander.

- Non, je le sais. Ma fille est majeure, ce qui vous donne littéralement le droit de m’envoyer balader si mes questions dépassent ses droits, fit-il remarquer, bien conscient tout de même de la loi. Fichue loi. Mes avocats ont fait mention de votre tendance coopérative avec eux, je vous en remercie d’ailleurs. Néanmoins, j’ai déjà eu vent d’une chose. Ça.

Il fit alors glisser le dossier, ouvert, en direction de Sebastian. Une copie de la plainte, déclarant Merindah comme ayant été cible d’un abus d’influence, dépossédée de ses souvenirs et manipulée.

- Ma fille me dit de ne pas m’en mêler, sauf que c’est hors de question. Quel genre d’école laisse un directeur… Il posa les yeux sur l’une des pages pour lire à voix haute : ”Enfermer une élève dans son bureau, la déposséder de certains vêtements et la regarder dormir” ?

Une question rhétorique, bien évidemment. Il faudrait probablement être quelque peu faible d’esprit pour, à cet instant, rétorquer qu’Amos Mancini était l’employé du mois. En parlant d’employé, d’ailleurs… Robert avait aussi quelques informations là dessus, et, sans laisser le temps de répondre, continua donc :

- Le genre d’employé qui laisse apparemment ses élèves dans un danger mortel pendant une attaque d’hybrides, répondit-il ainsi, montrant que… en effet, il était très bien informé. Donc, je vous propose une chose, Maître Carrow. Je ne vais pas abuser de votre temps, puisqu’il vaudrait bien mieux que vous le dédiez à ma fille. Néanmoins, comme vous le voyez, je ne suis pas un père lambda très peu informé. Je vous demande donc d’être transparent avec moi. Je veux ma fille hors de tout ennui et je me fiche des moyens qu’il faudra déployer pour cela. D’ailleurs, cela veut aussi dire que dorénavant, votre secrétaire devra m’envoyer vos factures. Je me fiche du nombre d’heures ou du prix, temps que vous faites votre travail. Un travail, qui doit être sans la moindre faille. Donc. Dites moi, Maître Carrow. A quel point puis-je avoir confiance en vos capacités à réaliser ce pour quoi ma fille vous à employé ?




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#13542 -

Une main tendue

Juin 2023 - Ministère australien
Robert Kareela & Sebastian Carrow

- Si tant était que j’aie pu avoir le choix, fis-je remarquer, il est normal pour un avocat de répondre aux questions de la famille de sa cliente lorsque je suppose votre inquiétude immense.

Normal ? Non. Mais politique et commercial, cela oui. De toutes les manières, l’on m’avait effectivement sommé de suivre. Le choix ne m’avait donc pas réellement été donné et… Surtout, je n’aurais pas fait moi-même d’autres choix. Kareela était un poisson intéressant dans ma carrière. Je ne l’oubliais pas. Je m’étais empêtré dans une affaire avec Poudlard pour sa fille. Ce n’était pas pour rien. Je ne faisais jamais rien par hasard.
M’installant face au bureau du Premier Ministre Australien, non sans observer ce dernier, j’admis être surpris de ce que j’y vis. Sans en faire étal ou même le moindre commentaire, je notai que l’homme avait plus d’un tour dans son sac. Evident, à vrai dire, du fait de son poste. Mais peut être pas au goût de sa fille si elle venait à l’apprendre.

- Au vu de l’heure, un rhum sera certainement bien plus appréciable pour me faire au décalage horaire. Répondis-je simplement dans un sourire tout aussi poli que politique.

Sourire qui laissa bientôt place à une mise au point. Je ne répondrais qu’aux questions les plus globales sans m’attarder sur la personne même de Merindah. Quand bien même je me moquais éperdument de cette dernière, je devais rester professionnel. Même face au Premier Ministre. Si je désirais avoir plus, il allait falloir serrer la bride dès le début. Mais au moins l’homme semblait-il comprendre mes propos. Quoique… Nous y étions.
Arquant un sourcil en observant la plainte confidentielle de sa fille, je n’eus aucune réaction, me contentant de relever les yeux sur l’homme. Evidemment. Un père se voulant défendre sa fille… Ce n’était pas de la curiosité qui m’avait amené ici, mais bien une réelle colère. Que je pouvais comprendre, somme toute.

Resté aussi calme et serein qu’immobile, je l’écoutai ainsi, sans le couper un seul instant. Il désirait donc payer mes services directement ? Soit. Parfait. Après tout, sa fille avait cru qu’il m’avait envoyé, ce ne serait donc qu’un juste retour des choses et la certitude, pour moi, d’être payé. J’admettais ne pas avoir confiance en les jeunes étudiants.

- A quel point ? Répétai-je alors qu’un léger sourire se dessinait sur mon visage. Monsieur Kareela. Je serais un bien mauvais avocat si je devais vous convaincre de mes compétences. Soufflai-je lentement. Mon travail est d’obtenir le souhait de mes clients. Je vous laisse… Me stoppant, je secouai doucement la tête. Non. Vous l’avez déjà fait. Alors je vous laisse reprendre la liste de mes affaires pour vous en assurer.

Il m’avait fait venir. Il savait. Je n’avais aucun doute à ce sujet. Il savait que je faisais parti des sauveurs de Mangemorts. Un sauveur particulièrement doué, quand bien même j’admettais aisément avoir une haute estime de moi-même et un orgueil plutôt mal placé.

- Pour ce qui est de mes honoraires, sachez que l’argent n’est pas ma motivation pour faire un bon travail. La réputation, elle, l’était, car c’était elle qui apportait l’argent. De ce fait, je me permets de vous laisser vous rapprocher de votre fille concernant cela. Qui plus est, Monsieur le Premier Ministre. Les moyens déployés sont à la hauteur de l’affaire de votre fille, et non pas d’un quelconque pécule. Là encore… La réputation jouait avant tout. Concernant l’école, l’affaire est plus délicate et comprenez qu’une enquête est, de toutes les manières, en cours. Je doute que le Professeur McGonagall, directrice de Poudlard, aurait accepté de courir le moindre risque si elle avait eu vent d’un problème initial avec Monsieur Mancini. Je ne m’aventurerais, néanmoins, pas sur ce terrain aujourd’hui. La lecture de la plainte de votre fille devra vous suffire pour le moment. Je vous prierais néanmoins de ne pas en faire état, même à un avocat tiers, Monsieur. Une fuite des informations, quelle qu’elle soit, pourrait compliquer grandement notre affaire. J’espère que vous le comprenez. Et je n’avais, surtout, aucune confiance en le moindre autre avocat.

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