Chronologie
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Theodore Nott
Professeur
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Age : 45
Profession/Niveau : Professeur de Soins aux créatures magiques
Race : Humain
Statut : Sang Pur
Don : Animagus Lynx, Magie élémentaire du feu
Baguette : Bois de if, Crin de Sombral, 32,1 cm, épaisse et rigide
Patronus : Lynx
Epouvantard : Theodore Nott
Gallions : 455
Gif : https://zupimages.net/up/23/12/1fqi.gif
Faceclaim : Lee Pace
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Date d'inscription : 25/02/2023
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#12696 - Mar 20 Juin - 21:52
_________________ Theodore Nott Darkness has more than one face. ••• Aardbei |
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#12726 - Mer 21 Juin - 16:05
Dernière édition par Amara Mancini Yaxley le Mar 27 Juin - 15:59, édité 2 fois
Non è un compleanno La vie d’Amara avait basculé en presque un mois. D’épouse bafouée, elle était devenue veuve. Croban n’était plus, il avait trépassé dans les cris et la douleur. Tout ne s’était pas stoppé comme par magie là, puisqu’une enquête avait eu lieu. Grâce à leurs soins méticuleux et grâce aux compétences de Sebastian et Elegius Carrow, Amara comme Théodore avaient très rapidement disparu de la liste des suspects, leur permettant de vivre une vie nouvelle, paisible et surtout, ensemble. Enceinte de six mois désormais, Amara parvenait tant bien que mal à trouver un certain répit, souvent plutôt court, entre les inconforts de cette grossesse complexifiée par l’inquiétude et son âge, et ses enfants déjà nés qui peinaient à s’habituer à leur nouvelle vie. Elle était parvenue à dissoudre le mariage de Diana, grâce à la complicité de Morgan. Un résultat qui déplaisait à l’adolescente, mais aux yeux d’Amara, cela était pour le mieux. Diana avait été trop jeune, trop immature. Maintenant, elle pourrait vivre, faire sa vie, même si pour l’heure, elle se contentait de criser entre les murs de Poudlard, rendant Amara anxieuse vis à vis du mois de juin. Mais Diana libre, il lui restait encore Bella. Bella, bloquée à Moscou, avec Dmitri Karkaroff, elle aussi enceinte d’un garçon. Bella qui… ma foi, semblait devenir positive vis à vis de son époux. Un époux qu’Amara connaissait très peu, ne l’ayant vu que pendant les vacances de printemps et le jour du mariage. Un voyage à Moscou était donc d’ordre pour libérer sa fille aînée. Ou du moins… elle verrait bien. La priorité actuelle était Ottavia qui elle, vivait de plein fouet ces changements. Du haut de ses presque 5 ans, la mort de Corban lui était complexe à comprendre, tout comme le fait de quitter définitivement le manoir Yaxley pour emménager au manoir Nott. Ses sautes d’humeur de la petite fille étaient nombreux, comme ses colères, ses caprices et parfois, une certaine apathie, qu’Amara tentait de gérer avec patience et tendresse. Les nuits étaient plus complexe, animées par les paniques et les cauchemars qui traduisaient une réelle difficulté à comprendre les changements de sa vie. Mais dans tout cela, Amara pouvait compter sur le soutien de ses proches. Sur Blake, sur Sienna. Mais surtout, sur Theodore. Theodore qui découvrait une vie de famille mouvementée, complexe et qui, pourtant, ne se plaignait jamais. Il surprenait toujours plus Amara, insistant parfois pour se lever la nuit et apaiser Ottavia à sa place, essayant de ménager la Sicilienne et l’inciter au repos, étant présent aux rendez-vous avec le médicomage, et bien plus encore. Une relation tendre, respectueuse et qui se soudait un peu plus chaque jour. Et puis, un jour, il lui annonça un dîner pour “célébrer un anniversaire”. Vague, n’est-ce pas ? L’anniversaire de quoi ? De qui ? Amara avait passé plusieurs heures à essayer de comprendre, à déduire. Et puis, finalement, chaque fois, elle tombait sur la même supposition : celui de Theo. Elle avait même demandé au Golem (dont elle se méfiait encore, ne comprenant que peu cette technologie magique nouvelle), et ce dernier lui avait récité là liste : Amara, Ottavia, Bella, Diana, Blake, Chris… tous, mais pas celui de Theodore. Pour autant, elle avait décidé de prendre le risque de faire l’erreur, en partant du principe qu’il s’agissait donc de l’anniversaire de celui avec qui elle partageait désormais sa vie. Mais qui disait anniversaire, disait cadeau, non ? Pour Corban, cela avait toujours été simple : un objet de valeur et une prestation physique des plus… attentionnée. Mais Theododore n’avait aucun attrait pour ces deux choses là. Elle n’avait même pas retenté de le séduire physiquement, comme ce soir où elle s’était dénudée devant lui. Alors… il faudrait être inventive. Il y avait deux choses qui passionnaient Theodore. Les créatures et désormais sa nouvelle famille. Elle ne connaissait pas grand chose aux créatures, découvrait tout juste le Runespor. Elle ne voyait donc pas du tout ce qui pourrait lui faire plaisir. Par contre… sa famille, ça, elle savait. Elle connaissait. Elle savait combien il tenait déjà à Matteo. Elle voyait comment il regardait Ottavia. Elle sentait la tendresse dans chacun des baisers qui lui étaient destinés, à elle. Alors, elle avait laissé de côté le penchant peu matérialiste de son compagnon. Au projet d’un présent, mais pas n’importe lequel. A la manière de l’horloge des Weasley, Amara s’était procurée une petite pendule ayant remplacé ses aiguilles normales par trois aiguilles, une montrant Amara, une Ottavia et un emplacement vide, destiné à Matteo. A la place des chiffres se trouvait des mots. “Maison”, “école”, “Pré au Lard”, “Londres”, “travail”, “autre” et enfin, “en danger”. Une petite pendule, pas plus grande qu’une pendule de bureau, que Theodore pourrait ainsi conserver à son bureau où à son appartement de l’école, pour les nuits où il ne pouvait pas rentrer. Une fois cela emballé et déposé dans son sac, elle s’était préparée. Une robe blanche, bustier, près du corps et qui révélait enfin son ventre largement plus arrondit. En dépit de l’inconfort, elle enfila une paire d’escarpins, mais se contenta de laisser ses cheveux tomber en cascade ondulée dans son dos et d’arborer un maquillage travaillé, mais pourtant simple. C’est néanmoins avec une certaine surprise qu’elle fut rejoint par un Theodore… apprêté. Le voyage, elle arqua un sourcil, partagée entre la surprise et le constat assez difficile à quitter que, Merlin, le Nott était terriblement séduisant. Elle était si occupée à l’observer d’un regard… eh bien… disons-le : charmé, qu’elle en oublia de le saluer. Il s’approcha, lui offrant un baise-main dans les règles de l’art qui la fit sourire, bien qu’elle demeurait affreusement intriguée. Tout ça ? Pour un dîner d’anniversaire ? Mh… peut-être n’aurait-elle pas du partir du principe que c’était son anniversaire en fait. Il y avait peut-être autre chose. Elle n’en dit rien, bien plus surprise par son emploi de l’italien qui fit naître un véritable sourire attendrit sur son visage. - Ton accent progresse chaque semaine, complimenta-t-elle. Il fallait dire que, à entendre Amara parler sans aucun complexe à Ottavia, Theodore baignait assez souvent dans la langue. - Chiudi gli occhi et lasciati guidare, corrigea-t-elle tendrement avec bienveillance, tant sur le point de la grammaire que sur la prononciation sur laquelle elle notait ses efforts. Un petit coin pour dîner ? Très bien alors. Amara hocha doucement la tête, toujours aussi curieuse de ce fameux endroit. Ainsi, sans faire d’histoire et jouant le jeu en dépit de sa curiosité, elle s’exécuta, fermant les yeux et rejoignant la cheminée. Ils arrivèrent et elle resta solidement appuyée contre lui, tant parce que ce genre de voyages était toujours assez éprouvant à six mois de grossesse, que parce que, yeux fermés, Theodore était son seul point de repère. Suivant ses pas en silence, elle s’arrêta quand il s’arrêta et ouvrit les yeux lorsqu’il le lui demandant. Elle bâtit un instant des paupières, s’habituant de nouveau à la lumière du jour. Quand elle fut prête, elle posa sa main sur la poignée de la porte et l’actionna, poussant le battant de bois, découvrant alors une vue imprenable sur un vignoble. Un sourire se dessina sur son visage. - C’est magnifique, dit-elle dans un souffle. Un petit vignoble, comme on en trouvait dans son pays ou en France. Une étendue déserte, verdie par les plants. Le vent chaud, cette chaleur sèche, les chants des cigales grises, présentes dans le sud… Elle reprit la main de Theodore, portant de nouveau son attention sur lui, à des lieues de s’imaginer que cela était un présent. - C’est en effet un joli coin pour un dîner, souffla-t-elle. Que me vaut cette attention ? Si cela est ton anniversaire aujourd’hui, ce que tu as habilement caché même au golem, sache que la coutume impose que ce soit à moi de prendre soin de toi. Un petit rappel, dans un air amusé, presque taquin, sachant combien Theodore était éloigné de ces coutumes. Aardbei |
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#12731 - Mer 21 Juin - 18:45
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#12844 - Mar 27 Juin - 16:33
Non è un compleanno Face à ce paysage magnifique, et, admettons-le, idyllique, un véritable sourire planait sur le visage d’une Amara qui découvrait tout juste la liberté et le bonheur de bras tendres et bienveillants qui la poussaient toujours un peu plus à prendre son envol. Mais c’est aussi devant ce paysage qu’elle apprit avoir été trompée dans les raisons de leur venue. Il ne l’avait pas invitée pour son anniversaire, mais plutôt pour qu’elle ne cherche pas la véritable raison. Amara ne put s’empêcher d’arquer un sourcil, visiblement complètement perdue. - Ce n’est pas ton anniversaire ? demanda-t-elle, le doute planant complètement sur son visage. Mais Theodore la guida ensuite jusqu’à la terrasse, où elle découvrit une table déjà apprêtée, offrant une vue imprenable sur la propriété. Visiblement rempli de bonnes intentions, Theodore tira la chaise. Habituée à ce genre de protocole, elle s’installa. Pourtant… le Nott n’était pas des plus protocolaires, lui. Elle savait qu’il se fichait des traditions et de l’étiquette. Mais il lui expliqua alors que, de part ce dîner, il voulait la remercier de lui avoir ouvert une porte dans sa vie. Amara se pinça la lèvre. De toutes les personnes qui devaient remercier, c’était elle. C’était lui qui l’avait soutenue, qui avait décidé de reconnaître Matteo et c’était lui qui l’avait aidé à briser les chaînes qui l’entravaient. Encore aujourd’hui, c’était lui qui continuait d’être un pilier. - Tu sais que je tiens à toi depuis toujours, fit-elle remarquer. C’est plutôt à moi de te remercier de me permettre d’être libre. Il n’avait pas à faire autant d’efforts pour elle. Elle voyait bien combien il faisait tout ce qu’il pouvait pour parler son langage, sans parler d’italien ici, mais de tout le reste. Bonne manières, étiquettes, culture… jusqu’à même son accoutrement. Elle était ainsi assise, quand Theodore s’emparra du dossier qu’il avait sur la table et le lui mit dans la main. Le regard perplexe d’Amara se passa sur ce dernier, ne comprenant absolument pas ce que c’était. De la paperasse ? Maintenant ? Elle voyait bien qu’il avait “révisé” avec Blake… mais Blake n’aurait jamais approuver parler paperasse. D’autant plus que ce genre de dossiers, elle les avaient côtoyés énormément ces dernières semaines et ils n’étaient jamais bons. Et puis… Theodore parla. Il annonça que cet endroit était le sien. Amara inclina légèrement la tête sur le côté, nouveau signe d’incompréhension la plus totale. Merin, son anglais devant lui faire défaut. - Euh… bredouilla-t-elle, incapable d’immédiatement faire le paralèle, ou… plutôt de croire en ce qui se passait. Preuve était qu’elle en était si surprise qu’elle en avait laissé échappé un “euh”, chose pour laquelle sa mère l’aurait sévèrement réprimandé bien des années plus tôt. Mais heureusement, ils étaient bien assez loins pour que Lorenza de Luca Mancini l’entende. Enfin… esperons le. Non, ça ne ressemblait pas à sa Sicile natale. - De quoi tu parles… souffla-t-elle en ouvrant finalement le dossier. Peu douée avec la paperasse, elle s’apprêtait à ne rien y comprendre, mais son regard se posa sur une page des plus simples. Une page qui enseigne son nom, comme propriétaire de cette demeure. Amara ouvrit de grands yeux, qu’elle releva sur Theodore. - Tu as … ?... Elle en avait perdu les mots. Ni anglais, ni italien ne lui venaient - M-mais… Elle observa Theodore, presque bouche bée. Et puis, il tapa dans ses mains. Les instruments s’activèrent sous la commande du professeur, opérant un fond musical qui contrastait avec le silence de surprise d’Amara. - Theo… souffla-t-elle. Tu… Enfin… Bon, c’était déjà un peu plus de syllabes, mais ça n’était toujours pas une phrase complète. Comme pour l’aider, elle posa son regard sur le papier de nouveau, et découvrit que ce n’était pas que la propriété, mais… tout ce qu’elle contenait, ainsi que les employés. A elle. Elle. Elle n’avait jamais eu son nom sur quoi que ce soit, à part un contrat de mariage. Elle n’avait donc jamais rien officiellement possédé. Ce que Theodore lui offrait donc dépassait donc largement d’un joli cadeau esthétique qui lui plaisait. Plus elle fixait ce nom, sur cette page, plus l’émotion lui serrait la poitrine. Une émotion vive, de bonheur, mais qui traduisait aussi combien elle était touchée par ce geste. Le regard rivé sur le papier, elle hoqueta légèrement, trahissant un sanglot qu’elle n’avait pas réussi à retenir. - Pardon je… je ne sais pas quoi dire, tu… Elle releva son regard vers lui et referma le dossier pour croiser son regard. - Tu… tu n’as pas à faire ça pour moi c’est… c’est trop Theo… Tu m’offres déjà la liberté et la protection. Tu… tu n’as pas à aller aussi loin… Aaarh et voilà qu’une nouvelle larme s’écoula le long de sa joue. Une larme de joie, incontrôlable, qui se voyait de par l’étincelle de son regard. - Ah fichues hormones, râla-t-elle dans un léger rire en les essuyant du revers de sa main. Aardbei |
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