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#1255 -
L'amour est le plus doux des aveux


Albus n'avait jamais trop aimé les regroupements de foule et s'il avait été seul à décider, il n'aurait probablement jamais mis les pieds dans le parc, ce jour-là, alors que tout le monde y serait pour déguster les sucreries que Roxanne Taylor aller distribuer. Il ne fallait pas croire que Albus ne soit pas un peu gourmand, mais il préférait toujours sa tranquillité d'esprit et le calme d'un lieu solitaire à une fête où les gâteaux les bonbons étaient à l'honneur. Ce n'était pas vraiment de la timidité, mais il fallait reconnaître que lorsque la plupart de vos camarades s’ingéniaient à vous trouver risible, cela ne donnait pas vraiment envie de les fréquenter.

Seulement voilà, Zoé était venue lui demander de passer cette journée en sa compagnie. Et s'il y avait bien une chose qui était certaine, c'était qu'il ne pouvait absolument rien refuser à la jolie Serdaigle. Elle aurait pu lui demander absolument tout et n'importe quoi, il aurait fallu que cela entrave les valeurs du Poufsouffle pour qu'il parvienne à lui dire non. Mais bien entendu, la jolie demoiselle n'aurait jamais rien dit ou fait quoi qui soit quelque chose de mal. Elle était beaucoup trop mignonne pour ça.

Il avait donc accepté. Il a des mêmes fait l'effort de mettre une chemise dont les tons de vert rappelaient sensiblement la couleur de ses yeux, du moins, tel était l’avis de sa mère. Il fallait bien dire les choses en toute honnêteté, sans l'intervention d'un membre féminin de sa famille, il était peu probable que le jeune homme sache tout seul comment se mettre en valeur en termes d'habillement. S’il était un peu nerveux à l'idée de se retrouver au milieu de la foule de ses camarades, il se rassurait en se disant que Zoé serait là et qu’il pourrait manger plein de sucreries. Il n'était tout de même pas très à l'aise au moment où la jolie jeune fille arrivait, et même son imagination ne parvenait pas totalement à le rasséréner.

« Salut Zoé, tu vas bien ? J'espère que ça te convient comme tenue, c'est maman qui l'a choisie. »


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#1259 -


Dernière édition par Zoé Moreau le Dim 23 Oct - 14:42, édité 1 fois
L'amour est le plus doux des aveux




C’est un jour important ou Zoé a pris une grande décision. Cela fait un moment que cela tourne en rond dans sa tête et elle doit se lancer. Elle ne peut pas rester ainsi sinon elle va devenir folle. Elle a longuement hésité en se demandant comment elle allait s’y prendre. Doit-elle y aller de front et tout dire ou doit-elle le sous-entendre ? Ou alors faut il que cela passe par un acte physiquement afin qu’il ne puisse y avoir aucune ambiguïté. Cela fait quelques temps qu’elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait ainsi que ses sentiments contradictoires. Mais la lecture d’un conte de fée a été révélatrice et lui a permis d’atteindre la compréhension de ce qui se passe dans son subconscient. Elle s’est demandée si elle doit lui en parler ou si elle doit garder cela pour elle. Mais non ce n’est pas possible, il faut qu’elle lui avoue. Cela fait plusieurs jours que cela tourne ainsi dans sa tête et que de nombreuses questions surgissent. Elle en dort moins bien et a connu ses premières insomnies. Elle a donc décidé de lui parler et lui a demandé si elle peut le voir. Elle n’a pas réalisé que cela tombait pendant l’événement avec les bonbons. C’est après qu’elle s’en est aperçu mais ce n’est pas très grave. Les bonbons adouciront le choc si la réponse n’est pas celle espérée par Zoé. Elle a décidé pour la première fois de sa vie de se vêtir d’une robe. C’est une robe violette qui la met en valeur. Elle a envie d’être à son avantage alors qu’habituellement elle préfère les vêtements pratique et confortable. Elle a même mis une touche de maquillage à ses yeux. Heureusement que personne de sa famille ne la voit ainsi sinon cela lui vaudrait de multiples questions. Elle a envie de se faire belle pour lui et espère qu’il la trouve jolie. C’est bien la première fois que ce genre de considérations la traversent. D’habitude elle pense plus à des connaissances liées aux cours ou à des questionnements sur le fonctionnement ou le sens de quelque chose. Elle arrive devant Albus et s’aperçoit que lui aussi s’est habillé.

-Coucou Albus je vais bien et toi ? Tu es magnifique ainsi, cela te va très bien.

Elle rougit un peu en disant cela. Elle n’arrive pas à arrêter de le regarder tellement elle le trouve beau. Elle a envie de le prendre dans ses bras et de lui faire un câlin. Elle voudrait aussi déposer une bise mais pas sur ses joues. Elle ne doit pas oublier pourquoi elle a demandé à le voir. Il va falloir qu’elle se lance mais elle recherche le courage. Il y a tellement de possibilités qu’il ne prenne pas bien la nouvelle qu’elle va lui apprendre. Il risque de vouloir s’enfuir ou de ne plus vouloir lui parler. Elle serait tellement malheureuse si c’était le cas. Elle adore être avec lui et discuter. Elle pourrait le suivre pendant des heures dans ses rêveries. Elle aime son imagination et son côté lunatique. Elle doit arrêter de penser à tout cela. Elle l’entraîne un peu à l’écart dans un endroit tranquille et prend une grande inspiration et se lance.


-Il faut que je te dise quelque chose Albus. C’est vraiment important mais ce n’est pas simple à dire. J’ai des palpitations cardiaques ainsi qu’une forte perte d’appétit. J’ai beaucoup de mal à trouver le sommeil. Ma respiration s’est aussi accélérée et atteint des seuils critiques. Mes pupilles se sont dilatées de 45% et je sens que mon cerveau produit de l’ocytocine. Cela cause des bugs dans mon cerveau qui fonctionne moins bien et semble être parasité. J’ai également les mains moites et des sensations de suées intenses accompagnées de rougissement intempestifs. Tous ces symptômes sont passagers mais reviennent de manière régulière surtout dans un contexte en particulier.

Elle devient rouge de manière très intense mais n’est pas très sûre d’avoir été très clair. Elle ne pouvait pas lui dire simplement. Elle n’aurait jamais réussi à prononcer de simple mot. L’aspect rationnel et descriptif lui permet de prendre de la distance et donc de pouvoir expliquer. Zoé est ainsi. Elle ne sait pas parler de sentiments ou de choses de cet acabit. C’est bien pour cela qu’elle étudie énormément. Les connaissances acquises lui permettent d’avoir une culture élargie et de pouvoir s’y référer en cas de besoin. Elle n’a jamais vraiment su dire ce qu’elle ressent de manière simple. Mais il lui reste une question essentielle à poser à Albus. Elle doit le faire sinon cela continuera de tourner dans sa tête. Dire la chose n’est pas suffisante. La réponse à cette question sera essentielle et en dira long sur la suite. Elle doit savoir.

-Est-ce que tu as les mêmes symptômes Albus ?




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#2151 -
L'amour est le plus doux des aveux


Zoé était vraiment très jolie. Albus n'avait aucun regret à avoir fourni un effort de tenue, étant donné celui que son amie avait fait aussi. Ce n'était peut-être que pour manger des friandises, mais le jeune sorcier était tout simplement heureux d'avoir fourni un effort vestimentaire pour la jeune fille. Il était rare qu'il partage des moments avec seulement elle et non toute la fine équipe mais il avait l'impression qu'il fallait que ce moment soit spécial, même s'il ne savait pas totalement pourquoi il pensait ça. Il fit donc un grand sourire quand elle le complimenta sur sa tenue. Il fallait bien lui retourner le compliment.

« Toi aussi tu es magnifique. J’adore ta tenue. Ca te dit d'aller se promener et voir ce que la vendeuse de bonbons nous a préparé ? »

Il fut étonné quand, au lieu de se rendre à l'endroit où les festivités battaient leur plein, elle décida de l'emmener à l'écart. Elle tenait sûrement à lui parler sans que tout le monde l'entende mais il se demanda ce qu'elle avait de spécial à dire. Quand elle commença à lui parler de comment elle se sentait, il comprit qu'elle ne se sentait peut-être pas bien et qu'elle n'avait probablement pas envie que tout le monde sache qu'elle était peut-être malade. Il était flatté qu'elle ait suffisamment confiance en lui pour le lui avouer. Mais il était quand-même très inquiet à l’idée qu’elle puisse avoir quelque chose de grave.

« Tu ne vas pas bien ? Tu as été à l'infirmerie ? Tu crois que c'est quelque chose de grave ? »

Elle lui demanda rapidement s'il ressentait aussi les mêmes symptômes. Elle devait avoir peur que sa maladie soit contagieuse et qu'il lui arrive quelque chose. Il reconnaissait bien là la bienveillance et la gentillesse de Zoé, qui était toujours attentive à ses amis proches même quand elle était malade elle-même. C’était vraiment mignon de sa part mais elle ne devait pas s'inquiéter pour Albus parce qu'il n'avait absolument aucune sensation de mal-être ou la sensation d'être bizarre ces derniers temps. Ça allait sûrement la rassurer de savoir que lui n'était pas malade. Il avait quand même bien envie de l'emmener à l'infirmerie pour qu'elle puisse se faire soigner comme il fallait.

« Tu crois que c'est une maladie contagieuse ? Ne t'en fais pas. Je ne ressens pas de douleur ou quoi que ce soit ces derniers temps. Mais tu veux que je t'emmène à l'infirmerie ? »



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Dernière édition par Zoé Moreau le Lun 24 Oct - 21:07, édité 1 fois
L'amour est le plus doux des aveux




Elle est devenue toute rouge face à ses compliments sur sa tenue mais elle se concentre car elle doit lui dire ce qu’elle a sur le cœur. Elle a pris le parti de lui décrire les signes que cela provoque chez elle. Elle espère que cela soit assez explicite pour qu’il comprenne. Elle a du mal à mettre des mots sur ses sentiments. Il est plus facile d’être parfaitement rationnel. Les sentiments c’est quelque chose de compliqué qu’elle ne maitrise pas. Elle n’a pas envie de tomber dans l’émotionnel. Mais cela n’a pas l’air de fonctionner car il ne comprend pas du tout de quoi elle parle. Il semble réellement penser qu’elle est malade et d’ailleurs pense qu’il doit l’emmener à l’infirmerie. Il n’a vraiment rien compris à ce qu’elle voulait dire. Elle se pose des questions. Elle n’a pas été assez explicite dans son discours. Ou alors elle a été trop rationnel. C’est vrai que son Albus est un rêveur et elle devrait plus s’adresser à lui de cette façon pour qu’il comprenne la ou elle veut en venir.

-Non je n'ai pas besoin d'aller à l'infirmerie. Il faut que je te raconte une histoire Albus.

Elle prend quelques minutes pour réfléchir à ce qu’elle va dire car elle n’avait pas du tout prévu de se mettre à raconter une histoire. Mais elle a l’imagination fertile et elle connait Albus. Il lui a déjà raconté les histoires qu’il invente. Il est souvent un prince. Elle va se servir de cela car si elle entre dans son univers, cela sera plus simple de lui faire comprendre.

-Il était une fois une princesse Zoé qui est arrivé qui vivait dans un grand château dans un pays lointain. C’est une princesse rêveuse qui adore passer du temps avec ses amis qui sont au nombre de quatre. Ils ont grandi ensemble depuis leur tendre enfance. Dans ses amis, il y a celui qu’elle considérait comme son prince charmant : Albus. Elle le trouve plus beau que tous les autres et surtout elle adore être en sa présence. Elle découvrit au fur et à mesure qu’elle le considère comme son prince charmant. Un jour alors que des festivités étaient organisées au château, elle décida à lui avouer ce qu’elle ressent à son égard en espérant qu’il comprenne et qu’il partage les mêmes sentiments qu’elle. Elle est sûre que leurs parents approuveront le mariage et qu’ils pourront vivre heureux ensemble.

Elle espère que cette petite histoire lui permettra de comprendre ce qu’elle essaie de lui dire. Elle attend de voir ses réactions pour voir comment il réagit à son discours. Elle est stressée car elle ne sait pas du tout ce qu’il ressent à son égard. Owen lui a dit qu’il la dévorait du regard mais il est possible aussi qu’il ne soit pas du tout amoureux d’elle. Il la voit peut-être simplement comme une amie. Mais elle doit savoir. Elle observe attentivement les réactions d’Albus pour essayer de percevoir comment il va réagir. Elle se rappelle une discussion qu’elle a eu avec Mara sur ce qui se passerait si Albus mettait sa tête sur sa poitrine car elle voulait lui faire sentir ses abdos. Elle se dit que peut-être ainsi il comprendra ce qui se passe entre eux. Elle n’a pas envie d’attendre des heures avant qu’il ne comprenne. Elle lui murmure d’une voix tendre :

« Laisse-moi faire, fais-moi confiance »

Elle lui prend la tête et la colle pile au milieu de sa poitrine comme elle en a discuté avec Mara. Oui il lui a dit de ne pas faire cela mais elle ne sait pas trop comment lui faire comprendre autrement. Elle utilise ce qu’elle peut. Elle lui met donc la tête contre sa poitrine et espère qu’il ait vraiment des sentiments pour elle sinon il va la prendre pour une folle. Cela lui fait tout drôle d’avoir sa tête contre elle et il se passe des choses étranges en elle. Elle a une envie folle de l’embrasser et un feu intérieur s’embrase. Elle devient toute rouge et ne comprend pas ce qui se passe. Elle a envie de le coller contre elle, de l’embrasser. Elle a envie de toucher sa peau. Elle se rend compte qu’il sent bon même très bon. Elle panique un peu devant ces ressentis interne. Elle tente de se reprendre mais c’est compliqué. Elle n’a jamais ressenti cela de sa vie. Elle murmure dans un élan d’impulsivité :

-Je t’aime Albus

Mais non pourquoi elle a dit cela. Cela devient un bazar total dans sa tête. Cela lui a échappé. Elle aurait du écouter Mara et ne pas mettre sa tête sur sa poitrine. Mais pourquoi elle ressent tout cela ? Qu’est ce qui se passe en elle ? Elle a l’impression d’être une adolescente comme les autres. Celles qui sont en extases devant les garçons et qui ne pensent qu’à eux toute la journée. Zoé n’a jamais éé ainsi et d’habitude les garçons sont juste des amis. Elle n’a jamais été attiré ainsi par un garçon. Cela tourne en boucle. Son odeur reste ancrée dans son nez et elle se surprend à vouloir savoir ce qui se cache sous ses vêtements. Elle se demande s’il a des abdos ou non. Une envie de s’enfuir en courant la prend. Mais non, elle ne peut pas faire cela sinon elle ne va pas comprendre. Elle voulait lui avouer et maintenant elle va devoir attendre de voir si cela est réciproque ou non. Mais pourquoi est ce qu’elle a autant envie de l’embrasser. Ses lèvres l’attirent mais elle se retient. Non, non elle ne peut pas faire cela. Elle espère que cette fois-ci, il a compris de quoi elle parle. Elle n’ose pas lui demander si c’est réciproque. Elle a peur de la réponse en réalité. Elle craint vraiment qu’il lui dise non. Elle se demande ou si elle ne va pas lui faire peur. Elle a peut-être été un peu directe mais depuis la sortie scolaire, elle a envie d’être tout le temps avec lui. Elle ne supporte pas d’être loin de lui et surtout elle veut plus. Même si elle ne comprend pas ce qui se passe en elle.



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L'amour est le plus doux des aveux


Bon, à priori, si Zoé ne se sentait pas très bien, ce n’était pas au point d’aller à l’infirmerie. C’était déjà ça et ça rassurait un peu Albus. Mais il avait l’impression qu’elle voulait lui dire quelque chose, autre chose, elle avait l’air confuse. Y avait-il des sortilèges sur les bonbons qu’on leur avait distribués ? Était-elle sous l’influence d’un sort de confusion ? Si tel était le cas, Albus allait se plaindre à qui de droit. On n’avait pas idée d’empoisonner les honnêtes gens avec des bonbons piégés. Et la pauvre Zoé qui en faisait les frais, Albus était presque fâché.

Elle voulait lui raconter une histoire. Ça c’était le langage d’Albus, le genre de langage qu’il comprenait. Il sourit et la prit par la main avant de l’asseoir sur un petit monticule de pierre. Il l’écouta raconter son histoire et sourit en comprenant qu’elle parlait d’eux tous. Mais quand elle dit que son personnage était amoureuse d’Albus, il commença à comprendre où elle voulait en venir. Son cœur se mit à battre plus vite alors que les sentiments de Zoé lui explosaient à la figure. Oubliés, les symptômes, son esprit se mit à tourner à vive allure pour analyser ce qu’il ressentait tout en assimilant ce qu’elle lui disait.

Mais avant que son esprit puisse assimiler l’information, Zoé l’avait attrapé pour coller sa tête contre sa poitrine. Albus en fut perturbé et son cerveau se vida aussitôt pour se remplir de perplexité. Pourquoi faisait-elle ça ? Il fallait avouer que c’était confortable, une poitrine de fille, il n’aurait pas cru. Et puis, Zoé sentait bon. Il respira son parfum fleuri qui lui vida encore plus la tête. Un petit fourmillement emplit son ventre dont il ne connaissait pas la teneur, mais ce n’était pas si mal, au fond, les câlins comme ça. En revanche, le fait était qu’il était incapable de lui dire quoi que ce soit dans ces circonstances.

Et puis, il y eut ces mots, cet aveu d’amour. Albus avait compris avec l’histoire, mais c’était quelque chose de l’entendre. Ca lui fit reprendre conscience de ce qui se passait. Évidemment, il l’aimait aussi. Ce n’était pas pour rien qu’il avait fait d’elle sa princesse, il le savait, à-présent. Il était amoureux de cette jolie demoiselle avec laquelle il avait passé du temps toute sa vie. Mais il ne savait pas comment trouver les mots, alors il releva la tête et croisa son regard. Il posa une main sur sa joue et approcha son visage de celui de Zoé. Ses lèvres attrapèrent celles de la jeune fille. Comment lui dire plus clairement que ses sentiments étaient partagés ? Quand il s’écarta, il sourit, parla, et ce fut le moment du désastre.

« C’est… heu… c’était pour te dire… enfin… tu as compris… Moi aussi. »

Il passa une main dans ses cheveux, gêné. Il était sûr qu’il avait eu raison de l’embrasser, il n’avait aucun doute sur ça, pas plus que sur ses sentiments pour elle, mais il n’arrivait pas à le dire avec des mots, du moins, pas à voix haute. Du coup, il était mal à l’aise. Soudain, une question lui vint en tête, qui pourrait peut-être faire redescendre la gêne que son aveu malhabile avait provoqué. Il se posait une question et Zoé allait sûrement pouvoir éclairer sa lanterne, parce que c’était quelque chose qu’il ne comprenait pas du tout, malgré son aveu.

« Au fait… pourquoi tu m’as mis la tête là ? », demanda-t-il sans oser prononcer le mot poitrine et dont en la désignant du doigt à la place.




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L'amour est le plus doux des aveux




Elle vient d’employer tous les moyens qu’elle connait pour essayer de lui faire comprendre ce qu’elle ressent et elle espère de tout son cœur que ce soit réciproque. Elle lui a raconté l’histoire, lui a mis la tête sur sa poitrine et lui a dit qu’elle l’aime. Elle ne pense pas pouvoir être plus claire et si là, il ne comprend pas, elle ne saurait plus comment lui dire. Elle attend donc, sa tête toujours posée contre elle. Elle se sent en plus totalement paniquée, envahit par des pensées qu’elle ne comprend pas. Elle voudrait l’embrasser, le serrer très fort contre elle. Elle voudrait aussi beaucoup plus. Elle se sent toute rouge et a le cœur qui bat à toute vitesse. Elle est totalement paniquée et regrette de lui avoir dit tout cela. Elle aurait dû se taire et écouter tout le monde. Le temps semble s’étendre à l’infini avant qu’il ne réagisse. Et sa réaction fait s’éteindre son cerveau. Elle ne réalise pas tout de suite qu’il est en train de l’embrasser. Son cerveau finit par faire la connexion et elle trouve cela tellement agréable. Elle se sent bien et trouve qu’il a bon goût. C’est très bizarre comme pensée mais elle se sent vraiment bien et voudrait que ce moment ne s’arrête jamais. Et à un moment, il arrête de l’embrasser et il lui dit que c’est pour lui dire que lui aussi. Le cœur de Zoé se met à battre à mille à l’heure. Lui aussi l’aime. Cette déclaration l’a rempli d’une joie immense. Les sentiments qu’elle ressent sont réciproque. Elle n’a qu’une envie l’embrasser de nouveau. Elle touche avec douceur sa joue et rapproche de nouveau ses lèvres. Cette fois c’est elle qui prend les choses en main. Ce baiser est un pur bonheur. Elle trouve encore mieux. Ses lèvres ont un petit goût sucré et il sent tellement bon. Elle sent aussi son odeur qui envahit son nez. Elle adore son odeur et a envie d’enfouir son visage dans son cou. Ses mains voudraient descendre sur ses fesses et les attraper. Mais elle n’ose pas le faire. C’est sûrement trop tôt et surtout elle ne comprend pas ses envies. Elle n’a plus envie de parler mais juste d’être collé à lui. Alors elle se contente de prolonger ce baiser le plus longtemps possible. Elle voudrait qu’il ne s’arrête jamais mais Albus finit par le stopper. Elle le trouve bien trop loin d’elle subitement. Elle voudrait qu’il soit tout contre elle, que son corps soit enchevêtré dans le sien. Elle se mord les lèvres pour stopper ce genre de pensée. Un léger goût de sang la ramène à la réalité. Non, elle ne peut pas faire tout ce à quoi elle pense. Albus ne comprendrait sûrement pas d’ailleurs. Il semble déjà ne pas avoir compris son geste de lui mettre la tête contre sa poitrine.

D’ailleurs, il lui demande la raison de son geste. Et là, elle ne sait pas comment elle va pouvoir expliquer cela. Elle ne peut pas lui dire qu’elle l’a fait car Mara lui a dit que cela provoquerait des réactions hormonales chez lui. En plus Mara lui avait bien dit de ne pas agir ainsi et Owen lui avait dit d’y aller en douceur. Les deux garçons avaient sûrement raison mais là, elle a agit sous l’impulsion de quelque chose qu’elle ne comprend pas. Elle devient toute rouge et reste silencieuse. Cela ne semble pas avoir provoqué la réaction que lui avait décrite Mara. Et elle ne sait vraiment pas comment elle peut lui expliquer. Alors elle l’embrasse à nouveau le temps de réfléchir à comment elle peut lui expliquer. Elle voudrait s’enfuir, partir très loin pour ne pas avoir à répondre. Mais cela serait bien trop facile. Elle est envahi par des choses qu’elle ne comprend pas mais elle doit assumer ce qu’elle a provoqué. C’est elle qui a déclenché cette discussion et fait absolument tout ce qu’on lui avait déconseillé de faire. Elle va donc devoir répondre mais pour l’instant elle profite de ce troisième baiser et de toute la saveur qu’il a. Elle découvre qu’elle adore embrasser même si à chaque fois, cela multiplie les pensées étranges qui lui envahissent le cerveau. Elle se sent vraiment bizarre et a un rythme cardiaque très élevé. Elle a vraiment très très chaud mais aucune envie que ce temps s’arrête. Pourtant, elle sait qu’elle ne peut pas rester ainsi. Elle lui repousse tendrement le visage et prend son courage à deux mains. Elle tente un tri entre son envie de fuir, et toutes ces pensées inconnues.

-Je me suis dit que peut-être cela te ferait prendre conscience de ce que tu ressentais pour moi. Je suis désolé je crois que c’était très maladroit de ma part mais je ne savais pas comment te faire comprendre mes sentiments. J’ai cru qu’en faisant cela, tu ressentirais des choses envers moi. Mais je suis tellement heureuse que tu partages ce que je ressens Albus.

Et elle l'embrasse à nouveau. Par contre, elle va avoir besoin d’aide pour comprendre ce qu’elle ressent. Elle va devoir trouver quelqu’un pour lui expliquer ce qui se passe en elle. Elle a bien conscience que cela ne peut pas être Albus qui doit être encore plus perdu qu’elle. Elle le voit bien à son visage et à ses réactions. Elle pense à Mara qui doit s’y connaitre plus qu’elle à ce sujet. Mais il n’est pas le temps de penser à cela. Elle est avec Albus et ne peut pas s’enfuir comme ca. Pourtant, elle en aurait tellement envie. Elle est terriblement gênée par les pensées qui lui trottent en tête. Elle doit poser une question très importante à Albus. Cela lui trotte en tête alors elle va lui demander. Elle n’est plus à ça prêt après tout ce qui vient de se passer. La question peut paraitre basique mais elle est essentielle aux yeux de Zoé à cet instant. Cela va en dire long sur la suite. Elle stoppe délicatement le baiser pour lui demander:

-Est-ce que cela veut dire qu’on est ensemble Albus ?





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L'amour est le plus doux des aveux


Embrasser Zoé n’était pas du tout comme il l’avait imaginé. Il avait toujours vu ça comme un geste curieux, pas forcément agréable, qu’on faisait quand on ne savait pas dire je t’aime, parce qu’il fallait bien se faire comprendre d’une personne envers qui on avait des sentiments. C’était quelque chose qu’on faisait parce qu’il le fallait, voilà l’image que Albus en avait jusqu’au moment où vint le moment de partager ce moment avec Zoé. Ce ne fut qu’en posant ses lèvres sur celles de la fille dont il était amoureux qu’il comprit une réalité qu’il n’avait jamais imaginé, que cela était agréable.

Ses lèvres étaient douces et délicieuses et ses baisers faisaient vibrer le cœur d’Albus. Quand elle répondit à son baiser par un autre, du même ordre, et que leurs lèvres se joignirent à nouveau, le jeune homme ne put que l’enlacer sans penser à rien d’autre que la texture douce de ses lèvres, leur goût fruité. Son cœur battait la chamade tandis que leurs lèvres jouaient ce mystérieux ballet dont Albus n’avait jamais vraiment compris le sens et le but. Il suffisait pour autant qu’il se laisse ressentir pour comprendre la chaleur que tout ceci était censé procurer et son cœur se ravissait de cette découverte.

Mais une question lui demeurait. Il se demandait toujours pour quelle raison elle lui avait posé la tête sur sa poitrine. Il ne savait pas ce qu’on était censé ressentir à cet instant. Il lui avait bien semblé ressentir quelque chose, mais ce que c’était, il n’en était pas sûr. Étonnamment, au lieu de répondre, elle l’embrassa à nouveau. Il aurait pu se demander ce que cela voulait dire, mais son cerveau n’en avait plus rien à faire des questions qu’il pouvait bien se poser. Quand elle relâcha ses lèvres, il était dans un tel état d’hébétude qu’il ne se rappelait qu’à moitié la question qu’il avait posée à la jeune fille.

Elle lui expliqua quand-même ses intentions, mais elle avait apparemment l’impression d’avoir commis une erreur. Albus n’en était pas certain. Il avait été déconcerté par son attitude, mais il n’en avait pas souffert et il ne lui en voulait pas. Elle méritait qu’on prenne soin d’elle et la façon dont elle avait envie de lui dire qu’elle était amoureuse de lui ne changeait rien à cela. Il lui sourit tendrement quand elle se dit heureuse qu’il partage ce qu’elle ressentait. L’amour partagé était toujours le plus précieux des cadeaux. C’était un cadeau qu’il avait envie de lui faire autant que de recevoir d’elle.

« Ne t’en fais pas. Ca ne fait rien, j’ai compris et oui, je ressens la même chose que toi. »

Il était un peu moins mal à l’aise, mais il n’arrivait pas encore à dire franchement des mots d’amour, alors que les écrire ne lui poserait aucun problème. Son sourire s’acheva sur un nouveau baiser. Mais il ne se lassait pas de ses lèvres. Il comprenait pourquoi bien des personnes trouvait cela agréable, mais il n’avait envie d’embrasser personne d’autre que la Serdaigle. Sans-doute le cœur y faisait-il beaucoup. Pour que ce soit agréable, il fallait que ce soit la personne qu’on avait envie d’embrasser, et pas n’importe qui. Personne ne ferait pétiller son cœur comme il était en train de pétiller actuellement, il en était persuadé.

Elle lui demanda alors s’ils étaient ensemble. Albus éprouva, à ce moment-là, l’envie de diminuer la tension et le malaise qui semblait faire partie intégrante de l’aveu tendre de sa Zoé. Un sourire facétieux aux lèvres, il attrapa Zoé et la fit monter sur le monticule de pierre sur lequel il s’était assis un instant auparavant. Un genou à terre, une main sur le cœur, dans une position exagérée de chevalerie, Albus répondit à sa question avec une grandiloquence qui était digne d’une de ses histoires imaginaires de chevalerie. Évidemment, le but premier était de la faire rire avant même que de la séduire.

« Mais pour vous conquérir, gente princesse, je dois d’abord vous sauver de cette tour, et pour cela, pourfendre le dragon qui vous tient sous sa surveillance ! C’est pour vous, ma princesse, que je vais risquer ma vie », affirma-t-il en baisant sa main.

Toujours avec exagération, il se para d’une branche de bois et commença à se battre avec le vide en faisant le pitre, il tournoya brandit le bâton, le tendit, bougea encore, avant de se retourner vers un arbre qui se trouvait là par hasard.

« Ah ah ! Te voilà vile créature, je vais te pourfendre pour l’amour de ma princesse ! »

Il poussa le bout du bâton contre le tronc de l’arbre avant de le lâcher et de bondir de joie comme s’il venait effectivement de triompher d’un adversaire redoutable. Il se précipita auprès de Zoé et remit un genou en terre avant de lui prendre à nouveau la main.

« Hourra, mon amie, le monstre est vaincue, vous êtes libre ! Accepteriez-vous de combler mon cœur en m’accordant un doux premier baiser d’amour ? »



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#2463 -
L'amour est le plus doux des aveux



Plein de choses viennent de se passer en peu de temps. Révélation de ses sentiments à Albus, découverte des effets de coller sa tête contre sa poitrine. Alors elle se sent perturbée, envahie par des sentiments contradictoires. La joie que ce soit partagé par Albus mais en même temps l’incompréhension des envies qui se sont éveillées en elle. Elle a voulu fuir mais est resté. Elle ne sait pas trop ce qui la retient d’ailleurs. Assumer d’avoir déclencher cette déclaration et d’avoir réagi comme Mara et Owen lui avait dit de surtout ne pas faire. Elle a été emportée par une pulsion inconnue et qui a pris le dessus sur sa capacité de réflexion. Elle a donc dû s’expliquer auprès d’Albus même si elle a tenté de retarder ce moment le plus possible. La découverte du bonheur de l’embrasser a été bien plus forte. Elle a voulu y retourner. C’est incroyable d’embrasser celui qu’elle aime et elle a aucune envie de s’arrêter. Ce baiser est merveilleux : tendre et passionné. C’est leur première fois à tous les deux et pourtant cela semble tellement naturel. Elle ne réfléchit pas, elle agit par instinct comme si c’était inné de savoir embrasser quelqu’un. Elle se demande tout de même si c’est parce qu’elle est avec son amoureux ou si ce serait ainsi avec tous les garçons. Elle n’a aucune envie de tester en réalité. Le seul dont elle a envie de toucher ainsi les lèvres c’est Albus. C’est peut-être ainsi que l’on sait quand on aime quelqu’un : quand on a envie de l’embrasser. La différence entre amitié et amour se situe peut-être là. Maintenant qu’elle a d’autres éléments, elle reprendra cette discussion avec Owen pour avoir son avis à ce sujet. Elle a fini par expliquer la crainte au ventre. Elle a peur de le faire fuir. Owen lui a bien dit que c’est un garçon sensible et qu’elle ne doit pas l’effrayer. Ils vont forcément lui dire qu’ils l’avaient prévenus et ils auront bien raison.

Albus la rassure en lui disant de ne pas s’en faire et qu’il ressent la même chose pour elle. Elle se sent soulagée que ce soit réciproque et qu’en plus il reste. Il se montre plutôt compréhensif et courageux. Il l’embrasse à nouveau et elle est aux anges enfin sauf qu’il l’enlace et que cela provoque de nouvelles envies. Elle aimerait bien que ses mains ne soient pas sur le vêtement mais en dessous. Elle se demande quelle sensation cela procurerait de sentir ses mains sur sa peau nue. Elle n’ose pas l’enlacer et garde sagement ses mains dans son dos. Elle se tient les mains dans le dos pour résister à l’envie de le serrer contre elle et de glisser ses mains sous ses vêtements. Elle a une envie folle d’aller caresser ses fesses. Elle profite qu’il se recule pour se mordre la lèvre afin de lutter contre ses envies. Un léger goût de sang envahi sa bouche mais au moins elle reste dans la réalité. Il la fait monter sur un monticule et il joue au prince qui doit la sauver. Elle trouve cela mignon et cela la fait sourire mais cela lui pose un léger souci. Elle n’est pas une princesse qui a besoin d’être sauvé par quelqu’un d’autre. Elle est une guerrière enfin elle le devient et refuse de laisser sa protection reposer sur un homme. Elle n’endossera donc pas ce rôle en restant sagement en haut de son monticule. C’est elle qui protège ses frères et sœurs et elle compte bien le faire avec Albus aussi. Elle descend donc de son monticule de pierre un air déterminé dans les yeux.

-Je vais me battre avec vous prince Albus, je suis une princesse guerrière et nous allons combattre ensemble. Désormais nous affronterons tous ensemble l’un à côté de l’autre et je vous protégerais autant que vous le ferez mon prince. Ne comptez pas sur moi pour rester en arrière et attendre sagement votre retour alors que vous mettez votre vie en péril.

Quand elle parle, elle a une flamme qui embrase ses yeux. Elle prend un bâton de bois et le manie aux côtés d’Albus pour combattre la créature à affronter. Elle l’aida à combattre la créature imaginaire en se servant un peu de l’entraînement de Mara. Alors il ne lui a pas appris à combattre avec une arme mais ses mouvements sont aisés. Elle ne s’emmêle pas du tout les pinceaux contrairement à avant. Il est évident de voir une différence même si Albus ne peut pas comprendre pourquoi. Ils triomphent ensemble du dragon et quand il s’agenouille devant elle, elle le fait relever. Ils sont égaux et elle n’a pas besoin d’être traité ainsi. Ils vont revoir ensemble les histoires de princesse et les adaptés pour correspondre à leurs valeurs à tous les deux. Elle n’a aucun souci qu’il se raconte des histoires ainsi et elle est prête à le suivre tant qu’elle n’est pas une princesse à sauver.

-Ne t’agenouille point devant moi, nous sommes égaux mon prince et nous triompherons ensemble de tous les dangers qui croiseront notre route. Nous avons vaincu ensemble ce dragon et nous méritons mutuellement ce baiser.

Elle l’embrasse tendrement toujours en ayant les mains bien sagement dans le dos. Il est hors de question que Zoé soit une princesse qui doive attendre sagement dans sa tour que quelqu’un la protège. C’est bien pour cela que Mara l’entraine d’ailleurs. Elle est sûre d’ailleurs qu’il n’apprécierait que moyennement qu’elle soit une princesse qu’il faille protéger. Il lui apprend justement à être capable de se défendre et de protéger par ses propres moyens. Pour qu’elle puisse protéger ses proches également et qu’ils ne soient pas en danger avec elle. Ce n’est pas Albus qui va la protéger et elle est tout à fait capable de le faire par elle-même. S’il veut être avec elle, il va devoir se mettre cela dans la tête. C’est Zoé qui protège les autres et non pas le contraire. Elle continue de l’embrasser et n’a aucune envie que ce moment s’arrête.





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L'amour est le plus doux des aveux


Ce que Albus préférait chez Zoé, c'était sa capacité à le suivre dans ses débordements et dans ses histoires. Elle n'allait pas le traiter de fou parce qu'il leur inventait une histoire. Non, elle préférait prendre sa place dans cette histoire, même si ce n'était pas exactement celle que Albus pensait qu'elle prendrait. Zoé ne pouvait pas rester sur le monticule à attendre qu'on se batte pour elle. Ce n'était pas pour rien que ce n'était pas elle que Albus mettait dans le rôle de la princesse quand il pensait à son groupe d'amis dans ce genre d'histoire. Zoé ne voulait pas qu'on la protège, mais elle prenait soin des autres, même si c'était de manière un peu plus réfléchie et un peu moins tête brûlée que ne le faisait Anne.

D’ailleurs, c'était une chose qui plaisait à Albus que sa Zoé soit une femme courageuse et intelligente. C’était pour cette raison aussi qu'il était tombé amoureux d'elle. C’est pour cela qu'il la laissa entrer dans le jeu de la manière qui lui plaisait, et non pas de celle que Albus avait voulu dessiner pour elle, alors que ce n'était pas son style. Jamais Albus ne s'offusquerait de ce genre de choses car, entre les deux, s'il en était un qui était prêt à laisser l'entier contrôle de sa vie à l'autre, c'était bien le Poufsouffle qui avait appris depuis longtemps qu'il était dangereux de se frotter à Zoé et à Anne.

« Prenez donc le flanc gauche, ma mie, pendant que j'attaque notre ennemi à son flanc droit. Il ne pourra plus nous échapper. »

Albus ne la regarda pas vraiment, car le but dans un combat commun était plutôt d'être complémentaire que de se regarder l'un l'autre, mais il arriva quand-même à constater qu'elle ne semblait pas avoir de problème pour se battre. Il ne lui connaissait pas cette ardeur au combat il se demandait où elle l'avait apprise. Quand leurs deux bâtons frappèrent l'arbre, désigné comme le dragon à affronter, Albus bondit de joie comme s'ils venaient d'accomplir ensemble un exploit incommensurable. Il avait bien l'intention de jouer le jeu jusqu'au bout.

« Hourra, le dragon est vaincu. Vous et moi, ma douce et sage stratège, rien ne peut nous résister. »

Toujours dans son esprit de prince, Albus s'agenouilla pour dire à sa belle combien il l'aimait et l'admirait. Il se serait mis à ses pieds sans aucune difficulté, non pas seulement dans son imaginaire de prince mais également dans la plus stricte réalité. Il était convaincu que celle qu'il aimait méritait toutes les attentions et tout le soin que l'on offre à une personne qu'on aime. C’était pour cette raison qu'il avait la certitude d'agir comme il le devait en lui offrant son amour sa dévotion et tout ce que contenait son cœur pour elle. C’était son aveu de pur amour sans aucune limite.

Mais Zoé le releva pour lui signifier qu'ils étaient égaux et qu'il n'avait pas à s'agenouiller devant elle. C’était un respect qu’il lui témoignait dont elle ne voulait pas. Il était prêt à lui donner sa vie, mais plus encore, à le faire de la manière qui lui conviendrait à elle et non de la façon dont tout le monde le faisait, comme si c'était ce qu'il fallait faire parce que tout le monde avait toujours fait comme ça jusqu'à présent. Il partagea donc un doux baiser avec elle en ayant tout à fait conscience qu'il avait de la chance d'avoir quelqu'un d'à la fois aussi fort et aussi rêveur que lui pour l'aimer.

« Nous vaincrons ensemble tout ce qui pourra chercher à se mettre entre nous et notre bonheur et c'est parce que nous sommes ensemble que nous triompherons toujours. C’est ça la magie de notre histoire à nous, ma Zoé. »




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L'amour est le plus doux des aveux



Une déclaration d’amour à la Zoé, un échange de baiser et un refus d’être une princesse à secourir. Si après cela, il ne s’est toujours pas enfui c’est qu’il tient réellement à Zoé. Et effectivement, il est toujours là et même il prend en considération les souhaits de Zoé. Il lui propose de venir combattre à ses côtés. Albus a cette capacité à s’adapter aux désirs de Zoé et d’ailleurs il la laisse plus souvent le protéger que l’inverse. Leur histoire renverse une partie des stéréotypes machistes. Zoé n’est pas le genre de femme qu’il faut sauver mais plutôt celle qui veut protéger les autres. C’est elle qui aide ses amis et les protège. C’est pareil pour ses frères et sœurs. Sûrement car elle est l’aînée de la famille et cela est son rôle depuis sa tendre enfance. Mais elle n’en est pas à toutes ses réflexions. Elle est juste subjuguée par sa beauté et envahie d’idées qui la perturbent au plus haut point. Le combat lui permet de garder une certaine distance avec Albus. Plus elle est loin de lui, moins elle a envie de le déshabiller. Ils arrivent à vaincre ce dragon fictif avec facilité. En même temps, ensemble rien ne peut leur résister. Suite à cela, il s’agenouille. Elle lui indique immédiatement qu’elle souhaite l’égalité entre eux. Elle ne veut pas que quelqu’un s’agenouille à ses pieds. Elle a envie qu’il soit à la même hauteur qu’elle et qu’ensemble, ils affrontent tout. Le baiser qui suit est tellement doux et agréable. Mais en même temps, de nouveau, elle sent l’envie de lui retirer son haut qui devient de plus en plus pressante. Elle ne comprend pas pourquoi mais elle a envie de caresser son torse. Ce baiser doit vraiment s’arrêter sinon, elle va finir par lui arracher son haut sans trop bien comprendre pourquoi. Elle arrête doucement le baiser et le regarde en souriant.

-Oui ensemble nous triompherons toujours Albus. Je t’aime.

Elle lui dépose un nouveau baiser mais elle ne le prolonge pas sinon elle ne va pas résister à ses envies naissantes. Elle s’éloigne de nouveau de lui et le regarde avec douceur. La fin de l’animation est annoncée et elle avoue que cela la soulage. Elle a une très bonne raison de s’éloigner.

-La cloche de la victoire résonne et nous appelle à rentrer au château pour célébrer notre victoire héroïque. Retournons ensemble jusqu’au château en héros victorieux et emportons une preuve de notre victoire afin de pouvoir l’exhiber ce soir lors du banquet.

Zoé attrape une feuille qui symbolise la tête du dragon et la brandit en direction d’Albus. Elle prend sa main et rien que ce contact provoque un courant électrique dans l’ensemble de son cœur. Elle rentre ainsi vers le château empli de sentiments mêlés. Elle se sent heureuse d’être avec lui et aurait presque l’impression d’être une princesse guerrière revenant victorieuse d’un combat accompagné d’un valeureux chevalier. Ils rentrent ainsi jusque devant la salle commune des Poufsouffle où elle l’embrasse une dernière fois pour lui dire au revoir. Une fois, ce tendre baiser, ils partent chacun dans une direction. Elle tente de rester naturelle tant qu’elle est dans son champ de vision, mais une fois qu’elle en est sortie, elle presse le pas. Elle doit trouver Mara. Elle a besoin de comprendre ce qui se passe en elle. Elle part donc à sa recherche.






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