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#746 -


L'Occlumentie

feat Maelya



La Legimencie est un art que l’on travaille à vie. Je suis certes Legimen et Occlumen, mais je ne n’ai jamais travailler sur le premier. Savoir ce que pensent les gens ne m’intéresse pas. C’est donc pour ça que je me suis concentré uniquement sur l’Occlumentie. Mais j’ai suffisamment de base pour entraîner ma fille à résister à mes assaut.
Nous avons beaucoup travaillé cet été sur la théorie. Maelya connaît les termes, les tenant et aboutissant et normalement elle a aussi fait les quelques exercices que je lui ai conseillés.

Il est vingt et une heure, nous sommes le deux septembre et j’ai donné rendez-vous à ma fille pour un cours particulier. Je suis dans mon bureau quand elle arrive enfin. Je me lève et je vais l’enlacer en embrassant le haut de sa tête avec une certaine tendresse. Je lui montre alors le siège que j’ai installé pour qu’elle s’installe confortablement. Dessus emballer dans du plastique transparent. La robe qu’elle voulait. Je me suis un peu ruiner, mais je me suis dit qu’elle le méritait.

Je la laisse ouvrir sa robe et je la laisse réagir en souriant face à ce spectacle. J’attends ensuite qu’elle se calme et je prends la parole.

« Bien. Tu as fait tes exercices ? Ça va être important, car ce soir, je vais entrer dans ta tête… Si tu as des choses à cacher je te conseil des avoirs fait »

J’allais donc avoir accès à certaines de ses pensées. Vu mon niveau faiblard en Legimencie, je n’aurais accès qu’a des choses récentes, pas des choses enfouie en elle depuis des années. Donc, au pire, je vais sûrement connaître sa dernière bêtise.
Je m’assois sur mon bureau et je tend ma baguette vers elle quand elle est prête pour faire un premier jet vers son esprit.
Je me concentre autant que possible, alors qu’un brouillard m’envahit l’esprit. J’entends des voix, du bruit et rapidement, les couloirs du château se dessine. J’observe et je vois quelques visages, puis rapidement, je sors de sa tête. Mon manque d’entraînement ne me permet pas de rester trop longtemps. Je regarde alors Maelya et j’annonce.

« Un peu plus de résistance ma fille… Sinon je vais vite voir quel est ta dernière bêtise »

Je braque à nouveau ma baguette sur elle et je recommence. Le décor est déjà planté et je repère un visage. Borealis. Je les vois avec leur défis qui a déjà valus des sanction à Maelya



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#853 -
Cet été a été plus animé que d’autres. Mon père s’est bien sûr occupé de ma sœur aussi mais il en a aussi profité pour commencer le cours particulier. Avant les vacances, il m’avait proposée de m’apprendre l’occlumancie et j’ai bien évidemment accepté. C’est l’occasion de passer enfin du temps avec mon père et d’apprendre quelque chose que d’autres élèves ne connaîtront jamais. Je pourrai réaliser des prouesses plus grandes. Bref du coup durant l’été, mon père s’est chargé de m’apprendre la théorie et de me refourguer des exercices à faire. Et aujourd’hui, on passe à la pratique. C’est la partie que j’attendais le plus. Je ne suis pas faite pour n’avoir que la théorie. Il me faut de la pratique sinon je finis par me lasser.

À 21h, j’ai donc rejoint mon père dans son bureau pour passer à la meilleure partie du cours. Lorsque j’arrive, nos retrouvailles débutent par une étreinte affectueuse. Je me dirige ensuite vers le siège qu’il me montre et enlève la robe qui était posée dessus. Je suis contente parce que même si je n’ai pas été si sage que ça, il me l’a quand même payée. Finalement il a été plus conciliant que je ne l’aurais pensé. Je le remercie donc pour la robe en souriant, accrochant la tenue sur un porte-manteau puis m’assieds enfin sur la chaise.

- Oui j’les ai fait. J’suis peut-être une casse-couille de première mais j’suis plus studieuse que tu ne le crois.

Ouais enfin même en ayant fait les exercices et en étant douée, je me doute que ce ne sera pas une réussite dès le premier essai. Honnêtement si c’était le cas, ça me surprendrait moi-même. Mais ça tombe bien, j’aime bien quand c’est compliqué. Si c’est trop simple, ça m’ennuie vite.

Lorsque mon père lance son premier sort, j’essaie autant que possible de bloquer mon esprit mais je ne vais pas mentir, je douille. Il aurait pu m’avertir que la légilimancie était presque comparable à une putain de migraine qui prend d’un seul coup. On dirait une technique de torture. À cause de ça, je n’ai même pas réussi à bloquer mon esprit et mes premières pensées ont été les dernières bêtises que j’ai faites avec Owen avant les vacances. C’était marrant en plus de faucher les objets partout pour notre défi même si après il a fallu les rendre. Je m’amuse bien avec lui mine de rien.

Le sort prend fin et ma main se pose instinctivement sur mon front alors qu’une grimace s’affiche sur mon visage. Ouais ouais plus de résistance hein ? Son truc est violent pour le cerveau bordel !

- T’aurais pu me dire que ton sort serait aussi violent !

Et ça recommence. Il ne me laisse même pas de temps de pause. Je tente tant bien que mal de résister mais je douille quand même bien plus que je ne l’avais imaginé. Pendant de longues minutes je subis les assauts de mon père qui pénètre mon esprit à intervalles régulières. Il me fait aussi des remarques pour m’aider à m’améliorer mais avec mon peu de patience, je râle quand même.

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#940 -


L'Occlumentie

feat Maelya



La robe à plus à Maelya, j’ai été sympa, car techniquement elle ne la mérite pas à cent pour cent. Elle a fait pas mal de bêtises, mais ses résultats sont bons en ce début d’année. Je la laisse donc accrocher la robe et je lui demande si elle a bien étudié en vacances. Je souris à sa réponse, puis je commence.
Je m’immisce donc dans sa tête et la première chose que je vois, c’est le visage de Borealis son ami de compétition. Pour moi, ce Serdaigle est une bonne fréquentation pour elle, mais je suis surpris de voir qu’il à chipé dans ma réserve même s’ils ont rendu les objets. Lorsque je sors enfin de sa tête, je la regarde se maintenir le front. L’Occlumentie n’a rien de facile, elle va devoir apprendre à être patiente.

Elle me répond et je garde le silence pour ne pas influencer son esprit. Je retourne alors dans sa tête et je fais cela durant une bonne trentaine de minutes. Je m’arrête ensuite pour éviter de lui faire exploser le cerveau. Je me lève et je vais dans mon placard prendre deux bierraubeurre et je lui donne une bouteille. D’un coup de baguette, je les refroidis et je m’assois à mon bureau en buvant une gorgée. Puis je lui dis.

« C’est normal de ne pas y arriver tout de suite. Mais je voulais que tu sentes l’effet que ça fait quand quelqu’un entre dans ta tête. Je ne suis pas un adepte de la Legimencie, c’est pour ça que tu as aussi mal quand j’entre. Un vrai Légiment lui pourra entrer sans que tu le saches. Il pourra écouter tes pensées aussi, alors apprend à vider ta tête de pensée Maelya, c’est ça la clef pour réussir à m’éjecter de ta tête. »

Je bois une autre gorgée et mon esprit vagabonde un peu. Il y a quelques jours, j’ai eu une aventure avec une collègue qui est aussi une ancienne élève. Elle me fuit comme la peste maintenant, mais du coup, je me pose pas mal de question. Comment mes filles le prendraient si je venais à refaire ma vie ? Je me mordille la lèvre inférieure et je me lance.

« Dis-moi chérie… J’ai une question à te poser. »

Je bois une nouvelle gorgée et je me lance.

« Le divorce est récent, mais… ça va faire un an alors je me dis que… Bah, peut-être, je devrais recommencer à sortir un peu, rencontrer des femmes. Comment tu le prendrais toi si je venais à avoir une petite amie ? »

Ma question est sérieuse. Mes filles sont ce que j’ai de plus chère et je ne me vois pas leurs faire du mal en refaisant ma vie. Certes au moment où je pose ma question je ne pense pas à Erin, mais je me dis que mon dérapage avec elle a été plaisant alors si je venais à déraper avec une femme et à m’attacher… Bref, j’attends alors la réponse de ma fille.




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#953 -
S’il m’avait dit tout de suite que ses intrusions feraient autant douiller, je me serais encore mieux préparée. Je suis sûre qu’il l’a fait exprès juste pour se venger d’un truc. Ou c’est pour lui donner une occasion de se foutre de ma gueule. Ou c’est simplement par pur sadisme. Enfin bref je tente de résister autant que possible mais quelques pensées se fraient tout de même un chemin à travers mon esprit.

Il sort de ma tête et même s’il n’est pas resté longtemps – je crois – ça m’a déjà épuisée. Une courte pause et nous voilà repartis pour un tour. L’exercice dure plusieurs minutes durant lesquelles je me fais torturer l’esprit par mon propre père. Je crois que ça n’a duré qu’une trentaine de minutes mais j’ai l’impression d’avoir subi tout ça durant des heures. De trop longues minutes qui m’ont fait râler.

À la fin du cours particulier, mon père me refile une boisson et je la sirote petit à petit. Ca fait du bien d’avoir mon cerveau qui n’est plus attaqué par le prof de potion. Je dois apprendre à vider ma tête. Le hic c’est que c’est le truc dont j’ai le plus de mal à faire.

- Ca va être marrant les prochains cours particuliers…

Je bois encore quelques gorgées en fixant mon père. J’hausse un sourcil sans le lâcher du regard. Il m’a l’air bien songeur d’un seul coup. Dommage que je ne connaisse pas le sort de légilimancie. Ca m’aurait été bien utile là pour savoir à quoi il pense. Mon intérêt s’éveille un peu plus lorsqu’il dit vouloir me poser une question. Qu’est-ce qu’il a à me demander ? J’ai fait un truc qu’il n’a pas apprécié ? C’est en rapport avec ce qu’il a pu voir dans mon esprit ? C’est quelque chose que j’aurais fait ou dit à un prof ?

Ah non. Rien de tout ça apparemment. En fait il songe juste à se remettre en couple un jour. Attends… Quoi ?! Depuis quand il veut retrouver une femme ? D’un autre côté, c’est vrai que le divorce date déjà. Mais comment je le prendrais si mon père se trouvait une nouvelle petite-amie ? Je ne sais pas trop. J’aime beaucoup ma mère et j’ai très mal pris le divorce, c’est vrai mais je veux aussi que mon père soit heureux.

- C’est dur à dire. J’pense que ça dépendrait de comment est la petite-amie.

Un petit sourire moqueur s’affiche soudain sur mon visage après avoir bu une nouvelle gorgée.

- Si tu me poses cette question, j’imagine que c’est parce que t’as déjà trouvé une femme avec qui tu entretiens une relation de couple ? Ou alors c’est parce qu’il y en a une qui t’intéresse particulièrement. Alors, c’est quiiiiiii ? La prof de vol ? Hum non, t’as pas l’air vraiment proche d’elle. Oh ! La prof d’histoire de la magie peut-être ! T’es bien plus proche d’elle que de n’importe quel prof !

Si ce n’est pas elle, ça doit être une femme rencontrée à l’extérieur de Poudlard. Ca commence sérieusement à m’intriguer cette histoire en fait. Mon père, le prof sévère qui ne passe pas assez de temps avec moi, finit par se trouver une nouvelle petite-amie. Ca mérite une petite enquête de ma part.

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#985 -


L'Occlumentie

feat Maelya



Il faut souffrir pour être belle, mais c’est aussi valable pour la force. Il faut souffrir pour être forte. Maelya veut devenir une puissante sorcière. Elle à la chance d’avoir un père Oclument et une mère Légiment. Alors autant dire qu’elle avait ce qu’il fallait pour devenir aussi puissante que Voldemort.
J’offre une boisson à ma fille après ce cours compliqué. Je ne lui avais volontairement rien dit sur la douleur, car je voulais qu’elle comprenne que ce genre de chose était dur à apprendre quand on ne naît pas avec . Je ricane à sa réponse en sirotant ma boisson et je réfléchis. Mon dérapage avec Erin m’a ouvert les yeux sur un point. Depuis un an, je suis un solitaire et cela m’a beaucoup changé. La preuve Maelya m’a dit que je m’occupais moins d’elle, que j’étais devenue très exigeant alors je me dit que même si Erin et moi ne sommes pas ensemble, envisager de refaire ma vie avec quelqu’un est un sujet que je dois envisager avec mes filles. Je questionne donc celle qui me semble la plus compliqué sur ce sujet.

Je suis surpris de sa réponse. Mais voilà qu’elle me questionne ce qui me fait sourire. Depuis combien de temps n’avons-nous pas eu de moment du genre. Je réponds alors en souriant.

« Je n’ai personne. J’ai eu disons une aventure d’un soir et cela m’a fait me poser des questions. C’était agréable et je me dit qu’il est peut-être tant que je pense un peu plus à moi qu’à mon boulot. »

Je soupire et je me frotte la nuque en regardant Maelya. Puis je lui confie.

« Tu sais Maelya… Dans un divorce, on a chacun notre part. Ta mère certes m’a trompé et je lui en veux de ne pas avoir été honnête. J’aurais préféré qu’elle me quitte et ensuite qu’elle refasse sa vie, j’aurais compris et cela aurait facilité beaucoup de chose. »

Je perds mon sourire et je continue.

« Je n’ai pas été un excellent mari. Quand vous êtes entré à Poudlard, je me suis jette corps et âme dans mon travail et j’en suis heureux, car j’ai pu continuer d’être au prés de ta sœur et toi. Mais j’ai aussi beaucoup délaissé ta mère, je n’ai pas sue entendre son appel à l’aide dans sa solitude. Alors si je dois refaire ma vie, je vais devoir faire de gros efforts pour être à l’écoute de la prochaine. Mais je tiens aussi à ce que tu comprennes… Que je vais aussi tout faire pour ne pas laisser ta sœur et toi de côté à cause de mon travail comme je l’ai fait cette année. »

Je me penche vers Maelya et je lui caresse doucement la joue en ajoutant.

« Alors une fois par semaine toi et moi, on a notre cours particulier ici et tous les samedi après-midi, je réserve pour ta sœur et toi. On fera ce que vous voulez, mais c’est notre moment à nous trois et personne d’autre. »

J’espère que ma réponse lui convient et ma proposition aussi. Il me semblait important pour moi d’expliquer à ma fille que sa mère n’était pas la seule fautive dans cette histoire même si certes, c’est elle qui à commis l’irréparable.


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#1003 -
Bon sang, je crois que je n’ai jamais été aussi heureuse d’avoir une pause. J’aime apprendre et je sais qu’il faut parfois en subir les contrecoups mais là, je ne m’attendais pas à ça. Je déguste donc ma boisson avec le sentiment de l’avoir réellement méritée celle-là. Pas parce que j’ai été sage mais bien parce que j’ai besoin d’un petit « remontant » après ce premier cours. Je vais devoir prévoir quelques trucs à grignoter ou à boire à l’avenir.

Mon père évoque ensuite un sujet totalement sans rapport avec le cours. Il songe à refaire sa vie apparemment et souhaite connaître mon avis. Moi tant que la femme le rend heureux, j’imagine que ça me suffira. Enfin je ne sais pas. Je n’ai jamais réellement réfléchi à la question alors je ne sais pas exactement comment je le vivrais en réalité. Je sais toutefois que si la personne risque de mettre en péril la joie de mon père, je mettrai tout en œuvre pour la faire fuir.

J’en profite quand même pour narguer mon père parce que vu toutes les critiques que je me prends depuis longtemps, si j’ai l’occasion de plaisanter et de le faire chier sans qu’il me réprimande, je compte bien ne pas la laisser passer.

- Il t’a fallu une aven… Putain t’en as mis du temps pour comprendre qu’il n’y a pas que ton boulot dans la vie.

Et je ne dis pas ça à cause des nombreuses remarques que je me prends, ni à cause du fait qu’il a eu du mal à allier vie de famille et vie professionnelle. Je dis ça uniquement parce que c’est la vérité, il a du mal à penser à autre chose que son travail. Dès que je le vois c’est pour des cours ou on parle de l’année scolaire. Dès qu’on a des vacances, il a sortir un peu de son rôle de professeur mais il a quand même du mal à ne pas y penser.

- On pourra sortir loin de Poudlard aussi ?

J’ai complètement zappé le reste. Pour moi c’est évident qu’ils sont tous les deux coupables dans leur divorce. L’un n’a pas été assez présent et l’autre a commis l’adultère. Pour moi l’un est plus en faute que l’autre mais ça, ça ne changera pas ma relation avec eux. Je les aime tous les deux, c’est tout. Je me mets à rêvasser légèrement, songeant à une théorie qui me trotte en tête depuis déjà quelques temps.

- Dis… Est-ce que tu t’es déjà senti seul quand tu te noies dans le boulot ? Ou même en présence de tes collègues. C’est pour ça que tu songes à refaire ta vie avec une femme ?

Ma question est sans doute surprenante de ma part mais aussi très sérieuse. Je me demande réellement ce qui peut pousser une personne trahie à vouloir prendre le risque de subir une potentielle autre trahison. Je sais toutefois que même entouré par du monde, le sentiment de solitude peut faire surface parce qu’il manque quelque chose. Est-ce que c’est le cas de mon père ? C’est pour ça qu’il se jette corps et âme dans le travail ?

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#1016 -


L'Occlumentie

feat Maelya



Me voici donc en train de confier à ma fille que je venais d’avoir une aventure après un an de célibat. Si au début je pensais que Maelya hurlerai, voila qu’elle me félicite à sa façon. En effet jusqu’à présent, il y a toujours eu que le travail dans ma vie. La preuve ma femme m’a trompé à cause de ça et Maelya à passé une année horrible vue que je passais peu de temps avec elle, car je préférais terminer mes tâches avant.
Bref encore une fois, je m’excuse pour ce divorce et j’en vient à proposer à ma fille de me dégager du temps pour sa sœur et elle afin de sortir toutes les trois unes fois par semaine. Je comprends vite que c’est ça qui plaît le plus à Maelya vue qu’elle me demande si on pourra sortir de Poudlard. Je souris et je réponds que oui, surtout si c’est le week-end, on pourra aller au pré au lard ou bien utiliser les cheminés pour aller au chemin de Traverse.

Je bois une nouvelle gorgée de boisson laissant Maelya rêvasser comme elle le fait souvent. Lorsqu’elle s’adresse à moi, je l’observe en silence l’encourageant du regard à me parler.
Sa question est légitime et je prend quelques secondes avant de répondre. Pas pour faire durer le suspense, mais parce que moi-même, je ne suis pas sûr de la réponse.

« La solitude, je la ressens de temps en temps quand je passe une journée à ne rien faire. Mais si je te parle de refaire ma vie, ce n’est pas pour la refaire maintenant. Seulement… Ton bien-être et celui de ta sœur passent avant tout. Ce que j’ai fait avec cette femme ne sera peut-être qu’une simple aventure sans lendemain. Mais si jamais un jour, je rencontre quelqu’un, avant de m’emballer, je préfère être sûr que ta sœur et toi cela ne va pas vous perturber. »

Je bois une autre gorgée et je pose ma bouteille vide sur mon bureau où je suis encore assis. Je reprends alors la parole.

« J’ai souvent peur oui que si je m’attache à nouveau, on me trahisse. Mais pas que sur le plan amoureux. J’ai souvent cette peur que ta sœur et toi ne me supportez plus. Que vous décidiez de ne plus me parler tout comme moi, je parle plus au mien »

Je n’ai jamais réellement parlé à Maelya et Clarisse de mes différents avec mon père. C’est peut-être le moment. J’inspire un grand coup et je lui confie.

« Tu sais si je travaille autant, ce n’est pas pour rien. A ton âge, si j’avais ramené à mon père une note en dessous d’Effort exceptionnel, il me punissait… Si je ramenais une heure de colle, il me punissait aussi. Alors j’ai pris l’habitude de travailler, parfois, j’étudiais jusqu’à m’endormir sur mon parchemin… C’est aussi pour ça que j’ai été un peut trop strict avec toi et je m’en excuse Chérie… Je me rends compte que sans utiliser de violence physique, j’ai été pire que lui moralement avec toi et ça, je m’en veux beaucoup »



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#1029 -
J’aime beaucoup mon père. Je suis sérieuse. Je lui mène la vie dure, il me fait quasiment que des remarques mais je l’adore quand même. Mais parfois il faut admettre qu’il est un peu con ou lent à la détente. Aujourd’hui je me dis qu’il est seulement très lent à la détente. Sérieusement… Plus d’un an sans rien faire d’autre à part se noyer dans le travail, et là, il se tape je ne sais qui et bam il pense enfin qu’il est temps de faire autre chose que travailler. Il a lui a fallu une putain d’aventure d’un soir – ou plus – pour comprendre qu’il n’y a pas que Poudlard dans la vie !

La suite m’intéresse bien plus. Il est prêt à changer mais surtout à passer plus de temps avec ma sœur et moi. On pourra sortir de l’école et passer tout un après-midi loin de ce château et passer un vrai moment en famille. On aura enfin des week-end où on ne pensera réellement pas à nos cours. Enfin je l’espère. En attendant, je le questionne un peu sur ce qu’il peut ressentir. Il y a bien quelque chose qui le pousse à vouloir refaire sa vie maintenant. Ca ne peut pas être seulement son plan cul qui lui aurait donné l’illumination soudaine.

Je l’écoute m’expliquer ce qui lui trotte en tête tout en sirotant ma boisson. Je plisse les yeux, suspicieuse. J’ai peut-être lu trop de livres tordus ou regardé trop de films mais en général quand quelqu’un dit « peut-être qu’une simple aventure », c’est qu’il y a des sentiments qui germent et donc un espoir d’aller plus loin avec le plan cul. Enfin il fait ce qu’il veut. Si cette situation le satisfait, libre à lui de s’en contenter.

- Si ça peut te rassurer, Clarisse et moi on ne risque pas de ne plus te supporter. Enfin j’fais beaucoup de conneries, j’te râle dessus, ça m’arrive même de t’insulter mais ça n’ira jamais au point où je ne veuille plus te voir. Et Clarisse encore moins. Elle t’adore beaucoup trop pour ça.

Je ne m’attendais toutefois pas à entendre la suite. S’il ne parle plus avec son père, c’est parce que celui-ci lui refourguait trop de punitions ? Et ben… Moi il m’en donne beaucoup mais c’est parce que je le cherche aussi. Même si au fond j’ai pris un peu de lui en étudiant aussi beaucoup quitte à me taper des nuits courtes. Il faut bien ça pour essayer d’obtenir des compliments de sa part. Je me dis toujours que si je suis excellente en cours, il me récompensera ou qu’il sera fier. C’est un peu raté jusqu’à maintenant parce qu’il n’a pas l’air de voir plus loin que mes bêtises mais puisqu’il est décidé à changer, il commencera peut-être à remarquer le reste.

- Si tu veux te faire pardonner, il te suffit de me refiler des points pour que j’batte totalement mon rival.

Le tout dit dans le plus grand des calmes. Je laisse un peu planer le doute, mon père réagir à ce genre de remarque puis rigole.

- J’plaisante, t’inquiète pas ! Par contre j’veux quand même pouvoir faire une activité avec toi. Voler, picoler, faire du shopping, tester une nouvelle potion, peu importe ce que c’est, j’veux faire un truc.

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#1083 -


L'Occlumentie

feat Maelya



Maelya à sue à sa façon me rassurer sur une de mes peurs. Le fait que mes filles ne m’aiment plus. Si la trahison de Veronica à été dure pour moi, je dois avouer que ce qui m’a fait tenir, ce sont mes filles. Sans elles, je doute avoir pus trouver l’envie de me battre pour ne pas sombrer dans la dépression. Alors quand elle me dit que malgré nos soucis de communication, elle m’adore, un petit sourire s’affiche sur mon visage. J’ai vraiment les jumelles les plus adorables et je remercie le monde chaque jours de les avoir.
J’en viens ensuite à me confier un peu à ma fille sur mon passé et je me met à rire quand elle me dit que pour me faire pardonner d’avoir failli marcher sur les traces de mon père, je dois lui donner des points pour battre son rival. Je réponds alors amusé.

« Borealis ? Je l’ai vue dans ta tête. Désolé ma fille, mais tu vas devoir te débrouiller, je ne prends pas parti dans votre guerre. C’est un de mes meilleurs élèves tout comme toi »

Je termine ma boisson et je réponds ensuite à sa phrase.

« Picoler, tu oublies ! Je ne veux pas de scandale de ta mère. Si je peux la garder très loin de moi, je suis content. »

J’ai déjà été obligé d’accepté qu’elle bosse ici, car notre Psycomage était à deux doigts du cimetière alors inutile qu’elle vient me gonfler avec le fait que je boive une bierraubeure de temps en temps. Je regarde l’heure et je soupire en annonçant.

« Aller, le couvre-feu est dans dix minutes. Je t’escorte à la salle des Serpentard. »

Je prends la robe et je fais sortir Maelya de mon bureau de sous-directeur. Je pars ensuite dans les couloirs avec elle direction la salle commune des Serpentard. Sur le chemin, je lui demande.

« Au fait. Hormis devenir la sorcière la plus puissante du monde… Tu as réfléchi à quoi faire de ton avenir ? Je parle de travail… Gagner de l’argent »

Je l’écoute me répondre. Je m’attends à tout avec elle, que ce soit testeuse de potion, casse-pieds en chef je ne sais où … Déjà gamine, elle voulait être plus forte que moi ce qui me faisait rire, mais plus on avance dans son âge et plus je me rends compte que c’est réellement son objectif et ça m’inquiète un peu. Une fois devant la porte de la salle, je lui donne sa robe et lui annonce.

« Aller va dormir… Et encore bravo pour le cours, tu as très bien géré. N’oublie pas de méditer pour apprendre à vider ton esprit. »

Je l’embrasse sur le front et j’attends de la voir entrer pour partir.

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#1108 -
J’ai beau râler sur mon père et le critiquer, au fond je l’adore. Et je sais que Clarisse l’adore aussi. Peut-être même plus que moi puisqu’elle en veut à notre mère et qu’elle se prend aussi beaucoup moins de remarques que moi. Bref ce cher professeur de potion n’a pas à s’en faire, ses filles ne risquent pas de le détester. Il me parle aussi un peu de ce qu’il a vécu avec son propre père et je ne me fais pas prier pour lui lancer une pique taquine. Il doit me refiler des points pour se faire pardonner. C’est évidemment une plaisanterie car je sais qu’il n’acceptera jamais de me faire cette faveur. Et puis je préfère battre mon rival à armes égales même s’il m’arrive d’utiliser des moyens moins sympa pour gagner.

Je lui parle alors de ce que je veux réellement faire avec lui et comme je m’en doutais, il me râle direct dessus concernant l’alcool. Le plus ironique c’est qu’il ne veut pas que j’en boive mais en même temps il me fait boire de la bièraubeurre. Et ce truc en contient.

- Déjà… ? J’aime pas le couvre-feu, sache-le. J’le trouve chiant, j’peux jamais profiter correctement de ce que j’veux.

C’est vrai, je n’aime pas ce système de couvre-feu même si je comprends aussi pourquoi il est en place. On sort finalement de son bureau et sur le chemin, il me questionne un peu sur mes projets d’avenir. En terme de travail, je n’ai toujours pas la moindre idée de ce que je souhaite faire et c’est bien ça le problème. J’en suis à ma dernière année et j’aurai le choix entre l’université – que je n’ai pas envie de fréquenter – et me trouver un job en sachant que je ne sais pas ce que je veux faire. J’hausse les épaules en marchant à ses côtés.

- J’en sais rien du tout… Si d’ici la fin de l’année j’sais toujours pas quoi faire, j’trouverai des études pour m’occuper.

Ce sera toujours plus intéressant que de rester à rien foutre. On arrive devant la salle commune et il me donne ma robe avant de m’embrasser sur le front en me félicitant.

- Ouais ouais j’méditerai. Bonne nuit.

Je rentre ensuite dans la salle commune, laissant ainsi mon père vaquer à ses occupations ou pioncer. De mon côté, je range soigneusement ma nouvelle robe avec mes autres vêtements puis me prépare pour me coucher.

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